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Karine, chef d'équipe.

Chapitre 1

Hétéro
Elle s’appelle Karine, elle a 36 ans et est mère de deux filles. Karine est chef d’équipe dans une société de nettoyage qui est en contrat avec un centre commercial. Son mari, Olivier, est agent de sécurité incendie dans le même centre : comme quoi boulot et vie privé peuvent se mélanger.
Sous l’œil et le nez de son époux, Karine trompe son homme. Elle aime la bite, autant jeune que vieille. Elle s’en régale et en redemande. Tout le monde sait que c’est une pute, sauf un : son mari !
Nous sommes mardi ; dans le centre, c’est calme. En semaine, il n’y a jamais grand monde : les gens travaillent, les gosses sont à l’école et, à part quelques péquenauds, c’est plutôt vide ; alors, Karine compte en profiter. Elle prévient son équipe qu’elle va à son bureau remplir quelques feuilles, mais son équipe sait déjà qu’elle va surtout se trouver une queue.
Karine traverse le centre, cherche sa proie et ne trouve rien de comestible ; du coup, elle sort du centre pour s’allumer une clope. Là, elle voit un groupe de jeunes qui matent vers elle mais, encore une fois, elle n’est pas satisfaite de leurs gueules. Elle soupire et finit sa clope en se disant que, finalement, elle va réellement faire quelques papiers. Elle traverse une passerelle et entre dans un immeuble, puis appuie sur le bouton de l’ascenseur. Une fois à l’intérieur et au moment où les portes se ferment, une main les retient. Karine recule et un homme entre dans la cabine.
– Bonjour ! – Bonjour... répond-elle.
Il a la cinquantaine, les cheveux grisonnants, des yeux aussi verts que du raisin bien mûr. Un bel homme.
– Quel étage ? demande-t-elle en appuyant sur le troisième pour elle. – Le même ! Je vais voir madame Losten. – Oh, elle n’est pas présente aujourd’hui ; mais je peux peut-être vous aider ?
Le temps d’échanger ces quelques paroles, les portes s’ouvrent. Il laisse Karine sortir la première et la suit.
– C’est bien possible ; nous avions rendez-vous hier et j’ai oublié mon attaché-case dans son bureau… dit-il en grimaçant légèrement. – Oh, si ce n’est que ça… Suivez-moi !
Karine se dirige vers la première porte en se déhanchant ; bien évidemment, l’homme regarde ce joli petit cul qui se dandine. Elle introduit son pass et les portes s’ouvrent. Elle continue sa route et s’arrête devant la porte d’un bureau. Fouillant ses poches pour sortir son trousseau puis la bonne clé, elle finit par ouvrir la porte et invite l’homme à entrer. Elle referme derrière elle et lui trouve son attaché-case sur le sol ; il le récupère. Karine sourit poliment en s’installant derrière le bureau.
– Ah, merci ! dit-il en regardant Karine. J’ai dû refaire 30 kilomètres pour le récupérer. Vous savez ce qu’on dit : quand on n’a pas de tête, on a des pieds !

Karine rit doucement avant de se lever, les mains sur le bureau, la poitrine en avant.
– Vous devez en avoir marre de tout ce trajet. Je vous offre un café avant de repartir ? – Ma foi, pourquoi pas ?
Il repose son attaché-case et s’installe ; Karine rejoint la machine Senseo et l’allume.
– Au fait, je me nomme Karine. – Enchanté : je suis Alain. – Enchantée également ! coupe-t-elle en le regardant par-dessus son épaule. Vraiment !
Elle dépose une tasse de café devant lui et s’installe sur le coin du bureau.
– Je peux être franche avec vous, Monsieur ? – Appelez-moi Alain, dit-il avec une certaine méfiance. – Vous avez une tache noire sur votre joue, Alain...
Il ouvre de grands yeux et éclate de rire, comme soulagé. D’un pouce mal assuré, il tente de s’essuyer. Karine attrape un mouchoir et le mouille légèrement avant de revenir vers lui.
– Laissez-moi faire, dit-elle en se plaçant devant lui, lui louchant sur le léger décolleté. – Merci... Comment puis-je vous remercier de m’avoir évité de paraître sale et débile ?
Elle rit légèrement et s’installe sur le coin du bureau.
– Mmh, en me prenant sur le bureau de la patronne ?
Alain est sous le choc et hésite à rire ou ne pas rire, n’arrivant pas à savoir si elle plaisante ou pas.
Elle s’approche de lui, pose les mains sur les accoudoirs.
– Je suis sérieuse, Alain. J’ai envie de me faire baiser. Je suis désolée si cela vous choque. Vous n’aurez qu’à me dire non et on oublie tout...
En disant cela, Karine s’approche de sa bouche.
Alain hésite encore une à deux secondes, puis il lui attrape les lèvres et l’embrasse fougueusement, l’attrape par la taille et l’attire sur ses jambes. Assise, elle desserre la cravate d’Alain, défait les boutons. Quant à lui, il passe ses mains sous la chemise de Karine et empoigne ses seins avec force. Leurs langues se mêlent. Elle ondule du bassin contre l’érection naissante. Alain n’y tient pas plus longtemps : il l’attrape sous les fesses et se lève pour la déposer sur le bureau. Il défait le pantalon de Karine ; elle défait sa ceinture et sa braguette pour en sortir la queue bandée d’Alain, qu’elle branle avec envie. Alain recule, le temps de retirer une des jambes du pantalon et de la culotte de Karine, et revient contre elle. Les cuisses écartées de Karine l’invitent à s’enfoncer. Sa bite se glisse en elle ; elle pousse un gémissement de plaisir.
– Mmh, enfin une bite ! geint-elle.
Alain, en bougeant son bassin, défait les boutons de la chemise et sort les seins de Karine du soutif. Il la pousse à se coucher et vient lui aspirer un téton tandis que sa main droite lui masse l’autre sein. Le bras gauche passé sous la jambe droite de Karine, il va et vient au fond de son vagin avec puissance, la faisant gémir de plus en plus fort.
– C’est ça que tu voulais ? Mmh… T’aimes ça… – Oui, oui ! Continue, t’arrête pas !!
Il ne compte pas s’arrêter. Il la lime vigoureusement, sentant la mouille de Karine couler sur ses couilles. Il se redresse, attrape sa deuxième jambe et les pose sur ses épaules.
– Oooh ouuiii... Je la sens biiien !! – Mmh, salope !
Karine geint de plus en plus fort, sentant en elle une boule prête à exploser. Elle se retient sur le bord du bureau, les seins ballotant au gré des coups de queue qu’elle reçoit. Au moment où elle sent qu’elle va jouir, il décide de se retirer et la fait se retourner. Le cul pointant vers la queue, il se penche, embrasse son dos et enfonce deux doigts dans la chatte humide.
– Bordel, t’es aussi pute que ta patronne ! lâche-t-il, surexcité. – Nat... Nathalie ? bégaye-t-elle.
Au lieu de répondre, il retire un de ses doigts et l’enfonce dans l’anus de Karine qui pousse un cri de surprise.
– Elle préfère que je la prenne là...
Karine est en transe, sentant les deux doigts s’activer dans les deux trous. Les yeux clos, la bouche mi-ouverte.
– Mmm, mmmhh ! OuuuiiIi, encule-moi ! Encule-moi !
Il continue de lui baiser les deux trous avec ses doigts avant de les retirer et de placer son gland à l’entrée de son cul.
– J’ai jamais autant aimé mon boulot ! grogne-t-il en s’enfonçant dans le fion.
Il y va à fond, ressort et recommence avant d’entamer un va-et-vient puissant et profond. Karine hurle de plaisir, en bave presque, tant c’est bon. Alain empoigne les cheveux de la petite pute et continue de défoncer la rondelle dilatée par ses coups de queue.
– T’aimes ça, salope ?! Tu l’aimes, ma queue ?! – Oh ouuIII, ouiiiiiiIII... Vas-y, encule-moi plus for…, OuuUUuiIii !
Et il l’encule encore plus fort, tapant ses couilles contre son clito ; le bureau bouge sous la force de ses coups répétés. Il lui gifle le cul, ralentit la cadence et attrape l’un de ses bras pour la tirer en arrière. Il la coince entre le ventre posé et les seins en l’air, et reprend son rythme. De l’autre main, il empoigne son sein et pince le téton. Elle couine comme une chienne, mouille davantage.
– Pute ! C’est bon, dans ton cul… J’vais te le remplir, salope !
Et il y va de plus en plus fort, jusqu’à exploser, lui remplir le fond de son foutre. Elle hurle de jouissance ; la mouille lui coule sur les cuisses. Une fois vidé, il la relâche ; elle s’écrase sans douceur sur le bureau. Il recule, remonte son pantalon et referme sa ceinture. Karine reste étalée, le souffle court.
– J’espère que tu as eu ce que tu voulais ? demande-t-il en refermant sa chemise et resserrant sa cravate. – Oui… Oui, merci… murmure-t-elle avant de trouver la force de se redresser pour s’habiller. – Parfait ! dit-il avant d’attraper son attaché-case et de se diriger vers la porte. J’ai de la route à faire.
Karine finit de s’habiller et relève les yeux.
– Heu... Pourquoi aviez-vous rendez-vous avec la patronne, hier ? Habituellement, elle me dit tout ; mais là... non.
Alain se retourne et sourit en coin.
– Alain Bedford... Je suis le Directeur régional du groupe pour lequel tu travailles.
Karine ouvre la bouche sous la surprise, gênée ; elle ne sait quoi dire. Alain reprend la parole.
– T’en fais pas, ma belle salope : je ne dirai rien de ce qui s’est passé... J’espère juste que ton cul me sera à nouveau offert, la prochaine fois.
Sur ses mots, Alain quitte le bureau, laissant Karine bouche bée.
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