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Justine, ma meilleure amie

Chapitre 4

Révélations

Erotique
Le lendemain, je me réveille avec un mal de crâne. Je m’assois sur le lit et regarde autour de moi. Je me rends compte que je ne suis pas chez moi. Je sens un mouvement à mes côtés. C’est Justine, endormie qui vient de se tourner. Elle est toute nue. Les souvenirs me reviennent petit à petit : la discussion au magasin, le rendez-vous au Bureau, la soirée au Bar, le retour chez elle, les baisers... Je me rends compte que j’ai fait une énorme connerie. Que vais-je dire à Sonia ?Je me lève, cherche mes vêtements, les trouve dans le salon. Je m’habille dans la chambre, regarde Justine. Je me pose des questions : a-t-elle voulu qu’on couche ensemble ? Se fait-elle un film ? Pense-t-elle que je vais quitter Sonia pour me mettre avec elle ? Est-ce que j’aurais pu empêcher ça ? Mon mal de crâne s’intensifie.Au même moment, Justine se réveille. Elle me regarde, elle semble étonnée.
— Qu’est-ce que tu fais ? me demande-t-elle.— On a fait une connerie hier soir... On n’aurait pas dû.— Pourquoi une connerie ? Qu’est-ce qu’il y a de mal ?— Sonia...
Justine pousse un soupir. Elle se relève, je vois sa colère monter.
— Ce n’est pas de ta faute, lui dis-je. J’aurais dû repousser tes avances...— Mes avances ? C’est toi qui m’as sautée dessus !— Attends ! Toute la soirée, tu m’as fait des allusions. Puis, le décolleté, les postures, les shooters. Et je ne te parle pas de la vidéo de l’autre fois...— Tu es gonflé ! Tu aurais pu résister, refuser mon invitation ou te contrôler.
La dispute se poursuit pendant de longues minutes jusqu’à ce que Justine me mette dehors.
— Je ne veux plus entendre parler de toi ! crie-t-elle en claquant la porte.
Je me retrouve dans la cage d’escalier, face à sa porte. Je quitte l’immeuble et rentre chez moi. Arrivé à mon domicile, je m’allonge sur mon lit et tente de me rendormir. Différentes images me reviennent : les verres, les baisers, la fusion. Je pense aux dégâts pour mon couple, à la réaction de Sonia quand elle va l’apprendre. Je repense aussi à Justine. Dans le fond, elle avait raison. J’aurais dû me contrôler, me retenir.Le lendemain, la journée est longue. Je me demande toujours si je dois tout avouer à Sonia. En allant la chercher à la gare, je décide de ne rien lui dire. Ce sera peut-être lourd à porter, mais je ne veux pas briser mon couple ni rendre Sonia malheureuse. Arrivé à la gare, je patiente quelques minutes avant qu’elle n’arrive. Elle est magnifique, radieuse, avec un grand sourire, tellement belle.
— Coucou mon amour !
Elle m’embrasse en me serrant dans ses bras. Son parfum est enivrant.
— Ça va ? Tu as une petite mine, me dit-elle.— Fatigué.— Oh ! Toi, tu as dû faire des folies pendant mon absence. Petit coquin.
Je lui prends la main et prends son sac de l’autre. Nous rentrons directement à l’appartement où je lui prépare un dîner en amoureux. Elle me raconte son week-end, les différents soins qu’elle a pu faire, les différentes sorties, les repas, les installations. Elle est joyeuse de ce week-end, contente d’avoir pu le faire. Elle me demande ce que j’ai fait, je lui réponds que j’ai juste été boire un verre dans un bar devant les matchs de foot et que je suis tombé sur de vieux amis. Si elle savait.À la fin de la soirée, Justine et moi allons directement nous coucher. Une fois dans le lit, elle se rapproche et commence à me caresser. Mais je lui dis que je n’en ai pas envie ce soir.
— Tu es sûr que ça va ? Je te trouve bizarre depuis que je suis rentrée.— Tout va bien. C’est juste que je suis fatigué et que je me lève tôt demain.
Je l’embrasse et nous nous endormons tout bonnement.La semaine est longue et compliquée. Je rumine dans ma culpabilité. J’essaie de me concentrer dans mon travail, mais je n’y parviens pas. Sonia, elle, me donne tout son amour, me fait de petites attentions. Je suis souris tant bien que mal, ne veux pas la faire souffrir.Mais cette culpabilité me ronge et devient beaucoup trop forte. Le samedi soir, je rentre du travail, décidé à tout lui avouer. Arrivé à mon domicile, je la retrouve, occupée à ranger des affaires dans son dressing.
— Coucou mon amour ! me dit-elle avec son grand sourire. Comment s’est passée ta journée ?— Bien. Et toi ?— Ça était. Beaucoup de boulot, mais une bonne journée. J’ai pensé qu’on aurait pu commander quelque chose pour ce soir, manger devant la télé, puis faire quelques cochonneries juste après...— Il faut que je te parle. C’est sérieux.
Son air devient grave. Je lui prends la main et la dirige vers le salon. Nous nous asseyons sur le canapé et je commence à lui révéler ce week-end. Le dîner avec Sonia, les shooters, le retour à son domicile, la nuit... Durant tout ce récit, Sonia ne dit rien. Son visage se ferme, la colère monte en elle, les larmes aussi. Je termine mon récit en m’excusant de lui faire du mal et lui promets que cela ne se reproduira plus. Elle se lève, se dirige vers la chambre, prend son manteau et son sac et sort de l’appartement. Je la suis pour essayer de la convaincre. Arrivé en bas de l’immeuble, je la rattrape.
— C’est la deuxième fois que ça m’arrive ! me crie-t-elle, en larmes. Tu m’as menti. Tu m’as dit que tu m’aimais ! — Mais je t’aime ! J’ai fait une terrible erreur. Je m’excuse...— En plus avec elle ! Tu savais que je n’avais pas confiance en elle. Tu m’as trahie ! Je ne veux plus te voir.
Elle monte dans sa voiture et s’en va. Je la laisse partir. Je ne peux rien faire. Je rentre chez moi, abattu et coupable. Je ne sais plus quoi faire. J’envoie un message à Justine, je veux être honnête avec elle aussi.
— J’ai tout avoué à Sonia. Elle m’a quitté. Je m’excuse pour tout.
Je vais me coucher, énervé contre moi-même.La semaine qui suit est horrible. J’ai une mine atroce, ne dors pas beaucoup, ne mange pas. Je sors à peine pour aller travailler, mes collègues ainsi que la patronne remarquent que je ne vais pas bien. Heureusement que j’ai ce boulot. J’en discute avec Arnaud.
— Tu n’en rates pas une ! Tromper ta copine avec ton ancien plan cul...— Je sais. Je suis un idiot. J’ai tout perdu en une semaine.— Au moins, tu as été honnête. Elle aurait pu l’apprendre autrement.— Je l’ai dit à Justine. Mais je n’ai aucune réponse.— Après ce que tu lui as dit, pas étonnant ! — Mais j’aime Sonia. J’ai tout perdu.— Laisse faire le temps !
Je suis découragé. Le samedi suivant, je rentre chez moi après une énième journée de travail. Arrivé chez moi, je remarque que ma porte n’est pas barrée. Sonia est rentrée !
— Sonia, tu es là ?— Oui. Je suis dans ma chambre.
Je m’approche de cette chambre, la porte est fermée. Je m’imagine tous les scénarios possibles, le plus probable serait qu’elle prépare ses valises et qu’elle me quitte définitivement. Je toque à la porte, elle m’invite à entrer. J’entre tout doucement. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Sonia est là, assise au bout du lit, dans un ensemble en dentelle noir. Juste à côté d’elle, Justine. Elle porte une nuisette, noire, presque transparente. Elles sont côte à côte, leurs mains se touchent, posées sur leurs genoux. Je ne comprends plus rien.
— Bonsoir Nicolas ! me disent-elles en chœur.— Bonsoir... dis-je en bégayant. Euh... Je... Qu’est-ce que vous faites là ? Toutes les deux ?— Eh bien, Justine est venue me voir à mon travail, me déclare Sonia en se levant. Elle voulait que nous discutions. Sur toi, sur votre passé, sur cette fameuse soirée, sur nous deux...— Nous avons beaucoup de différences entre nous, reprit Justine, se levant également. Mais nous sommes d’accord sur un point : nous t’aimons toutes les deux.
Elles s’approchent de moi. Sonia m’embrasse, ses lèvres brûlantes. Puis, Justine m’embrasse à son tour. Leurs mains caressent mon corps. Mon cœur s’emballe tout comme mon sexe qui est à l’étroit dans mon pantalon.
— Mais tu as été méchant également, reprend Sonia.— Méchant ?— Oui, répond Justine. Tu nous as fait souffrir toutes les deux. Nous devons te punir.
À ce moment-là, je m’inquiète. Quelle sorte de punition vont-elles me faire subir ? Elles me poussent contre un fauteuil derrière moi. Sonia m’embrasse furtivement du bout des lèvres.
— Interdiction de te lever ! De nous parler ! De te toucher ! De faire quoi que ce soit ! Sinon, la punition sera encore plus dure.
Elle se tourne vers le lit où l’attend Justine. Elle se place à genoux face à elle ; les deux filles commencent à se caresser. Puis, elles s’embrassent. Ces baisers sont remplis à la fois de tendresse et de passion. Justine commence à embrasser le cou de Sonia tout en lui caressant les fesses. Elle descend vers sa poitrine, lui sort un sein de son bonnet et commence à lui titiller le téton avec la langue. Sonia dégrafe complètement son soutien-gorge et laisse apparaître sa poitrine.
— Tout doux ma belle, lui chuchote Justine. Nous avons toute la nuit.
Elle l’embrasse. Je vois les deux langues se mêler. Puis Justine reprend ses baisers sur l’autre sein, tout en caressant l’autre. Sonia, elle, relève légèrement la nuisette de sa partenaire afin de montrer ses jolies fesses. Elle commence à lui caresser puis descend un de ses doigts le long de sa raie. Les deux femmes poussent de petits gémissements de plaisir, un plaisir vraiment partagé. Justine se met à toucher le sexe de Sonia, toujours caché par son string. Elle l’écarte légèrement afin de toucher les lèvres, la respiration de Sonia s’accélère.
Au bout de quelques minutes de doigtage, Sonia décide de s’allonger entièrement sur le lit. Justine se retourne vers moi, me fait un baiser dans le vide et se lèche la lèvre supérieure. Cette vision est un enfer pour moi, j’aimerais les rejoindre. La jolie blonde se place entre les jambes de la ravissante brune, lui retire son string et commence à la lécher. Ce cunnilingus semble divin puisque les cris de Sonia ont doublé d’intensité. Elle se frotte de plaisir sur le lit, se caresse les seins. Puis, elle passe ses mains dans les cheveux de sa partenaire qui prend énormément de plaisir à la lécher. Je vois son sexe bien ouvert qui mouille abondamment.
Puis, les deux filles inversent les rôles. Sonia retire complètement la nuisette de Justine et l’allonge à l’envers du lit. Je vois donc le visage de Justine à l’envers tandis que Sonia me fait face. Elle embrasse de nouveau sa partenaire puis descend le long de son corps. Elle s’attarde sur la grosse poitrine de sa partenaire, les prend à pleine main, les lèche, lui mordille les tétons. Puis, elle descend vers son antre et commence par caresser ses lèvres humides. Sonia porte ses doigts dans sa bouche afin dans sa bouche et lance un "Hmmm !" de satisfaction. Elle reprend le doigtage puis pose sa langue sur le sexe de Justine. Cette dernière prend énormément de plaisir, car sa conjointe du moment s’y prend parfaitement. Je ne connaissais pas ce talent chez ma fiancée, elle qui n’avait eu que des partenaires masculins. Elle lèche ce sexe comme une affamée et en profite même pour lui caresser le clitoris, ce qui fait encore plus mouiller Justine.
— Viens au-dessus de moi ! dit Justine entre deux souffles.
Avant ça, Sonia embrasse à nouveau Justine. Mais pendant qu’elle embrasse sa partenaire, elle me regarde, les yeux en feux, assoiffée de sexe. Puis, elle se retourne, place ses fesses au-dessus du visage de la blonde. Un soixante-neuf terriblement excitant démarre sous mes yeux. Je les observe, elles sont magnifiques dans cette position. Il y a ce côté excitant, mais également un côté frustrant, celui de ne pas pouvoir participer, de ne pas pouvoir me toucher ; la punition pouvant être fatale. Je me contente de regarder, de me mordre les lèvres. Je n’ai jamais senti mon sexe aussi dur dans mon pantalon.Ce soixante-neuf est très beau à regarder et les deux protagonistes sont excellentes à ce jeu.
— Tu jouis ? demande Sonia, s’apercevant que Justine ne s’occupe plus d’elle.— Non, répond Justine. Mais j’ai une autre idée.
Elle stoppe le soixante-neuf et invite sa partenaire à s’asseoir sur le lit, jambes écartées. Sonia s’exécute puis Justine vient se positionner face à elle. Leurs jambes se mêlent, les deux femmes se rapprochent et se positionnent en ciseaux. Leurs sexes se frottent, les deux amantes prennent encore plus de plaisir de cette façon. Leurs regards sont de braise, leurs tétons sont dressés, leurs poitrines sont encore plus fermes. Leurs cris deviennent des hurlements, la jouissance approche et arrive. Des spasmes traversent les deux corps.Les deux femmes reprennent leur souffle, sourient puis s’embrassent à pleine bouche. Je les observe, elles sont magnifiques.Puis, leurs regards se tournent vers moi.
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