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Justine et les délices de la pâtisserie

Chapitre 1

Erotique
Après quelques années passées dans le marketing pour une marque de luxe, j’ai décidé de revenir à mes premières amours : la pâtisserie. Me voilà donc lancée dans un CAP pâtisserie alors que j’approche de la trentaine. Mieux vaut tard que jamais ! Et quitte à prendre un virage à 180°C, autant le faire dans la meilleure école possible, le « Harvard de la pâtisserie ». Je suis ravie de pouvoir revêtir ma tenue d’apprentie pâtissière, la belle blouse brodée à mon nom et à celui de l’école, même le pantalon pas très seyant et les grosses chaussures obligatoires me ravissent. Cela me change de mes escarpins ! Mais je reste moi-même sous ma blouse en prenant un malin plaisir à porter ma plus belle lingerie. Nul ne le sait à part moi et cela suffit à m’émoustiller. En effet, je suis célibataire car mon fiancé a pris la mouche (et la tangente !) devant mon souhait de me reconvertir ! « On ne devient pas pâtissière à ton âge ! C’est absurde ! » tempêtait-il !
Cela ne cadrait pas dans son schéma si conventionnel dans lequel j’étouffais. Me voilà donc libre comme l’air !En attendant, je suis en retard et je cours aussi vite que possible dans les rues de Paris encore ensommeillée même s’il n’est pas loin de 7 heures du matin. Je dois être en tenue devant le labo à 7h15 tapantes et pour l’instant, je cavale dans les rues du 6e arrondissement. Même s’il est tôt, il fait déjà chaud en ce début de mois de septembre et je ne porte qu’une légère robe qui s’arrête au-dessus de mes genoux ainsi qu’une veste légère. Pour la lingerie, vous êtes déjà au courant ! Aujourd’hui elle est en dentelle rouge, assortie à ma robe estivale.
Je m’élance pour traverser quand soudain, un motard débarque et manque de me renverser. Je saute d’un bond sur le trottoir tout en insultant ce chauffard à deux roues : « Connard ! Tu peux pas faire attention ?? ». Je ne m’éternise pas et arrive enfin à l’école. Je m’engouffre dans le vestiaire, me déshabille en un tournemain (c’est si rapide quand on est habillée si légèrement !) et enfile ma blouse directement sur mon soutien-gorge en dentelle rouge, un joli 85D rebondi et ferme. Je mets mon pantalon réglementaire, large et disgracieux qui vient dissimuler aux regards mon tanga assorti au soutien-gorge. Tout en enfilant les chaussures de sécurité, je range à la va-vite ma robe et mes espadrilles ainsi que ma veste dans mon casier, j’attache mes cheveux blonds ondulés mi-longs. Vite, je claque la porte de mon casier et pars en courant devant le labo. Ouf, 07h14 je suis devant la porte du labo. Je récupère mon souffle en saluant mes compagnons, on a tous l’air un peu endormis.
Nous sommes une classe d’adultes en reconversion : difficile de prendre le pli de commencer sa journée si tôt quand on a eu le temps de s’habituer à arriver au bureau à 9h30.Notre professeur du jour arrive, il s’agit de Mr Charles Malmé. C’est un professionnel reconnu du milieu, il a travaillé dans de nombreux palaces tout autour du monde. Il est connu pour rendre sexy n’importe quelle pâtisserie : avec lui la tarte la plus simple devient une ode au plaisir. Pour avoir goûté ses réalisations de nombreuses fois, je peux vous assurer que sa tarte à la pêche est l’équilibre parfait entre le juteux et le délicat acidulé des pêches, la rondeur de la crème et le croustillant de la pâte sablée. Une bouchée, c’est l’orgasme culinaire assuré ! Son apparence ne gâche rien, il est grand, une chevelure dense brune et légèrement argentée sur les tempes, des yeux sombres, des mains agiles et précises et un fessier qui a l’air aussi délicieusement aussi bombé que ses religieuses (les pâtisseries...). Le bougre a l’air de s’entretenir régulièrement dans une salle de sport étant donné la ligne insolente qu’il affiche pour pâtissier !
Alors que je m’installe à ma place, je sursaute : Mr Malmé vient de poser un casque de motard sur son bureau. Ce casque je l’ai vu il n’y a pas plus de 15 minutes, sur la tête du malotru ayant manqué de me renverser. Je suis pétrifiée : j’ai traité de conn*rd mon professeur, grand manitou du milieu dans lequel je souhaite me reconvertir. Je croise son regard, ses prunelles m’hypnotisent. Il sait que je sais qui il est. Ses lèvres se recourbent en un sourire un rien sardonique qui me rend toute chose, mes joues s’enflamment et je sens ma culotte devenir humide. Je me secoue, baisse les yeux. Que m’arrive-t-il ? Est-ce la canicule qui s’éternise, le manque de sexe qui commence à se faire ressentir ? En effet, depuis ma rupture et le début de ma formation, je n’ai pas eu le temps de penser à mes envies...
Alors que je reprends mes esprits, le professeur annonce le sujet du cours. La pâte à choux. Il faut que je me concentre, même si cette technique n’a pas l’air méchante, c’est une base indispensable. Mais j’ai du mal à être attentive à 100% à ce que raconte Mr Malmé, je sens les pointes de mes seins s’ériger contre la dentelle de mon soutien-gorge et la rude toile de ma blouse, mon abricot est de plus en plus humide et...
— Mademoiselle Justine ! Pourriez-vous nous faire l’honneur de quitter vos rêveries et de répéter ce que je viens de dire ? — Euh...— Je vous demande la définition de la panade !
Son regard se darde sur moi. Je comprends bien le message, je suis dans la panade... Je parviens à bredouiller une réponse.
— C’est la mixture qui se forme euh... quand on verse d’un coup la farine dans le mélange chaud d’eau, beurre fondu, sel et hum... sucre. — C’est correct, merci mademoiselle Justine...
Son regard me liquéfie, ma poitrine se gonfle et mes jambes flageolent. Je décide d’éviter son regard jusqu’à la fin du cours. On commence à pratiquer la technique qu’il nous explique, on pèse les ingrédients, on prépare les plans de travail avec tous les instruments. Alors que je fais le tour de la salle pour distribuer des spatules et pieds-de-poule, Mr Malmé me frôle et laisse même s’égarer une de ses mains sur mes fesses. Son contact m’électrise. Je m’enfuis et retourne vite à ma place, en sentant son regard vrillé dans mon dos. Une fois que l’on a fini de réaliser la pâte à choux, il reprend sa démonstration pour nous montrer comme pocher. Tel un prestidigitateur, il prend une poche, la retourne sur main. Il saisit la corne (une spatule en plastique sans manche) et remplit la poche munie d’une douille ronde de 15 millimètres. Il empoigne la poche et dresse des choux, des éclairs, des glands... tous parfaits. Il s’exclame :
— C’est à vous !
Bien sûr nos tentatives sont bien plus maladroites. Nous galérons tous, et moi encore plus que les autres. Ma réputation de bonne élève se dissout aussi rapidement que ma petite culotte s’humidifie. Et cela ne va pas aller en s’arrangeant, voilà que notre professeur ténébreux vient se mettre derrière moi :
— Vous ne tenez pas correctement votre poche et vous n’appliquez pas la bonne pression, c’est pour cela que vos choux sont si irréguliers.
Une de ses jambes se glisse furtivement entre les miennes, je les écarte par réflexe. Il l’enlève, mais pour poser ses mains sur les miennes autour de la poche.
— Voilà, sentez-vous la bonne pression qu’il faut appliquer ?— Oui, réponds-je, la voix rauque.— C’est normal de ne pas y arriver dès le premier coup, vous êtes là pour apprendre après tout...
Je sens son souffle sur ma nuque, j’ai l’impression qu’il touche directement mes nerfs. Mes tétons deviennent durs comme du bois, impossible qu’il ne s’en rende pas compte ! Il s’en rend compte, son sourire carnassier me transperce.Je réussis à améliorer ma technique et arriver à la fin du cours. Clairement, je ne gagnerais aucun prix pour mes réalisations du jour, mais je devrais en gagner un pour être restée jusqu’à la fin du cours et ne pas m’être éclipsée dans les toilettes pour me caresser afin de me délivrer de la tension m’habitant. Je songe à m’engouffrer dans les toilettes afin de régler ce souci, mais :— Mademoiselle Justine, vu la qualité médiocre de vos réalisations du jour, vous resterez dans le labo pour nettoyer les plans de travail ! Uniquement vous je précise.
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