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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 11

Inceste
Ch11. Drôles de jeux.

Papa remplit les flûtes, leva son verre ; nous bûmes une gorgée de champagne, et il reprit la conversation en s’adressant à Coco et Doudou :
— Alors, ça vous tenterait de jouer avec nous ?— Peut-être n’ont-ils pas envie, tu sais ; et pour un début, c’est déjà pas mal, non ? dis-je.— Ah, mais si vous avez d’autres trucs à nous montrer, continua Colombe, on peut jouer encore un peu, d’autant que normalement demain papa vient nous chercher et qu’après la fête sera finie.— Très bien. Alors je vais vous montrer quelque chose de très intéressant, reprit mon père.
Je voyais que les cousins mouraient d’envie de savoir ; je m’interrogeais et espérais que papa ne leur montrerait pas les vidéos. Il fallait que j’en aie le cœur net.
— Papa, que veux-tu leur montrer ? Un film ?— Non, mon garçon, tu ne t’en doutes pas ? Viens, je vais te donner un indice.
Je m’approchai de lui. Il me chuchota :
— Nous pourrions leur montrer l’atelier.
L’idée était géniale : transformer mes cousins en esclaves ; je me voyais déjà leur fouetter le cul, suspendus aux anneaux du plafond. Ah oui, quelle belle idée ! Je repris la parole pour les motiver :
— Papa a raison ; il a un truc terrible à vous montrer. Je vous assure que vous allez aimer ! Allez, laissez-vous tenter.— Et c’est quoi, comme genre de truc terrible ? Parce qu’avec vous, il faut s’attendre à tout.— Surprise... !
— Bon, OK. Doudou, t’es OK ? 
Doudou acquiesça.
— Alors on y va, conclut Coco.— Parfait. Alors suivez-moi tous les quatre, ordonna papa.
Nous nous levâmes ; Justine et moi emboîtâmes le pas de nos cousins. Il ne manquait plus qu’une corde pour nous relier l’un à l’autre, et on aurait dit des esclaves allant aux travaux forcés ; maman fermait la marche. Je commençais à être sérieusement excité. Papa nous arrêta devant la porte de l’atelier, l’ouvrit et nous fit entrer dans la pièce ; nos cousins, le regard interrogatif, ne disaient rien. Puis il nous ordonna :
— Placez-vous là, tous les quatre face au mur. Fermez les yeux, et mains à plat sur le mur.
Nous nous exécutâmes. J’entendis des bruits de serrures, puis un masque me couvrit les yeux et des bracelets m’enserrèrent les poignets. Je commençais à être excité ; mon sexe gonflait doucement. Papa rompit le silence :
— Vous aimez les jeux ? Alors vous allez pouvoir jouer ! Prenez ces deux-là et attachez-les là et comme ça.
Je compris rapidement que nous n’étions pas tous dans la même situation et le sens du « là et comme ça » quand je sentis deux mains masculines me saisir par les poignets. Le claquement sec des mousquetons et le cliquetis du treuil m’ont vite indiqué que le cochon pendu au plafond, ce serait moi.
Mes bras s’élevèrent tout seuls, mus par le treuil ; je me retrouvai ainsi suspendu au plafond. Je devais ressembler à un vulgaire cochon dans la chambre froide du charcutier ; imaginez le côté humiliant de la situation, le mec pendu par les bras et la bite à l’équerre devant tout le monde !
Cette position s’arrangea sensiblement quand je sentis un corps féminin se coller à moi ; je reconnus les tétons de Justine caresser les miens. Elle devait être dans la même posture que moi. Dans la pièce, pas un mot ; seulement quelques bruits de portes, de tiroirs, de tissu. En tendant l’oreille, je finis par percevoir quelques chuchotements incompréhensibles.
— Que vont-ils nous faire ? ai-je chuchoté à Justine.— Je n’en sais rien, mais ça m’excite terriblement. Pas toi ?
Nul besoin de lui répondre : j’avais la queue raide, coincée entre ses jambes, et elle prenait un malin plaisir à la serrer très fort et même à me la masturber par un mouvement du bassin. Une, puis deux mains me caressèrent les fesses et le dos ; je reconnus les mains de maman, douce et expertes. Brutalement elles s’abattirent sur mon humble postérieur avec un telle force que je fus plaqué contre Justine. Maman se mit à crier presque :
— Alors, bande de petits vicieux, vous vous amusez avec vos cousins ? Ce n’est pas bien, ça ! Ils étaient chastes et vertueux à leur arrivée, et vous leur avez montré et fait des choses ignobles. Vous allez être punis pour vos méfaits !
Chaque mot était appuyé par une claque sur chacune de mes fesses qui commençaient à chauffer doucement. Je serrais les dents et encaissais, mais maman n’avait pas vraiment tort. Les claques cessèrent en même temps que la phrase.Après un court silence, maman reprit :
— Coco, enlève leur bandeau et libère ta cousine.
Une fois la vue retrouvée, je pus constater que mes cousins étaient libres de tout mouvement et se délectaient de la situation. Coco se dirigea vers Justine, la détacha, puis elles bondirent telle deux panthères sur Charly et lui passèrent des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Le pauvre cousin se retrouva attaché à l’établi, courbé en deux sur le ventre et bâillonné. La surprise était totale, et je commençais à avoir des inquiétudes sur le sort qu’elles pouvaient me réserver.
Je vis alors ma sœur et ma cousine s’approcher de moi, un sourire aux lèvres et l’œil coquin. En un instant, je perdis l’usage de la vue et de la parole. Elles me détachèrent pour me conduire vers ce que j’ai reconnu être l’établi. J’y fus installé bien évidemment dans la même position que mon cousin : le trou du cul bien exposé et la bite sous le plateau de l’établi. J’ai attendu pendant je ne sais combien de temps. Je n’entendais que des bruits de portes et quelques chuchotements, puis on nous rendit la vue. Je découvris mes parents debout, les bras croisés dans un coin de la pièce et habillés de cuir. Ils portaient un string, et maman avait en plus un soutien-gorge en cuir noir également. Mais ce qui m’a fait flipper le plus, c’était les deux filles, un large sourire de satisfaction aux lèvres et les yeux remplis de gourmandise exhibant un énorme gode-ceinture à la taille ; je compris ce qui allait se passer.
Maman donna les ordres :
— Mes petites chéries, comme ces deux mâles en rut aiment enculer les filles, vous allez me faire le plaisir de : primo, me les exciter ; secundo, leur enduire abondamment le trou de balle de lubrifiant ; et tertio, de me les sodomiser avec ce que vous avez à la taille. Nous verrons bien s’ils apprécient cela. Les garçons, rien à redire ?
Un hochement de tête négatif fut notre seul moyen de répondre.Les filles commencèrent à nous préparer ; j’aurais donné cher pour être à leur place ! Je me sentais humilié : se faire enculer par les filles et devant mes parents était la pire chose qui pouvait nous arriver ; mais comme nous avions tout accepté pour ce jeu, il n’y avait plus qu’à assumer.
Je commençais à fondre littéralement sous les caresses de Coco qui avait été désignée pour s’occuper de moi quand elle me souffla à l’oreille sur un ton vengeur :
— Tu t’es bien amusé avec moi, mon salaud ; maintenant, c’est à mon tour : je vais t’exploser le trou du cul !
J’entendis aussi la voix de Justine s’adresser au cousin :
— Alors, mon Doudou, tu aimes te faire sodomiser, hein ? Dis-moi que tu adores ça... Tu vas être servi, mon cochon !
Le ton qu’elles employaient m’avait glacé le sang, mais excité encore plus : j’avais la queue raide et dure comme un bâton. Elle se positionna de façon à ce que je la voie bien enfiler une paire de gants en latex, prendre un tube de gel, en remplir le creux de sa main puis disparaître derrière moi. Elle appliqua la pommade sur mon anus, massa, introduisit un puis deux doigts ; je me décontractai le plus possible car je savais que cela ferait sûrement mal au cul, vu la taille de l’engin qu’elle portait à la ceinture.
Le premier doigt ne fut qu’une formalité. Le second, pas mal. Le troisième, eh oui ! Tout compte fait, je trouvais cela pas si mal ; par contre, quand elle commença à en faire pénétrer un quatrième et à les faire tourner dans mon rectum, c’était tout de suite moins bien. Mais bon, il fallait que je m’y fasse.
Maman vint la rejoindre. « Oh, putain ! Elles ne vont pas s’y mettre à deux... » pensai-je ; mais personne m’entendait. Du coup, j’étais vraiment inquiet. Elle força encore, très fort. Ce n’était pas possible que maman vienne l’aider... Je commençais à transpirer sérieusement.
Coco retira sa main. Ouf ! Ça faisait du bien, mais pas pour longtemps : je sentis la forme ronde du gland en caoutchouc venir me chatouiller l’anus, et là je savais que j’allais moins rigoler. J’avais un peu peur, mais l’excitation couvrait largement mes craintes. Elle me saisit par la taille – elle avait enlevé les gants – et me dit :
— Ça va aller, mon chaton. Décontracte-toi ; ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Sois un homme ; tu vas voir ce que c’est que se faire enculer par un truc trop gros !
Je sentis la poussée du mandrin forcer mon sphincter. Je bandais déjà moins et transpirais à grosses gouttes. Je serrai les dents, mais je commençais à y prendre du plaisir. Je jetai un coup d’œil en direction de mon cousin : il avait l’air d’être dans le même état que moi, tendu et grimaçant.
Coco me tenait par le hanches ; le gode forçait de plus en plus. Vu la pression, maman devait la pousser. Mon anus battit en retraite et laissa entrer l’objet. Transpirant encore plus, je criai dans mon bâillon « Oh, putain ! Ça fait mal ! » Je râlais, jurais, et je rebandais. Le braquemart s’enfonçait en moi, loin, très loin, jusqu’à ce que je sente le pubis de Coco contre mes fesses puis il recula et revint. Le mouvement de va-et-vient s’accéléra ; une main me saisit le sexe pour me branler avec force. Je haletais, j’avais mal au cul ! Je ne savais pas où j’étais : si, dans les nuages. J’allais m’évanouir... Je voulais savourer ce moment. Le va-et-vient continuait de plus belle ; la branlette aussi. Je sentais ma semence prête à jaillir ; j’eus beau me retenir et me contracter le plus possible, je fus brutalement envahi par un énorme orgasme et j’éjaculai. Je n’avais encore jamais connu pareil plaisir : c’était puissant, à la limite douloureux. Mais alors, quelle jouissance !
Mes dominatrices – on peut les appeler ça comme ça – ne lâchèrent pas prise. Comme j’étais toujours pilonné et masturbé, mon plaisir se transforma en véritable supplice. Visiblement, elles n’avaient pas l’intention de s’arrêter là. J’entendis un bruit sec de claques : certainement Charly qui se faisait rougir les fesses. Moi, je n’avais rien à craindre ; c’était déjà fait. Erreur, mon pauvre garçon ! La masturbation s’arrêta, le va-et-vient aussi. Le gode recula doucement et s’arrêta juste au bord de mon anus. C’est alors que s’abattit une volée de claques sur mon postérieur déjà endolori ; entre chaque claque, le gode venait me posséder à nouveau puis ressortait presque.
Lorsque je fus enfin libéré de cet objet, j’avais le trou du cul béant et je sentais l’air entrer à l’intérieur de moi. Un doigt ganté revint, puis deux, puis trois. «Tu peux toujours y aller avec tes doigts ! » me dis-je. J’aurais dû la fermer car un quatrième doigt venait d’entrer. « Non, pas la main ! Elles ne vont quand même pas faire ça... » Eh bien, si : une main gantée me pénétrait l’anus. J’avais vu sur Internet des vidéos sur le fisting : des nanas mettaient une, voire deux mains dans le cul d’un mec ; je n’en croyais pas mes yeux et pensais que c’était un truquage. Mais là, c’était mon cul qui allait y croire...
Mon trou fut encore une fois écartelé, et la main entra en entier puis tourna en moi. Une autre avait repris ma queue pour la branler ; elle reprit de la vigueur. Fisté par une main, branlé par une autre suffisamment petite pour être celle de Coco. Alors, la première... Maman ? Non ! Eh bien, si. Je ne sentais plus mon cul ni ma bite, en feu tous les deux, et j’éjaculai une fois de plus. Et cette branlette qui n’en finissait pas... Je vis Charly se tordre dans tous les sens ; a priori, il devait endurer les mêmes tortures que moi.
Enfin on me libéra l’anus ; je n’osais pas penser dans quel état il devait être... Je n’en pouvais plus. Je restai là, attaché à l’établi, inerte et ruisselant de sueur. Coco en profita pour me passer un collier de cuir autour du cou ; mon cousin subit le même sort. Les deux filles nous libérèrent mais sans pour autant nous lâcher, car elles nous attachèrent l’un à l’autre par un poignet et une cheville.
Lorsqu’elles enlevèrent les godes-ceinture, je vis qu’ils étaient doubles : l’autre extrémité les pénétrait elles aussi. Pas étonnant qu’elles aient mis tant d’ardeur à nous sodomiser, ces salopes : elles se masturbaient en même temps qu’elles nous enculaient !
Se saisissant de la laisse attachée par un mousqueton au collier de cuir, elles nous entraînèrent hors de la pièce, fières comme des guerrières ramenant des prisonniers au camp. Des Amazones : voilà ce qu’elles étaient ! Charly et moi nous sommes regardés, un peu inquiets quant à la suite des événements. Nous arrivâmes sur la terrasse où nos parents nous avaient précédés et attendaient tout en sirotant leur champagne.Arrivée devant eux, Justine dit à maman sur un air théâtral :
— Altesse, nous avons capturé ces deux ennemis que nous vous amenons.— Très bien. Mais comment se fait-il que vous soyez tous entièrement nus ?— Nous avons dû nous battre pour les capturer ; ils ont même essayé de nous violer.— Et comment vous en êtes-vous sorties ?— Nous avons réussi à les attacher, par ruse et avec l’aide des dieux. Ensuite nous les avons sodomisés pour les soumettre. Nous vous les offrons pour les sacrifier ; faites en ce que vous voulez...

[À suivre]
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