Et j’entre dans la grande cabine après m’être débarrassée de mes talons hauts.Me voila de retour dans ma chambre je me suis douchée, coiffée et maquillée léger. Chrystelle ne va plus tarder il est déjà 14H00, je n’ai rien préparé et je suis encore totalement nue. Récapitulons, il me faut m’habiller et me choisir deux tenues pour aller chez Xavier et Chrystelle. Une pour la soirée dont je sais qu’elle sera coquine mais dans quel style je l’ignore encore, mais je sais que nous ne serons pas que tous les trois. Et une autre pour le lendemain, puisque je dois passer la nuit chez eux.Pour la soirée j’ai une idée je dépose sur mon lit l’ensemble constitué de la magnifique guêpière en dentelle blanche brodée de perle et strass que Chrystelle m’avait offerte ainsi que les accessoires indispensables avait-elle dit pour porter avec. Des magnifiques bas blancs ornés dune large jarretière en dentelle et d’une fine couture ainsi que les mini soquettes en dentelle blanche ornée d’un petit nœud de satin blanc, les mitaines assorties et la paire d’escarpins vernis blancs dont les talons aiguille de 10 cm me cambrent outrageusement. Avec cela je vais être craquante dans le plus pur style indécente ingénue. Par-dessus que vais-je pouvoir porter ? Oh je n’ai vraiment rien de convenable à moins que … Oui voilà cette délicieuse robe vichy rose et blanche avec un jupon en dentelle blanche que maman m’avait offerte je ne pensais jamais la reporter, si elle savait !Pour le dimanche nous allons essayer de rester dans le plus pur style lolita, une brassière blanche laissant voir mon nombril et son piercing, et une mini jupe en jeans, seront parfaites. Un beau tanga dentelle framboise et mes bottes talons aiguilles. Reste à me trouver une tenue pour cet après midi.Le bruit d’une voiture dans l’allée, je file vers la fenêtre, c’est déjà Chrystelle avec son petit cabriolet. Comme à son habitude elle est sublime lorsqu’elle sort de la voiture je détaille sa tenue. Elle porte un petit tailleur en cuir rouge une veste droite et un mini jupe dévoilant largement ses sublimes jambes voilées de noirs. Elle est chaussée d’escarpins noirs vernis aux talons aiguilles. — Benji, mon amie est arrivée, peut tu aller l’accueillir ?— Comment pourrais-je refuser une faveur à ma petite sœur préférée ?— Merci Ben— A ton service petite coquine.— … Je l’entends descendre l’escalier et ouvrir. — Bonjour je suis Benjamin, vous devez être Chrystelle la nouvelle amie de Justine ?— En effet, nous avions rendez-vous à 14H00, elle n’est pas là ?— Si bien sur mais je dois avouer l’avoir mise en retard …Je vais vous guider jusqu’à sa chambre, elle se prépare.— Merci je vous suis.— Heu je vous en prie prenez l’escalier en face de vous elle est en haut. (je devine que le coquin doit en profiter pour mater ma belle) Je les entends monter tous les deux. — Justine ton amie est là, et il ouvre la porte de ma chambre. Me découvrant nue, avec sur mon lit un étalage de vêtements et sous-vêtements des plus sexy. Je souris en le voyant rougir comme un collégien. Je m’approche de Chrystelle et nous échangeons un rapide baisé sur les lèvres.
— Bonjour ma belle Justine, tu es incorrigible, tu n’es pas prête et j’ai pris d’autres engagements horaires.— Çà y est presque laisse moi 5 minutes pour passer quelque chose et faire mon sac avec les tenues que j’emmène. Elles te plaisent ?— Sublime tu le sais tu vas être à croquer ce soir, nos amis vont adorer, nous allons bien nous amuser.— Décidément tu as bien grandit sœurette…— Je dépose mes tenues dans un sac de voyage, et le ferme. Comment je m’habille pour cet après midi ?— Ton petit imper en vinyle noire et tes cuissardes, se sera parfait. Vous ne trouvez pas Benjamin ?— Humm si délicieusement indécente elle sera parfaite, si vous voulez un homme pour porter les paquets je suis même prêt à vous accompagner faire du shopping…— Tu vois Justine il suffit de savoir leur parler Je m’assoie sur le bord de mon lit enfiles les cuissardes vinyle noirs aux talons aiguilles et totalement nue dessous passe le petit imper qui me couvre juste les fesses. Je le noue à la taille me saisis de mon sac de voyage et du petit sac à dos Longchamp. — Je suis prête, en souriant à Chrystelle.— Parfaite comme toujours, allons-y. Nous redescendons suivies par Ben qui ne nous quitte plus. Nous rangeons mon sac de voyage dans le petit coffre du cabriolet. — Passe une bonne soirée mon chéri, tu penseras à moi ? je lui fais la bise en déposant un baisé sur ses lèvres, avant de m’assoir sur le siège passager.— Au revoir Monsieur, lui dit Chrystelle.— Au revoir… le beau Ben a les yeux du loup de Tex Avery ! Chrystelle démarre et nous quittons la villa parentale. — Où allons-nous Chrys ?— Je dois passer chez Songes de Cuir, une boutique spécialisée, au centre de Lyon. Ta tenue est parfaite pour cette boutique où j’ai mes habitudes (Cf mon premier récit « Une journée pour mon amour »). Nous voilà, nous dirigeant dans la ville sous un beau ciel bleu et un soleil radieux. Chrystelle gare son petit cabriolet au parking des Cordeliers et lorsque nous sortons en direction de la rue de la République je peux vous assurer que nous sommes l’objet de tous les regards.Chrystelle s’en amuse. Elle aime plaire et je dois reconnaitre que cela me plait également de plus en plus. J’accentue légèrement ma démarche, perchée sur mes talons aiguilles et aussitôt des sifflets nous sont adressés.Après avoir traversé cette grande rue piétonne, nous tournons sur notre droite en direction d’une rue plus étroite perpendiculaire et au bout de quelques mètres, nous voilà à l’angle des rues Tomassin et des 4 Chapeaux.La vitrine de la boutique est sans équivoque. Y sont exposé diverses tenues dignes des productions de chez Dorcel…Chrystelle m’invite à entrer la première, en écartant le rideau sombre. Je suis surprise par ce que je découvre. Des rayons de vidéos d’autres de lingerie mais également des tenues inspirées du monde SM. Il y avait de présent en ces lieux de débauche deux hommes l’un d’une vingtaine d’années, boutonneux, l’autre d’environ 30 ans avec un beau look de baroudeur avec son blouson de cuir noir ouvert sur un tee-shirt blanc moulant son torse musclé. Chrystelle était en train de faire la bise à un monsieur d’une quarantaine d’année qui visiblement était le patron des lieux et qui venait de quitter son petit comptoir pour nous accueillir. — Chère Madame quel plaisir de vous accueillir de nouveau chez nous— Tout a été si parfait la première fois que je tenais absolument à faire partager ma découverte à ma jeune amie. Je vous présente Justine.— Bonjour Justine, quel divin prénom ! Soyez la bienvenue.— Bonjour. Troublée je devais rougir, dans ce lieu avec la tenue que Chrystelle m’avait imposée, devant des inconnus je me sentais fondre.— Nous avons une soirée ce soir sur le thème de la domination, soft rassure toi ma belle. Je compte sur vous Monsieur pour que ma belle amie soit la reine de cette soirée.— Comment pourrait-il en être autrement, d’après ce qui m’est donné de voir elle est sublime. Nous allons passer dans l’alcôve, nous y serons plus tranquilles.— Toujours aussi attentionné avec les femmes, vous êtes adorable.— Seulement avec les très belles femmes … Il demande au beau ténébreux de le remplacer au guichet, visiblement un employé, et nous guide vers un petit boudoir. Cette petite pièce était décorée avec goût : il y a avait là deux fauteuils de velours rouge, un canapé assorti, une table basse, un paravent, ainsi qu’une petite estrade entourée de miroirs. Il nous proposa de nous mettre à l’aise ; je m’installai sur le canapé, tandis que Chrystelle prenait place dans l’un des fauteuils en face de moi. Lorsqu’elle s’assit son mini tailleur de cuir rouge dévoila largement les revers de dentelle de ses magnifiques bas nylons noirs. Un échange de sourire suffit à nous rendre encore plus complice. Elle croise les jambes, elle est merveilleuse de sensualité. Notre guide me demande. — Alors Justine qu’elle va être votre rôle pour cette soirée ? Maitresse ou Soumise ?— Cher ami cette question ne se pose pas cette jeune enfant sera ma Soumise, d’ailleurs elle m’obéît déjà totalement. Justine lève toi, enlève cet imper pour montrer à notre ami comme tu es belle et disponible. Comme dans un rêve je ne peux résister. Je me lève et devant ce Monsieur que je ne connaissais pas 10 minutes auparavant, je défais la ceinture de mon imper avant de l’ouvrir et de le déposer sur l’accoudoir du canapé. Totalement nue, à l’exception de mes cuissardes de vinyles noires aux talons aiguilles, je m’exhibe sous ses ordres, offrant à notre guide la vue de mon corps.Celui-ci me tend la main pour me faire monter sur la petite estrade entourée de miroir. — Mademoiselle vous êtes sublime, mais nous allons faire de vous un fantasme pour tous les participants de cette soirée.— Je compte sur vous, nous verrons si le résultat est à la hauteur de mon premier essai (Cf « Une journée pour mon amour ») !— Commençons par les bracelets, une soumise doit pouvoir être attachée… Il s’éloigne et je profite de cet instant d’intimité avec Chrystelle pour l’interroger. — Chrystelle, qu’est au juste que cette soirée ? Je ne sais pas si je suis prête à cela.— Ne t’inquiète pas mas belle, je serais toujours à tes cotés.— Enfin j’apprécie notre complicité avec toi et Xavier mais je ne sais pas si je dois accepter …— Justine ce soir tu ne décideras rien, je déciderais mais je peux t’assurer que tu ne regretteras rien. Revoilà notre hôte, avec des boites plein les bras. Il les dépose sur la table basse et sort de la première deux bracelets en cuir noirs, avec des réglages comme de mini ceintures. Il s’approche de moi me prends une main et dépose à mon poignet ce premier bracelet large de 6 cm au moins. Il le serre mais pas trop, il y a une boucle en métal. Puis il fait de même à l’autre main. Il retourne à la table basse et sort deux autres bracelets un peu plus larges, qu’il dépose sur le rebord de l’estrade. Il en ouvre un qu’il passe sur la cuissarde de ma jambe droite à hauteur de ma cheville. Là aussi il le serre mais pas trop, puis recommence la même chose sur l’autre jambe.Il ouvre ensuite la deuxième boite et en sort un collier de cuir noir clouté. Celui-ci est constitué des mêmes matières que les bracelets et comporte un anneau qu’il place sous mon menton et auquel est déjà fixé un cadenas de métal. Il le fixe derrière ma nuque, et je frissonne sous ses doigts, tout en remontant mes cheveux blonds, ce qui a pour effet de faire saillir encore d’avantage ma poitrine.Il redescend de l’estrade pour ouvrir le dernier petit carton il en sort une cravache en cuir noir, en teste la flexibilité, avant de la faire siffler dans l’air.Je n’ose imaginer l’effet sur moi, si au lieu de fendre l’air à quelques centimètre des mes fesses, elle s’était abattue sur elles ! — Chrystelle vous ne m’avez pas dit chez qui se passe cette soirée ?— Oh pardon se sera chez le Marquis.— Humm Justine votre éducation va être parfaite, son donjon est un modèle du genre et avec lui Chrystelle vous allez apprendre l’art d’éduquer cette belle salope comme nulle part ailleurs. Chrystelle venait de se lever et aux cotés de notre guide c’était approchée de moi. Celui-ci lui tendit la cravache : — Ce sera le cadeau de la maison, Madame.— Oh merci, elle est parfaite souple et ferme comme je les aime.— Je parlais de la cravache, Chrystelle !— Mais moi aussi, Monsieur, car au contraire je sais que Justine sera douce et docile, pour mon plaisir ! Mais avant cela laissez-moi vous remercier à ma façon. Chrystelle me tendit la main pour me faire descendre de l’estrade et alors que notre guide fixait une petite laisse métallique à l’anneau de mon collier, je frissonnais sous la caresse de la boucle de la cravache. Elle prenait un malin plaisir à me faire frissonner sous cette caresse, la passant sur mes flancs, remontant sous mes seins avant de jouer avec mes tétons déjà érigés.Debout à mes cotés, toutes les deux perchées sur nos talons hauts, très près de mon oreille, elle chuchotât : — Justine je veux que tu montres à Monsieur l’étendu de ton art dans la fellation, ne me déçois pas ! Un petit coup sec de la cravache sur ma fesse droite me fît sursauter.— Oh Madame vous me gâtez, la bouche de cette jeune fille doit être un délice. Alors que Chrystelle s’emparait de sa main libre de ma laisse, je m agenouillais devant se Monsieur certes charmant, mais qui m’était parfaitement inconnu 1 heure plus tôt.Je prie soins de défaire sa ceinture le plus lentement possible jouant de mes doigts fins aux ongles longs manucurés, tout en plongeant mon regard le plus innocent dans le sien.Il était déjà aux anges lorsque je me saisis de son sexe à demi bandé, pour le sortir de son boxer. Un sourire mutin avant de déposer sur le gland un bisou coquin du bout des lèvres, j’allais sucer mon second male de la journée et quelque chose me disait que cela n’allait pas être le dernier. Je prie soins de le faire gonfler dans ma bouche le sentant palpiter sur ma langue alors que mes doigts jouaient avec les bourses pleines. Je le suçais lentement le plus profondément possible avant de le ressortir presque totalement. Il râlait de plaisir. C’est à ce moment précis que le beau brun qui l’avait remplacé à la caisse fit son entrée dans l’alcôve.En me découvrant accroupie dans ma tenue SM en train de sucer le patron il ne pu retenir un sifflement d’admiration.J’avais du stopper quelques seconde ma succion par surprise, lorsque un deuxième coup de cravache me fît comprendre que je devais continuer. Chrystelle fit signe à notre visiteur de s’approcher et très vite elle se retrouva à mes cotés accroupie elle aussi à sucer cette très belle bite bien bandée. C’était devenu comme un jeu entre nous deux celle qui ferait jouir son partenaire le plus vite. Jouant de mes lèvres de ma langue de mes doigts et allumant mon homme de mes yeux j’avais une avance et je comptais bien la garder. Le simple fait d’effleurer de mon index son petit trou caché, c’est dans un râle puissant qu’il se vidait dans ma bouche.Deux belles giclées puis une troisième moins abondante m’inondaient la bouche. Le goût était plutôt agréable et tout en fixant mon complice je déglutis son plaisir non sans cacher le mien.Chrystelle beau joueur demanda à son partenaire de venir se finir sur ma langue à son tour.Le beau brun dont je ne connaissais rien et que je n’avais pas vu plus de 10 minutes en tout, se positionna devant moi et sa belle queue à la main se branla sur ma langue sortie.Sa jouissance fût plus rapide mais également beaucoup plus fournie, il m’arrosa littéralement la bouche et le visage.Je me relevais satisfaite du travail bien fait et ma Maitresse me félicita en venant lécher sur mes joues le précieux nectar avant de me le faire partager dans un long baiser entre filles.
