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Justine, ma meilleure amie

Chapitre 3

Souvenirs souvenirs

Hétéro
Plusieurs semaines se sont passées depuis la crémaillère de Justine. Je me concentre sur mon travail et mon couple avec Sonia. Tout se passe à merveille, et nous commençons à avoir des projets. Nous n’avons pas reparlé de cette soirée, ni évoqué le nom de Justine. À vrai dire, je n’ai pas cherché à avoir de nouvelles non plus. Je n’ai reçu que deux ou trois messages, qui me demandaient des nouvelles. À chaque fois, j’ai répondu brièvement. Je ne veux pas couper les ponts, mais je ne veux pas mettre à mal mon couple.Cependant, divers événements vont tout chambouler. Un soir, Sonia rentre de son travail, toute contente.
— Ma patronne m’a offert, pour moi et ma collègue, un week-end de trois jours au Spa. J’ai toujours rêvé d’y aller, les soins y sont géniaux.— Génial ! Quand est-ce ?— Le week-end prochain, pour le week-end de la Pentecôte. Je pars samedi matin et rentre lundi soir. J’espère que ça ne te dérange pas ?— Si tu veux vraiment y aller, vas-y ! Je trouverai un moyen de m’occuper...
Elle m’embrasse, heureuse de ma réponse. Nous aimons nous laisser des moments libres entre nous, cela casse la routine. Pendant ce week-end, je compte bien en profiter également, mais pour moi seul.Puis vient ce fameux week-end. Je dépose Sonia chez sa collègue, car elles font route ensemble.
— Passe un bon week-end, mon amour ! lui dis-je.— Toi aussi.— Ne fais pas trop de folies...— Toi non plus.
Nous nous embrassons une dernière fois et la laisse partir. Je me rends directement à mon travail, étant de journée ce samedi-là.Cette journée est longue. Peu de clients, peu de rangement à effectuer et peu de commandes à passer. Derrière mon ordinateur, je fais diverses recherches pour mon travail et observe les allées et venues. À cet instant, j’aperçois Justine face à moi, le sourire aux lèvres.
— Bonjour Nicolas !— Bonjour Justine ! Comment vas-tu ?— Bien. Je passais dans le coin, j’ai voulu te dire bonjour. Remis de ma soirée ?— Très bien. C’était une belle soirée.
Au même moment, ma responsable m’appelle pour une commande.

— Si tu veux, on peut aller boire un verre après ton boulot...— C’est-à-dire que j’ai quelque chose de prévu après...— C’est Sonia qui ne veut pas ?— Non. Pour tout te dire, elle n’est pas là ce week-end...— Raison de plus ! Allez ! Je viens te chercher à la fermeture. À ce soir.
Et elle me quitte. Je la regarde. Sa démarche est belle, ses formes la mettent en valeur. Je chasse ces pensées et poursuis mon travail.À dix-neuf heures, le magasin ferme ses portes. À la sortie, Justine m’attend. Elle a changé de vêtements : elle porte un bustier noir qui met en valeur sa magnifique poitrine ainsi qu’un short en cuir. Elle est incroyablement sexy dans cette tenue. Je cache mal ma surprise, car elle a un sourire qui mélange perversion et satisfaction.
— Où veux-tu aller ? me demande-t-elle.— Je ne sais pas, où tu veux.
On se rend au Bureau, un bar qui fait également restaurant. Arrivés sur place, nous commandons un verre. Nous en profitons pour discuter de tout et de rien, puis vient la discussion sur la fameuse soirée.
— J’ai trouvé bizarre que tu n’aies pas voulu qu’on se revoit.— J’ai eu pas mal de boulot, puis pas mal d’occupation.— Avec Sonia ?— Oui, avec Sonia. Beaucoup de projets en perspective...— Pourquoi tu ne lui as rien dit pour nous deux ? Notre relation et le reste ?— Parce que ce n’était pas important...— Pas important ?— Oui. Ce qu’il y a eu entre nous n’est rien, comparé à aujourd’hui.— Pas important ? s’offusque Justine.— On a passé de bons moments, c’est vrai. Mais ce n’était rien de sérieux.— Bah, elle est bonne celle-là ! Tu oublies ta déclaration...— Celle où tu m’as dit que nous étions juste que des copains de baise. Et que tu ne souhaitais rien de plus ?
Justine ne sait plus quoi répondre.
— Tu as préféré partir en Angleterre pour tes études, je peux le comprendre. Mais tu m’as fait comprendre qu’il n’y aurait rien de sérieux entre nous. Que tu ne souhaitais rien de plus, que ça briserait notre amitié.— Peut-être que j’ai fait une erreur, me répond-elle. Et que je m’en suis rendu compte.— Et tu me le fais payer ? Justine, je ne peux pas risquer mon couple à cause du passé.— Et elle ? Elle n’a pas de passé ?— C’est différent. Toi, tu es ma meilleure amie. Elle se sent en concurrence avec toi. Je l’aime.— Et moi, tu ne m’aimes pas ?— Je t’adore ! Mais tu es mon amie, pas ma petite amie.
Cette déclaration sonne comme un coup de poignard pour Justine. Ses yeux commencent à se remplir de larmes, ce n’est pas ce que je souhaite. Je tente de la réconforter.
— Si tu veux, j’en reparlerai avec Sonia. Lui expliquerai tout ce qu’il y a entre nous, cette conversation. Peut-être qu’elle changera d’opinion...— Ou peut-être pas.— Ou peut-être pas.— Et que ferais-tu si c’était le cas ?
Je ne sais pas quoi lui répondre. Il est vrai que j’avance vite en besogne. Je prends la main de Justine et essaie de lui arracher un sourire.
— Profitons de cette soirée ! Comme si c’était la dernière. Tu veux bien ?
Elle me sourit, l’idée semble lui plaire. Nous poursuivons cette soirée, dans la bonne humeur. Justine me raconte sa vie de professeur, ses histoires. Je lui raconte mon boulot, ma vie avec Sonia. Nous nous remémorons quelques souvenirs de notre vie de lycéens, d’étudiants. Des soirées, des cours... On quitte le Bureau et nous nous rendons dans un des bars que nous avons fréquenté étudiants. Pour nous rappeler ces souvenirs, nous rentrons à l’intérieur. Rien n’a changé, le bar est resté le même. Le patron nous a même reconnus.
— Tiens ! Ça fait longtemps que je ne vous ai pas vus, tous les deux ! Comment ça va depuis le temps ? Toujours ensemble ?— Euh... Non, dis-je embarrassé. — À vrai dire, nous n’avons jamais été ensemble, répond Justine.— Sérieux ? Je croyais. Je vous sers un mètre ? Comme au bon vieux temps !— Euh...— Je crois qu’on est un peu vieux pour ça...— On n’est jamais trop vieux pour un mètre de shooters ! Allez vous installer ! Je vous amène ça.
On s’installe à une table juste derrière nous. Quand nous étions jeunes et que nous venions dans ce bar, nous finissions toujours un mètre de shooters. Nous terminions souvent dans des états seconds.Le patron arrive avec le fameux mètre. Dix shooters remplis de diverses sortes. Nous buvons chacun nos tours. Le premier mètre est bu rapidement, nous en commandons un deuxième.
— Tu fais souvent ça avec Sonia ? me demande alors Justine. Sortir comme ça ?— Non. C’est souvent plateau télé ou soirée avec quelques amis. La routine, quoi.— Ça ne te manque pas ?— Parfois. Des fois, les potes me demandent si je veux venir avec eux...— Tu regrettes ton célibat ?— Non. Parce que j’aime Sonia. Mais j’aimerais bien avoir plus de temps pour moi. Voir les amis, faire des choses que j’aime. Enfin, bref...
Je bois d’autres shooters. Justine commande un nouveau mètre. On continue les confidences tout en enchaînant les verres.
— Quand je suis partie en Angleterre, je me suis demandée si je n’avais pas fait une erreur en refusant ta proposition. Les premiers jours furent compliqués, me confie Justine. Puis, j’ai fait quelques rencontres là-bas. J’ai enchaîné les plans, je couchais à droite à gauche. Puis, je m’y plaisais. Mais ma mission touchait à sa fin et je voulais rentrer en France. Quand j’ai su que tu étais en couple, j’étais contente pour toi, mais aussi triste.— Triste ?— Oui. Parce que ça aurait pu être moi...
Je suis surpris par cette déclaration. Justine avait donc des sentiments pour moi.
— Je n’ai jamais voulu mettre un malaise dans ton couple. À vrai dire, je trouve que Sonia est une chic fille. Le seul truc qui me dérange, c’est qu’elle refuse ton passé et refuse d’admettre que tu aies pu avoir des aventures... Et que ta meilleure amie puisse être une fille.
Elle met un point sur quelque chose de vrai. Je ne sais plus quoi penser. Pour oublier, j’enchaîne les verres. Justine me suit dans mon entreprise. Le deuxième mètre est fini. Je sens que la mule commence à être chargée. Mais le patron apporte un troisième mètre.
— À l’ancienne, vous deux... Ça fait plaisir, dit-il en rigolant.
Nous continuons de discuter, en évoquant de vieux souvenirs.
— Tu te souviens du dernier cours de littérature ? Quand nous avions voulu le faire dans la salle de classe et que la prof nous avait chopés ? me demande-t-elle.— Oui. Et qu’elle a voulu rester pour nous regarder...— Je suis sûre que si on lui avait proposé, elle n’aurait pas dit non.— Elle aurait pu perdre sa place...— On était en fin d’année. Et c’était une chaudière ! — C’est clair. Entre ses cours et sa façon de s’habiller...— Ou la fois où nous l’avons fait chez tes parents ? Dans le jardin ?— Ma mère qui a pété un câble pendant que mon père était mort de rire...
Nous rigolons tous les deux. L’évocation de ces souvenirs me rend nostalgique. Mais la coupe est pleine. Avec Justine, nous quittons l’endroit. Nous sommes bras dessus, bras dessous. Nous chantons dans la rue diverses chansons, rigolons avec des passants. Je la raccompagne jusque chez elle, je monte, car elle m’invite pour un dernier verre.Je m’assois sur le canapé. Ma tête est lourde par l’alcool. Justine sort deux verres avec une bouteille de Suze.
— Tu t’en souviens ? On buvait ça chez mes parents, me rappelle-t-elle.— Qu’est-ce qu’on en a bu... lui dis-je avec un haut-le-cœur.
Elle s’installe sur le canapé, à genoux. Elle se fait un nœud aux cheveux. Je la regarde. D’abord ses jambes nues, puis le haut de sa poitrine, cachée par son bustier. Je bois mon verre, puis replonge mes yeux dans son décolleté. Justine le remarque.
— Tu les as toujours aimés ?— De quoi ?— Mes seins. À l’époque, tu les empoignais et les embrassais avec envie.— C’est vrai. C’était tellement bon.
À cet instant, Justine se mit à défaire les nœuds à l’arrière de son bustier. Elle libère sa poitrine. Ses seins sont bien ronds, bien gros, avec de beaux tétons. Je les regarde avec envie. Justine commence à les caresser, à se les frotter. Elle se mord la lèvre, ses yeux montrent toute son envie. J’en ai moi aussi envie. Je plonge mon visage dans cette poitrine, ses seins sont chauds. Je commence par embrasser le haut puis m’attarde sur ses tétons. J’en tète un pendant que je caresse l’autre. Justine pousse de petits gémissements, elle me caresse les cheveux pendant que je m’occupe de ses deux merveilles. Je remonte mes baisers sur son cou puis sur ses lèvres. Nos baisers sont de plus en plus chauds, nos langues se mêlent.Au bout de quelques minutes, Justine stoppe ses baisers. Elle descend du canapé pour se placer entre mes jambes. Elle déboutonne mon jean, le glisse le long de mes jambes ainsi que mon caleçon. Justine sourit.
— Qu’est-ce qu’elle m’a manqué ! Toujours aussi belle !
Elle commence par faire de petits baisers, puis de légers mouvements. Que c’est bon ! Puis, elle démarre cette fellation. Sa bouche chaude est accueillante, ses mouvements me donnent énormément de plaisir. Je la regarde, ses yeux montrent toute sa concentration. Sa langue se porte sur mon gland et s’attarde dessus. Je prends un pied phénoménal, la jouissance commence à monter. Elle doit le sentir, car elle accélère le rythme. Elle finit par me faire une gorge profonde, sa spécialité. Mon sexe est prisonnier de sa bouche. Elle se retire, un filet de bave sort de sa bouche et se colle sur mon ventre. Elle me branle à une vitesse folle.
— Je vais jouir, lui dis-je entre deux gémissements.— Donne-moi tout ! J’ai faim, me répond-elle en tirant la langue.
Ma jouissance arrive. Elle me suce de nouveau jusqu’à l’éjaculation féroce. Toute ma semence entre dans sa bouche, je sens qu’elle aime ça. Je reprends mon souffle tandis que Justine se retire. Elle me montre tout le sperme dans sa bouche, puis avale. Je suis impressionné par la quantité que j’ai pu jouir et aussi par les frissons procurés. Justine, elle, n’a pas l’air satisfaite. Elle m’attrape par le cou et me roule une pelle.
— À toi, maintenant !
Elle retire son short. N’ayant pas mis de sous-vêtements, je découvre ce sexe que j’ai connu autrefois. Toujours aussi beau, toujours aussi humide. Je commence par embrasser son bas-ventre, puis caresser délicatement ses lèvres. Sa mouille est épaisse, je lui tends deux doigts pour lui faire goûter. Elle gémit de satisfaction. Puis, je commence à lui lécher. Sa mouille est vraiment bonne, ses gémissements sont de plus en plus forts.
Justine me stoppe dans mon cunnilingus. Elle me demande de la prendre, je m’exécute. Elle s’assoit sur l’appui du canapé, jambes bien écartées. J’approche mon sexe contre le sien et la pénètre. Je commence mes va-et-vient tout en agrippant à ses hanches. Elle serre ses mains derrière mon cou, puis ses jambes derrière mes reins, afin que je sois bien collé à elle. J’augmente l’intensité de mes coups de reins, ses cris sont de plus en plus forts.
Je m’arrête afin qu’elle puisse se mettre à genoux sur un siège. Je me place derrière elle et la pénètre à nouveau. J’y vais plus fort. Justine se cambre afin qu’elle puisse m’embrasser. Ce baiser est passionné. Elle demeure dans cette position, je continue mes coups de reins. Ses cris sont de plus en plus forts jusqu’à un hurlement plus long et vraiment fort. Elle jouit.
Je reste en elle, puis me retire. Justine se retourne, ses yeux sont rouges, marqués par la jouissance. Elle se rapproche et m’embrasse à pleine bouche. Puis elle se lève, me prend par la main et m’amène à sa chambre. Elle m’invite à m’allonger sur son lit, puis s’allonge sur moi, en soixante-neuf. Elle reprend mon sexe tandis que je caresse son joli minou. Son sexe est encore brûlant de la jouissance précédente. Sa mouille est encore plus abondante. Je la déguste tandis qu’elle me suce goulûment.
Pendant que je la lèche, je jette un œil sur son anus. Il me fait de l’œil, j’en ai envie et je sais qu’elle aime ça. Je commence par caresser sa raie ; Justine stoppe sa pipe et se tourne vers moi. Je la regarde, elle me sourit de manière lubrique et me fait un clin d’œil qui veut dire "Vas-y !" Je continue mes caresses sur sa raie puis plonge un doigt. Elle est saisie puis se détend, j’en ajoute un deuxième. Elle poursuit sa fellation tandis que je continue mon doigtage et lui lèche le sexe.
Au bout d’un moment, Justine se relève et s’allonge à côté de moi. Elle relève ses fesses afin que je puisse lui pénétrer. Je prends de la mouille pour enduire mon sexe ainsi que sa rondelle, lui pose dessus, et commence à entrer. Elle se mord les lèvres, je sens que ça lui fait mal. Je rentre progressivement et commence les va-et-vient. Au début, ses cris sont de douleur, puis ce sont des cris de bêtes. Elle a envie de ce sexe dans son anus, qui est étroit. Je tiens ses jambes et cogne mon ventre contre ses cuisses, mon sexe est serré à l’intérieur. Je prends mon pied autant qu’elle.
Je stoppe et la positionne en levrette sur le lit. Je la pénètre sans à-coups. Son anus est dilaté, mais Justine continue de crier de plaisir. Je lui claque une fesse afin de voir sa réaction.
— Continue ! me dit-elle entre deux souffles.
Je continue mes fessées pendant que je l’encule. C’est ce qu’elle veut, c’est ce que je lui donne. Je gémis autant qu’elle, je n’ai jamais autant pris mon pied. Cette séance est plus longue que la première, mais je sens que ma jouissance arrive tout comme Justine. Elle jouit, son cri est puissant. Je jouis une deuxième fois, mon sperme se déverse dans son sphincter. Une bonne dose, aussi forte que la première. Je me retire, regarde son anus, et vois cette quantité de sperme. Elle se retourne, ses yeux sont encore plus rouges que la première fois. Nous nous allongeons, afin de reprendre notre souffle. Nous nous regardons, je sens qu’elle est satisfaite. Elle voit que je le suis.
Notre nuit de baise se poursuit. Justine est infatigable. Moi-même, je me surprends à être aussi endurant. Nous en profitons pour faire diverses positions, diverses pratiques. Justine m’offre encore son sexe et son anus. Elle se comporte comme une furie. Elle me dévore la queue, me mange les couilles. Elle en profite pour me mordiller le corps, et principalement les tétons. Elle me suce de nouveau comme une affamée. Moi-même, je lui mange le sexe et bois sa cyprine. Elle m’arrose le visage de ce jus, en rigole. Je décide de me venger.
Je la place à genoux devant moi, lui enfonce mon sexe au fond de sa gorge. Je lui baise la bouche jusqu’à la jouissance. Je me retire et place mon sexe entre ses deux seins afin de prodiguer une branlette espagnole. Je jouis une nouvelle fois, de timides jets cette fois-ci (j’ai déjà joui deux fois). Je recule pour la regarder. Elle tartine ses seins de ma jouissance, toujours en affichant son sourire et son regard de feu. Je m’approche et l’embrasse. Elle se relève et m’invite à m’allonger avec elle sur le lit. Nous poursuivons nos baisers jusqu’à ce que nous nous endormons.
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