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La kahba et les deux chibanis.

Chapitre 1

Moi Océane, épouse modèle ...

Avec plusieurs hommes
Remarque liminaire : Cette histoire est fondée sur les échanges épistolaires entretenus depuis déjà de nombreux mois avec une membre du site, auteure à ses heures et fidèle lectrice. Elle m’a autorisée à utiliser et compléter comme je le souhaite toute ou partie de nos correspondances. Qu’elle en soit ici vivement remerciée !

Depuis quelques mois, je suis la salope de deux vieux arabes qui tiennent un restaurant dans la ville voisine. Quand j’écris « salope », je devrais plutôt écrire « pute » puisqu’ils se font du fric sur mon dos, c’est-à-dire avec mon cul comme vous l’aurez compris. Je suis, comme ils aiment à le dire, leur pute, leur kahba. Ils sont, comme j’aime à l’écrire, mes deux vieux arabes, mes deux chibanis.Oui, je suis la kahba de deux chibanis et voici comment j’en suis arrivée là ….
Je m’appelle Océane, j’ai 32 ans, je suis née en région parisienne mais habite en Bretagne dans le département du Morbihan. Je suis responsable commerciale dans une imprimerie et donc assez libre de mon agenda. Je suis métisse antillaise-asiatique, j’aime la lingerie et les bas, je suis naturiste à mes heures. Si j’en crois les regards des hommes, avec mon mètre 68 et mon 85C, je suis une belle plante ! Exotique dirons certains …. Je suis sportive ! Natation, tennis et jogging sculptent le corps bien mieux que les crèmes amincissantes ou autres infusions détox. J’adore la musique, classique ou pas. Ecouter au calme un vieux vinyle de rock’n’roll ou danser au milieu de la foule sur un air de lambada, ça me va !J’adore la nature, me promener dans les bois et profiter du grand air. Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est m’asseoir sur la plage face à l’océan et me relaxer en écoutant le bruit des vagues. Peut-être est-ce pour cela que j’adore mon prénom. Océane, née de l’océan. Je peux être aussi calme que la mer étale en plein été ; je peux être aussi impétueuse que la mer démontée en plein hiver. Surtout en amour comme vous le lirez par la suite …
Je suis mariée à David qui va avoir 55 ans cette année. Il est lui aussi originaire de la région parisienne, du Val d’Oise plus précisément. C’est un français pure souche, un solide gaillard de 90 kg et il est patron d’une entreprise de travaux publics. Je me suis mariée à 21 ans et notre différence d’âge n’a jamais été un problème. Nous avons un fils, c’est notre soleil ! Les grands parents n’habitent pas très loin de chez nous, à une quinzaine de kilomètres seulement ; c’est pratique !David et moi adorons faire l’amour, je dirais même que nous adorons le sexe ! Mon mari est encore un excellent coup, bon bandeur et endurant. Il adore les petites jeunes sans distinction de physique, de religion ou de race.Depuis le temps que nous sommes ensemble, nous savons parfaitement comment nous fonctionnons au lit. Il adore me lécher la chatte et c’est un fan de la sodomie. J’ai beau être habituée, à chaque fois qu’il me prend par derrière, son sexe épais m’élargit le petit trou et il me faut bien deux jours pour m’en remettre.J’aime me donner entièrement, il en profite et j’adore ! C’est un mari attentionné, un excellent amant. Comme je l’ai déjà écrit, j’aime mon prénom, j’aime l’océan. Au lit avec mon mari, j’ai l’impression d’être un bateau qu’il barre d’une main douce et bienveillante. Pas d’à-coups, pas de changements de bords brusques, ni tangage ni roulis. C’est une croisière tranquille sur le fleuve Amour !Mais j’ai envie aussi, parfois, de n’être qu’une frêle coquille de noix ballotée par des flots tumultueux. J’aime alors que le capitaine aux commandes, seul maître à bord après Dieu, ait la poigne solide, n’ait pas peur de mettre toutes voiles dehors pour jouer avec la tempête et me faire affronter les Quarantièmes Rugissants. Mais mon mari est bien trop doux !
Mais j’ai finalement de la chance car il me connait très bien et sait ce que j’aime. En navigation, il arrive fréquemment que le capitaine du navire confie la manœuvre à un pilote pour les passages délicats, à l’entrée ou à la sortie du port ou bien sur une voie maritime difficile. De même, mon mari n’hésite pas à se faire assister régulièrement par quelques complices pour sortir des eaux calmes où je m’ennuie un peu et m’entraîner au milieu des vagues en haute mer où mon corps n’est qu’un bois flotté chahuté par les flots.Ce n’est pas pour lui déplaire et, maintenant qu’il y a lui aussi pris goût, il adore me voir soumise à des hommes de son âge, qui me traitent un peu comme un sac à foutre. Il apprécie tout particulièrement me voir déborder du sperme des autres, s’enfiler dans mes orifices souillés, y décharger à son tour avant de m’obliger à bien nettoyer sa queue avec ma langue.La dernière fois, il y a quelques jours, c’était avec deux collègues de travail qu’il a invités à dîner à la maison. Dans ces cas-là, on met le fiston chez papi et mamie pour ne rester qu’entre adultes consentants. Pratique !
Ce vendredi soir, ce sont deux gars dans la cinquantaine, un vrai breton et un black. Comme David travaille dans les travaux publics, il connaît beaucoup de blacks et de beurs. Il ne m’a jamais fait prendre par un beur, je crois qu’il s’en méfie ! Mais par les blacks, il adore ; surtout les sénégalais ! Le contraste de peau entre moi, légèrement métissée, et un black, bien noir, l’excite tout particulièrement. Alors là, avec un blanc et un black, cela fait un beau dégradé de couleurs !Depuis le temps, j’ai remarqué qu’il me choisit toujours des gars pas très beaux, parfois des gros, des poilus, des « plus tout jeune » et des pervers. Cela ne m’ennuie pas, bien au contraire car j’aime n’être qu’un objet de plaisir. Je trouve cela excitant de baiser avec des hommes que je ne regarderais même pas dans la rue. Ce n’est pas que je sois prétentieuse mais eux n’en reviennent pas de pouvoir se taper une fille comme moi. Le côté humiliation m’excite, je suis une vraie salope je crois !Comme à chaque fois, je m’habille sexy avec de la lingerie rouge ou mauve, parfois blanche ; cela ressort bien sur ma peau mate. Pour ces deux-là, j’ai choisi un bel ensemble violet, soutien-gorge pigeonnant et tanga bien moulant, et des bas auto-fixant. Pour ne pas être provocante et jouer le rôle d’épouse timide qui m’est assigné, je porte un chemisier et une petite robe ; des escarpins à lanières complètent ma tenue.
Nous sommes installés à table et je suis entre les deux invités. Les trois hommes discutent de différents chantiers en cours, je fais un peu pot de fleur. Mais bien rapidement, mon mari commence à plaisanter en soulignant à ses deux copains combien il a de la chance d’avoir une épouse aussi jeune et aussi séduisante. Bien évidemment, les deux autres ne peuvent qu’acquiescer et lui rétorquent qu’ils aimeraient bien avoir cette chance.
Puis, pendant la suite du dîner, à chaque fois que je me lève de table pour aller chercher la suite du repas ou pour desservir, j’entends David qui vante mes qualités physiques-    Oui c’est un petit gabarit mais vous avez vu ses seins ?-    C’est une sportive ! Vous avez vu les fesses et le cul qu’elle a ?-    Et sa bouche, vous ne pouvez pas imaginer !Progressivement, les deux convives se laissent aller à des commentaires.-    C’est vrai qu’elle a une jolie poitrine.répond l’un.-    Oui, ça se voit qu’elle fait du sport !reprend l’autre.-    Du sport en chambre !enchaîne le premier.-    Oui Denis, tu ne dois pas t’ennuyer au lit avec une femelle comme elle.conclut le black.
Le dîner achevé, nous passons au salon et je suis de nouveau placée entre les deux copains de mon mari sur un petit canapé où je ne peux pas faire autrement que d’être à portée de main. Je continue à jouer la timide tout en buvant de petits verres de digestif servi par mon mari.Comme il est d’usage, je fais semblant d’être un peu grisée par l’alcool et donc de moins en moins hostile à leurs mains baladeuses sur mes jambes ou mes fesses. Mon mari me lance alors-    Allez chérie, montre-nous tes jolies gambettes de sportive !Mon refus est bien timide et je ne peux que relever ma jupe lorsque les deux gars scandent-    Oui, plus haut, plus haut !De fil en aiguille, je me retrouve debout en lingerie au milieu du salon. Mon mari me sert un nouveau verre et dit à ses deux copains    Je suis un peu crevé par ma journée. Je vais m’allonger un peu.Il se lève et, avant de quitter la pièce, il me lance    Chérie, occupe-toi bien de mes deux copains. Comme ils ont un peu bu, il vaut mieux qu’ils dorment dans la chambre d’amis et ne partent que demain matin.Me voici donc seule avec les deux hommes mais je sais que David ne va rien perdre du spectacle. Une petite caméra est cachée dans un coin de la pièce et, de notre chambre où est installé un écran, il va pouvoir vérifier que je me comporte comme il l’a demandé. Bien vite, je n’ai plus que mes bas et mes escarpins !
Ces deux hommes vont me caresser et me lécher ; je vais les sucer et les branler. Nous allons nous embrasser à pleine bouche, nous allons nous étreindre comme des bêtes et j’imagine mon mari nous regardant bien installé sur notre lit.Une fois qu’ils sont bien excités et qu’ils ont compris que j’étais à leur disposition avec la divine bénédiction de mon mari, je vais subir leurs assauts à répétition. Ils profitent de mes orifices ; je suce le black tandis que le breton me prend la chatte. Même la bouche pleine, j’arrive à couiner comme une truie car je sais que cela excite mon mari.Une fois bien ouverte, le black peut me prendre à son tour. Même si j’ai l’habitude des gros calibres africains, je préfère être préparée avant par une queue « plus conforme » dirons-nous. Je suis empalée sur le black dont la bite coulisse maintenant en moi sans difficulté. L’autre vient se placer derrière moi et me lèche les fesses. J’adore ces situations perverses où on fait fi de son éducation, de sa religion et de sa morale. Nous ne sommes plus que trois bêtes assoiffées de sexe en pleine débauche.Je ne sais pas si c’est l’excitation ou une longue abstinence mais le black décharge dans ma chatte. Je reste sur lui, ondulant du popotin, gémissant de plaisir dans mon rôle de star du porno pour mon spectateur préféré. Le breton me serre si fort la taille qu’il me fait un peu mal. Mais c’est un mal pour un bien car il jouit à son tour et me remplit le fondement.
Le reste de la nuit se passe dans la chambre d’amis entre saillies et repos. A chaque fois que les deux mâles reviennent à l’assaut, je couine de plaisir et cela résonne dans toute la maison. Vous comprenez pourquoi le fiston dort chez papi et mamie !Mon mari aime m’entendre crier de plaisir et de temps en temps il vient passer une tête par la porte qui n’est pas fermée. Il jette un simple coup d’œil puis s’éclipse rassuré ; j’assume le rôle d’épouse timide, mais bien salope, qu’il m’a assigné.Au réveil, je dois repartir au combat car mes deux amants de la nuit souhaitent en profiter une ultime fois avant de prendre congé. Pas de préliminaires, cela n’est d’ailleurs pas nécessaire ! Le breton s’allonge sur le lit et m’attire à lui. Pas besoin d’être voyante pour deviner que le black a envie de profiter de mon petit cul dont son copain a eu jusqu’à présent le privilège. La queue du breton n’a aucun mal à pénétrer ma chatte toute poisseuse de foutre. Mais pour la grosse queue du sénégalais, c’est un peu plus délicat. Celui qui est dessous m’attire tout contre lui et me tète les seins tout en me baisant. Cela m’excite ! Le black a compris la manœuvre et il me mordille dans le cou pour me rendre encore plus chienne. A ce jeu-là, ils sont sûrs de gagner car je suis vraiment une « corporelle » qui aime que l’on m’utilise la moindre parcelle de son corps.De fil en aiguille, de coups de rein en coups de queue, le sénégalais arrive à m’enculer jusqu’à la garde. Il s’immobilise quelques instants, certainement pour savourer la victoire de sa grosse bite sur mon petit cul. Mais cela ne dure pas longtemps et le voici qui me besogne avec vigueur. Je suis vannée mais je continue à jouer le jeu. Je gémis, je couine, je donne tout ! Le peu de jus qu’il leur reste se mêle aux reliefs des saillies et enculades précédents.
La maison a retrouvé son calme, les deux gars sont repartis le moral regonflé à bloc et les couilles bien vidées. Je suis encore au lit dans la chambre d’amis lorsque mon mari vient m’y retrouver. Il me dit-    Les deux copains sont ravis de l’accueil ! Ils m’ont longuement remercié …Puis il retire son pyjama et vient sur moi ; sa queue est déjà raide.-    Tu es pleine de foutre ma chérie ! me lance-t-il comme si je ne le savais pas.Il me prend à la missionnaire mais je suis tellement ouverte et gluante de la chatte que je ressens à peine sa queue dans mon sexe. Mais je ne vais surtout pas lui dire ! Lorsqu’il est satisfait de cette première inspection, il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, me saisis par les hanches et m’embroche. Sa queue dans mon cul fait comme un doux clapotis, il jouit vite, c’est marée haute dans mes orifices !
Le lundi au bureau, comme je le fais tous les jours après avoir pris mon déjeuner et avant de reprendre mes dossiers, je vais sur le site Xstory pour lire quelques histoires. Je me suis inscrite il y a quelques jours ; ce que j’aime ce sont les histoires de femmes soumises, de saillies perverses et de machos virils. Une histoire m’excite tout particulièrement, c’est « Comment je suis devenu la salope de la cité ». Je rêve de vivre une telle expérience, il va falloir que je demande conseil à l’auteure …
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