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La kahba et les deux chibanis.

Chapitre 5

Une kahba qui aime ça ...

Avec plusieurs hommes
Ce mardi en fin de journée, rentrant à la maison plus tôt que prévu ; je découvre mon mari au lit avec une jeune beurette. Comme nous sommes un couple libre, mais ça vous l’aviez compris depuis longtemps, je ne suis pas spécialement offusquée car je fais aussi des rencontres de mon côté. Il me la présente, elle s’appelle Samira. Elle ne doit même pas avoir vingt-cinq ans et je reconnais bien là mon mari. Plus âgé que moi, c’est un quinquagénaire qui a besoin de se rassurer en se tapant régulièrement des petites jeunettes.Nous voici assis tous les trois dans le salon en train de prendre l’apéro. Au cours de la conversation, David mon mari laisse échapper quelques réflexions qui me font comprendre que Samira lui a été présentée par les deux vieux chibanis du restaurant. Ainsi donc, il a fait affaire avec eux et m’a en quelque sorte échangée contre Samira. Il leur offre sa femme, chaude métisse de 32 ans, pour qu’ils en profitent autant qu’ils veulent et se voit offrir en retour une petite beurette. Les deux petits vieux sont peut-être de la famille de Samira et il n’est pas impossible qu’ils lui aient mis un marché en main, faire perdre la tête à ce chef d’entreprise quinquagénaire tandis qu’ils font de sa femme une vraie petite pute. Oui, je suis certaine que mon coquin de mari s’est moqué de moi. Il m’a fait croire qu’il acceptait, malgré ses réticences, de me faire rencontrer des beurs parce que j’y tenais vraiment. Mais en fait, il a profité de mes envies pour satisfaire les siennes avec cette jeune Samira. J’ai bien l’intention de me venger de lui en me comportant comme une vraie kahba avec mes deux chibanis.
Le weekend approche et ce vendredi soir, alors que nous venons de terminer le dîner et que notre fiston est parti chez mes parents, je dis à David, comme si de rien n’était-    Que dirais-tu de passer le weekend avec Samira ? Il me regarde et me répond-    Oh oui, ça me tente bien ! Çà ne te dérange pas ?Je lui fais un grand sourire-    Non, je vais en profiter pour aller voir les deux vieux arabes.Il me répond aussitôt, comme s’il voulait se donner bonne conscience-    Oui tu as raison, ils seront ravis de te revoirLe lendemain, Samira arrive à la maison vers 14h00. Je suis en train de préparer un petit sac avec mes affaires de toilette et quelques vêtements de rechange. Lorsque je descends au salon, mon mari est déjà en train d’embrasser goulument la petite beurette. Le salaud, il pourrait au moins avoir la décence d’attendre que je sois partie avant de lui faire son numéro de séducteur.Sans même lui dire au revoir, je sors de la maison et me dirige vers ma voiture. Je m’installe au volant et jette un ultime coup d’œil vers la fenêtre de notre chambre. Je ne doute pas un instant que David a déjà entraîné Samira vers le lit conjugal et est en train de lui conter fleurette. C’est sûr que les deux chibanis vont pouvoir profiter de moi, mon salaud de mari m’a tellement énervée que je suis prête à tout accepter de leur part et de leurs clients. Il n’y a pas plus salope qu’une épouse bafouée par son mari devant sa rivale !
Lorsque j’arrive à l’hôtel restaurant L’Alhambra dans le quartier de Kérihouais, je me dirige directement vers la cuisine. Moussa et Mohamed sont déjà en train de s’affairer, assurant à la fois la préparation des plats devant les fourneaux et le service en salle. Comme la dernière fois, ils sont en djellaba, pas très bien rasé, mais très dignes dans leur tenue traditionnelle. J’imagine que pour eux, c’est comme s’ils étaient au bled car ils sortent très peu et toute leur vie se concentre dans cet hôtel restaurant décoré aux couleurs de leur Kabylie natale.En me voyant leur visage s’éclaire, je les embrasse sur la bouche pour leur montrer que je ne suis pas là par hasard. Moussa me dit-    Bonjour ma belle. Tu restes avec nous jusqu’à ce soir ?Je lui montre mon sac et lui réponds-    Je suis là pour deux jours si ça ne vous ennuie pas.Mohamed est ravi-    Mais non, bien au contraire. Ton mari est absent tout le week-end ?Je lui réponds avec une petite pointe d’ironie-    Non, il passe les deux jours avec Samira, une petite beurette qu’il a rencontrée récemment.Moussa a compris que j’ai compris
-    Ah oui, c’est une bonne petite ! Je crois que ton mari voulait depuis longtemps rencontrer une beurette bien chaude. Samira est une nièce et elle nous rend service de temps en temps.Je lui rétorque-    Moi aussi, je suis là pour vous rendre service, tous les services que vous voulez !
Deux minutes plus tard, me voici en train de déambuler de table en table dans la salle du restaurant pour servir et desservir les plats. Comme la fois précédente, j’ai mis une tenue très courte qui permet aux clients de bien me mater les jambes. Ils peuvent également caresser tant qu’ils le souhaitent.Il n’y a là que des hommes, dans la force de l’âge, plutôt des quadra et des quinquagénaires. Ce ne sont pas des cols blancs, ni des ronds de cuir. Non, ce sont des travailleurs de force ; cela se voit à leurs visages burinés et à leurs corps massifs. J’aime leurs mains rugueuses sur mes cuisses et leurs grosses paluches sur mes fesses. A une table occupée par trois solides gaillards, je dépose un grand plat de couscous et tout ce qui va avec. L’un des hommes glisse une main par derrière mes jambes, remonte bien haut entre mes cuisses et me serre assez fort pour m’empêcher de repartir. Sans même me regarder, l’homme dit quelques mots en arabe aux deux autres. Je comprends qu’il parle de moi car ses deux copains de table me regardent avec des yeux brillants et j’ai saisi le mot « kahba » dans les propos qu’ils ont échangés. Il me dit alors-    T’es une jolie p’tite métisse. Moussa m’a dit que tu t’appelles FadiaJe suis surprise par cette nouvelle mais j’acquiesce-    Oui c’est cela. Je suis Fadia !L’homme poursuit-    Sais-tu que ce prénom signifie en arabe « Qui est prête au sacrifice » ?Je réussis à m’extirper de sa main et je lui réponds avant de repartir vers la cuisine-    Oui, je suis prête à tout donner !Il me lance-    Moi c’est Djawad et ça veut dire « Le cheval pur-sang arabe ».
Une fois tous les clients partis, j’aide Moussa et Mohamed à ranger la salle puis à faire la vaisselle. Il doit être maintenant 15h00 et Moussa me dit-    Momo et moi on va se reposer un peu car la soirée va être longue. Tu vas monter dans ta chambre et t’occuper de quelques copains. Depuis ton dernier passage ici, ta réputation a grandi dans le quartier du Kérihouais. Les vieux ne parlent que de toi, la jolie métisse de l’Alhambra, la petite kahba de Moussa et Momo.Mohamed surenchérit-    Oui, grâce à toi la dernière fois, on a fait de super affaires ! Il n’y a pas un jour où on ne nous demande pas quand tu reviens. Tu sais, nous avons dû refuser du monde pour cet après-midi. Mais bien évidemment, on t’a choisi que du beau monde. Allez monte et sois une bonne petite pute.Je monte au premier étage et retrouve la même petite chambre que la dernière fois. Ce n’est pas un cinq étoiles mais la pièce est propre et lumineuse, il y a un petit cabinet de toilettes avec lavabo, douche et WC. Je retire mon tablier blanc et me pomponne le visage ; je force le trait pour être volontairement provocante voire outrancière.
Je m’allonge sur le lit et somnole un peu pour me reposer et économiser mes forces. Je suis presque endormie lorsqu’on frappe à la porte. Un homme entre, je le reconnais car il a déjeuné en bas ce midi. Je me lève et viens vers lui, il se serre contre moi et me dit-    Il parait que t’es une bonne kahba. J’ai envie d’une bonne pipe avant de rentrer chez moi.Comme une vraie professionnelle, je l’entraîne vers le lavabo et lui dis-    Allez, donne-moi ton gros zob que je le nettoie bien avant de m’en occuper.L’homme s’exécute, sort sa queue circoncise que je prends en main sous le robinet pour bien la savonner. Une fois cette petite toilette exécutée, je fais allonger l’homme sur le lit ; juste débraguetter c’est suffisant.Je me mets à quatre pattes sur le lit, les fesses tournées vers son visage au cas où il aurait envie de me brouter la touffe. Mais comme je m’en suis rendue compte depuis je fréquente des beurs, ce ne sont pas des adeptes des préliminaires raffinés.Je le pompe avec voracité et sa bite palpite dans ma bouche. Il daigne me mettre la main au cul et me chatouille l’œillet d’un doigt. Soudain, sans me prévenir et sans management, il m’appuie sur la tête et me bloque contre son bas-ventre. J’ai un haut le cœur mais j’arrive à me contenir. Son gland est au fond de ma gorge et il se vide à grands jets. Il continue à appuyer sur ma tête et, pour ne pas étouffer, je suis obligée de déglutir et de tout avaler. C’est ce qu’il voulait !
Pendant près deux heures, cinq ou six arabes vont se succéder dans ma petite chambre. Je ne sais rien des tractations qu’ils ont pu avoir avec Mohamed et Moussa mais je sais que je dois répondre à leurs attentes. Il est fort probable que certains ont dit vouloir simplement se contenter d’une pipe mais, une fois avec moi, ils profitent en douce d’un petit supplément. Moi je m’en moque et les deux chibanis ne sont pas là pour vérifier !Ce que j’aime avec les arabes c’est leur côté viril et endurant. Avec eux, ni sentiments, ni chichis, ni fioritures ! Avec eux, c’est le retour à l’instinct primaire, la baise à l’état brut, la saillie animale. Dans mon entreprise, compte tenu de mon statut de directrice commerciale, on me vouvoie et pour la quasi-totalité du personnel, je suis « Madame Lachaud » ; il n’y a que le patron et deux autres directeurs de service qui m’appellent « Océane ». Ici à l’Alhambra, on ne connaît pas mon nom de famille et on se moque de mon vrai prénom. Ici on me tutoie sans vergogne, quelques-uns s’amusent à m’appeler « Fadia » mais pour tous je suis « Kahba », la pute, la salope de Mohamed et Moussa. Comme je l’ai remarqué, les arabes adorent m’enculer ; je ne sais pas si c’est à cause de l’attrait de ma croupe ou si c’est leur façon normale de traiter les femmes non musulmanes. Avec moi il y a certainement un peu des deux. Oui, j’ai un popotin qui attire immanquablement le regard des hommes. Des reins cambrés, des fesses rondes et bien fermes, cela suffit à les rendre fous. De plus, comme je suis mariée à un français pure souche, je ne doute pas que cela les excite encore plus de se taper la femme d’un autre.
Vers 19h00, alors que je m’apprête à descendre pour servir le dîner, Moussa entre dans ma chambre et me dit-    Allez allonge-toi petite salope. Je vais te baiser avant que l’on retourne au boulot. Tandis que je retire ma jupe et mon chemisier, il enlève sa djellaba et se rapproche du lit. Sa queue flétrie pend entre ses jambes au-dessus de ses couilles toutes fripées. Je prends sa tige en bouche et commence à la pomper. Le vieux chibani a encore de beaux restes car le voici qui réagit déjà à mes succions et aspirations. Lentement, sa queue grossit, se tend et se redresse comme un obélisque que l’on érige avec lenteur vers le ciel.Forte de ma première journée de travail à l’Alhambra, je sais qu’il aime se faire malaxer les bourses tout en se faisant sucer. Je salive à fond pour bien faire coulisser sa hampe entre mes lèvres et je lui presse les burnes en faisant remonter les testicules vers le haut. Il est aux anges-    Oh oui, continue comme ça ! Quelle bonne kahba tu fais !Soudain, il repousse mon visage de son bas-ventre et je comprends qu’il a peur de se vider dans ma bouche. Il m’ordonne-    Mets-toi en levrette que je m’occupe de ton cul.En voilà un de plus qui délaisse ma chatte pour m’enculer. Ils sont bien tous les mêmes !Je lui tourne donc le dos, m’installe à quatre pattes sur le lit et lui tend ma croupe. Je l’entends cracher sur ses doigts avant qu’il ne m’enduise bien la rondelle. Il place son gland sur ma rondelle et m’enfile d’un coup sec. Les arabes ne s’embêtent jamais en préliminaires, ça je le sais depuis que j’ai baisé avec les deux jeunes frères. Mais je crois que les vieux sont pires que les jeunes, mes deux chibanis ne doivent même pas savoir ce que c’est que de caresser une femme ou lui dévorer la chatte. D’ailleurs, après seulement quelques va et vient, Moussa se raidit et se soude à ma croupe en me tenant fermement par la taille. Il jouit et m’inonde le boyau.
Une fois qu’il s’est retiré, je m’apprête à aller prendre une bonne douche mais Moussa me lance-    C’est pas la peine ! D’ici la fin de soirée tu te seras encore fait baiser et tu seras de nouveau pleine de jus. Les mecs s’en foutent, alors on descend bosser.Il sort de la pièce et je l’entends descendre les escaliers. Je remets mon string qui colle aussitôt à ma fente toute poisseuse. Je réajuste ma jupe et mon tailleur et me remaquille devant le petit miroir fixé au mur.Quelques instants plus tard, je rejoins les deux chibanis dans la cuisine où se répandent de nouveau des effluves de cuisine orientale. Alors que je passe près de Mohamed, il me met la main aux fesses et son index s’insinue entre mes jambes. Il me dit en souriant à Moussa-    Tu es pleine de foutre. T’es vraiment une bonne kahba et ce soir ils vont tous vouloir te baiser. On va augmenter le prix du menu !Je lui fais un grand sourire et je lui réponds-    C’est vous les patrons ! Et ici le client est roi !Je m’élance vers la salle pour prendre les premières commandes. Tous les regards se portent sur moi. Je suis leur pute et j’aime ça. La soirée et la nuit vont être animées …
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