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Kabir, maman et moi

Chapitre 1

Inceste
Jeudi, c’est soirée cinéma à la maison. C’est ainsi depuis que Kabir s’est installé chez ma mère et moi, en tout cas. Kabir est l’archétype du "rebeu macho" : très directif, il a restauré l’autorité masculine qui manquait à notre foyer depuis le divorce de mes parents. Ce soir encore, Kabir nous montrait à ma mère et à moi qui est l’homme de la maison. Sur le grand canapé, ma mère était allongée sur le côté, les yeux dirigés vers le film qui ne semblait pas particulièrement la captiver. Kabir, allongé juste derrière elle, malaxait d’une main ses gros seins par-dessous un débardeur beige qui dévoilait ses tétons. Malgré la couverture que ma mère s’efforçait de maintenir sur ses jambes, on pouvait facilement deviner ce que Kabir faisait de son autre main : de gros bruits de claques résonnaient dans l’appartement à petits intervalles. A chacun d’entre eux, ma mère émettait un petit gémissement en se mordant légèrement la lèvre.
Par-dessous la couverture, on pouvait aussi entrevoir les gestes de va-et-vient de l’avant-bras de ma mère qui masturbait la bite de Kabir.
L’excitation montait dans le visage de Kabir. Les claques sur les fesses de ma mère devenaient de plus en plus bruyantes. D’un geste brusque, il jeta la couverture qui recouvrait leurs jambes par-dessus le canapé. Ma mère retourna son visage vers celui de Kabir en lui adressant un sourire enjoué, sûrement flattée de pouvoir le mettre dans de tels états d’excitation. Kabir saisit sa grosse bite et entreprit de s’enfoncer en ma mère, mais elle l’en empêcha en faisant un mouvement du bassin vers l’avant.
— Chéri, je suis à court de pilules, déplora-t-elle en déposant un baiser sur la bouche de Kabir, comme pour le consoler.

Kabir ne semblait nullement satisfait par le baiser de ma mère, qu’il fixait dans les yeux comme une proie. Une autre grosse claque vint s’écraser sur les fesses de ma mère, comme pour la punir d’avoir gâché son plaisir. Sans lâcher son gros cul du regard, il s’adressa à moi avec le ton à la fois détaché et autoritaire qu’il me réserve toujours.
— Lolo, va me chercher une capote dans le tiroir de la table de chevet, ta grosse cochonne de mère m’a chauffé.
Ma mère s’empressa de forcer un petit rire et me regarda comme pour me signifier que Kabir ne faisait que me taquiner en traitant ma mère de grosse cochonne. Mais nous savions bien elle et moi que c’est ainsi qu’il la considérait et qu’il ne se préoccupait pas le moins du monde de ce que je pensais.
— Vas-y chéri, tu peux m... mettre le film en pause pour ne rien rater, dit-elle d’un ton bienveillant, comme pour détourner mon attention de la nature indécente de la tâche que je m’apprêtais à accomplir.

Je m’exécutai, partis chercher la capote et revins dans le salon. Ma mère s’empressa de me tendre le bras pour prendre le préservatif que j’ai ramené, comme pour m’épargner l’affront de le remettre directement à l’homme qui allait baiser ma mère.
— D’ailleurs chéri, tu ne m’as pas dit que tu avais cours à huit heures demain ? Va donc te coucher pour te réveiller en forme ! me dit-elle la voix chancelante.

Avant d’avoir eu le temps de répondre, Kabir grogna :
— Arrête tes foutaises, laisse ton fils s’amuser et regarder le film ! Lolo, assieds-toi et laisse pas ta salope de mère te marcher sur les pieds.
Kabir, qui avait déjà enfilé la capote, frottait sa bite vigoureusement contre le vagin de ma mère et menaçait de s’y introduire à tout moment. Ma mère, affolée, saisit brusquement de sa main la bite de son homme pour l’empêcher de s’introduire une nouvelle fois, au risque d’encaisser sur ses fesses des claques encore plus violentes.
— Kabir, pas devant Loïc, supplia-t-elle.

Mais Kabir avait immobilisé les bras de ma mère, et entreprit des va-et-vient violents dans son vagin. Les gémissements de plaisir de ma mère, couplés au son des couilles de Kabir qui butaient contre cul, rendaient le film inaudible. Le plaisir de ma mère semblait freiné par l’inquiétude qu’elle avait à mon égard. Moi, son fils, en train de regarder ma mère prendre une queue dans le salon comme une salope. Mais à ce moment-là, j’aurais aimé pouvoir lui signifier qu’elle n’avait pas à s’en faire. Je ne suis plus un adolescent, j’ai vingt-deux ans, et je ne risque pas d’être traumatisé à vie. J’étais aussi habitué au comportement de Kabir, et l’acceptais volontiers si cet homme arrivait à rendre ma mère heureuse. Je me rassis sur mon fauteuil et sentit une bosse dans mon pantalon grossir au fur et à mesure des gémissements que ma mère émettait.
Tout à coup, les gémissements de ma mère s’interrompirent. Kabir s’était presque retiré de son vagin, il n’avait maintenu que le gland à l’intérieur. Il se pencha vers le visage de ma mère et l’étrangla.
— Qu’est-ce qu’on dit ? lui glissa-t-il.— Mmm... s’il te plaît, répondit ma mère qui se tortillait d’envie et qui, désormais, poussait ses fesses vers Kabir dans la tentative désespérée de remettre son chibre à l’intérieur.— Et qu’est-ce que tu es ? Dis-le ! ordonna Kabir en resserrant encore plus son étreinte sur le cou de maman.— Ta pute, je suis ta pute, lui répondit-elle dans tous états.— Lolo, t’as entendu ça ? Qu’est-ce que ça fait de toi du coup ? me demande-t-il avec un air amusé, cette fois-ci en me regardant les yeux et en giflant ma mère nonchalamment.— Un fils de pute ? répondis-je, évasif.

Kabir éclata de rire. Il sembla revigoré par l’amusement que lui a procuré ma réplique et se réintroduit violemment dans la chatte de maman qui était au septième ciel.
— Ton fils est une perle, Sylvie, t’as d’la chance d’avoir un fils comme ça, dit-il en baisant ma mère plus fort que jamais.

Kabir ramona ainsi ma mère pendant une bonne dizaine de minutes puis, pris d’un spasme, il lui ordonna de se mettre à genoux et de tirer la langue. Maman s’exécuta, et son obéissance fut récompensée par une épaisse giclée de sperme qui recouvrit son visage, sa bouche et ses cheveux. Kabir poussait un grand râle de satisfaction et, après s’être déchargé sur le visage de maman, il la gifla violemment, comme pour évacuer les dernières gouttes de sperme de son canal déférent. Ma mère sourit en levant les yeux vers son homme. Elle se mit à caresser le torse de Kabir, ce mâle dominant dont elle avait réussi à canaliser l’énergie. Elle accompagnait ses caresses de douces succions sur le gland de Kabir pour en aspirer les dernières gouttes. Elle leva une nouvelle fois les yeux vers Kabir, avala le foutre qu’elle avait dans la bouche et lui adressa un sourire coquin. Elle sentit que Kabir était pleinement satisfait et qu’il s’apprêtait à partir.
En guise d’au revoir, elle déposa un baiser langoureux sur son gland.
L’enjouement de ma mère ne dura pas longtemps : dès que Kabir fut parti du salon, elle baissa la tête vers le tapis où traînaient çà et là des giclées de sperme et semblait prise de désarroi. Ses yeux se dirigèrent vers moi, mais elle ne pouvait pas me regarder les yeux.
— Chéri, il faut qu’on parle... dit-elle, dépitée.
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