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Kabir, maman et moi

Chapitre 4

Gay
Auparavant, je m’étais toujours considéré comme un hétérosexuel "curieux", mais dont la curiosité ne déboucherait sur rien de concret. J’étais attiré par les femmes, évidemment, et particulièrement par maman chérie. La voir être traitée comme une chienne dans sa propre maison m’excitait au plus haut point. Et quelque part, j’aurais aimé être son mâle dominant, faire d’elle ma pute personnelle que je baise et encule quand bon me semble. Mais force était de constater qu’en termes de virilité, de caractère ou de taille, Kabir m’était bien supérieur. Je n’avais aucun mal à l’accepter. Au contraire, je me délectais du spectacle de maman qui se faisait baiser et humilier devant moi par cet étalon. Mais il faut avouer qu’au fil des jours et des rapports sexuels que j’observais entre maman et Kabir, je m’imaginais aussi être à la place... de maman. J’étais fasciné par la beauté du sexe de Kabir.
Moi qui avais déjà quelques fois auparavant visité des sites Internet de photos de bites, celle de Kabir faisait vraiment partie de mes préférées. Tellement grosse, tellement grande, une allure si fière lorsqu’elle est en érection, une peau parfaite, un gland tellement appétissant...
Il m’était arrivé d’en rêver la nuit. De la sentir aller et venir dans ma bouche, de déposer des baisers langoureux sur son gland, de lécher doucement toute la surface, de gober ses testicules. Et aujourd’hui, enfin, mon rêve se transforme en réalité. Mais avec Kabir, les choses ne fonctionnent jamais dans l’ordre logique ou préétabli...
Non, il n’y avait pas eu de préliminaires. Même pas de préservatif, parce qu’il me l’avait fourrée dans la bouche. Non, Kabir m’avait directement pénétré. Enfin, presque. Mon anus n’étant pas encore lubrifié, Kabir ne put insérer que son gland. La force qu’il appliquait à me pénétrer ne faisait que pousser mes fesses en avant. Il continuait tout de même de me donner de violents coups de reins, et à chacun d’entre eux, je sentais un afflux de sang supplémentaire remplir mon pénis. En pleine érection, il semblait faire à peu près la moitié de la taille de celui de Kabir. Constater cette inégalité, en soi, m’excitait encore plus, parce que tout indiquait que j’étais censé être sa femelle soumise, et lui mon mâle dominant.
Kabir s’agrippait à moi et s’acharnait à me donner des coups de reins puissants et rapides, en me fixant des yeux tout au long. D’une main, il maintenait ma jambe droite écartée. Son autre bras passait sous mon cou et serrait mon visage contre le sien. Sa bouche était à quelques millimètres de ma joue, et j’entendais ses halètements comme si c’était les miens. Il suintait de sueur, et pourtant, était déterminé à ne pas s’arrêter. Je n’avais jamais vu Kabir dans de tels états d’excitation avec maman. Après coup, je me rendis compte que c’était probablement la pénétration anale qui lui faisait tellement d’effet. Mais sur le moment, je n’y réfléchis pas, j’étais flatté, heureux, fier de provoquer une telle réaction de la part d’un tel homme. Pour lui signifier ma gratitude, je décidai de le mettre dans de meilleures dispositions pour qu’il puisse me pénétrer entièrement.
— Attends, Kabir, lui dis-je d’une voix douce et féminine, en me tournant vers lui.

Je crachai dans ma main gauche, écartai mes fesses de la main droite, et me doigtai quelques instants pour me lubrifier avec ma salive. Je le faisais toujours en regardant Kabir, nos bouches étaient presque collées l’une à l’autre, et je mourrais d’envie qu’il m’embrasse, qu’il me prouve une ultime fois que je suis sa femme, et lui mon homme. Mais je savais que ce serait trop beau pour se réaliser.
— Dépêche-toi d’écarter ton cul, pétasse, j’ai pas toute la journée, cria-t-il en me crachant sur la figure.

Je pris la bite de Kabir et la masturbai quelques instants avec la salive qu’il me restait sur la main, puis l’aiguillai vers mon trou du cul bien lubrifié. Je frottai son gland contre mon anus pour qu’il se fraie un chemin. Ça y est, le gland était entièrement à l’intérieur. Il n’y avait plus de frottement, Kabir pouvait désormais s’engouffrer entièrement en moi. Avant de relâcher son chibre et de le laisser me limer, je le suppliai désespérément d’être doux avec moi.
— Kabir, fais-le doucement s’il te plaît, c’est la première fois que je f...

Il fallait s’en douter. Kabir interrompit ma requête en enfonçant entièrement sa bite dans mon cul.
— Fais quoi, salope ? Fais quoi doucement, pédé ? Dis-le !, m’ordonna-t-il frénétiquement pendant qu’il me défonçait.— Baise-moi... Oooh Kabir s’il te plaît, baise-moi doucement, répondis-je en criant comme une fillette.
Je sentais mon cul brûler de douleur sous les va-et-vient violents de Kabir qui semblait appliquer toutes ses forces à me limer. Mon premier réflexe était d’essayer de le repousser par ses hanches, de tenter de me soustraire à ses coups de bite infernaux. Mais Kabir était bien trop fort, bien trop lourd, et je n’avais d’autre choix que de subir cette douleur pendant aussi longtemps que mon mâle le voudrait. Mais le mal était suppléé par l’incroyable excitation que me procurait la situation. Être la petite salope obéissante de Kabir était vraiment bandant. Je me sentais exactement à ma place, remplissant parfaitement le rôle qui m’était destiné : être une femelle docile au service de son mâle.
Au bout d’une dizaine de minutes dans la même position, Kabir se redressa et me prit en levrette. À ce moment-là, mon anus s’était déjà bien habitué au chibre de mon homme. Ça y est, je commençais vraiment à ressentir physiquement du plaisir lorsque Kabir me pénétrait. D’autant plus que désormais, il me baisait de manière moins frénétique. Toujours avec la même violence des coups de reins, mais à une allure un peu moins déchaînée. J’avais donc le temps de bien sentir sa bite aller et venir moi, et je me délectais de chaque centimètre de ce membre viril qui me traversait le rectum. Je profitai de cette position pour soulager ma pauvre bite qui était sur le point d’exploser d’excitation en me masturbant pendant que Kabir me baisait.
— T’aimes ça grosse pute, hein ? T’aimes te faire poutrer comme une salope, hein ? Dis-moi que t’aimes ça pétasse.— Oui Kabir j’aime ça, répondis-je en gémissant de plaisir.— T’aimes quoi, pétasse ? me lança-t-il en me donnant deux gifles sur la figure.— J’aime que tu me baises, Kabir... J’aime que tu me défonces comme une salope.
En comme pour prouver la justesse de mes propos, je sentis venir une charge de sperme que je déposai essentiellement sur mon ventre. Quelques giclées s’étaient écrasées sur mon menton. J’étais euphorique, le plaisir était à son summum. Je fermais les yeux pour apprécier pleinement ce moment. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. Quel pied !
Lorsque je rouvris les yeux, je regardai Kabir qui était toujours sur moi et continuait à me limer. Mais pour la première fois durant tout notre rapport sexuel, ses yeux n’étaient pas dirigés vers moi. Lorsque je me retournai vers la même direction où il regardait, je fus horrifié d’apercevoir maman, qui recouvrait sa bouche de ses deux mains comme pour s’empêcher de crier. Son regard épouvanté était figé sur le spectacle de son fils, sur le canapé, en train de se faire baiser en missionnaire par Kabir, et venant tout juste de jouir de plaisir.
— Alors ? T’as vu ce que tu rates, grosse cochonne ? J’suis en train d’enculer ton pédé de fils et il adore ça, regarde !
Comme si la vue de profil que ma mère avait sur moi ne suffisait pas, Kabir se mit debout, me souleva, écarta mes jambes, me mit face à ma mère et me déposa sur son chibre. J’étais maintenant perché dans les bras de Kabir, qui me balançait sur sa grosse bite devant les yeux effarés de maman. Kabir se mit tout à coup à pousser de grands râles et je sentis une énorme charge de sperme chaud m’inonder les intestins. Lorsqu’il se retira de mon cul, son liquide blanchâtre commença immédiatement à suinter. Kabir, pleinement satisfait, me laissa retomber au sol, face à ma pauvre maman qui n’avait toujours pas pu prononcer un mot.— Maman, je peux t’expliquer...
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