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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 16

Inceste
La nuit fut agitée. Je n’ai cessé de penser aux divers supplices que j’allais bien pouvoir lui faire subir ; je crois même avoir passé toute la nuit avec la queue raide. Au petit matin, Justine était fraîche comme un gardon, souriante, taquine, et comme d’habitude de bonne humeur. C’était à mon tour de la faire souffrir ; je jubilais. Elle voulait des surprises ? Madame allait être servie !
Comme elle avait eu la bonne idée de me réveiller avec des caresses, je fis semblant de dormir afin de savourer cet instant. Elle me passait la main partout sur le corps, de mon torse musclé à ma bite qui enflait sous ses doigts délicats. Je fis mine de me réveiller, m’étirai comme à l’habitude ; j’étais prêt et en forme.
Sans crier gare, je me levai d’un bond, attrapai ma belle amazone par sa crinière rousse et la tirai vers la salle de bain. Elle criait des « Ça va pas, t’es fou ! Tu... Aïe ! » Elle gesticulait dans tous les sens, piaillait et couinait ; une vrai fille, quoi ! Je ne lui fis aucune réponse, et une fois arrivés dans la salle de bain :
— Sale esclave ! Tu pensais t’en tirer à bon compte avec tes caresses ? Eh bien non !
Je la plaquai contre la paroi carrelée de la douche italienne et passai mes doigts sur sa chatte ; elle mouillait comme une fontaine : elle adorait cette brutalité soudaine. Ce genre de jeu nous excitait beaucoup.
— Mais tu mouilles, en plus ! Attends, je vais te calmer.
J’ouvris l’eau froide de la douche et je l’aspergeai copieusement. Elle criait toujours, gesticulait dans tous les sens mais je la bloquais. Sous l’action de l’eau froide, ses tétons pointèrent, devinrent durs et sensibles au toucher, et je m’amusai à les pincer ; elle couina de plus belle. La douche terminée, elle grelottait. Je l’attrapai à nouveau par les cheveux et la sortis de la douche pour la placer face au lavabo.
— Appuie-toi sur le bord et courbe-toi que je t’essuie ! lui dis-je.
Je décidai de la frictionner avec le drap de bain puis je lui administrai une belle claque sur chaque fesse. Surprise, elle poussa un petit cri et se tut : elle avait compris que son heure était arrivée. Je croisai son regard de charmeuse et cet air de chipie, de coquine, qui m’implorait presque : « Vas-y, fais moi plaisir… »
Je l’entraînai vers ce que nous appelions « la salle des tortures » (l’atelier de papa). Je la poussai à l’intérieur et lui attachai les poignets avec de la ficelle nouée à des crochets fixés au mur. Elle couinait tout ce qu’elle savait, gesticulait, rugissait. Elle était toute nue ; ses tétons pointaient et sa chatte dégoulinait de mouille ; j’adorais la voir ainsi et je m’amusais beaucoup.
C’était à moi de dicter mes règles ; sans avoir de sentiments de vengeance, j’avais bien l’intention de m’amuser.
— Tu es mon esclave maintenant et je vais faire de toi ce que je veux ! Je vais te fouetter, t’engoder, t’enculer, te pincer, et tu vas me sucer. Tu n’es qu’une chienne, une garce, et tu vas même faire la pute ; et gratos, en plus. Tu es d’accord au moins ?
Elle buvait mes paroles, ses yeux roulaient de gourmandise ; elle m’envoya un hochement approbateur accompagné des petits miaulements et de gémissements qu’elle est la seule à savoir faire dans ces moments-là. Je lui parlais à deux centimètres de son visage en serrant les dents, ma main gauche sur son sein droit, et de l’autre je fouillais sa moule gluante.

— Je vais continuer à t’appeler Justine : ça fait très… sadien, tu ne trouves pas ? Et toi, tu vas m’appeler Maître.
Je pouvais apercevoir dans le fond de ses yeux pétillants son envie grandissante ; elle avait gardé son air coquin et aguicheur. Elle était loin de se douter de ce que je lui réservais ; dans ma tête un scénario s’échafaudait. Pour commencer, je lui ôtai l’usage de la parole avec un bâillon-boule ; un foulard sur les yeux noué derrière sa nuque la plongea dans le noir. Ainsi équipée, elle perdait toute notion de l’environnement ; elle était à ma merci. J’avais eu ce sentiment, hier, attaché, bâillonné et muet, un sentiment de soumission à la fois inquiétant et délicieux.
Je la fis s’allonger sur le sol. Elle me présenta ses poignets comme pour me dire « Attache-moi. » Je décidai d’être original : je l’attachai et la pendis par les pieds au système ingénieux de poulies et de câbles reliés au treuil, celui que j’avais inauguré la veille. Une fois hissée, ma petite esclave d’un jour avait les fesses et son intimité juste à bonne hauteur ; ainsi je n’avais pas besoin de me contorsionner pour lui introduire tout ce que je voulais dans son intimité toujours dégoulinante de cyprine.
Accroupi devant elle, je prenais un malin plaisir à passer mon sexe tendu sur ses yeux masqués, sur tout son visage et ses seins dont j’équipai les tétons de ces délicieuses pinces lestées de poids. Au moment où je laissai les pinces se refermer, elle poussa des cris et des grognements, mais étouffés par le bâillon. Ses fesses attiraient mes mains comme un aimant ; armé d’un paddle, j’en administrai quelques coups sur ses fesses bien rondes qui, sous les chocs devinrent roses, puis rouges. Elle gémissait et se tortillait comme un ver au bout d’une ligne ; elle mouillait toujours plus.
En fouillant dans les placards à jouets érotiques, j’avais découvert une sorte de string visiblement réservé aux femmes. Soigneusement rangé dans un coffret, il était composé d’une ceinture en cuir fermée par un cadenas, de deux godes vibrants fixés à une bande de cuir cousue sur la ceinture, et d’une télécommande permettant de commander les godes. Ce jouet magnifique me fit regretter l’espace d’un instant de ne pas être une fille.
Je lui ai tout d’abord introduit le gode anal dans le vagin de façon à le lubrifier : pourquoi utiliser un gel alors que j’avais ce qu’il me fallait à portée de main ? Une fois bien enduit, je plaçai le gode anal dans son anus déjà entraîné à recevoir toutes sortes d’objets. Le gode destiné à sa chatte entrait en même temps. Elle ondulait à souhait, ses gémissements étaient sensuels ; visiblement, elle prenait beaucoup de plaisir. Je lui ôtai son bâillon pour mieux l’entendre car j’adorais quand elle couinait ou quand elle susurrait, d’une voix douce et sensuelle, des « Ah, ouiii, encore… » Une fois de plus, elle me foutait une trique d’enfer. Je terminai de mettre en place la ceinture, bien serrée autour de sa taille, et la verrouillai avec le cadenas ; il lui était devenu ainsi impossible de l’enlever.
Une terrible envie de la baiser me vint. Je lui dis :
— Justine, suce-moi !
Elle ouvrit la bouche en grand. J’enfournai mon pieu jusqu’au fond de sa gorge puis je la pistonnai. Sa langue sur mon gland et ses dents (car elle me mordait parfois) firent monter en moi une envie d’éjaculer. Je sentais le moment où j’allais lui remplir la bouche approcher à grand pas, alors pour la motiver j’enclenchai les deux vibros à fond. Elle se remit à gémir, et au moment où je lui inondais la bouche, je vis son ventre se contracter. Elle fut prise de spasmes qui m’indiquaient qu’elle était bien en train de jouir tandis qu’elle avalait mon sperme.
Ne voulant pas la laisser dans cette position inconfortable, je décidai de la retourner. À l’aide du treuil, je la fis redescendre et s’allonger à même le sol. J’ai ensuite permuté ses liens pour la remonter vers le plafond ; c’est à ce moment-là que j’ai enfin arrêté les vibros. Je savais que cette position était plus confortable ; elle m’en remercia :
— Merci, Maître, c’était super !— Je doute que tu apprécies la suite, petite dévergondée ! lui répondis-je en saisissant un chat à neuf queues.
À la vue de l’instrument, elle changea de couleur et devint rouge :
— Non, pas ça… Pitié, Maître…— Tu veux arrêter ? Dommage.— Non… enfin si … non ; faites de moi ce que vous voulez.— Je préfère ça. Alors prépare-toi, tu vas aimer.
Je me rappelais la veille où j’étais à sa place, à cet instant où elle m’avait fouetté.
Elle connut le plaisir du fouet ; elle gémissait à chaque coup. Quand je faisais une pause, elle me suppliait de continuer encore plus fort. Ses fesses et le bas de son dos devinrent très rapidement rouges avec des stries plus violacées ; elle serrait les poings, se cambrait et rugissait quand je lui mettais un coup de vibro. Quand la température de son petit cul eut atteint un degré raisonnable, malgré ses supplications je décidai de cesser ce jeu sadique.
Midi approchait ; il fallait que je mette mon plan à exécution. Dans la penderie je trouvai une magnifique tenue de soubrette du même style que celle que mon esclave m’avait fait porter la veille, à la différence qu’elle était extrêmement courte au point de dévoiler son derrière au moindre mouvement ; maman ne devait plus la mettre depuis longtemps car elle était assez petite.
Après avoir détaché ma sœur, augmenté la vitesse des deux vibros, joué avec les pinces à tétons et malaxé ses seins, elle eut un nouvel orgasme qui la fit crier de plaisir, puis je retirai les pinces. Je lui donnai les vêtements qu’elle devait porter et l’abandonnai avec pour consigne de venir me rejoindre dès qu’elle serait prête. Une fois seul, je m’habillai d’un short et d’un tee-shirt, sans oublier de passer commande pour trois pizzas en m’assurant qu’elles seraient bien livrées par Michel, le livreur d’hier.
Lorsqu’elle apparut dans le salon, je fus subjugué par sa tenue ; elle était magnifique, avec la minirobe de soubrette et ses escarpins. Elle avait trouvé une coiffe de circonstance et un tour de cou en velours noir pour ajouter une touche d’érotisme à sa tenue. Seule sa démarche était étrange à cause des godes plantés en elle ; j’en connaissais les effets : la veille, j’étais passé par là. Sa façon de se déhancher la faisait sourire un peu.
— Justine, sers-nous à boire ! Je t’autorise à te servir également.— Merci, Maître ; Monsieur est trop bon, me répondit-elle, le sourire aux lèvres.
Pendant que nous sirotions notre boisson, j’actionnais les godes tour à tour ou les deux ensemble, ce qui la faisait sursauter à chaque fois et m’amusait beaucoup. La voir se trémousser en fonction de la puissance réglée m’amusait beaucoup. Nous discutions de la composition du repas et Justine me confia, quand elle arrivait à parler, qu’elle trouvait que mon sperme en guise de petit déjeuner était quelque peu frugal ; elle avait la fringale.
Justement, la sonnerie du portillon extérieur se fit entendre ; Justine m’interrogea du regard.
— Voilà notre déjeuner. Viens enlever ta jolie petite culotte et tu iras accueillir le livreur. Qu’il vienne jusqu’ici ; tu le feras entrer. Allez, bouge !
Je pouvais lire sur son visage un mélange de surprise, de joie mais aussi d’inquiétude ; elle fronça les sourcils.
— Mais, Maître, je suis…— Dans la tenue idéale pour accueillir ce brave garçon. Et puis souviens-toi de ce que tu m’as dit : « Fais-moi la même chose, et plus… » Tu te souviens ? Alors au boulot, ne le fais pas attendre.

[À suivre]
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