Après quelques instants de repos bien mérités, découvrant avec délice que la belle Laëtitia à elle aussi fait jouir son homme en lui offrant sa langue. Nous nous jetons tous dans la piscine pour nous rafraichir enfin. — J’espère ne pas avoir pris un coup de soleil— Ce n’était pas un coup de soleil ma belle !
Après ce délicieux week-end il me fallait revenir à la réalité de ma vie d’étudiante la nuit du dimanche au lundi fut pleine de beaux souvenir mais me permis de récupérer.Lundi matin fraiche je me rendais à la fac retrouvant camarades et professeurs et essayant de me concentrer sans laisser trop mon subconscient m’emmener vers des rêves parsemés de plaisirs interdits.En fin d’après midi alors que j’étais dans ma dernière heure de cours un texto de Ludo (mon chéri pour ceux qui comme moi l’on un peu oublier) … — Bisous ma belle dispo pour moi ce soir ? Ludo Il est vrai que je l’ai plutôt délaissé ces derniers jours. De toutes façons rien de prévu ce soir et puis cela me fera du bien de revenir dans le monde normal ! — Bisous mon bébé toute disponible pour toi … Justine— RDV 19H00 MAC DO + CINE — Ok 19H00 chez moi bises A la fin de cours je trainais un peu avec mes amies puis direction la maison parentale. A cette heure ci je suis bien seule, les parents sont encore au travail et Benji doit trainer dans quelques endroits peu fréquentables par une jeune fille de bonne famille. Encore que !Une bonne douche pour être toute fraiche puis opter pour une tenue qui plaira à Ludo …Je ne vous ai pas présenté Ludovic. Ludo à 22 ans il est brun avec de magnifiques yeux bleus grand 1m88 pour 80 Kilos, c’est l’image du jeune homme de bonne famille. Toujours très bien avec tout le monde, adorable avec moi mais tellement prévisible. J’apprécie d’être avec lui, il est si prévenant et attentionné. Mes amies sont toutes en extases devant lui, son coté Bcbg sportif il joue au rugby, me demandant mille détails sur Ludo il les fait rêver. Il adore me couvrir de cadeaux et d’attention … Me voila douchée retour dans ma chambre, oublions les tenues hyper sexy que la belle Chrystelle m’a offertes. Je fouille mon armoire, voila une robe tunique en maille rouge, un ensemble dentelle blanche balconnet et tanga, une paire de Dim up noirs… Aimerait-il me découvrir avec un délicieux porte-jarretelle ? Je suis folle… non restons en aux Dim up voile noirs mes bottes à talons noires, une petite veste cuir noire par-dessus je suis prête. Déjà il sonne…
— Bonjour Bébé— Humm toujours aussi délicieuse ma belle Echange de bisous tendres. J’avais presque oublié ce que c’était le plaisir simple de partager un baiser avec son chéri.— Tu t’es faite rare ces derniers jours ma chérie— Une période un peu délicate et puis j’ai pas mal bossée en Baby-sitting tu sais.— OK bon on y va j’ai très envie d’aller voir le dernier film de TARANTINO, la séance est à 20H00. Si nous voulons passer au MAC-DO avant il faut y aller.— Je suis prête Notre passage au Fast Food fut des plus rapides et nous voilà dans la salle bondée du cinéma. Le film commence presque aussitôt. Bruyant avec un max d’action tout à fait le style de film qui nous passionne nous les filles !J’en profite pour laisser mon esprit divaguer. Où est Benji en ce moment ? Avec qui ? Que font Chrystelle et Xavier ? Des images me viennent toutes plus coquines les unes que les autres. Sans m’en rendre compte je me suis glissée plus profondément dans le fauteuil et ma robe tunique n’a pas suivie dévoilant le revers de dentelle de mes Dim up. Ludo est totalement pris par son film, alors que mon voisin de gauche lui est fasciné par mes jambes.Echanges de sourires complices …Sans ne rien changer à ma position je pose ma main sur celle de Ludo, nos doigts se mêlent. Il tourne son visage vers moi, ses yeux plongent dans les miens, un nouveau baiser sublime. — Tu n’aimes pas le film— Heu non pas vraiment— Moi j’adore— Je vois ça bébé tu sembles hypnotisé par l’écran— Tu veux que nous partions ?— Non bébé … j’ai très envie de lui faire plaisir d’être adorable comme il dit.— OK merci … nouveau baiser puis son regard repart vers l’écran. Mon autre main, la gauche se pose sur ma jambe gauche. Elle glisse faisant crisser le bas jusqu’à parcourir la dentelle. Mon voisin ne perd rien du spectacle qui aux vues de la bosse qui déforme son pantalon semble l’exciter au plus haut point.Il s’aventure à déposer sa main sur la mienne. Mais aussitôt je le repousse.Non que je n’en ai pas envie mais Ludo est à coté et pas sure que cela lui plaise !La séance se poursuit doucement lentement. Je ne suis pas du tout l’histoire. Rêvant à des jeux plus lubriques.Enfin le film se termine Ludo se tourne vers moi alors que la salle s’éclaire. Son visage aussi en découvrant ma petite robe remontée dévoilant le haut de mes bas. Je lui souris. — Ca t’a plus bébé— Oui j’ai adoré, merci d’avoir accepté de rester Justine— Tu sauras bien me remercier mieux que cela— Après ce que je viens d’apercevoir j’en ai très envie— Tu viens à l’appart. Ludo dispose d’un petit appartement en ville dans le vieux Lyon. Propriété de ses parents il ne lui coute rien et doit bien faire 80m² avec une vue sur la Soane que j’adore. — OK mais je préviens mes parents que je rentrerai plus tard— Ok Un coup de fil à mon papa adoré qui accepte la nouvelle non sans m’avoir recommandé d’être prudente … Nous arrivons chez Ludovic, son appartement n’a rien avoir avec les chambres d’étudiants telles qu’on les imagines. D’abord il est spacieux, lumineux ouvert par de grandes baies vitrées, qui permettent de s’imaginer planant au-dessus du fleuve mais également d’être tout simplement en extérieur, pour bénéficier des lumières de la ville pas encore tout à fait endormie.Ce petit appartement est meublé avec gout dans un style néo retro, et entretenu au moins deux fois par semaine par un personnel dévoué à la famille. C’est un véritable nid douillet havre de paix où il fait bon venir chercher apaisement et amour dans les bras de mon chéri.Ludo a pleinement conscience des avantages dont il bénéficie mais il a la courtoisie et l’éducation pour ne pas y référer à tous instants, ce que j’apprécie. Nous nous installons dans le coin salon deux beaux canapés face à un magnifique écran plat de grande taille.En m’asseyant ma robe tunique remonte dévoilant le revers de dentelle de mes Dim up noirs. Nous échangeons un baiser tendre. Tout simplement un baiser d’amoureux qui ont le temps de s’aimer. Sa main se pose sur ma cuisse, un frisson me parcours. Je sais très bien ce qui va se passer, tout du moins je pense le savoir… — Tu m’as manquée ma puce — Toi aussi bébé … (si il savait !)— Tu as aimé t’exhiber ce soir au cinéma ?— !!! Il m’embrasse de nouveau ce fait très câlin sa main remonte sur ma cuisse, sur ma peau nue au dessus du bas m’arrachant déjà un frisson. — Je t’ai vue ma puce, ta main jouant avec le revers de tes bas. Tes lèvres entrouvertes à la recherche d’air qui semblait te manquer.— Mais non pas du tout …— Mais si ma puce, j’ai vue aussi la main de ton voisin, et la réaction que tu as eue, et qui je dois le dire m’a rassurée— …— Cela t’a plu d’exciter ce pauvre garçon, avoue le ma belle.— … oui … à voix basse hésitante — Tu aurais aimé qu’il insiste n’est ce pas ? Sa main continue de monter passant sur mon petit tanga de dentelle blanche. Je frissonne me mords les lèvres, mon esprit divague déjà. — Si tu avais pris le risque de ne pas mettre de culotte ce soir peut-être aurait il était jusqu’à passer sa main, ses doigts sur ton sexe.— … je ne réponds pas déjà troublée, sa voix est si chaud elle m’hypnotise je suis sous emprise Ses doigts glissent sous la dentelle blanche. Déjà ils frôlent ma fente que je sens s’ouvrir. Et d’un coup il les retire. Me laissant là sans réaction mais déjà frustrée. — Mais Justine qu’as-tu faite ? Montre-moi ma puce.— Quoi ne me laisses pas ainsi— Tu es si douce c’est nouveau ? Montres moi.— Oh c’est une surprise tu aimes ? Je me colle à lui l’embrasse de nouveau. Un baiser torride enflammé qui déjà me chamboule.— Humm vite montre moi j’en ai si souvent rêvé mais je ne savais comment te le demander— Vraiment et pourquoi cela ?— C’est beaucoup plus sexy … allez ne me laisses pas ainsi montres moi— Ok mais tu jures de ne pas te moquer de moi— Promis ma puce. Je me lève dépose un nouveau baiser sur ses lèvres et devant lui entreprends de quitter ma robe, en la faisant passer par-dessus mes épaules.Elle lui dévoile mes jambes gainées de mes Dim up noirs satinés puis le tanga de dentelle blanche, le petit piercing en strass de mon nombril qu’il aime tant, et enfin mon balconnet de dentelle blanche. Je dépose la robe sur le canapé. — Je veux bien te montrer mais je veux voir l’effet que je te fais. Déshabilles toi bébé.— Mais tout de suite tu vas voir rien que d’y penser … Il se déshabille à son tour. D’abord son pull bleu ciel puis sa chemise rayée bleue et blanche. Il est beau musclé totalement imberbe sans avoir jamais su si il s’épilait, se rasait, ou si cela était naturel. Ensuite il s’attaque à son pantalon écru qui tombe avec chaussettes et mocassins, me dévoilant un boxer noir déjà bien remplit.Il se rassoit sur le canapé alors que je le détaille en parcourant se corps que j’adore. Enfin il fait glisser le boxer se retrouvant totalement nu, son pubis brun et se sexe qui sans être anormal n’en est pas moins de belle taille. Il bande déjà un peu pas totalement mais pas loin. — Alors comme cela Monsieur veut voir mon petit abricot ?— Humm tu l’as vraiment fait Justine ?— LOL oui bébé je suis toute lisse comme une petite fille sage !— Humm je vais adorer vite montres moi tu l’avais promis… regardes dans quel état tu me mets.— Justement tu ne préférerais pas que je m’approche de toi… je dis cela en venant me positionner debout entre ses jambes écartées, à quelques centimètres de son sexe dressé.— Montres moi petite peste si non !— Si non quoi ? — Je te donne une fessée. Il dit cela en rougissant il est touchant mon chéri.— Humm cela pourrait me plaire Monsieur !— A vraiment petite garce, viens là. Il m’attrape de ses mains fermes pour m’approcher encore plus de lui, collant à son corps. Lui assis moi debout, il embrasse mon ventre, ses lèvres, sa langue sur mon piercing.— Il n’était pas question d’une fessée ?— Mais coquine puisque tu la réclames je vais te la donner. Mais dans notre famille les fessées sont toujours données cul nu.— Comme le voudra Monsieur. Toujours debout entre ses mains, j’entreprends de faire glisser mon tanga sur mes hanches puis ondulant pour qu’il glisse le long de mes jambes voilées de noir. Je l’enjambe de mes bottes aux talons hauts. Ses yeux ne lâchent pas mon sexe exhibé dans sa nudité la plus totale, tout contre lui sa bouche glisse sur mon ventre passe sur mon pubis doux et lisse avant de venir à la rencontre de ma fente encore bien serrée. — Humm un délice j’adore Justine, je vais te dévorer— Mais Monsieur vous m’aviez promise une fessée ! Sa langue passe et repasse à plat sur ma fente, lorsqu’il remonte elle écarte mes lèvres et vient buter contre mon petit bouton qui se dresse en attente de caresses plus poussées. Humm je me cambre rejetant la tête en arrière. Ses mains sont posées sur mes hanches et il me lèche, j’adore mes jambes s’écartent pour lui faciliter la tache. Je m’offre à sa langue ses yeux ne quittent pas mon sexe. Sa nudité semble l’hypnotiser. — et bien Monsieur semble apprécier mon sexe de petite fille sage— Waouh s’est trop bon Justine, jamais je n’aurais osé te le demander mais j’adore.— Alors comme cela tu me fais des cachoteries !— … il m’arrache un râle de plaisir alors que sa langue pointe dans ma grotte offerte.— Et que rêves-tu donc de me demander ou de me faire faire Ludo ?— … Il est trop occupé à me donner du plaisir. Je m’excite seule jouant avec mes doigts dans ses cheveux, plaquant sa bouche sur mon sexe trempée. J’adore le traitement qu’il m’impose. J’ondule sur sa langue le plaisir monte déjà, je pense que je serais capable de jouir ainsi en moins de 5 minutes, mais je ne le veux pas.Je le repousse au fond du canapé ses yeux ne quittent pas mon abricot luisant de mon excitation et de sa salive déposée par sa caresse. — Tu es trop belle comme ça …— Mieux que les pornos stars sur lesquelles vous délirez avec tes potes ?— Ne dis pas de bêtises tu es cent fois plus sexy.— A vraiment et pourquoi donc ? en prenant mon air boudeur qui les fait tous craquer— Parce que toi tu es vraie, tu es ma chérie je t’adore— Je vois cela Bébé ! Je fixe son sexe dressé comme rarement je l’ai vu— Approche ne me laisse pas ainsi— Je veux bien mais Monsieur doit m’administrer une fessée !— Je t’en prie Bébé viens prés de moi, viens me sucer …— Oh monsieur préférait que je le prenne dans ma bouche ?— Oh oui En le fixant droit dans les yeux je m’approche de lui en me mordant la lèvre inférieure. Il bande s’est trop touchant, je pense qu’à ce moment là je pourrais lui demander tout ce que je voudrais il me l’accorderait sans aucun doute.Je pose mes mains sur ses cuisses musclées, il frissonne. J’approche mes lèvres des siennes. Ma bouche se pose contre la sienne, notre baiser et tendre, doux, long… trop long il voudrait que je passe à autre chose.Je me laisse glisser sans toucher son sexe dressé. Je m’accroupie entre ses cuisses écartées, je fixe son sexe dressé puis ses yeux implorant ma caresse.Sans le toucher de mes doigts j’approche ma bouche, mon souffle sur son gland il frissonne.Je le fixe dans les yeux et approche encore pour déposer mes lèvres en un tendre baiser sur le bout de son sexe. Il sursaute la tension est à son maximum, enfin le croit-il.Je me recule légèrement pour pouvoir le regarder dans les yeux puis me rapproche sans le quitter des yeux me positionnant plus bas à hauteur de ses bourses où ma langue vient se poser. Sans le lâcher des yeux je remonte. Ma langue laisse une trainer de salive sur toute la longueur de son sexe. Un nouveau baiser sur son gland. Je reste immobile à quelques millimètres de se mât dressé. Il ne tient plus … — Je t’en prie Bébé ne me laisse pas ainsi Pour toute réponse mes lèvres se reposent sur son gland et cette fois je pousse légèrement pour le faire entrer. Très lentement, sans jamais le lâcher des yeux, je me laisse descendre sur son sexe. Il glisse sur ma langue entre mes lèvres légèrement resserrées, lui arrachant de petits râles saccadés. Enfin je l’ai totalement en bouche, je m’immobilise le gardant le plus loin possible, mes lèvres sont en contact avec les poils de son pubis. Puis tout aussi lentement je remonte, tout doucement, ses yeux brillent. Arrivée au bout du gland mes lèvres le lâchent quelques secondes avant de replonger pour me laisser à nouveau glisser en salivant sur cette friandise que j’adore.Il se cambre, j’accélère, je monte je descends, il s’arque. Je m’immobilise son gland juste posé sur ma langue… Il suffirait d’un mouvement de celle-ci pour que l’irréparable ne soit commis.Tout doucement je m’éloigne, la tension baisse légèrement, je lui souris, il semble retrouver un peu de lucidité. — Tu as aimé mon chéri ?— Waouh c’est si bon j’ai cru que je ne pourrais jamais me retenir— Mais il ne fallait pas mon chéri— Oh arrêtes ne te moques pas de moi, je ne suis pas un garçon comme ça— Tu es un garçon comment ?— Mais je te respecte ma puce, je ne voudrais pas t’imposer quoique ce soit.— Et moi j’aimerais tant que tu m’imposes des trucs justement— Mais Justine que dis-tu ?— J’aurai tant aimé que tu me demandes de me faire épiler totalement pour toi, que tu me demande de te faire jouir dans ma bouche, mais aussi tant de choses excitantes que seule je ne pourrais décider de faire. Tu comprends ?— Bien sur ma puce, mais comment savoir ce que tu es prête à accepter— Mais par amour je suis prête à accepter beaucoup. Je lui souris et m’approche de nouveau de lui entre ses cuisses en restant debout je me plie en deux, perchées sur les talons hauts de mes bottes. Je me saisis de son sexe toujours impeccablement bandé, et le porte à ma bouche. Là je me déchaine sur sa queue dressée. J’aspire, je suce, je branle de plus en plus vite. Je l’entends, son souffle s’accélère, son sexe prend vie dans ma bouche, entre mes lèvres, sur ma langue, contre mon palais.Je me calme un peu alors que lui ne redescend pas je le sens tout proche. Alors je le prends le plus loin possible et juste en passant ma langue sur son sexe planté dans ma bouche je déclenche son plaisir.C’est au fond de ma gorge tout contre mes amygdales que je sens le premier jet long et chargé, légèrement salé, suivi d’un second tout aussi puissant. Je déglutie, alors qu’un troisième à peine moins important vient lui aussi s’abattre au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur qui instinctivement me fait me reculer. Son sexe sort de ma bouche alors qu’une nouvelle giclée me strie le visage. Je continue de le branler lentement lui soustrayant les dernières gouttes de son plaisir. Il semble au bord de la perte de connaissance, Anéanti par le bonheur d’avoir enfin réalisé l’un de ses fantasme.Quelques courts instants sans actions et il rouvre les yeux me fixant. Ils sont chargés d’étoiles. — Waouh … merci Bébé … c’était sublime.— C’est gentil… alors que du bout de mon index, du bout de mon ongle french manucuré je récolte le sperme de son dernier envoi sur mes lèvres et ma joue pour le porter à ma bouche et le sucer en prenant soin de lui montrer que j’avale tout.— Délicieusement perverse j’adore— Merci Monsieur je crois que j’ai bien mérité ma fessée non ? Un ange passe dans le salon, suivi de prés par un diablotin me semble-t-il ! Ludo me fait approcher de lui pour me prendre dans ses bras. Nous échangeons un délicieux baisé, plein de tendresse et d’amour passionnel. Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes à nous câliner de nos doigts nos lèvres. Je sens que son ardeur revient alors que je suis assise sur ses genoux. Son sexe se dresse au contact du tissu soyeux de mes bas. Ses doigts jouent avec le revers de dentelle de mes bas noirs. Il me fixe dans les yeux et à voix basse me confie : — Alors comme cela Mademoiselle Justine veut une fessée ?— Je ne la veux pas Monsieur je la mérite non ?— Absolument petite peste. Allez debout Je me lève il me détaille de nouveau je me sens fondre sous ses yeux. — Approches. Il est assis dans le canapé en ayant pris soin de se positionner au bord de l’assise en cuir.— Comme cela Monsieur ? Je suis debout à coté de lui Il m’attrape par les bras et relativement violement me fait plier le buste pour me retrouver avec mes seins contre ses cuisses. De son autre main il appuie sur mon dos me faisant prendre la position en travers de ses jambes. En me plaçant ainsi, jambes toujours raides bien qu’écartées, mon petit cul est parfaitement positionné. — A partir de maintenant Mademoiselle je ne veux plus vous entendre sauf lorsque je vous le demanderais. C’est bien compris ?— Oui Monsieur, ma voix est étranglée par le trouble né de cette situation nouvelle pour moi.— Nous allons commencer par une série de 10 fessées sur chaque fesse. Je ne veux rien entendre d’autre que le décompte que vous ferrez à voix haute Mademoiselle.— Vingt Monsieur cela fait beaucoup non ?— Qui vous a autorisé à parler Mademoiselle ? Je suis dans l’obligation d’en ajouter 10 de plus soit un total de 30 !— … Troublée mais également anxieuse de savoir ce que cela fait j’attends ma punition. Ludo pose sa main à plat sur ma fesse droite très délicatement et pourtant je sursaute à ce contact. Il me caresse lentement le plat de sa main parcours le galbe de mon petit cul rebondi. Puis se contact disparait. Une peut être deux secondes plus tard sa main s’abat en une fessée comme je n’en ai jamais reçue. La violence est telle que je me suis raidie et j’en ai le souffle coupé. — Et bien Mademoiselle ne deviez vous pas compter ?— Mais tu es fou pas si fort … Une seconde fessée s’abat sur mon autre fesse tout aussi forte sinon plus— Silence Mademoiselle … Ces deux là ne compteront pas. Reprenons — …— … Une nouvelle claque sur ma fesse droite déjà endolorie — Une — Bien vous comprenez vite Mademoiselle— … Une autre sur l’autre fesse… la douleur est vive les larmes me montent aux yeux …Deux— Parfait nous allons pouvoir augmenter le rythme— Trois … Quatre… Cinq… Six … Oh non je t’en prie arrête je ferrais ce que tu voudras— Vraiment ? Je me frotte les fesses, elles sont en feu. La douleur est si vive les larmes coulent sur mes joues. Ludo pose sa main à plat sur mes fesses. Les parcours m’arrachant un frisson. Je me cambre. Il attend patiemment que je sois calmée. — Nous en restons à 6 Mademoiselle, vous m’en devez donc 24 !— Arrêtes ce n’est pas drôle j’ai mal.— Et alors tu l’avais accepté à toi de l’assumer.— Mais comment font-elles pour assumer cela ?— De qui parles-tu ?— Des femmes soumises qui acceptent de se faire fesser et plus par leur Maitre— Je ne sais pas qui elles sont mais elles ont une volonté qui semble te faire défaut ma belle.— Mais tu n’avais qu’à commencer moins fort— Ah vraiment… comme cela. Sa main claque de nouveau sur ma fesses en 4 volées sèches mais beaucoup moins violentes. Nous en resterons ainsi à une dette de 20.— Merci monsieur Comment pourrais-je racheter ma dette ?— J’ai bien une idée mais je ne voudrais pas que tu me déçoives encore— Ludo je t’en prie dis-moi— OK alors rendez vous demain soir à 22H00 ici chez moi vêtue de la tenue que je t’indiquerai par mail d’ici à demain matin.— Très bien Monsieur.— Dans cette attente je crois que je vais te prendre ici face à la baie vitrée ! Effectivement en quelques minutes nous sommes installées sur le tapis épais de son salon, moi à quatre pattes et Ludo agenouillé derrière moi. Il me prend par les hanches et dépose des petits bisous réparateurs sur mes fesses encore endolories. Sa langue glisse vers ma raie et je sais que le spectacle de mon petit abricot ainsi offert ne le laisse pas indifférent. Sa langue se darde sur mon sexe ou déjà ma cyprine s’échappe. Il remonte me parcourant complètement jusqu’à effleurer de sa langue mon petit œillet. Je me cambre un frisson me parcours alors qu’un râle m’échappe.Il se redresse et pointe sa queue dressée à l’entrée de mon sexe glabre. Une poussée légère et il s’enfonce totalement tellement je suis trempée par nos jeux précédents. Il reste ainsi planté le plus loin possible dans mon puits d’amour, avant de lentement commencer un mouvement de va et viens délicieux. C’est si bon il est doué je l’adore. La vitesse augmente tout en tenant fermement par les hanches je suis comme dans un rêve. J’ouvre les yeux suffisamment pour voir la ville brillant de mille feux devant moi juste de l’autre coté de cette vitre ou le reflet de la scène que nous jouons sous des lumières tamisées est des plus érotique.Ludo augmente la cadence et déjà le plaisir monte, je sens cette boule familière se former dans mon ventre prête à exploser dans ma poitrine lorsque je ne pourrais plus rien retenir.Mon chéri est plein de ressources aujourd’hui alors qu’il me pénètre encore et encore il m’assène une magistrale claque sur la fesse droite en jouissant au plus profond de mon vagin, ce qui déclenche en moi le plus dévastateur des orgasmes. Je jouis comme jamais je ne l’avais fait jusqu’ici. C’est si incroyable je m’évanouie … — Justine réponds moi …— …— Chérie je ne voulais pas…— Humm— Ah te revoilà— Waouh c’était si bon … merci Ludo— Mais tu as perdu connaissance, tu m’as fait peur.— Oh pauvre chou ! Je t’adore toi mais cela nous laisse donc à 19 ! Quelques minutes plus tard je suis sous la douche avant de rentrer chez moi. Il me faut aller dormir pour être totalement prête à vivre la soirée que mon chéri semble vouloir me faire vivre demain.
