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Justine - Mon premier été au Cap

Chapitre 3

Lesbienne
Demain c’est le départ et je profite de la dernière journée à la maison pour préparer mes affaires. La grande valise de mes parents sera vite pleine, même si je me doute que je ne vais pas porter grand-chose pendant les vacances…
C’est enfin le jour du départ. Papa a bien voulu me déposer chez la famille de Lola. Les 4 heures de trajets sont prévues aux aurores : Départ 5 heures du matin ! Malgré une douche froide ce matin je ne suis toujours pas vraiment réveillée lorsque Papa me dépose chez Lola. Pour l’occasion ma tenue est toute simple : brassière en coton rose, petit short assorti sur un mini string que j’ai pris soin de ne pas faire apparaitre pour ne pas subir les foudres parentales, mes Stan Smith blanches. Ma valise, mon petit sac à dos et mes AirPods vissés sur les oreilles je suis prête. Ils m’attendaient ! La voiture est chargée et il y a juste suffisamment de place pour glisser mes affaires. Nous voilà en route pour le sud.
Je profite de ce début de voyage pour détailler les parents de Lola. Le conducteur Marc, la quarantaine cheveux très courts, 1m85 pour environ 80 kilos de muscles. Il doit faire de la musculation en plus du VTT, et de la course à pieds dont je le sais adepte. Il a de magnifique yeux bleus, je sais qu’il est vendeur dans une concession automobile. Il est déjà bien bronzé et mon esprit divague en me souvenant qu’il est naturiste … La passagère Sophie est une magnifique femme, elle aussi la quarantaine blonde au carré court, les yeux marrons elle semble passer sa journée au soleil tant elle est bronzée. Petite 1m65 pour un petit 50 Kg elle est magnifique, elle travaille dans un institut de beauté. Aujourd’hui elle porte une robe bleue avec de fines fleurs blanches et des ballerines blanche. Enfin il y a Lola qui partage avec moi la banquette arrière. Lola porte une brassière en coton rouge et un mini short assorti, elle est chaussée de Stan Smith elle aussi. Discrètement elle me prend la main glissant ses doigts dans les miens alors que nous avons rejoint l’autoroute du soleil.
Notre trajet est sans encombre bien que la circulation soit dense. Marc nous propose une première halte pour boire un café, il est 7 heures du matin et j’ai sommeillé un petit moment. Sans être déserte l’aire de services est clairsemée. Marc gare la voiture en face de l’entrée ce qui nous permet d’avoir un œil dessus tout en prenant nos cafés. Alors qu’elle revenait des toilettes Sophie prend place en face de moi et j’ai bien cru m’étouffer. Avant de s’assoir elle a pris soin de soulever sa petite robe légère pour déposer ses fesses nues sur le banc. J’ai eu une vision totale sur son intimité tout aussi lisse que la mienne. Je baisse les yeux je suis certaine d’avoir rougis.
Notre pause fût courte chacun ayant satisfait ses besoins naturels et pris une boisson chaude, nous reprenons la route. Sophie et Lola m’ont précisée qu’après notre arrivée nous passerons par l’entrée du centre naturiste afin de pouvoir satisfaire aux obligations et nous en libérer pour le reste du séjour.
Ensuite matinée rangement avant un déjeuner léger et notre première après-midi plage. Il nous fallut à peine une heure avec Lola pour ranger nos deux valises dans l’immense placard de la chambre que nous allons partager.Lola s’est beaucoup amusée de me voir ranger mes bikinis en me déclarant qu’ici de tout façon le port en était interdit et que je m’étais encombrée pour rien ! Mais il a été l’heure pour moi d’évoquer avec mon amie mon trouble lors du trajet et plus précisément de notre pause.
— Lola, tu sais il y a un truc que je voudrais te dire.— Je t’écoute Justine.— Voilà lorsque nous nous sommes arrêtés pour boire un café, j’ai constaté que ta maman ne portait rien sous sa robe, et je crois qu’elle s’est aperçue de mon trouble.— (Rires) Oh c’était ça ! Et bien tu n’as pas fini d’être troublée. Justine maman ne porte quasiment jamais de sous-vêtements et je peux t’assurer que cela lui va très bien ! et ici elle est toujours totalement nue, si elle s’habille c’est exclusivement lorsqu’ils vont à une soirée mais cela tu le verras en temps voulu.— En tous les cas elle est vraiment très belle.— Oui je sais on dirait ma grande sœur… bon je vais me préparer, nous allons aller chercher le pain. Tu viens avec moi n’est-ce pas ?— Avec plaisirs Lola.
Lola disparait dans la salle de bain et revient totalement nue. Elle me fixe en déclarant :
— Justine, ne restes pas comme ça. Allez à poil ici c’est la règle.— Ok …
Je passe par-dessus mes épaules ma petite brassière de coton rose sous laquelle je ne porte rien. Puis face à Lola entreprends de faire glisser mon short assorti que j’enjambe de mes tennis. Me voilà en string et tennis blanche devant Lola. Elle s’approche de moi, me saisissant la tête pour m’offrir un baiser.Notre baiser est tendre, torride même.
— Justine tu es si belle, si sensuelle, je t’adore.— Merci c’est gentil. Tu n’es pas mal non plus Lola, sois rassurée.
Elle pose ses mains sur mes hanches et en me fixant dans les yeux, ses doigts passent sous mon petit string pour le faire descendre. Je me mords les lèvres alors que mon amie vient de retirer complètement ce petit jeu de ficelle qui était mon dernier vêtement.
Lola me prend par la main, nouant ses doigts dans les miens et nous quittons la chambre. Dans la grande pièce à vivre Marc totalement nu s’affaire dans le coin cuisine. Il est vraiment canon, pas un poil de graisse et ce sexe, même au repos il est impressionnant. Je ne peux le quitter du regard. Lola s’en rend compte et me fusille de ses yeux verts. Elle indique à son père que nous allons à la boulangerie et qu’elle me fera découvrir le quartier du port. Je sens les yeux de Marc sur mon corps, mes sens s’affolent.
Un peu de monnaie et nous voilà quittant main dans la main, l’appartement direction l’ascenseur seulement vêtues de nos lunettes de soleil. Sortir ainsi dans le couloir de l’immeuble est déjà troublant. Lola appelle l’ascenseur alors que je ne lâche pas ses doigts. La cabine s’ouvre elle est déserte. 3 étages plus bas nous voilà dans le hall d’entrée. Toujours personnes, il fait même presque frais dans ce lieu toujours à l’ombre. Il est plus de 11 heures et lorsque nous sortons dans la petite ruelle piétonne, qui dessert notre immeuble, le soleil nous agresse. Il fait déjà très chaud, une chaleur sèche, j’adore. Très vite nous croisons d’autres passants qui comme nous sont totalement nus, ou mais ce ne sont pas les plus nombreux, juste avec un paréo noué à la taille. Lola m’entraine vers le port qui à cette heure-là est encore très peu fréquenté. Je remarque quelques regards appuyés sur nos deux corps juvéniles totalement exposés, ce qui a pour effet de faire se dresser mes tétons !Lola me montre les commerces, qu’elle et ses parents ont l’habitude de fréquenter, ainsi que les bars et restaurants où ils ont leurs habitudes. Je remarque également des boutiques de fringues toutes plus sexy les unes que les autres, mais ne dit rien à Lola. Elle m’entraine dans une boulangerie où nous faisons la queue derrière un jeune homme à peine majeur qui a beaucoup de mal à dissimuler l’émoi qui l’habite ! Nous sourions complices en prenant pitié de lui. C’est finalement assez naturellement que nous avons fait ce petit tour d’une trentaine de minutes autour du port avant de revenir à l’appartement avec deux baguettes toutes chaudes.
— Nous avons été chercher le pain, Maman.— C’est sympa les filles. Alors Justine ta première impression. C’est ta première fois ici non ?— En effet et je dois reconnaitre que c’est plutôt agréable.— En tous les cas tu es absolument sublime, tu vas faire tourner les têtes. Tu vois Lola l’épilation de Justine ne fais pas d’elle une petite fille !— Oh maman, non arrêtes je t’en prie je garde mon petit ticket. Papa aides moi !— Oups ce n’est certainement pas moi qui vais vous donner mon avis, Sophie sait parfaitement que je préfère les petits abricots lisses. Mais tu es sublime ma fille avec ta petite bande de poils.— De tout façon il est trop tard pour changer, si je me fais épiler maintenant je vais avoir la trace du bronzage.— Pas faux ma puce mais avec une peau comme la tienne en deux jours c’est réglé. Tu veux que je te le fasse. J’ai tout ce qu’il faut pour te rendre ton sexe de bébé. D’ailleurs vous avez vu les filles Marc est lui aussi tout lisse.
Non seulement Marc est lui aussi totalement épilé mais particulièrement bronzé pour ce début de vacances. Sophie nous confirme que Marc fréquente assidument les cabines UV de son institut depuis 1 mois. Sophie installe sur la large terrasse tout le nécessaire pour parfaire l’épilation de Lola. Je profite d’un instant d’intimité avec mon amie, pour lui glisser à l’oreille à quel point je vais adorer jouer avec son abricot tout lisse… Elle rougit de plus belle en s’assurant que ses parents n’ont rien entendu.
Lola et Sophie s’installent sur la terrasse. Lola assise dans un large transat alors que Sophie revient de la partie cuisine avec un petit pot de cire qu’elle vient de passer au micro-ondes.
— Attention chaud devant !— Maman, ne me brûles pas …— Pas d’inquiétudes ma puce je l’ai juste faite réchauffer. Allez allonges toi et écartes bien les jambes.
Lola impudiquement offerte au regard de sa maman, qui s’apprête à étaler la cire sur son pubis et autours de ses lèvres. Sophie prend soin d’appliquer à petits coups de spatule la cire tiède sur le pourtour du sexe de Lola et sur la bande de poils remontant sur son pubis. Ma copine se mord les lèvres de façon très sensuelle. Je remarque que Marc jette régulièrement de coup d’œil en direction de sa fille pour apprécier le travail minutieux de son épouse. A peine deux minutes plus tard il est temps pour Sophie d’arracher la cire par petits coups secs, en prenant soin de tirer la peau de sa fille de son autre main.
En quelques minutes Lola retrouve effectivement son sexe d’enfant. Sophie s’applique à parfaire l’épilation entre ses fesses retirant à la pince quelques résidus de cire et quelques poils récalcitrants.
— Voilà tu es toute belle ma puce.— Merci Maman. Mais cela me cuit un peu…— Oh je vais te passer un peu de lotion hydratante.
Sophie dépose dans le creux de sa main une noix de lotion avant de l’étaler sur le pubis et autours des lèvres de sa fille. Je surprends Lola ondulant à la rencontre des doigts de sa maman en rougissant. Elle remercie Sophie et me rejoint à l’intérieur, m’invitant à la suivre.
Lola m’entraine dans sa chambre pour me montrer quelque chose… Alors qu’elle referme la porte derrière elle, elle me projette sur le grand lit pour venir m’embrasser. Nos langues se trouvent en un balai des plus érotique. Savoir ses parents juste de l’autre côté de cette fine cloison me fait un peu peur.
— Lola, sois sage, tes parents …— Non Justine, tu ne peux pas me laisser ainsi je t’en prie, je suis en feu.
Chaque fois que je me fais épiler je n’ai qu’une envie que l’on s’occupe de moi. Alors aujourd’hui tu es là à ma disposition, je t’en prie viens me lécher.Elle dit cela en s’allongeant sur le dos les jambes largement écartées, en attente de mes caresses. J’entends les bruits de préparation dans la cuisine alors que je pose ma main à plat sur le sexe lisse de Lola. Elle est bouillante, totalement trempée d’excitation. Quelques caresses de mon index autours de son bouton avant qu’il ne la pénètre. Elle se cambre et commence aussitôt à onduler sous mes doigts. Je ne quitte sa bouche que pour embrasser et mordiller ses tétons dressés… Son souffle s’accélère alors que je parcours son corps, son ventre plat, en direction de cette zone totalement embrasée. Le simple fait de déposer ma bouche sur son sexe, lui arrache un râle de plaisir que ses parents n’auront pu ignorer…Je l’ouvre de mes doigts pour laper sa fente luisante. Je me laisse glisser du bas de son sexe jusqu’à remonter sur son bouton totalement exhibé. Je joue avec, le titille de ma langue, alors que mes doigts glissent dans son antre. Elle ondule sous mes caresses. Son souffle est court, elle râle de plus en plus, en essayant de se mordre le poignet, pour étouffer ceux-ci. Il ne me faut que quelques minutes pour la combler de plaisirs. Lola s’ouvre puis s’arque m’offrant un accès complet à sa fente, son bouton que j’aspire en une dernière succion qui l’a fait exploser de bonheur.
Elle retombe lourdement sur le lit. Je profite de cet instant de plénitude pour être à l’écoute de l’activité dans la pièce d’à côté. Je suis rassurée en entendant les parents de Lola discuter de la terrasse avec un voisin. Je sors de la chambre pour passer à la salle de bain sans bruit, il me faut un peu de fraîcheur pour retrouver une allure décente. Lola me rejoint encore toute troublée, et quasi honteuse du bonheur qu’elle vient de prendre. Elle se rafraîchit également avant que nous rejoignons la pièce à vivre, puis la terrasse ou le soleil nous agresse.Complices nous nous sourions sans prendre part à la conversation. Il est question de pêche et de sortie en mer. Un petit tour en bateau ne me déplairait pas…
Sophie sonne l’heure de passer à table. Marc a préparé notre collation autours du bar et des tabourets hauts qui séparent la partie cuisine de la partie pièce à vivre. Sophie et Marc s’installent dos à la cuisine face à la baie vitrée alors qu’avec Lola nous prenons place en face. Assise nue sur ce tabouret en métal me fait frissonner, Lola s’en amuse, complice.
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