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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 6

Inceste
Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Ch6. Nous et Rex, le chien des cousins.

Cette partie de l’histoire est à la limite de l’irracontable tellement elle est immorale, mais ce souvenir est tellement excitant que je ne peux m’empêcher de vous le raconter.Putain, j’en bande déjà !
Nous avions donc la garde de Rex, le chien de nos cousins qui devaient partir en voyage avec leurs parents ; ils ne pouvaient pas le laisser seul. Par un bel après-midi d’août, alors que nous étions Justine et moi en train de nous faire bronzer après un bon bain, Rex est venu nous rendre visite. Cet animal très joueur avait commencé par nous lécher les mains, le visage, et il poussait nos mains avec sa truffe. Son but : avoir des caresses que nous lui donnions à profusion.
Nous étions allongés sur nos transats, nus comme d’habitude, à profiter du soleil afin d’entretenir notre bronzage. C’est alors que le chien s’est assis à nos pieds, regardant alternativement les miens et ceux de ma sœur ; un coup de langue par-ci, un coup de langue par-là, ce qui fit pousser un cri à ma sœur, puis il jeta son dévolu sur les miens. Il se mit à me les lécher à tour de rôle, passant sa langue avec ardeur entre chaque orteil et sous la plante des pieds. Trouvant cela très agréable, je décidai de me laisser faire tout en le surveillant ; des fois qu’il lui prenne l’envie de me croquer un orteil...
À l’aide de ces incisives, il commença à gratter la corne que j’avais à l’arrière des talons, la mordillait, la lissait avec sa langue. C’était très étrange, mais toutefois très agréable. Au bout d’un long moment, il cessa ; je pus alors constater l’efficacité de cette pédicure : j’avais les orteils et les talons extrêmement doux. Plus de corne, plus de peaux mortes. Mieux qu’une pro, et en plus gratis !
Visiblement ravi de son travail, l’animal vint chercher des caresses comme récompense ; je lui en donnai encore et encore. Par contre, il venait toujours nous renifler : moi, les couilles et le sexe, et Justine, la chatte ; je ne savais pas si c’est une habitude chez les chiens, mais c’est gênant. J’ai appris par la suite que c’est naturel : c’est pour nous identifier en quelque sorte, juste pour savoir qui il faut sauter. Une femelle ? Non, un mâle... Zut !
Après l’avoir chassé, il partit à l’ombre sous un arbre et je me suis assoupi. Je fus réveillé par les gémissements de Justine ; je jetai un coup d’œil dans sa direction et constatai que le chien était en train de laper ardemment la minette de ma sœur. Celle-ci, à plat-ventre sur le transat, appréciait visiblement les coups de langue de Rex dont le sexe grandissait à vue d’œil. Justine gémissait de plus en plus ; elle écarta les cuisses. Très excité, le chien continua et Justine eut un orgasme. Rex commença alors à grimper sur le transat, prêt à empaler ma sœur. C’est à ce moment-là que j’administrai une claque magistrale sur les fesses de ma coquine de sœur en criant sur la bête qui partit se cacher.
— Justine ! Tu es complètement folle !— Pardon... je croyais que c’était toi, balbutia-t-elle.— Tu me prends pour un imbécile ou quoi ? Tu n’as pas fait la différence entre ma langue et la sienne ? Merci pour moi...
S’apercevant que je bandais comme un âne, elle me regarda droit dans les yeux.

— Au moins toi, visiblement, ça à l’air de te plaire ! Tu aurais pu me laisser continuer au moins.— Et si les parents étaient arrivés, on aurait fait comment ?
Elle ne répondit rien et se mit à bouder. Elle était mal à l’aise ; sans doute se rendait-elle compte qu’elle était en train de faire une connerie, ou bien réfléchissait-elle à une stratégie pour arriver à ses fins.
Quand nos parents rentrèrent, nous n’étions pas très à l’aise ; à la question de savoir comment s’était passée notre journée, Justine eut un moment d’hésitation et finit par répondre un « très bien » hésitant. Papa de dit rien et, prétextant un coup de téléphone à l’usine, il s’isola dans son bureau. Il en ressortit quelques instants plus tard, se dirigea vers nous, nous regarda dans les yeux. Son regard était sévère ; il me fit froid dans le dos. J’eus un mauvais pressentiment : et si la maison était piégée, remplies de caméras ? Pour un directeur travaillant dans une usine de télésurveillance, cela pourrait paraître logique d’avoir fait installer des caméras. Il rompit le silence :
— Sonia, nos enfants ont besoin d’apprendre les bonnes manières ; allons nous préparer afin de nous occuper d’eux comme il se doit.
Ils partirent en direction du garage, nous laissant seuls, plantés nus dans le salon, ne sachant que faire. Je fis part de mon doute à Justine.
— Tu imagines ? Si papa a fait installer des caméras...— Non, pas ça...
Son visage venait de changer ; il reflétait la crainte et l’angoisse.Inquiets, nous nous sommes mis à scruter du regard la pièce ; tous les coins et recoins furent inspectés, mais rien : pas de trace de caméra. Nous étions à moitié rassurés et sereins. C’est alors que nos parents firent leur apparition : papa en string de cuir noir, maman avec une combinaison en latex noire qui lui moulait le corps, laissant voir tous les détails de son anatomie. Sa poitrine généreuse débordait d’un soutien-gorge hyper serré, ses tétons à la limite de s’évader ; sous la ceinture, je voyais la forme de sa fente. Aux pieds, elle portait des escarpins à talon très hauts, ce qui lui donnait un air de dominatrice.
Ils s’approchèrent, l’air grave. Avec un regard accusateur, maman, nous ordonna :
— Suivez-nous, et pas un mot !
Le ton était froid, puissant ; nous les suivîmes sans broncher. Ça y était, nous allions être dominés. Ils nous l’avaient dit ; nous allons être leurs jouets. Ces tenues et ce ton inquisiteur m’excitaient ; j’en bandais déjà. Justine avait l’air d’être aussi excitée que moi. Elle me fit un clin d’œil complice et passa une langue gourmande sur ses lèvres, ce qui en disait long sur son état.
Nous arrivâmes devant l’atelier transformé en donjon. Papa ouvrit la porte ; je pouvais admirer ses fesses rondes, musclées, puissantes. J’eus envie de les toucher. «Oh, putain... Je suis en train de devenir pédé ! » Cette pensée me fit plaisir quelque part. Maman nous ordonna :
— Entrez là-dedans et mettez-vous là devant l’établi, mains posées à plat dessus !
Nous nous exécutâmes.
— Regardez là ! hurla-t-elle.
Papa était en train d’ouvrir les portes d’un placard situé en hauteur que nous n’avions pas encore découvert. À l’intérieur, un écran allumé, une image : Justine et moi au bord de la piscine avec Rex. Je sentis le rouge me monter aux oreilles, j’étais mal ; Justine avait les yeux rouges. Le monde s’effondrait : nous venions de nous faire piquer comme des gamins.
Sur l’écran, les images défilaient aussi nettes qu’à la télé : moi et Rex, et la séance de pédicure ; puis Justine et Rex qui la léchait. Elle gesticulait, était secouée (par un orgasme certainement), puis le chien qui commençait à lui grimper dessus, et enfin moi qui me levais et lui collais une claque sur le cul. Papa éteignit l’écran.
— Alors, il semble que vous avez passés une bonne journée ! Vous êtes satisfaits de vous ? Eh bien, c’est à notre tour maintenant !— Justine, tu n’as pas honte de te faire lécher par le chien de tes cousins ? Et vous avez oublié que vous ne deviez rien faire sans notre accord.
Justine, tremblante, tenta une négociation :
— Maman, j’ai cru que...— Tu as cru quoi ? Que tu allais te faire sauter par ce clebs ? Vous allez le payer, tous les deux : préparez-vous à prendre la raclée de votre vie !— Mais, maman, je n’ai rien fait de mal : j’empêchais Rex de grimper sur elle, repris-je pour tenter de me soustraire à la punition annoncée.— Je ne veux pas le savoir ; tu seras aussi puni : « Un pour le tort, un pour la raison. » comme disait ma mère. Vous n’aurez qu’à vous arranger après. Par contre, montre-moi tes pieds.
Je levai mes pieds en arrière, un peu comme un cheval que l’on va ferrer ; ma mère me les palpa, caressa mes talons.
— Hum, ce n’est pas mal comme pédicure. Qu’en penses-tu, Éric ?
Mon père, dont la bite dépassait de son string, vint constater et affirma :
— C’est vrai que c’est pas mal du tout ; il faudra qu’on essaye.— Et toi, Justine, ce broute-minou, ça t’a plu ? Petite dévergondée ! Tu sais comment on appelle une fille comme toi ? Une salope ! Tu comprends ça ? hurla maman en lui envoyant une magistrale claque sur les fesses.
Sous le choc, Justine se retrouva plaquée contre l’établi. Après une hésitation, elle répondit un « Oui, maman. » timide, à la limite des larmes.
— Eh bien, c’est pire que ce que je pensais. Êtes-vous prêts à assumer votre désobéissance et vos bêtises ?
Nous lui répondons un « Oui, maman. » timide.
— Très bien. Éric, ils vont goûter aux baguettes ; toi, tu t’occupe de Jérôme, et moi de cette dévergondée.
Mon père tendit une baguette à maman ; elle la saisit, et d’un coup sec du poignet la fit siffler dans l’air. Cela m’a rappelé la petite séance où Justine m’avait attaché à un arbre et fouetté dans les bois ; ce souvenir me fit bander encore plus, d’autant plus que papa, la bite quasiment hors du string et la baguette à la main, la faisait siffler dans l’air. J’ai pensé que ça allait faire sûrement mal, et je me préparais à subir mon châtiment, ô combien délicieux...
Le premier coup fut terrible ! J’ai serré les dents ; Justine a crié. Les coups se sont succédés à la cadence d’un métronome. Je ne sais pas combien j’en ai reçus, puis ils cessèrent. Mon cul était en feu.
— Relevez-vous et mettez-vous là, dos au mur ! nous ordonna maman.
Nous nous sommes mis « là », dos au mur. Ils nous ont attachés, bras en l’air, les jambes maintenues écartées, les chevilles attachées au sol. Papa ralluma l’écran ; des images de nous se sont remises à défiler.
— Nous allons boire un coup à votre santé. Vous, vous pouvez vous admirer. À tout à l’heure, et bon film !
Ils sortirent et fermèrent la porte à clé, nous laissant là, attachés, à regarder cet écran. Nous avons compris que cela faisait un bon moment que la maison était sous vidéosurveillance. Nous nous sommes vus dans la salle de bain, l’épilation, à la piscine, dans toute la maison, et même dans nos chambres où nous faisions l’amour. Puis arriva la scène avec Rex. J’interrogeai Justine :
— Dis-moi, Justine, tu aurais laissé Rex te sauter ?
Elle tourna la tête, me regarda droit dans les yeux :
— Oui, espèce de con : j’étais au bord de l’orgasme quand tu m’as foutu une claque sur le cul. Et si tu veux savoir, je le ferai avant qu’il ne parte, ce chien, mais pas à la maison. Et tu n’auras pas intérêt à te mettre en travers, sinon on arrête tout.
— Putain, et c’est de ma faute maintenant !— T’as pas encore compris que je veux du sexe ? Et sous toutes ses formes ; tu le comprends, ça ? Maintenant, si tu ne veux plus le faire, libre à toi ; moi, je continue. Et je vais te dire que les cousins « prout-prout ma chère », je vais me les faire aussi.— Tu es vraiment une...— Salope ? Je sais, maman vient de me le dire. Et toi, tu fais quoi ?— Moi ? Je marche avec toi. On se l’est toujours dit, non ?— Tu as raison ; t’es un amour, frérot.
Notre conversation s’arrêta là : la porte venait de s’ouvrir. Maman entra, entièrement nue.
— Alors, mes petits chats, mal aux fesses ? J’espère que vous avez apprécié... — Oui, maman, c’était très bien ; j’ai même failli avoir...— Un orgasme, Justine ?— Oui, maman. Est-ce que je peux me masturber ? S’il te plaît...— Non. Soyez patients. Tout à l’heure, peut-être, si vous êtes sages.
Sur ces mots, elle nous détacha et nous conduisit dans le salon. Sur un canapé, papa attendait, entièrement nu, la bite à la verticale. Maman s’exclama :
— Bien. Nous allons passer à votre éducation sexuelle.
Elle s’assit sur le canapé à côté de papa et poursuivit :
—  Pour nous remercier de notre gentillesse, Jérôme, tu vas sucer ton père ; toi, Justine, viens ici.
Maman s’installa sur le canapé, jambes grandes ouvertes ; elle attrapa Justine par les cheveux et lui fourra la tête dans son entrejambe. À genoux sur le sol, Justine ferma les yeux et lécha, suça ; maman gémissait déjà sous ses caresses.
Quant à moi, c’était plus compliqué : je devais sucer mon père. N’ayant jamais fait cela, j’étais à la fois gêné par la situation et indécis sur la façon de procéder. Je me suis agenouillé ; il m’a pris la tête entre ses mains puissantes et m’a empalé la bouche sur son énorme bite. Je me remémorai comment Justine s’y prenait et je fis pareil. Pour la première fois de ma vie je taillais une pipe à un mec ; et à mon père, de surcroît !
Son gland était doux, chaud et humide ; un liquide au goût étrange suintait par l’orifice de sa verge. J’aspirais, léchais ce gland puis je me mis à imaginer que mon père allait peut-être m’enculer ; mon érection s’en trouva renforcée. J’avais très envie de me branler, mais je ne le pouvais pas : c’était interdit. Mon père déclara :
— Tu ne te débrouilles pas mal ; tu as du déjà faire ça, n’est-ce pas ? Justine, à ton tour : montre-moi que tu es plus douée que ton frère ; et toi, occupe-toi de ta mère : il paraît que tu es aussi très doué avec les femmes.
Nous permutons de place. Justine s’assit à califourchon sur les genoux de papa, prit son membre entre ses mains et entama une masturbation lente en lui caressant le torse, comme elle me le fait souvent, puis elle glissa sur ses cuisses, se releva et s’empala sur la bite tendue et baveuse dans un râle de plaisir.
Maman, les fesses sur le bord du canapé, m’offrait sa vulve dégoulinante de son jus. Je ne pus m’empêcher d’aller boire son nectar avant de l’empaler et de la besogner jusqu’à ce que des râles de plaisir envahissent sa gorge. Justine, qui avait pris le phallus de papa en bouche, pompait, pompait tout comme les Shadocks ! Elle pompa tellement qu’un flot de sperme lui remplit la bouche, dégoulinant le long de la verge puis sur les couilles et les cuisses de papa. Elle se mit à lécher et avalait avec délectation ce précieux breuvage ; moi, j’étais au bord de l’orgasme. C’est là que maman nous dit :
— Mettez vous à quatre pattes, cul contre cul ; je reviens.
Interrogatifs, nous nous exécutâmes. Maman partit vers la cuisine et revint immédiatement, tenant au-dessus de sa tête comme un trophée un double dong. Pour avoir regardé sur Internet, je sus tout de suite à quoi servait ce genre d’engin : nous allions tous deux nous prendre ce double gode dans le cul !
Maman enduisit l’engin d’une espèce de gélatine, nous demanda de nous écarter et, guidant les extrémités du monstre vers notre trou, elle nous dit :
— Mes chéris, le jeu est simple : vous vous reculez, le premier qui aura réussi à enfoncer le gode dans le cul de l’autre le plus loin possible gagnera la manche. La partie se joue en deux manches. À vous. Reculez !
Je reculai. Je sentis le faux gland m’entrer dans le cul : ça faisait mal ! Je poussai encore : ça continua à entrer. Justine rugit et poussa aussi : ça entrait ! Je contractai mon cul et poussai plus fort. J’avais compris : pour moi, ça ne rentrait plus. Justine rugit encore, et alors que nos fesses se touchaient, maman cria « Stop ! »
Elle passa sa main entre nos culs, saisit l’engin et nous dit de le faire sortir de nous. Quel soulagement lorsqu’il est ressorti... Bandant comme un diable, je pensai « Oh putain ! Que c’était bien... Aucun doute : je suis bi. »
— Jérôme, un ; Justine, zéro ! Deuxième manche. Et bougez un peu ; vous savez comment faire pour baiser ? Alors faites pareil. Du mouvement, ou c’est moi qui vais le faire bouger ! déclara maman.
Elle nous remit l’objet entre les fesses. À présent, ça rentrait plus facilement et nous voilà repartis dans notre joute pénétrante. Nous bougions dans un mouvement de va-et-vient ; plus on bougeait, plus il me rentrait dans le cul. Je sentais ma bite suinter de jus. Et ça rentrait encore ! Ma sœur se bagarrait, elle gémissait. Elle voulait gagner pour recommencer encore une fois, c’est sûr : bonne idée ! Je me relâchai ; le gode entra en moi, loin. Nos fesses se touchèrent.
— Stop !
Maman saisit l’engin ; on se retira.
— Justine, un ; Jérôme, zéro. En position pour la belle !
Et nous voici repartis pour la dernière manche de cette joute. Là, c’était un véritable festival. On bougeait, on se limait le cul. Justine jouit en criant presque ; quant à moi, je voulais éjaculer. Je me suis branlé jusqu’à ce que mon sperme gicle sur le sol. Nos fesses se sont enfin touchées ; maman a mesuré : j’avais gagné.
J’avais gagné quoi ?
Papa nous dit que nous avions le droit de baiser, mais dans ma chambre ; ce soir, ils en avaient assez vu. Nous sommes montés, et ce fut un véritable festival : on s’est enculés avec le gode, je l’ai baisée, sucée, elle m’a branlé, je l’ai enculée avec ma bite. À cause du gode, nous avions le trou du cul béant ; nous avons même essayé de nous rentrer la main dedans, et on a joui tous les deux plusieurs fois.
Il fallait se reposer car le lendemain les cousins allaient arriver.
Moi, je fais une pause. Et vous ?

[À suivre]
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