Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 0 Commentaire

Justine - Baby-sitting de rêve

Chapitre 19

Orgie / Partouze
Un rapide passage sous la douche, après avoir retiré mon bijoux intime, et je saute dans un shorty en dentelle blanche, passe mon jeans blanc taille basse, un chemisier bleu ciel court noué au dessus du nombril rechausse mes escarpins me voila prête. Je redescends vers la terrasse ou les garçons semblent avoir retrouvé leurs esprits.Je file chez Mario.J’arrive en retard et le beau Mario commence à pester. Un tendre baiser sur sa joue me permet d’éteindre son courroux. Il lui faut une bonne heure pour me rendre totalement irrésistible. Une coiffure structurée en remontant mes longs cheveux blonds et laissant quelques mèches s’échapper en un négligé terriblement sexy. Cela me vieillit un peu mais ainsi je suis délicieusement bourgeoise.Je le remercie et il m’indique que ma note se réglera en extra lors de notre soirée … Retour à la maison où les garçons ont disparus. Me voila seule avec une bonne heure devant moi. J’en profite pour mettre un peu d’ordre dans la maison des parents, sachant que la journée de demain risque d’être courte.Il est 20H00 lorsque je finis, je commande un taxi pour 21H30. Le temps pour moi de repasser dans la salle de bain une nouvelle petite douche fraiche en essayant de ne pas mouiller mes cheveux et me voila m’essuyant dans une grande serviette de coton blanc. Le maquillage me prend pas mal de temps mais la belle Chrystelle a été une éducatrice de premier choix en la matière. Je fais ressortir mes yeux clairs en soulignant mes traits et en insistant sur le contour des yeux. Quelques bijoux breloques en or collier et boucles d’oreilles très Bcbg… Vite il me faut m’habiller. D’abord le porte-jarretelle il est sublime en dentelle noire assez large j’adore. Je m’assois sur le bord de mon lit pour passer mes bas, les lisser en prenant soin de positionner la couture dans l’axe, les fixer aux jarretelles. Je chausse mes Louboutin et me lève. Waouh le grand miroir me renvoi l’image d’une starlette de chez Dorcel. Bourgeoise sophistiquée et délicieusement lubrique dans mes dessous noirs. Alors que je viens de me saisir du mini string j’aperçois mon Rosebud posé sur ma commode. J’allais l’oublier, je viens d’échapper à une nouvelle fessée je crois. Je le porte à ma bouche pour l’humidifier et le réchauffer légèrement, avant de le glisser dans mon petit œillet. La leçon donnée par Benji est efficace puisque il trouve sa place instantanément. Sa présence devient même agréable. J’enjambe le petit string en dentelle noire de mes talons hauts, le remonte le long de mes jambes gainées de nylon noir, puis par-dessus les jarretelles de dentelle. Je le positionne haut sur mes hanches en prenant soin de ne pas plier les franges de dentelle de mon porte-jarretelle. Pas mal !Le chemisier est boutonné jusqu’en haut. Mes seins sont totalement visibles et les bouts en érection au contact du voile noir. Je passe la mini jupe, la remonte, elle est très courte. Malgré que j’aie pris soin de tendre les bas le plus hauts possible, même debout le revers plus sombre de ceux-ci est visible au moindre pas. Oserais-je sortir ainsi ? Je sais que Ludo adorerait mais nous devons aller à une soirée et je ne voudrais pas passer pour une …encore que cela pourrait être amusant. J’hésite …Des coups de klaxon dans la rue me tirent de ma rêverie, mon taxi est déjà là. Je passe la petite veste en cuir noire assortie à ma jupe, me saisis de mon sac en cuir noir et me voila quittant la maison.Je fais signe au taxi qui déjà me montre l’heure, il est furieux. Mais lorsque je m’assois à l’arrière et qu’il aperçoit mes jambes voilées de noirs il semble se détendre. Encore une fois Chrystelle avait raison.En route pour la soirée de mon chéri et nouveau Maitre … les derniers mots de sa lettre trottent dans ma tête… Quelles sont donc les surprises que le délicieux Ludo m’aura préparées ? Je lui passe un Texto pour lui indiquer que je suis en route. La réponse me déstabilise complètement.
« Ne montes pas tu as RDV au bar de la Cour des Loges avec Mr Henri, il te reconnaitra. Il te donnera un enveloppe pour moi, sois très gentil avec lui A+ » !
Je lis et relis mais qu’est ce que c’est que ce plan. J’appelle Ludo, mais il ne répond pas je tombe sur sa messagerie. Je n’ose imaginer la suite. J’indique le changement de destination à mon chauffeur qui me souris dans le rétro. Je lui rends son sourire en rougissant lorsque je découvre mes jambes bien trop dévoilées. Nous arrivons devant la Cour des Loges le voiturier s’approche. Je règle le taxi mon cœur s’accélère. Lorsque le voiturier ouvre la porte il ne peut pas ne pas profiter du spectacle.
— Bonsoir Mademoiselle.— Bonsoir …
Je me dirige vers l’entrée je cherche Ludo, mais ne l’aperçois pas. Le hall d’accueil est superbe tout comme le reste de cette magnifique demeure cachée dans la presqu’ile lyonnaise. Les quelques personnes présentent, beaucoup, beaucoup plus âgées que moi ne me quittent pas des yeux. Je me dirige vers le bar où l’ambiance est encore plus feutrée. Les conversations semblent s’arrêtera à mon entrée. Deux tables sont occupées par des couples, une autre par trois hommes d’une quarantaine d’années. Seul au bar un monsieur, la cinquantaine cheveux grisonnants, svelte, dans un superbe costume noir.J’arrive au bar, pose mon petit sac sur le tabouret, n’osant pas m’y percher, risquant de provoquer une émeute. Le Barman me souris.
— Bonsoir Mademoiselle— Bonsoir, — Qu’est ce qui vous ferrez plaisir ?
— … je n’ose répondre ce que je pense … et commande une coupe de champagne rosé.— Bonsoir Justine !
C’est l’un des 3 hommes assis à la table de droite qui m’interpelle.
— Bonsoir Henri ?— En effet, j’ai une enveloppe pour Ludo, vous êtes au courant ?— En effet…— Venez nous rejoindre à notre table
Je me laisse guider vers la table basse où les deux autres hommes ne me lâchent pas des yeux.
Mon arrivée au milieu du troupeau de loup à la Tex Avery est le centre d’intérêt de tous les clients du bar.
— Bonsoir je suis Justine.— Bonsoir Mathieu. Un beau brun plutôt grand avec des yeux très clairs et une peau bronzée dans un costume noir qui n’a rien du prêt-à-porter, et une large chemise blanche.— Bonsoir JP. Un peu plus âgé, je lui donnerai 45/50 ans cheveux poivre et sel, assez grand lui aussi un point svelte.
Je m’assois dans le seul fauteuil bas resté libre. Ma mini instantanément dévoile les revers sombres de mes bas nylons. J’essaye de ne pas trop me laisser aller en arrière sinon je vais provoquer une émeute.
— Justine, Ludo vous a certainement informé qu’il avait une dette envers moi. Et que nous avions convenu ensemble d’un accord me permettant de passer la soirée avec vous et de disposer librement de votre corps, contre remise de cette enveloppe contenant mon abandon de créances. — Il m’a simplement dit que nous avions rendez-vous et que vous me donneriez une enveloppe. Mais où est-il ?— Je ne pense pas qu’il nous rejoigne ce soir.— …— Si vous acceptez de passer la soirée, et la nuit bien évidement, avec moi, et que je peux disposer de vous à ma guise, je vous donnerai l’enveloppe.— Mais qu’entendez-vous sous les termes : disposer librement de votre corps ? Pour qui me prenez-vous ?— Pour une jeune femme libérée qui souhaite dépasser ses limites, et voila une belle occasion. Oh j’allais oublier JP ici présent dispose d’un manoir parfaitement équipé où nous pourrons vous faire découvrir des délices de perversité.— …— Réfléchissez si vous le souhaitais, nous vous laissons cinq minutes le temps pour vous de vous rendre aux toilettes et de revenir me donner votre culotte en signe d’accord vous la poserez ici sur la table aux yeux de tous.
Je dois rougir, mes yeux s’embrument de larmes. Comment Ludo peut-il me faire cela … Je reste une ou deux minutes absente à repenser à tous ce que vient de dire Henri. Lorsque soudain JP m’adresse la parole me sortant de mes pensées.
— Soit vous vous levez rapidement et sortez, rompant ainsi notre pacte avec Ludovic, soit la perte de temps va vous obliger à retirer votre culotte ici !— Mais non… je ne peux pas…— Comme vous voulez il vous reste trop peu de temps pour aller aux toilettes. C’est bon Henri appelle Ludovic pour l’informé du refus de sa jeune bourgeoise, ne perdons pas plus de temps.— Non, non attendez …j’accepte !
Je dois fondre sur mon siège. Je sens ma température s’élever et une boule forcer mon estomac. De mon regard trouble je jette un œil autours de nous. Les conversations ont reprises aux autres tables, le barman et l’homme au bar échanges quelques mots. Je ne peux plus reculer.Je m’approche du bord de mon fauteuil et me soulève légèrement. De mes deux mains je remonte ma jupe en cuir dévoilant à mes trois admirateurs le haut de mes bas tendus par les jarretelles en dentelle noire. Délicatement je passe mes mains sur mes hanches pour me saisir du mini string posé sur mon porte-jarretelle assorti. Un nouveau regard autours de moi et très vite je fais glisser le string l’enjambant de mes talons aiguilles. Je tire sur ma jupe pour la repositionner, toujours avec mon string à la main.Je me rassois le cœur battant, n’osant ouvrir les yeux.
— Etait-ce si difficile que cela ?— … je n’ose répondre un souffle tout au plus m’échappe : Non.— Non Maitre ! il va falloir vous apprendre les bonnes manières Mademoiselle.— Non Maitre. A voix très basse.— Voila qui est mieux mais loin d’être parfait, ne vous a-t-on jamais appris à vous assoir ?— Pourquoi ?— Levez vous petite insolente.
A la table la plus proche les conversations du couple se sont stoppées, et tous les deux me fixent.Je me lève, de nouveau perchée sur mes talons aiguilles, ma mini remontant et découvrant les revers de mes bas de nylon noir.
— Lorsque l’on est une jeune femme bien éduquée l’on prend soin de soulever sa jupe pour s’assoir à même le cuir du fauteuil, lorsque l’on est comme vous Mademoiselle sans culotte.— Vous devriez écouter attentivement Maitre JP Mademoiselle Justine, car au-delà de ses bonnes manières il sait être particulièrement cruel envers celles qui osent lui résister. C’est ainsi que Mathieu prit pour la première fois la parole.
Je remonte ma mini en cuir dévoilant mon PJ et mes bas, mais arrivant à cacher l’absence de culotte en tous les cas de face. Avant de me rassoir sur le cuir froid jambes serrées.
— Vous le voyez ma chère à chacun son rôle dans notre trio. JP est un vrai Maitre dominateur disposant d’une assurance et d’une expérience sans limites. Mathieu est le charme et l’allier qui saura vous combler de tendresse si vous savez vous comporter en femme attentive à son plaisir. Quant à moi j’apprécie les belles choses lorsqu’on les utilise à contre emploi. Ainsi une très belle jeune femme parfaitement éduquée peut elle devenir entre nos mains la plus salope des libertines. Et croyez moi entre nos lèvres il s’agit d’un compliment.— Ecartez vos cuisses, soyez présentable Mademoiselle !
Totalement soumise à la voix de JP j’écarte légèrement mes genoux, en attente de la suite des événements. J’ai la tête baissée et je n’ose regarder les 3 hommes autours de moi. Ils semblent m’ignorer passant le quart d’heure suivant à parler de moi comme si je n’étais pas présente. C’est ainsi que j’apprends que nous allons nous rendre dans le manoir de JP et que j’y serrais dressée… Cette évocation me replonge dans la scène que j’avais vécue quelques jours auparavant avec Chrystelle et Xavier lors d’une soirée ou j’avais été mise aux enchères les yeux bandés.
— ¬Justine donnez moi votre veste.
Comme un automate je déboutonne ma veste de cuir noire et la tends à Henri. Mes seins sont dressés les pointes sont dures sous le fin voile noir totalement transparent.
— Parfait allons y.
JP vient d’ordonner le départ de notre quatuor. La traversée de la salle de Bar et de l’Accueil de ce magnifique hôtel me met en condition. Je suis leur jouet et ils comptent bien en profiter et le faire savoir. A notre sortie le voiturier nous attends avec un large sourire aux cotés d’un 4x4 noir immense. La porte arrière m’est ouverte et je me glisse sur les sièges en cuir fauve. Me reprenant immédiatement je soulève ma mini pour m’assoir fesses nues sur le cuir. Henri se met au volant avec Mathieu à son coté. JP vient s’assoir sur le siège arrière. Il me détaille remarquant la position que j’ai adoptée.
— Elle apprend vite nous allons bien nous amuser. Que diriez vous de lui faire faire le trottoir un moment sur les quais. Je suis sur qu’à 50 euros la pipe elle pourrait nous offrir le meilleur champagne en moins de 30 minutes.— Moi je suis pour. Dit Henri— OK pour moi aussi mais si nous voulons que cela soit rapide il faut qu’elle retire sa jupe. (Mathieu)— Tu as entendu dépêche toi de retirer cette jupe.
Encore une fois je me surprends à tout accepter sans broncher je défais ma jupe et la fais glisser. Prenant soin de la poser sur la lunette arrière. Nous longeons la Soane, le nouveau quartier des confluents sur le site de l’ancien marché de gros sort de terre. Quelques filles sont là à attendre le client pas plus d’une demi-douzaine. La voiture ralentit à l’approche de la patinoire le trottoir est vide et parfaitement éclairé. Henri stoppe la voiture, et JP m’ordonne de sortir.
— Tu demandes ce que tu veux, tu acceptes ce que tu veux mais dans 30 minutes nous voulons que tu nous rejoignes de l’autre coté de la rue avec au moins 300 €…— Mais vous ne pouvez pas … je ne veux pas.— Comme tu veux ma belle si tel est le cas, bonsoir et le pacte est rompu
Je sors hésitante, heureusement aucune autre voiture dans la rue il est à peine 23H30 et la soirée est calme. Le 4X4 d’Henri démarre et s’éloigne. Je longe la palissade qui protège la rue des travaux et me cache dans un recoin. Une voiture passe sans me voir, puis une autre … Les minutes passent je n’ose imaginer la suite si je ne fais pas au moins un client. Le 4x4 noir se gare juste en face et je vois les 3 hommes qui suivent ce que je fais, ou plus exactement ce que je ne fais pas. Une nouvelle voiture approche alors que je me suis un peu approchée. Elle ralentit. Mon cœur accélère. C’est un cabriolet avec deux jeunes hommes blacks. Je recule mais je bute contre le réverbère. Ils s’arrêtent.
— Salut c’est combien ?— … 300 je vous suce tous les deux. Je m’entends répondre cela comme si une autre personne répondait à ma place.— Eh ben pour ce prix la tu le fais sans capote et tu avales au moins ?— …— Laisses tomber dis celui qui est coté passager.— Tu rigoles tu as vu comme elle est gaulée ?— Sur quelle est sublime mais il craint se quartier— Bon les garçons je suis ici suite à un pari, je dois faire la pute pour assumer d’avoir perdue. Pour 300 je vous fais la plus belle pipe de votre vie.— Mais pour ce prix la ma belle on va se faire la totale avec une fille de l’Est
J’ouvre mon chemisier qui ne cachait pas grand-chose.
— Et beau gosse tu vas passer à coter de cela ? Moi je suis une vraie occasionnelle et je vais te faire rêver— Bon OK mais c’est tous les deux et on veut plus qu’une pipe.
Je n’ose répondre NON et pourtant je me sens excitée par la situation moi quasi nue en pleine rue en train de monnayer mes charmes à deux parfaits inconnus. J’ai souvent rêvée que je jouais l’Escort Girl mais cela se passait toujours dans les beaux quartiers et avec des hommes plutôt murs et BCBG.Mes deux blacks perdent patience …
— Bon alors la petite pute 300 pour nous sucer sans capote et éjac buccale. OK ?— OUI !— Ok montes— Non ici dans le coin derrière. Je leur montre le petit renforcement qui permet en journée d’accéder à un point de vue sur le nouveau quartier.— OK
Le cabriolet escalade le petit trottoir et mes deux blacks en sortent ils sont immenses. Style rappeurs avec teeshirts moulant sur torses hyper musclés style culturistes, jeans noirs et souliers vernis. Ils sont tous les deux rasés ce qui ne me permet pas de leur donner un âge précis et portes de grosses chaines autours du cou et des bagues larges.Je leur fait monter deux marches et entreprends de sortir leurs queues. Elles sont impressionnantes, au moins 25 centimètres chacune. Même dans ma bouche je ne suis pas sure de pouvoir …
— On a dit 300 on paye avant mes chéris— Ben dis donc perds par le nord la poulette
Ils me tendent les 3 billets que je glisse sous mon porte-jarretelles en dentelle. Je m’accroupie face à eux et me saisis de leurs sexes épais.Je commence à les caresser lentement en jouant des mes doigts aux ongles longs sur toute la longueur. Pas facile de branler deux queues en même temps surtout lorsqu’elles ont cette taille là. Ils bandent déjà fort et veulent en avoir pour leur argent. L’un d’eux me présente son sexe bandé à sucer mes lèvres s’ouvrent ma langue pointe un bisou au bout avant de le prendre lentement en fixant l’autre droit dans les yeux. Je suis toute excitée je mouille de cette situation. Une voiture passe sans nous voir. Je suce lentement en essayant d’en prendre le plus possible.
— Putain elle est bonne quelle pute— Trop bonne elle va me prendre en entier
Je change de sexe. Celui-ci est encore plus large. Je continue de branler le premier il convient de ne pas le laisser retomber. Le second semble déjà bien excité il râle de plaisir. Je le suce de plus en plus vite. Mais il se retire pour que je puisse rependre son copain. Je le suce il n’a pas débandé il est parfait je le prends loin venant buter dans ses poils.
— Oh la salope elle me prend en entier, elle va me vider
Un haut le cœur me fait le ressortir totalement couvert de salive je le reprends loin lentement jusqu’à m’étouffer. Il apprécie il râle de plaisir me plaque la tête sur sa queue. Loin très loin je vais vomir… il jouit de longs jets chaud dans le fond de ma gorge. Je déglutis je ne peux rien faire d’autre j’ai les larmes aux yeux je suis dans un état second. Son camarade veut la place. Le premier vient juste de se retirer que déjà son sexe me prends la bouche me forçant la gorge pour que je le prenne en entier. Mais il est trop long je le branle en le gardant dans ma bouche. Il ne lui faut que quelques minutes pour jouir à son tour m’inondant la bouche de son sperme épais. Je bois à la source ne laissant échapper aucune goutte de se nectar. Je me relève leur souris.
— Waouh la petite bourgeoise elle sait y faire— Tu m’étonnes on vient de se faire sucer par la nouvelle Clara Morgane !— Merci les garçons.
Je leur tourne le dos ramasse mon chemisier, ils me claquent les fesses tous les deux. Je travers les voies. Un tramway approche en faisant tinter sa cloche. Je suis de l’autre coté JP baisse sa vitre.
— Donne le fric petite pute
Je lui tends les 300 euros il déverrouille la porte je m’assois je suis trempée.
Le contact du cuir froid sous mes fesses me ramène à la réalité de ce que je viens de faire. Je viens de me faire payer pour sucer deux parfaits inconnus dans la rue et ceci quasiment nue. J’ai un frisson. JP s’en rend compte.
— Repasses ta jupe tu vas aller nous acheter du champagne.
Je me retourne pour me saisir de ma mini en cuir restée sur la lunette arrière de la voiture. L’enfiler n’est pas des plus simple d’abord passer mes talons aiguilles sans l’accrocher, puis la remonter en me soulevant légèrement pour enfin pourvoir remonter le zip. Je boutonne mon chemisier même si celui-ci ne cache pas grand-chose.Henri nous conduit dans la ville. Assise sur le cuir fauve de ce magnifique 4x4 de luxe, entourée des trois hommes je reprends confiance. Le prochain jeu qui m’est proposé, peut être très excitant.
— Allons à la Gare de Part Dieu, il y a une boutique dans le hall qui est ouverte jusqu’à une heure. — Très bien JP, nous y serons dans 3 minutes— Chrystelle, ma belle vous irez nous chercher une bouteille de Roederer Cristal. Il me tend deux billets de 100 €— Très bien Maitre JP.— Parfaite vous me plaisait finalement, j’avais peur que vous ne soyez qu’une petite bourgeoise sans imagination, et finalement peu prête à assumer vos fantasmes.— …
Le véhicule s’immobilise le long du trottoir devant la gare. Je descends et entre dans le hall. Pas grand monde à cette heure la. Mes talons claquent sur le sol. Un SDF couché sur un carton ne semble même pas me voir accroché à sa bouteille de rouge les yeux dans le vide. Je croise deux jeunes qui eux n’en crois pas leurs yeux. Le moins timide m’interpelle.
— Waouh c’est combien ?— Trop cher pour toi beau brun !
J’entre dans la boutique, le jeune homme derrière le comptoir ne me quitte pas des yeux. Certainement un étudiant qui finance ses études en travaillant la nuit ici. Je cherche le rayon des vins et spiritueux. Pas très difficile. Ce qui l’est moins c’est que les précieux breuvages sont sous clé derrière une porte vitrée.Je m’approche du jeune homme.
— Bonsoir, je voudrais une bouteille de Roederer Cristal.— Bonsoir mademoiselle. Oui bien sur par contre il vous faut la payer avant. C’est 196,00 €— Pas de problème je lui tends les deux billets— Et voila 4, venez avec moi je vais vous donner cela.
Nous nous dirigeons ensemble vers la petite cave. Mon charmant jeune homme ouvre avec la clé et me tend une bouteille bien fraiche.
— Je peux avoir un petit sac elle est si fraiche— Oh oui bien sur
Me voila quittant la boutique avec mon petit sac en papier. Je traverse de nouveau le hall désert et sort. La voiture est toujours là, tout comme les deux jeunes hommes qui semblent attendre un taxi. Je monte à l’arrière de la voiture en tendant à JP le sac. Les deux jeunes hommes ne me quittent pas des yeux.
— Vous oubliez vite petite sotte. Sortez immédiatement de cette voiture et avant de venir vous assoir à mes cotés vous allez retirer votre jupe sur le trottoir. Comme cela je suis sur que vous n’oublierez pas à l’avenir comment il convient de s’assoir en notre présence.— Pardon Maitre
Me voila ressortant de la voiture. Inutile de préciser que les deux jeunes hommes sont ravis de me revoir. Debout à coté de la voiture à moins de 10 mètres d’eux me voilà hésitante à exécuter l’ordre de JP. La vitre se baisse, une voix m’interpelle.
— Cette hésitation coupable Mademoiselle, vous vaudra une correction à notre arrivée.
Totalement sous l’emprise de cette voix, du charisme de cet homme, je ne réfléchie plus. J’oublie ma condition de jeune fille parfaitement éduquée. Debout sur ce trottoir devant la gare, je dégrafe ma jupe la fait glisser dévoilant à mes deux voyeurs mes dessous sexy et l’absence de culotte. J’enjambe des mes talons aiguilles ma jupe, avant d’ouvrir la porte, j’entends.
— Putain trop bonne, t’as vu ça elle a même pas de culotte.
Je monte totalement excitée par la situation. Je m’assois sur le cuir froid. Lentement la voiture s’élance dans un bruit feutré. Mon regard est fixe, dans le vague. Je repense à ce que je viens de vivre au cours des 2 dernières heures. Mon habillage chez moi dans la tenue que m’avait imposée Ludo. Notre rendez-vous annulé. La rencontre avec Monsieur Henri et ses deux amis. Leur proposition indécente. Ma soumission naissante à leurs volontés. La séance de racolage et les deux fellations administrées à de parfaits inconnus. Et enfin le nouveau défi lancé par JP me demandant d’aller acheter cette bouteille et ensuite de me déshabiller devant la gare. Mais surtout ce qui me trouble le plus c’est l’annonce de la correction programmée à notre arrivée…
Diffuse en direct !
Regarder son live