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Justine et son papounet.

Chapitre 2

Nuit d’orage. Elle se réfugie dans le lit du papa.

Inceste
J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. J’ai dû partiellement retoucher son texte en prenant soin de ne pas trop le dénaturer. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.

— Laisse-moi faire et profite papa. Je tiens pour la première fois de ma vie la bite énorme de mon Papounet.— C’est très agréable, mais tu ne devrais pas faire ça, comme tu l’as dit, je SUIS TON PERE.— Ne me dis pas que ça ne t’excite pas ! Tu bandes comme un taureau et tu en as les couilles !— Ce n’est pas la question Justine. Ou tu arrêtes tout de suite et on se rendort, ou tu regagnes ta chambre !
Certes je bande dur, je n’aime pas lui parler comme ça. Mais elle m’a tellement excité que si je n’y mets pas le holà, bientôt je n’aurai plus la force de résister et je vais lui sauter dessus...Suite :Justine :En cette nuit d’orage, la douceur de cette énorme bite paternelle fait pleurer de plaisir mon antre, ma petite chatte humm... Je profite de l’instant pour en ressentir la chaleur et la dureté qui s’en dégagent, mon Dieu que c’est beau et terriblement tabou, mais si exquis !
Mon papounet est de plus en plus fébrile et sa réticence de moins en moins forte. Ne voulant pas le braquer, je me contente de branler en douceur le chibre paternel qui n’en finit pas de gonfler entre mes petites mains chaudes et moites de désir.
Je lâche un filet de salive sur son gland magnifiquement violacé de désir prêt à exploser sa liqueur sacrée. Mais ne voulant pas aller trop vite, je prends mon courage à deux mains et décide de m’arrêter en déposant sa magnifique bite sur son ventre, la voyant pulser de désir, hummm !
En mon être intérieur, je me dis que le jour où nous passerons cette barrière interdite, je ne veux pas qu’il me fasse l’amour, non ! Je VEUX QU’IL ME BAISE !Je veux arriver à tout partager avec mon papounet, même les choses des plus taboues, ne plus avoir à s’isoler à la maison dans nos activités les plus hot comme la masturbation, qu’il me laisse le regarder maintenant pendant ses plans cul et même parfois y participer un jour. Cela devrait le rendre fou, lol...
Je me rappelle les plages naturistes où il s’en passe de belles, les premiers émois des enfants et beaucoup d’autres jeux terriblement excitants humm...Quand j’y pense, je me dis que tous mes petits copains n’ont jamais réussi à avoir mon cœur, car depuis toute petite, il appartient à mon papounet.Bien sûr, le savoir avec toutes ces femmes, jeunes et moins jeunes, m’excite, mais j’espère que lui aussi ressent l’amour et le désir que je ressens envers lui.Cette douce pensée est celle qui m’accompagne alors que je m’endors doucement la tête posée sur l’épaule de l’amour de ma vie, MON PAPA !
Papounet :
Quand je me réveille, je ressens une décharge électrique me parcourir le corps, car des doigts frôlent mon sexe. Je suis encore dans le coltard, quelque chose de très doux enveloppe mon chibre et le temps que je réalise ce que c’est, il est trop tard. Ma petite chipie de fille a pris mon pénis dans sa bouche et se met à me sucer avec délice, et me voyant la regarder :
— Oui c’est bon papa, laisse-toi faire et bande, bande...
Je suis si estomaqué que j’abandonne la partie sans combattre, car lorsqu’une fille vous fait ce genre de chose, il est impossible de résister à une personne bien constituée.Il faut dire que sa bouche est d’une habileté diablement efficace et sa salive lubrifie parfaitement ma verge en pleine croissance exponentielle. Justine sait doser parfaitement la nécessaire pression de ses doigts sur la hampe de ma teub, variant d’une main légère et délicate à un serrage maximum pour bloquer le sang dans mon sexe pour le faire durcir encore et encore. C’est divin, mais terrible, ma propre fille chérie est en train de me faire une branlette et en plus elle se débrouille plutôt bien et moi, je la laisse faire. Que dois-je faire ? Je devrais la rejeter, mais je reste passif, comme groggy par cet instant comme suspendu. Cette petite salope en profite pour pousser encore plus loin son avantage :
— Viens papa, j’ai envie que tu me baises avec ton énorme queue !— Tu es folle Justine, arrête ça tout de suite ! Je ne peux pas faire ça !— Pourquoi ? T’as pas envie de moi ? Pourtant tu bandes sacrément dur !
Bien sûr que j’ai envie d’elle, Justine est magnifique et extraordinairement bien roulée. J’ai au-dessus de moi une fille qui réclame du sexe et s’occupe du mien, mais pour mon plus grand tourment, il se trouve que c’est ma propre fille et je ne peux m’y résoudre. Mais pendant que je me débats dans ces contradictions, Justine prend l’initiative et chevauche mon corps, elle lève son popotin pour le redescendre au-dessus de ma queue qu’elle n’a pas lâchée. Quand je reviens à la réalité, elle a guidé mon chibre vers sa vulve et je la sens glisser doucement à l’intérieur de son vagin étroit.Je la vois rester bouche grande ouverte pendant qu’elle se poignarde sur ma dague. Je ne sais pas si elle s’attendait à ce genre de sensation d’avoir ma poutre en elle.
— Putain papa ! Que c’est bon de te sentir, de sentir ton énorme manche de pioche, depuis le temps que je voulais savoir l’effet que ça faisait de se taper une big-cock, je suis servie. Pourquoi j’ai attendu aussi longtemps ?— Tu n’as pas honte Justine ? Il est encore temps d’arrêter...— Tu rêves mon papounet... J’y suis, j’y reste ! Ça va te rembourser des leçons d’équitation que tu m’as payées...
Justine :
— Quelle grosse bite tu as papounet, elle remplit bien ma petite chatte mmmmhhh... Je la sens convulser contre mon utérus, allez mon papa chéri, empoigne mes petites fesses et baise-moi comme je le désire depuis ma plus tendre enfance (enfin presque). Je veux être ta petite fille chérie, ton esclave bonne à tout faire, ta salope de vide couilles mmmhhh... BAISE-MOIIII MMMMMMM.
Ah ! Je chevauche cette bonne bite les pieds posés sur les cuisses de mon papa pour bien monter et descendre sur cette monstrueuse et magnifique teub paternelle, oh ouiiii mmmmm !Ah papa, j’ai essayé avec pas mal de copains, mais pas un seul ne t’arrive à la cheville, t’as une putain de grosse « cheville »...En disant cela, j’accélère encore sur son beau chibre, le voyant en sueur tellement il est fou d’excitation.Soudain, il me serre contre lui avec ses mains. Aaahhh... Il me remplit la chatte et noie mon utérus de son sperme paternel.
— AAAHHH MON DIEU PAPA ! JE T...’AIMEEEEEEEEE...
Papounet :Mais qu’est-ce que je viens de faire ? Je ne vais quand même pas engrosser ma fille ? Que vient-il de se produire ? Moi le père de famille respectable je viens de jouir dans la chatte de ma propre fille et en plus je me suis régalé. Justine toujours au-dessus de moi reprend sa chevauchée fantastique et se remet à monter et descendre sur mon pénis à un rythme lent et suave. Elle a les yeux fermés, tout entière concentrée sur sa domination de sentir mon chibre en elle qui ne veut pas faiblir. Elle se dégage de mon rostre et se couche à côté de moi, ses jambes grandes écartées et me supplie :
— Viens au-dessus de moi papa et prends-moi...
Je reprends enfin mes esprits et m’éjecte du lit, le sabre au clair pour lui faire la leçon.
— Petite dévergondée, une fois ne t’a pas suffi ? Il est hors de question que je te saute comme une vulgaire petite salope que tu es. Je ne peux pas cacher que tu me fais bander comme un âne, comme tu peux le constater. J’espère seulement ne pas t’avoir engrossée. Prends-tu la pilule au moins ?
Je vois bien qu’elle a remarqué mes regards admiratifs, mais je ne peux décemment lui avouer que je me retiens pour ne pas lui sauter dessus. Elle saute du lit et se précipite sur moi.
— Mais papa, tu bandes et moi, j’ai encore faim ! Laisse-toi faire...
J’accède à son désir, car je suis trop lâche pour m’y opposer. À nouveau, je la laisse me branler et me sucer avec le même incroyable plaisir. Il lui faut cette fois-ci plus de temps pour qu’elle m’amène au plaisir. Je sens la jouissance monter, impossible à contrôler, et cette fois-ci je vais me vider dans sa bouche.
— Viens mon papounet, je veux ton sperme dans ma bouche, eh oui, je prends la pilule et j’ai envie de goûter ta liqueur.
Moins de trente secondes s’écoulent avant que je n’explose dans une libération extatique de bonheur. Bien que ce soit la deuxième fois que je me vide les couilles en un temps très rapproché pour moi, je déverse encore une sacrée dose de foutre dans la bouche de ma petite chérie puis sur son visage rayonnant. Je suis mort de honte, mais que c’est booonnn. Le visage de Justine est grêlé de taches blanchâtres qui se rejoignent en filets avant de finir sur ses seins et son ventre. Elle y trempe ses doigts et étale ma crème sur tout son corps avec un plaisir non dissimulé.
— Tu es vraiment une salope Justine. Fous le camp de ma chambre sinon je ne réponds de rien !
Elle m’obéit et quitte la pièce en me promettant :
— Mon papounet chéri, je n’en ai pas fini avec toi... et ton gourdin.
A suivre...
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