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Kary

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Lundi 4 avril :
— Oui, Hello.— Bonjour.— Qui est à l’appareil ?— Je suis une soumise prête à me dévouer pour vous.— C’est toi la petite salope qui a placé une annonce sur le site de rencontre bdsm ?— Oui.— Appelle-moi Madame, petite polissonne.— Oui Madame.— Tu demeures à quel endroit ?— Je demeure sur la rive sud.— Est-ce que tu as une voiture ?— Oui Madame.— Tu es libre aujourd’hui ?— Oui Madame... Toute la journée en fait...— Très bien... Tu vas mettre une jupe courte et une blouse blanche, puis tu vas te rendre au centre commercial Place Longueuil pour 12h00 exactement, tu vas te stationner près du poteau numéro 10. Ensuite tu vas entrer dans le centre commercial et tu vas aller t’adosser au mur du magasin La Vie en Rose. Tu y restes pendant 30 minutes. Et ne sois pas en retard, t’as compris...— Euh... oui Madame... Et ensuite ?— Ensuite, je vais voir si tu m’intéresses, alors je te mettrai au courant.
Puis j’ai entendu un clic et le bruit de fond d’un téléphone qui est raccroché. J’ai regardé ma montre et j’ai vu qu’il était 11h15. J’avais exactement 45 minutes pour me rendre à l’endroit prévu si je voulais entrer en contact avec cette Maîtresse. Au téléphone, elle m’avait parue avoir une voix autoritaire et légèrement rauque. Je ne savais pas, ni son âge, ni quelle apparence elle avait. Je nageais dans le mystère total. Mais il ne fallait pas que je rate ma chance. C’était peut-être la Maîtresse de ma vie, celle qui me sortirait de ma routine monotone.
Je me suis dépêchée, j’ai enfilé ma minijupe noire, un t-shirt blanc, parce que je n’ai pas de blouse de la couleur demandée et je me suis rendue dans le stationnement du centre commercial en question. J’ai trouvé le poteau #10, je suis entrée dans le centre commercial en regardant tous les passants que je croisais, espérant voir ma Maîtresse du coin de l’œil.
Une fois à l’intérieur, j’ai trouvé la boutique en question. J’ai été m’adosser au mur du magasin. Je portais ma petite jupe noire, mon t-shirt et mes espadrilles. Je sentais que tout le monde me regardait en passant près de moi. J’avais l’air d’une prostituée, style collégienne, qui attend son client, appuyée sur le mur d’un magasin de lingerie fine.

Pendant toutes ces longues minutes à attendre, j’imaginais chaque femme qui passait devant moi comme l’éventuelle Maîtresse. Tout cela m’excitait au plus haut point, ma machine à fantasme roulait à plein régime. Je suis certaine que toutes ces femmes ne se doutaient pas qu’elles avaient une influence sur mon rythme cardiaque et l’humidité de mon entrejambe.
Mais finalement, l’excitation commençait à diminuer avec le temps qui passait, je n’ai jamais vu la Maîtresse se pointer. Aucune femme ne m’a abordée. Peut-être en me voyant, avait-elle trouvé que je ne lui convenais pas.
Après 35 minutes bien comptées d’attente interminable, je suis retournée à ma voiture, déçue et abattue. Je voyais le chemin de la découverte d’une Maîtresse qui me convenait, être long et pénible. Encore une fois, cela avait été un fiasco. Arrivée à ma voiture, je prends place devant mon volant, la tête baissée et malheureuse. Encore une fois, la vie que j’espérais m’échappait. Elle m’avait sûrement observée devant le magasin et je n’étais pas son type de femme, elle avait passé son chemin.Soudain, mon téléphone sonne et me sort de ma rêverie sombre...
— Oui, hello.— Bonjour, petite salope, je t’ai regardée devant le magasin et je crois bien que tu es la chose dont j’ai besoin. Alors, tu veux vraiment devenir ma soumise ?— Oui Madame, mais est-ce qu’on pour...— Ne discute pas, c’est la chance de ta vie que je t’offre. Je le répète, est-ce que tu veux devenir ma soumise ?
J’étais stressée, elle ne voulait pas discuter. Je voulais vraiment devenir la chose d’une Maîtresse qui m’utiliserait à sa guise. Cela comportait de grands risques. Je n’avais jamais vu cette femme, je ne la connaissais pas, quels étaient ses intentions ? Mais, j’en avais tellement envie. Après plusieurs secondes de réflexion nerveuse, je me suis décidée, il fallait que je me lance...
— euh... Euh... Oui.— On dit, oui Madame, habitue-toi au respect.— Euh... Oui Madame.— Bon, très bien... Alors, pour me prouver que tu es intéressée, sors de la voiture et fais-en le tour.— Oui Madame.
Je suis sortie timidement de ma voiture et j’ai commencé à en faire le tour. Je regardais dans toutes les directions à la recherche de cette femme qui m’observait sûrement. Je tenais toujours mon téléphone à la main. Lorsque je suis revenue à la hauteur de la portière côté conducteur, la voix de la Maîtresse s’est de nouveau fait entendre.
— Enlève ta culotte immédiatement.— Mais, Madame...— Ne discute pas, sinon, je mets fin à notre rencontre.—... Bien Madame.
Si je voulais avoir la chance d’être prise en main, je devais continuer de lui obéir. Même si je courais un risque potentiel, je ne pouvais pas tout laisser tomber comme ça. Il y avait tellement longtemps maintenant que je cherchais désespérément une relation de ce type. Je devais tout tenter pour enfin vivre mon rêve le plus viscéral.
J’ai fait un second tour d’horizon pour voir si personne ne regardait ou pour enfin apercevoir cette femme mystérieuse. Personne, doucement, je retire ma culotte. Je sens une douce brise caresser ma vulve glabre et humide. Un frisson envahit tout mon corps.Je suis au milieu de cet espace de stationnement, ma culotte à la main, me sentant observée, je me sens comme dans un rêve...
— Place ta culotte sur le siège arrière de ta voiture et retourne t’asseoir devant.— Bien Madama.— Hum ! J’aime bien ça, une petite salope obéissante, moi. A présent, tu vas laisser tes portières déverrouillées, tu vas pencher ta tête en avant et regarder tes pieds, ne dis pas un mot et ne te relève surtout pas avant que je te le dise, compris ?— Oui Madame.
Je me suis donc retrouvé les fesses à l’air, assise dans ma voiture tout en regardant le plancher. Je suis restée dans cette position tout en écoutant mon cellulaire. J’entendais la respiration de la Maîtresse au bout du fil.Soudain, j’ai entendu la portière arrière de mon véhicule s’ouvrir et se refermer. Je suis devenue toute tremblante et nerveuse. Après quelques bruits que je n’ai pu identifier, elle a commencé à me parler.
— Ferme ton téléphone et relève la tête.
J’ai donc fermé mon téléphone et j’ai relevé ma tête. Ma première réaction a été de regarder dans mon rétroviseur pour essayer d’apercevoir la Maîtresse qui était assise derrière. Mais à ma grande surprise, je me suis aperçue qu’elle avait placé une cagoule de latex sur sa tête. Tout ce que je pouvais voir, c’était sa bouche et ses yeux qui me semblaient d’un bleu hypnotisant. Elle tenait ma culotte à la main et elle semblait s’en amuser.
— Écoute-moi bien... Si tu désires devenir ma soumise, tu dois me faire entièrement confiance. Sache que jamais je ne mettrai en péril ton travail ou ta vie familiale. Je vais toujours prendre soin de toi et je vais prendre en compte tes limites. Alors, fais-moi confiance et ne discute plus mes ordres. Compris ?— Oui Madame.— Alors, tu veux bien devenir ma soumise, petite salope ?— Oui Madame.— Très bien, quel est ton nom et en quelle année es-tu née ?— Je m’appelle Karine et je suis née en 1989 Madame.— Très bien... Alors ton nom, c’est Karine, avec un kilo ?— Oui Madame.— Bon, prends cette clé USB, elle contient un fichier qui va te donner les étapes à suivre pour devenir ma soumise. Tu vas retourner chez toi immédiatement et tu vas te créer une adresse qui sera karine1989@xxxxxxx. xxx. Ensuite, tu vas ouvrir le fichier qui est sur la clé et tu vas suivre les instructions à la lettre. Tu as compris ?— Oui Madame.— Parfait. Maintenant, penche-toi de nouveau et regarde le plancher. Tu restes dans cette position aussi longtemps que ton téléphone ne sonne pas, compris ?— Oui Madame.
J’ai alors entendu un bruit, la porte s’est ouverte et elle est partie. Je suis restée dans cette position pendant quelques minutes puis mon téléphone a sonné.
— Oui Madame.— Allez petite salope, va chez toi, crée ta boîte mail et exécute les instructions de la clé. Dépêche-toi.— Euh... Oui Mad...
La ligne s’était coupée. J’ai placé la clé USB dans mon sac à main et je suis rentrée immédiatement chez moi, toute excitée...
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