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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 14

SM / Fétichisme
Ch.14. BDSM et sextoys.

Durant l’absence de nos parents, nous avons fait l’inventaire des placards de l’ex-atelier de papa ; ils regorgeaient de sextoys et de vêtements bizarres. Papa avait transformé ses armoires à outils en présentoirs à jouets : ils étaient tous accrochés à des pointes comme l’étaient ses outils auparavant. Au fur et à mesure de nos découvertes, nous avions de plus en plus envie de les utiliser ; une belle partie de BDSM nous attentait ! Nous nous sommes fixé des règles : tous les plaisirs seront donnés grâce aux sextoys ; aucune caresse, aucun baiser, et encore moins de pénétration autre qu’avec un gode : je n’avais pas le droit de baiser ma sœur.
Excité, je lui dis :
— Justine, tu veux essayer un de ces trucs ? — Non, pas un : je veux les essayer TOUS !— Tu as vu qu’il y a des jouets qui font mal ?— Oui... je... Et toi ?
Je m’armai de courage car j’avais presque honte de lui demander une chose pareille, mais j’avais tellement envie d’essayer tous ces jouets... Je voulais aller encore plus loin que ce que nous avions déjà fait. Je rêvais d’être suspendu, ficelé, fessé, fouetté, pincé, humilié aussi, et je ne savais pas quoi d’autre encore.Je devais me rendre à l’évidence : j’étais certainement maso.
Je repris la parole :
— Moi aussi, tout comme toi, je veux tout essayer ; et pas la peine de me demander si je veux arrêter : aujourd’hui, je veux être l’esclave de l’Amazone bouffeuse d’hommes.— OK, comme tu veux, mais à une condition.— Tout ce que tu veux, sœurette.— Demain, c’est mon tour ; tu es d’accord ?— OK, mais que veux-tu que je te fasse ?— La même chose que ce que je vais te faire, et plus si tu en as envie ; c’est tout simple.— Il vaudrait mieux qu’on ait un moyen de savoir quand arrêter au cas où, histoire ne pas se faire trop mal, ou pire, de se retrouver à l’hosto.— Oui, tu as raison, c’est mieux. Euh...voilà : si on est bâillonné, il suffit que l’autre demande de temps en temps si ça va et s’il veut continuer ou pas, et autrement on pourrait avoir une sorte de mot de passe et dire, je ne sais pas... « Piscine ! » par exemple, pour tout stopper.

J’approuvai la méthode et le mot de passe. Essayer tous les jouets et tenues était un fantasme que je voulais réaliser depuis la découverte de ce lieu, mais sans savoir si nous en aurions la possibilité un jour. Avant de découvrir ce lieu, nous nous amusions à nous faire mal par défi, mais sans accessoires, sauf les pinces à linge de maman que nous nous accrochions aux tétons.
Ce jour était enfin arrivé. Je pris mon rôle au sérieux : c’était elle la maîtresse, et moi l’esclave. Elle aussi voulait goûter à tout : ça tombait bien. Elle fouilla dans la penderie et en sortit un vêtement : une minirobe noire de soubrette, dos nu, avec un petit tablier blanc ; un collier en cuir ras du cou avec un anneau et des fausses pierres tout autour ; une paire de ballerines cirées noires et un string en cuir noir également à la forme étrange. Son étiquette indiquait qu’il venait tout droit sorti de la boutique de Xstory comme indiqué dessus : « Xstory : string Alliance, taille unique. » Sa forme : une demi-ceinture d’un côté, trois chaînettes de l’autre pour le tenir à la taille, une fine lanière dans le dos, et devant une poche que j’espérais suffisamment grande pour contenir mes attributs ; je le trouvai assez joli.
Elle me donna les premiers ordres :
— Tu as raison : tu es toujours mon esclave et je vais t’éduquer à coups de fouet s’il le faut. Viens ici et à poil tout de suite ! rugit-elle.
Je n’en demandais pas tant. Mon fantasme allait se réaliser ? Je m’empressai d’aller vers elle et commis volontairement la première faute.
— Oui, Justine, j’arrive.— Non ! Tu m’appelleras « Maîtresse » ! C’est compris ? À poil maintenant ! Tourne-toi et montre-moi ton cul ! m’ordonna-t-elle.
Elle avait pris sa voix des mauvais jours, celle qu’elle prend lorsque quelqu’un se met en travers de son chemin. On reçoit ses hurlements en pleine figure tel un pavé lancé avec la force et la hargne qu’elle est capable de déployer dans ces moments-là.
Je me repris et m’exécutai :
— Pardon, Maîtresse, je suis à vous.— Je préfère ! Retiens bien ce que je vais te faire : je veux que tu me fasses la même chose demain. OK ?
Entièrement nu, bâillonné, je répondis par un hochement de tête. Je lui exposai mes fesses musclées et admirables – je suis un peu narcissique, j’aime mon corps et le trouve beau, un peu comme une fille qui essaye des sous-vêtements et s’admire dans le miroir – et pan ! Je reçus une magistrale claque sur le cul qui me projeta contre le mur de la pièce ; elle m’avait eu par surprise.
Elle me saisit par les poignets et me plaqua le dos au mur. Moi qui voulais être attaché ! Elle m’enserra les poignets et les chevilles dans des bracelets en cuir que connaissais déjà. Ils me procuraient un plaisir étrange : celui de se sentir prisonnier et sans défense, à la merci du partenaire transformé en bourreau pour l’occasion, puis attendre et espérer qu’il va faire ce dont on a envie mais sans oser le demander.
J’étais à présent attaché et suspendu au plafond par les poignets, les jambes bien écartées pour que l’anus et l’appareil génital soient facilement accessibles. Les bracelets des chevilles étaient mousquetés à des chaînes elles-mêmes fixées au sol et suffisamment longues pour permettre au corps d’être surélevé et de ne plus toucher le sol. Un bâillon-boule entre les dents me rendait toute parole impossible ; je pouvais juste mordre la boulle de caoutchouc, alliée indispensable en cas de douleur. Elle me le serra derrière la nuque.
Mes poignets étaient enserrés dans les bracelets de cuir noir et attachés par des mousquetons reliés aux câbles du treuil ; sous l’action des bras puissants de ma tortionnaire, mes bras montèrent doucement à la verticale. Mon corps s’éleva jusqu’à ce que mes jambes ne touchent plus le sol et soient suffisamment tendues pour que mon corps ne puisse plus faire aucun mouvement ; j’étais suspendu entre sol et plafond.
Au premier coup frappé, mon corps se tendit et se raidit, sans doute à cause de l’effet de surprise. Mes abdos se crispèrent, faisant apparaitre mes tablettes de chocolat qui s’effacèrent aussitôt. Il n’y avait pas vraiment de douleur ; c’était comme une caresse. Je m’abandonnai, béat, dans ce plaisir. Puis vint l’attente du prochain coup ; elle me parut longue, sans savoir si ce prochain coup serait fort ou faible, cinglant ou piquant, ou simplement doux. Seul le bruit me renseignerait juste avant ; sifflant : ce sera un fouet à grande lanière, et le coup cinglera. Plus doux : un fouet court ou à plusieurs lanières ; là où il tombera, il me piquera. S’il est doux, voire imperceptible, une main – vraie ou fausse – viendra me caresser. J’étais impatient de connaitre la suite. Dans ma tête, une voix criait « Vite, la suiiite... Encore, plus fort ! »
J’étais suspendu en croix, la queue flasque. Justine y mettait du cœur ; c’était sa dictée, il fallait que je l’apprenne par cœur. Les coups suivant furent doux, puis cinglants et piquants ; c’était comme une caresse qui se transforma en d’innombrables picotements agréables et excitants. Les derniers m’ont fait me crisper, ils m’arrachèrent même un cri et une larme. J’avais des bouffées de chaleur ; une terrible douleur me parcourut le dos et les fesses, et je me suis mis à bander comme un Turc. Elle passa devant moi pour vérifier l’état de mon sexe.
— Tu aimes ça, mon salaud ? Tu en veux ? Tiens, en voilà !
Cette phrase fut accompagnée par un coup de fouet qui me piqua le dos. Instantanément, ma bite devint encore plus raide et plus dure ; une larme coula sur ma joue. Elle fit une pose :
— Ça va ?
Je lui répondis de la tête : oui.
— J’arrête ?
Non.
— Je continue ?
Oui.
Elle tourna autour de moi sans un mot et m’inspecta de la tête aux pieds comme si elle cherchait quelque chose ; un défaut peut-être, ou un endroit où il manquerait quelque chose. Elle avait trouvé. Elle fixa du regard mes tétons et mon sexe ; le sourire satisfait et l’œil coquin, elle se retourna et se dirigea vers les placards. La vue de ses fesses, magnifiquement soulignées par la fine ceinture de son string en cuir noir, me faisaient baver d’envie ; si j’avais pu me libérer, je lui aurais sauté dessus. Pris dans mes pensées, je ne l’ai pas vue revenir ; un large sourire aux lèvres, elle exhibait une paire de pinces à tétons avec des poids et une cage de chasteté. Je compris ce qui allait se passer ; ma trique redescendit. Justine en profita pour enfiler mon mandrin ramolli à l’intérieur de la cage, entoura la base de mes testicules avec l’anneau prévu à cet effet, et verrouilla le tout avec un cadenas.
— Tu vas passer la journée avec ça, me dit-elle sur le ton de la négligence.
Elle ne s’intéressait pas vraiment à ce que je pensais, accomplissant sa tâche sans même un regard vers moi. Mon sexe était maintenant complètement emprisonné dans cette cage métallique. N’ayant encore jamais porté ce genre d’engin, je ne savais pas ce qui allait se passer. J’avais une sensation de soumission : si l’on interdit à un mâle d’utiliser ce qui lui est le plus cher au monde – sa bite – deviendra-t-il soumis et docile ? J’en avais la quasi-certitude.
Elle prit des pinces à tétons entre son pouce et son index, les ouvrit, et visa soigneusement mes tétons. Au moment où elle jugea les endroits satisfaisants, un sourire sadique au coin de la bouche, elle laissa les pinces se refermer sur mes deux petits boutons qui, écrasés par la pression, me firent très mal. Sous la douleur, je recommençais à bander, mais mon vit prisonnier de la cage ne pouvait pas s’étendre librement. Je le sentais prisonnier ; trop à l’étroit, il ne pouvait pas gonfler : il forçait la cage, poussait l’extrémité, mais l’anneau à la base de mes couilles retenait le tout. Je sentais la pression monter dans ma verge sans résultat, sauf une douleur étrange.
Justine s’amusait beaucoup de la situation ; elle retourna dans un placard et revint, triomphante, avec un gode du genre plug anal dans une main et un tube de gel lubrifiant dans l’autre. Elle enduisit l’un avec l’autre, me le montra, s’accroupit et m’enfonça sans ménagement l’engin dans le rectum ; il glissa en moi. Avec ce que j’avais pris la veille dans le cul, celui-ci, ce n’était rien. Je me sentais humilié, j’étais à la merci de ma sœur qui s’en délectait ; son regard malicieux et son sourire presque moqueur en disaient long.
J’avais mal partout. Les fesses en feu, le dos me piquait, mes tétons souffraient le martyre, mon cul bouché par ce gode anal que j’essayais d’éjecter mais qui refusait de sortir, et ma queue qui voulait durcir sans y arriver. Je savourais ce plaisir masochiste ; aucun doute, maintenant j’étais bien maso ; je le suis toujours aujourd’hui, et j’aime ça. Excité, j’implorais dans ma tête que l’on me gratifie de quelques coups de fouet supplémentaires, mais des forts, de ceux qui sifflent dans l’air avant de claquer sur les fesses. Mon vœu fut exaucé : la lanière de cuir déchira l’air, s’enroula autour de mon ventre, et son extrémité frappa mon nombril. Mon ventre se contracta, mes fesses se crispèrent. J’avais un envie d’éjaculer ; il m’aurait fallu un coup de main, mais rien. Enfin, si : j’entendis le souffle du fouet à plusieurs lanières qui me claqua les fesses. Ce fut cuisant, puis plus rien. Le silence.
Justine réapparut et m’inspecta à nouveau. Visiblement satisfaite de son travail, elle ôta son string et s’assit sur l’établi, un gode à la main. Aguicheuse, face à moi, les jambes grandes ouvertes, la moule dégoulinante, elle commença à se caresser tout le corps puis elle se pinça les tétons. Elle se délectait... Sa langue passait sans arrêt sur ses lèvres, son autre main fouillait son intimité, puis elle enfonça le gode en elle et mit le vibreur au maximum. Elle gloussait, couinait et gesticulait dans tous les sens ; ses doigts rejoignirent le gode. Moi, j’aurais voulu la sauter, cette salope qui était en train de se branler sous mon nez, mais je ne pouvais que regarder et souffrir. Mes grimaces devaient l’exciter encore plus ; je l’ai vue jouir en criant. Quand son plaisir est puissant, elle crie. Et à ce moment-là, j’avais mal et j’en pleurais de plaisir.
Ébouriffée mais visiblement heureuse, elle vint vers moi avec toujours le même sourire et le même regard coquin et pervers. Elle prit les pinces et commença à tirer dessus ; la douleur fut violente. Elle s’en aperçut à ma grimace et les enleva avec douceur. Je revivais... Elle passa se mains sur tout mon corps, sans doute pour tester ma température ou ma sensibilité puis, sans un mot, elle sortit de la pièce et referma la porte.
Je restais ainsi pendu au plafond. Dans mon esprit, il y avait un mélange de honte et du plaisir vécu, mais avec le regret que ce soit déjà fini ; j’essayai d’imaginer de quoi serait faite la suite. La porte s’ouvrit. Elle apparut, fraîche et bien coiffée, vêtue d’un paréo et d’un string que je voyais par transparence. Elle commença à tourner la manivelle du treuil ; lorsque je touchai à nouveau le sol, mes jambes eurent un peu de mal à me porter. Elle continua à me descendre et défit les mousquetons. Enfin libre de mes mouvements, je pouvais marcher mais je me sentais ridicule ; elle vérifia que tout était en place – le gode et la cage – et me dit d’un ton autoritaire :
— Tu mets ça. Tu gardes la cage et le gode, et tu viens sur la terrasse. Je t’attends. Fais vite !
Je mis le « ça » : la robe de soubrette et le string ; heureusement, elle avait choisi un string pour homme. Dans le grand miroir, je voyais une soubrette en robe et ballerines ; elle me dévisagea, plate comme une limande. Elle était érotique avec son tour de cou et ses bracelets de cuir noir, tournant sur elle-même. Je me trouvais assez mignonne ; j’en profitai pour m’inspecter. Le dos nu de la robe laissait apparaître quelques traînées rougeâtres ; par contre, j’avais le cul bien rouge et un peu sensible. Mais pas de quoi fouetter un chat.
Je rejoignis mon Amazone de maîtresse qui, à ma vue, ouvrit de grands yeux et laissa échapper un « Waouh ! »
— Tu es magnifique, ma belle esclave. Viens auprès de moi que je t’admire.— À vos ordres, Maîtresse, répondis-je humblement.
Elle m’avait préparé un truc à boire. Elle me fit un signe, m’invitant à trinquer avec elle ; je saisis le verre à moitié rempli d’un liquide jaune à l’odeur piquante, le levai et le portai à mes lèvres.

[À suivre]
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