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Justine à Paris

Chapitre 6

Les neuf salopards

Trash
Je suis un peu sonnée mais j’obéis machinalement. Il s’enfonce d’une seule poussée, tenant ma nuque pour prévenir tout retrait. Malgré des haut-le-cœur, j’essaie de me décontracter. Ma gorge est vite douloureuse sous ses coups de boutoir sans finesse. Il utilise ma bouche comme il l’a fait précédemment de mon vagin et mon anus, à fond et sans fioritures. Des larmes ruissellent sur mes joues, mes yeux doivent être injectés de sang, ma vue est brouillée alors qu’il m’impose toute la longueur de son braquemart géant.
À ma surprise, il se retire sans avoir joui ; je m’écroule quand il me lâche, toussant et bavant, la respiration hachée.
— Je vais me finir en te détruisant la chatte ou le cul. Tu préfères quoi ?
Bonne question, mes voies sont en feu, mon anus semble à bout tellement il l’a malmené. Mais mon vagin a été forcé si loin qu’une douleur sourde pulse dans mon ventre. Il va recommencer ? Que lui dire ?
— Comme tu veux, Jonah, comme tu veux. J’ai chargé des deux côtés, mais j’ai autant aimé à chaque fois.— D’accord ; je vais revisiter ta chatte, voir si je peux aller encore plus profond.
Il me jette sur le lit sur lequel je reste étalée, je suis complètement atone, sans force. Il me positionne tête posée sur le drap et cul levé, les cuisses à l’équerre. Je pousse un hurlement quand il s’enfonce d’une violente poussée rectiligne et que son gland vient buter contre le fond. Il est si gros que mes muscles intimes, déjà sollicités durement un peu plus tôt, se distendent à se déchirer.
Mais cet orifice est prévu pour l’accouchement et bien plus souple qu’on ne croirait. Il s’ouvre à l’intrus et le lubrifie de cyprine. Je hoquette à chaque ruade, mon ventre s’ouvre à nouveau pour accueillir toute la longue et épaisse colonne de chair. Malgré la souffrance réelle, malgré mes sanglots et mes supplications, je reste offerte indécemment aux assauts brutaux qui me ravagent. Soudain je jouis bestialement, des étoiles plein les yeux, juste avant qu’il se vide à son tour.
De moi-même, je viens entre ses jambes quand il s’est retiré pour nettoyer sa verge majestueuse de toute trace de stupre.
— Bonne petite salope ! Je te laisse dix minutes pour te rafraîchir avant de t’envoyer Marco et André, les deux frères. Ne me déçois pas, tu n’aimeras pas la punition sinon. Ensuite, tu satisferas mes amis, ils viendront par trois à la fois.
De mieux en mieux, trois à la fois ? D’un autre côté ça prendrait moins de temps... J’ai du mal à marcher tellement je souffre d’une douleur lancinante dans les fesses. Je me douche rapidement, tâtant prudemment mon anus boursouflé qui ne se referme pas, mes lèvres intimes gonflées et rouges. Pas de doute, j’ai chargé. Je me demande comment je vais pouvoir satisfaire tous ces hommes qui attendent pour me baiser. Je pousse un gros soupir ; je sais déjà que les heures à venir vont être difficiles.
Quand les derniers amis de Jonah partent après avoir usé et abusé de mon corps, je suis au-delà de la fatigue, prostrée sur les draps souillés de sueur, de sperme et de ma liqueur intime. Car moi aussi j’ai joui, plus de fois que je ne le croyais possible. Mais maintenant je suis brisée, incapable de bouger le petit doigt et n’en ayant aucune envie.
Pourtant, une violente claque sur mon postérieur me sort du néant où je me complais : Jonah vient de claquer sèchement mes fesses. Je pousse un cri aigu et le fusille du regard.
— Eh, ça va pas ! Je suis crevée, laisse-moi dormir un peu.— Il est 21 heures, tu t’es assez reposée comme ça. Tu sors du lit, tu enlèves les draps et tu les mets dans la machine à laver, puis tu te douches. Tu te dépêches sinon je pèle ton cul à coups de ceinturon.
J’ouvre un œil méfiant : Jonah est en jean et tee-shirt à côté du lit et me montre son ceinturon de l’index. Il ferait pas ça, non ? Je préfère ne pas le savoir et me lève en gémissant. J’ai mal partout, des hématomes décorent mes bras, mes seins, mes cuisses. Tant bien que mal je me lève en serrant les dents et défais le lit. Je suis obligée d’enlever l’alaise qui est souillée. Serrant le balluchon de linge sale, je vais dans la salle de bain. Dans un coin est branchée une grosse machine à laver, j’enfourne le tout, jette au hasard un gobelet de poudre et hop ! C’est parti.
Je m’examine ensuite dans le grand miroir de deux mètres de haut, m’attendant à me trouver changée. En un sens, c’est vrai ; j’ai une mine de zombie, des cernes sous des yeux chassieux et injectés de sang, la peau blafarde couverte de plaques blanches séchées, des marques sombres d’hématomes sur et entre les cuisses. Et que dire de mes orifices ? Durement sollicités, ils sont congestionnés et rouges, si sensibles que je gémis rien qu’en posant un doigt sur mon anus boursouflé.
Une longue douche évacue la plus grande partie de ma lassitude ; j’enfile au hasard un grand tee-shirt noir qui descend jusqu’à mes genoux et sors de la chambre. Il me faut manger quelque chose, j’ai la dalle. Par chance, il n’y a plus personne dans le salon, mais Jonah est dans la cuisine avec ses deux amis Marco et André. Ils boivent des bières en rigolant, mais ils me déshabillent du regard avec une intensité qui me fait frissonner.
— Tu as trouvé la pommade ? me demande Jonah.— Non, où ça ?— Dans la salle de bain, le pot sur le lavabo. Tu dois t’en passer sur et dans tes trous.
Sur et dans ? Je ne suis pas une oie blanche, mais je rougis en imaginant la scène.
— Je vois que tu as compris. Tu utilises des gants pour passer la pommade, surtout. Tu peux t’en frictionner aussi les bouts de seins, ça a un excellent effet.— D’accord, et ça fait quoi, au juste ?— Analgésique, aphrodisiaque, il dilate et lubrifie les muqueuses. Marco va te montrer ce que tu dois faire.— C’est pas la peine, merci.— Ce n’est pas une proposition, petite salope, c’est un ordre.
Évidemment, vu comme ça... Je hausse les épaules et fais demi-tour aussi dignement que possible, Marco sur les talons. Il y a bien un gros pot sur le lavabo ; je dévisse le couvercle pour découvrir une pâte translucide et luisante. Marco me tend deux gants de chirurgien que j’enfile sans faire de manières après avoir enlevé le tee-shirt.
— Commence par ta chatte, on verra si tu réagis bien.
Ouais... J’enfonce deux doigts dans la pâte ; épaisse, elle colle beaucoup. Suspicieuse, je renifle sans détecter d’odeur particulière. Un peu de camphre, c’est tout. J’étale sur ma fente, entre mes lèvres intimes, replonge dans le pot et pousse les doigts gras dans mon vagin douloureux. Puis je passe plus loin, sur et dans mon anus gonflé. Une chaleur intense commence à naître autour de mon clito, sur ma vulve aussi.
Vite, je badigeonne mes mamelons déjà tout durs, puis je m’apprête à enlever mes gants quand Marco m’arrête d’un geste.
— Ne bouge pas, on attend que ça fasse effet. Tu sens quelque chose ?— Eh bien... ça chauffe ; ça chauffe beaucoup, même. C’est normal ?— Oui. Tu as mal ?— Non, c’est... bizarre.
Mes tétons ont triplé de volume et ont viré du rose au rouge framboise, mes seins sont durs et tendus, et quand je me plante devant le miroir en projetant mon pubis en avant, je constate que mon clito congestionné est largement sorti de son capuchon. Je n’ose pas le toucher tellement il paraît sensible.
— Tu vas pouvoir passer la deuxième couche.— C’est bon, là ! C’est pas la peine.— Ce sera fini quand je te le dirai, pas avant, rugit le gorille.
Pas la peine de s’énerver ! En maugréant, je recommence à badigeonner mon entrejambe. La peau a déjà absorbé la majeure partie du produit ; encouragée par Marco, j’en étale donc une bonne dose avant d’être autorisée à enlever les gants.
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