Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 49 J'aime
  • 1 Commentaire

Kary

Chapitre 12

SM / Fétichisme
Tourne à gauche au prochain feu, à droite au prochain arrêt, stationne-toi ici. Après plusieurs minutes de trajet, nous nous sommes retrouvées au centre-ville sur une rue très commerçante. Je suis descendue de la voiture et j’ai été ouvrir la porte pour que Madame puisse descendre. Après avoir verrouillé la voiture, j’ai commencé à marcher sur le trottoir dans la direction que Madame m’avait indiquée. Je n’avais aucune idée d’où nous allions. Puis soudain...
— Entre ici...
Je ne comprenais pas ce que nous faisions là. Madame m’avait fait entrer dans une boutique Apple. Elle voulait sûrement magasiner un peu en compagnie de sa soumise.
— Bonjour... Je peux vous aider mes demoiselles.— Absolument, nous venons faire l’achat d’un téléphone pour elle.— Que recherchez-vous exactement Mademoiselle, nous avons plusieurs modèles.— Elle va prendre le 6S plus de couleur rose.
Je me souviens très bien que Madame parlait toujours à ma place et que de fil en aiguille, elle magasinait un téléphone pour moi, mais pourquoi ? J’en avais un ! J’assistais à la configuration et à l’achat de l’appareil sans dire un mot. Bien entendu, c’est avec ma carte de crédit que l’achat a été réglé. Mon Samsung Androïde était hors d’usage désormais, depuis cette journée, je possède un Iphone 6S plus.
En sortant du magasin Apple, Madame m’a amené dans un petit café pour prendre un croissant et un latté. Bien entendu, j’ai réglé la note, là aussi. Nous nous sommes assises sur des tabourets près d’un comptoir qui offre une vue directe sur la rue au travers d’une grande vitrine panoramique. Madame m’a ordonné d’écarter les jambes pour le plaisir des passants. Chaque doigt qu’une personne défilait devant la fenêtre, mon sang se glaçait. J’espérais toujours que ceux-ci ne porteraient pas attention à mon entrejambe. Evidemment, cela était inévitable, l’un d’eux a été attiré par ma vulve toute glabre. Un peu plus loin, il a fait demi-tour pour venir repasser devant le spectacle que je lui offrais. J’avais tellement honte. C’était ma première vraie exhibition publique. L’homme s’était arrêté devant la vitrine, appuyé sur un poteau, aillant l’air de rien, il m’observait avec envie. J’avais tendance à refermer mes jambes tellement j’étais mal à l’aise.
— Laisse tes jambes bien ouvertes salope, fais plaisir à ce pauvre homme.— Oui Madame.
J’ai donc écarté mes jambes comme Madame me le demandait. Je voyais l’homme se titiller les lèvres en dégustant des yeux les miennes, celles d’en bas bien entendu. Puis, après un moment qui m’a paru interminable, Madame m’a autorisé à refermer les cuisses pour que l’homme n’ait plus rien à regarder. Finalement, il a repris son chemin. Mais Madame m’a ordonné d’ouvrir les cuisses à nouveau et le manège a repris. Tantôt je me faisais regarder par une femme, tantôt par un homme. 45 minutes plus tard, je commençais à apprécier ce manège dirigé par Madame. J’en étais devenue fière d’offrir mon corps à la vue de tous pour son plaisir.
— Nous retournons à la voiture.— Oui Madame.
De retour dans l’auto, après le long processus d’achat du 6S et du petit spectacle en vitrine au café, Madame m’a expliqué que désormais, elle pourrait me voir comme bon lui semble et à tout moment, grâce à la fonction Face Time de cet appareil. Elle étendait ses tentacules de contrôle sur ma vie. Elle m’avait bien spécifié que je devais avoir mon téléphone près de moi en tout temps et répondre immédiatement. Sur ses mots, elle avait fait quelques manipulations sur son téléphone que j’avais pu entrevoir dans mon miroir. Puis mon nouveau 6S a sonné. J’ai regardé l’écran et j’ai remarqué qu’une demande de vidéo Face Time en provenance de Madame Liane s’affichait. J’ai appuyé sur l’icône d’ouverture et la figure de Madame est apparue sur mon écran.
— Très bien petite salope, tu vois, il est déjà en fonction, à chaque fois que ton téléphone va sonner ainsi, tu devras répondre immédiatement et suivre mes ordres.— Oui Madame.— Et si tu ne réponds pas, tu as intérêt à avoir une bonne raison, la seule raison possible que je vois pour l’instant serait que tu sois au volant de ta voiture... Relève ta jupe et montre-moi ta vulve.
J’ai relevé ma jupe, espérant que les passants sur le trottoir ne remarqueraient pas mon manège. J’ai essayé de positionner le plus possible la caméra de mon appareil pour satisfaire Madame. Ensuite, elle m’a demandé de relever ma blouse pour dénuder mes seins et de lui montrer au travers du Face Time. J’étais devenue toute rouge, car plusieurs passants avaient vu ma manœuvre. J’en ai même vu un qui a insisté du regard tout en ralentissant le pas. J’étais terriblement gênée et rouge de honte, et ce malgré l’épisode du café. Je crois que c’est le temps qui va me façonner pour que je sois exactement l’objet que Madame désire que je sois. Puis soudain la conversation Face Time s’est interrompue. Madame m’a ordonné de démarrer la voiture et nous avons fait route pour une deuxième destination. De fil en aiguille, je me suis aperçu que nous revenions chez moi. Dans le garage, elle m’a ordonné de me foutre à poil. Ensuite, nous sommes montées au salon.
— Place-toi au milieu du salon... Les mains sur la tête.
Nue comme un ver, je me suis positionnée comme elle me l’avait demandé. Elle me tournait autour comme un prédateur sur sa proie. J’étais nerveuse ne sachant pas la suite des événements. Elle disparaissait de ma vue, puis elle réapparaissait. Sur son visage, je pouvais déceler une expression de déception. Je ne comprenais pas ce qui se passait dans sa tête, qu’est-ce qu’elle prévoyait faire avec moi.
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
— Ouchhhhh !— Tu m’as déçue ce matin petite merde... Tu as hésité à obéir au café et tu as refermé tes cuisses sans que je donne l’autorisation petite salope... Tu vas être punie pour ça.— Mais Madame...— Tu oses argumenter en plus, ça, ce n’est pas une bonne attitude petite pute... Là, tu vas la fermer et endurer ta punition sans dire un mot, sinon, je vais doubler la conséquence.
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
Madame a commencé à me donner des claques sur tout mon corps, tantôt les fesses, les seins, la vulve et même certaines étaient destinées à mes joues. Pendant tous ses assauts sur mon corps, elle me sermonnait sans arrêt.
— Plus jamais tu ne vas hésiter à obéir... Plus jamais tu ne vas discuter mes propos.
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
— Toujours, tu vas te grouiller pour exécuter mes ordres... Ta seule préoccupation va être de me rendre heureuse et de me faire plaisir.
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
— Tu vas t’habituer à prendre plaisir à me servir, à m’obéir, tu vas te conditionner à être heureuse à me servir.
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
Slackkkk ! Slackkkk ! Slackkk !
— Tu vas être mon animal fidèle et dévoué... T’as compris...— Snifff ! Ouchh ! Snifff ! Ouiiii Maaadaaammmee.
Tout mon corps était en feu. Je comprenais pourquoi, malgré les larmes qui coulaient de mes yeux, j’ai bien vu que Madame avait les mains toutes rouges. Alors j’imaginais très bien dans quel état étaient mes fesses et le reste de mon corps. Je suis resté au milieu du salon pendant plusieurs minutes avant que Madame m’ordonne d’aller à la salle de bain pour essuyer mes larmes et faire un pipi avant de lui préparer son repas. Dans la salle de bain, j’ai pu voir le reflet de mon corps dans le miroir. Mes fesses étaient vraiment rouges, ma vulve me faisait souffrir, il y avait des rougeurs sur mes joues et mon sein droit avait deux zébrures. Je me souviens très bien d’avoir été excitée par la vue de ce corps violenté. Ce corps qui était le mien. Oui, je me souviens très bien d’avoir ressenti à ce moment-là un sentiment de plénitude. J’étais heureuse que Madame me corrige et fasse mon éducation pour me rendre conforme à ses attentes.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, j’étais aussi heureuse d’avoir souffert pour le plaisir de Madame et afin de parfaire mon éducation.
Ensuite, j’ai préparé le souper pour Madame et j’ai eu droit au même traitement que le matin. J’ai mangé les restes de Madame à quatre pattes sur le plancher de la cuisine. En soirée, je lui ai servi de tabouret pour qu’elle puisse placer ses pieds, bien allongé pour regarder la télé. Et j’ai encore une fois dormi sur le petit matelas, sur le plancher dans le salon.
Oui, c’est ce qui s’est passé au mois d’avril l’an dernier. Je me souviens exactement de l’ordre des événements de ce mois. Ce mois a tellement marqué mon esprit. Ce mois qui a changé ma vie. Mais pour la suite des événements, mon esprit est moins vif. J’ai intégré l’idée d’être l’instrument de Madame et la nation du temps et de l’espace m’est apparue moins importante. A partir de la fin du mois d’avril, j’étais vraiment conditionnée à servir Madame et lui faisais totalement confiance. Alors, même en regardant un calendrier de près, j’ai de la difficulté à retracer les événements dans un ordre chronologique.
Mais je vais continuer à raconter les événements de mon histoire le plus possible dans l’ordre où ils sont arrivés... Il est certain aussi que le récit de ma vie avec Madame va me prendre plus de temps, Ma vie à tellement changé en 2017, Madame accapare presque tout mon temps libre, mais je vais faire de mon mieux...
A oui, je me souviens, cela devait être en Mai...
Diffuse en direct !
Regarder son live