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Justine, ma meilleure amie

Chapitre 5

L'apothéose

Avec plusieurs femmes
— Je crois que monsieur a été bien sage, déclare Justine. Il a bien exécuté la punition.— C’est vrai, répond Sonia. Je crois que monsieur a le droit à une récompense.
Les deux femmes se lèvent et s’approchent de moi. Elles m’invitent à me lever. Elles m’embrassent toutes les deux au visage et dans le cou et mêlent, à tour de rôle, leurs langues dans la mienne. Puis, elles me déshabillent entièrement ; Justine s’occupant du haut et Sonia du bas, me laissant juste mon caleçon déformé par mon sexe en érection. Elles me poussent sur le lit et se placent autour de moi. Sonia m’embrasse, un baiser rempli de passion et de tendresse. Justine, elle, me caresse le corps entier et y pose des baisers. Elle joue avec mes tétons, et j’aime ça.
Elles inversent leurs rôles, la brune descend le long de mon corps tandis que la blonde pose ses lèvres sur les miennes. Elle est aussi chaude que sa complice. Elle porte ses seins à hauteur de mon visage, je lui empoigne et la tète, tel un enfant avec sa mère. Ses seins sont sensibles après l’orgasme qu’elle a reçu. Sonia, elle, est descendue jusqu’à mes pieds puis remonte. Elle arrive au niveau de mon sexe toujours caché par le caleçon. Elle commence à me le tripoter à travers le tissu, le retire complètement et commence à me sucer. Justine entend les bruits de succion, se met au-dessus de moi et commence à me sucer également. Les deux langues se mêlent sur ma verge, se touchent. Elles titillent mon gland puis échangent. Sonia s’occupe de mes testicules pendant que Justine lèche ma couronne. Des frissons parcourent mon corps entier, tellement la sensation est intense. Je sens qu’elles se régalent.
Pendant ce traitement, je m’occupe du sexe de Justine, un sexe inondé de cyprine. Je me délecte de ce breuvage tellement bon et abondant. La jolie blonde se redresse afin d’être bien au-dessus de moi et afin que ma langue puisse entrer plus profondément en elle. Sonia reprend ma verge en bouche, elle aussi prend son pied en me suçant.
Puis Justine se lève et demande à Sonia d’inverser les rôles. Cette dernière se place donc au-dessus de mon visage tandis que la première se place sur ma verge. Elle descend profondément en moi et commence à sauter sur mon sexe, à l’étroit dans ce sexe chaud. Les deux femmes se font face et s’embrassent tendrement, un peu de douceur dans cette furie. Justine prend son pied, moi également. Mon visage est caché par le sexe de Sonia, que je lèche tant bien que mal. Je sens que l’effet est tout de même là, car Sonia pousse de petits gémissements. Au bout de longues minutes, je jouis longuement.
Justine, satisfaite de cette jouissance, se retire et s’assoit à côté de moi. Le sperme sort du sexe, se mêle à sa mouille. Sonia se retire de mon visage pour poser sa langue sur ce sexe. Elle goûte à ce mélange et pousse des "Hmmm" de satisfaction. Nous nous regardons puis elle pose son regard sur mon sexe. Elle le touche, le branle afin qu’il puisse reprendre vigueur puis le suce. Sa fellation est excellente, me prend le plus loin possible. Justine se met à côté d’elle et la stoppe.
— Je vais te montrer.
Justine prend sa place et me suce à nouveau. Elle réussit une gorge profonde, mon sexe disparaissant dans sa bouche. Sonia est impressionnée par ce qu’elle voit. Sa partenaire se retire, lui tend à nouveau mon sexe afin qu’elle puisse essayer de nouveau tout en lui donnant des conseils. Sonia reprend la fellation et réessaye. Ce coup-ci, elle y parvient ; je sens mon gland toucher le fond de sa gorge. Elle sort d’un coup, empoigne mon sexe et me branle de manière énergique.
Je la stoppe, l’allonge sur le lit. Je la prends en missionnaire. Tout comme Justine, son sexe est serré par l’orgasme qu’elle a reçu. Je la pénètre doucement, puis enchaîne avec des va-et-vient puissants. Elle pousse des cris de plaisir, je ne l’ai jamais entendue comme ça. Pendant ce temps, Justine m’embrasse avec fougue. Ses yeux en feu puent le sexe, elle a encore envie, mais je veux satisfaire ma fiancée. Cette dernière prend son pied, le fait savoir. Je m’approche pour l’embrasser, Justine en fait de même.
Puis Sonia change de position, se met en levrette. Je la reprends, par-derrière, toujours dans ce sexe qui est encore plus humide. Je la pénètre et reprends mes coups de boutoir. Justine caresse ses fesses puis passe un doigt sur son œillet. Sonia, entre deux gémissements, lui fait "Non" de la tête.
— Ne t’inquiète pas ma belle ! lui dit alors Justine. Je suis là, on va y aller en douceur.
Elle me stoppe afin de préparer l’anus de sa complice. Elle passe de la mouille sur son œillet afin de faciliter la pénétration. Elle y glisse deux doigts qui font sursauter Sonia, et entreprend quelques va-et-vient. Elle stoppe cette pénétration puis plonge sa bouche dans mon sexe afin qu’il ne fasse pas de mal à Sonia. Au bout de quelques minutes, elle pose mon gland sur l’anus de Sonia et commence à le pénétrer. La pénétration débute doucement, je progresse lentement puis démarre les va-et-vient. Sonia pousse des cris de douleur tandis que Justine s’approche de son visage pour l’embrasser et la rassurer. Puis, les cris de douleur deviennent des cris d’extase. Sonia hurle de plaisir et le fait savoir. Justine, elle, semble satisfaite, car elle se touche. Mon excitation est grande, son anus étant serré et ma jouissance arrive de nouveau après de longues minutes intenses. Sonia pousse un dernier cri de jouissance, le corps pris de spasmes foudroyants.
Je me retire, satisfait d’avoir fait jouir ma belle brune. Justine, voyant que je n’ai pas joui, s’assoit au bord du lit et me demande de me mettre debout, en face d’elle. Je m’exécute et elle prend mon sexe en bouche. Puis, elle le cale entre ses deux seins et me prodigue une branlette espagnole de compétition. Elle tire la langue au maximum afin qu’elle puisse toucher mon gland. Je jouis de nouveau, une belle jouissance malgré la première. Justine se sourit, satisfaite. Sonia me regarde également, tout aussi satisfaite.
Après une pause, nous remettons le couvert. Sonia et Justine sont infatigables, se donnant du plaisir mutuellement tout en m’en offrant. J’essaie aussi de leur offrir du plaisir. Durant cette nuit, Justine obtient son orgasme. Un orgasme foudroyant puisque je la sodomise tandis que Sonia joue avec son clitoris. Je jouis une énième fois sous leurs coups de langue.
Après cette nuit de sexe, nous nous allongeons tous les trois. Je leur demande ce qui a fait changer leur opinion et comment elles en sont venues à cette idée.
— Justine est venue au magasin, mercredi après-midi. Je ne voulais pas la voir, mais elle voulait qu’on discute, commence Sonia.— Je lui ai proposé de discuter après son travail, dit Justine. Je lui ai dit que tu m’avais envoyé un message. J’étais mal, parce que je voulais pas votre séparation.— J’ai accepté à contrecœur, reprit Sonia. Elle m’a raconté ce qu’il s’était passé entre vous.— Je lui ai dit que c’était du passé, que j’allais vous laisser tranquille, déclare Justine. Sonia m’a demandé pourquoi je m’étais comporté ainsi. Je lui ai raconté notre passé, la raison pour laquelle je suis partie. Nos retrouvailles...— Elle m’a dit qu’elle était heureuse de notre couple, heureuse que tu sois tombé sur une fille comme moi, dit Sonia. Je ne savais pas si c’était vrai et m’a répondu que si.— J’étais jalouse parce que je t’aimais, me déclare Justine. Alors, j’ai essayé ces divers stratagèmes : les messages, la crémaillère, les vêtements, les allusions... Mais quand tu m’as dit que tu aimais Sonia, j’ai compris que ce n’était plus possible.— Elle m’a convaincue d’en discuter avec toi. Puis...— Puis nous avons passé la soirée ensemble. Afin qu’on puisse mieux se connaître. Et nous avons fini chez moi.— Chez toi ? dis-je, surpris.— Oui, chez Justine, déclare Sonia. Et nous avons passé la nuit ensemble...
Je suis abasourdi par cette déclaration, Justine en rigole tout comme Sonia.
— Après cette nuit, nous nous sommes aperçus qu’il y avait une certaine alchimie, reprend Justine. Et c’est là que nous avons eu cette idée.
Elles me racontent les détails du plan, comment elles ont su que je faisais la fermeture au travail, les tenues... Je suis impressionné par ce stratagème, mais je suis heureux que les deux femmes que j’aime le plus au monde puissent s’entendre. Nous nous endormons ainsi, collés l’un contre l’autre.Depuis ce jour, nous avons continué ces petits jeux. Parfois tous les trois, parfois qu’à deux. Soit moi avec Sonia ou Justine, soit toutes les deux. Une harmonie parfaite que je ne changerai pour rien au monde.
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