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Kary

Chapitre 18

SM / Fétichisme
Ha ! Oui ! Fin juillet, la pire chose qui pouvait m’arriver...
J’avais dormi dans ma cage au donjon cette nuit-là. Après mon déjeuner et ma toilette, Madame m’a demandé de m’asseoir sur un petit tabouret en bois au centre de la pièce. Elle m’a demandé de laisser mes bras pendre de chaque côté de mon corps. Elle a été chercher un rouleau de pellicule plastique. Puis elle a fixé le bout du rouleau au bas du tabouret et a commencé à faire le tour de celui-ci en remontant doucement vers le haut. Mes chevilles et mes jambes ne faisaient plus qu’un avec le tabouret. Bientôt, mes mains aussi se sont fondues à cette sculpture de plastique. Madame a remonté ainsi jusqu’à mes épaules. Ensuite, elle a refait le même rituel avec du gros ruban adhésif large. 30 minutes plus tard, je me retrouvais momifiée sur ce tabouret au centre de la pièce.
Madame est allée s’asseoir confortablement dans son gros fauteuil de cuir pour observer son œuvre tout en sirotant une boisson bien fraîche. Elle était en face de moi, elle se rafraîchissait, et moi, je commençais à suer à grosse goutte. J’avais l’impression que mon enrobage de plastique se liquéfiait. Après de longues minutes, Madame s’est levée pour se diriger vers la chaise près de l’entrée où je place tous mes vêtements le soir avant de faire ma toilette et de m’enfermer dans ma cage. Elle y a pris ma culotte de la veille et l’a prise pour me remplir la bouche. Elle a ensuite celé le tout avec quelques morceaux de ruban adhésif.
— Tu as confiance en moi, Kary ?
J’ai fait un signe de la tête que oui.
— Tu ferais tout pour moi et tu accepterais que je fasse ce que je veux avec ton corps, n’est-ce pas Kary ?
A nouveau, un signe de tête de ma part, mais cette fois, je le fis un peu plus timidement. Lorsque Madame me posait des questions du genre, en insistant un peu, c’était toujours pour me faire franchir un autre pas de plus dans ma soumission. Habituellement, c’était difficile et cela m’effrayait.
— Tu es prête à tout pour moi, n’est-ce pas Kary ?
Un autre signe de la tête affirmatif. Je la regardais m’observer avec un regard sadique. Elle me tournait autour comme un vautour prêt à bondir sur sa proie. J’étais dans mon cocon, sans possibilité de m’échapper. De toute façon, je ne voulais aller nulle part. J’étais bien dans cette délicate posture, à la merci de Madame, toujours pleine de ressources pour me faire franchir un pas de plus vers ma soumission totale. J’aimais tellement me sentir vulnérable et sous son contrôle. Je l’écoutais parler, j’appréhendais la suite des événements. La peur commençait à envahir mon esprit, je devenais fébrile, malgré la chaleur qui régnait dans mon cocon de plastique, des frissons parcouraient mon corps sans relâche. J’ai laissé échapper un jet d’urine qui s’est propagé par capillarité sur une bonne partie de mon anatomie. Cela n’a que rajouté à la chaleur qui m’enveloppait.
— Ton corps et ton esprit m’appartiennent Kary, je peux faire ce que je veux... N’est-ce pas ?
Toujours un signe de tête que oui.
— Tu es certaine, Kary ?
J’hésite un peu, mon cerveau s’emmêle, j’ai peur de la suite des choses. Il y a de cela quelques semaines, Madame m’avait rougi tout le corps et celui-ci m’avait été sensible pendant des jours. J’aime la souffrance dans cette relation de soumission, j’aime me dépasser pour ma Maîtresse, mais j’ai toujours peur de ne pas être à la hauteur et de la décevoir. J’ai une peur terrible d’arriver au point de non-retour et d’utiliser mon droit de véto et mettre fin à cette relation. Je veux continuer, je suis à elle, je lui appartiens, courage, je peux affronter tout ce qu’elle m’imposera. Je fais un autre signe de la tête, indiquant mon approbation, et cette fois, j’y vais de façon énergique. J’acquiesce à sa question sans laisser planer aucun doute sur ma volonté d’accepter ce qu’elle fera de moi.

— Bien... Je vais bien m’amuser et au final, j’aurai une petite salope bien différente de celle qui est en face de moi...
Je ne comprenais pas ses mots. J’étais dans le brouillard total. Quelle était la suite des choses, qu’allait-elle faire... Elle s’est éloignée de moi pour aller chercher quelque chose dans un tiroir. Lors de ses premiers pas dans ma direction, j’ai immédiatement remarqué qu’elle tenait dans sa main un rasoir électrique.
— Hummmmmm ! Hummmmmm !
Seule ma tête dépassait du cocon, il était évident qu’elle voulait modifier ma coiffure. Avec ce qu’elle tenait à la main, il était évident que dorénavant, j’aurais une coupe garçon. C’était la volonté de Madame et je devais m’y soumettre. M’y soumettre, oui c’est exactement le terme qui était de circonstance. Je devais me soumettre à ma propriétaire, me laisser utiliser et manipuler à sa convenance, à présent, je lui appartenais comme un objet que l’on manipule à sa guise. La laisser modifier ma coiffure confirmait mon état de soumission. Quoique dans la position que j’étais, je ne pouvais pas trop m’y opposer.
Pendant que je faisais toutes ces réflexions dans ma tête, Madame avait branché le rasoir à l’aide d’une rallonge et s’était approchée de moi. Mes larmes coulaient sur mes joues et Madame était tout sourire. Puis le rasoir a fait contact avec mon crâne et je l’ai senti glisser de mon front à ma nuque. Je l’ai senti arpenter tout mon crâne. J’ai vu mes cheveux tomber au combat, faisant une chute terrible pour aller choir sur le plancher. J’avais de la difficulté à voir, tellement mes yeux étaient inondés de larmes. Petit à petit, j’ai ressenti une brise sur le dessus de mon crâne. J’avais perdu cette toison qui me gardait au chaud. Madame s’est éloignée à nouveau pour aller s’asseoir dans son fauteuil. Elle me regardait triomphante.
— Tu es merveilleuse comme cela, Kary... Tu es l’incarnation même de la soumission.
Ces mots m’ont fait un grand bien, Madame était heureuse d’avoir encore augmenté mon degré de soumission envers elle. J’étais heureuse aussi de pouvoir lui offrir cette soumission. Elle est revenue vers moi en ayant au préalable passé par le petit meuble où elle avait pris le rasoir afin d’y prendre un rasoir à main et de la crème à raser. Un tremblement a commencé à secouer mon corps. J’ai fermé les yeux et pleuré à chaudes larmes. Madame a frictionné mon crâne avec la crème et a rasé jusqu’à la peau ce qui me restait de chevelure. Mes beaux cheveux longs, roux qui faisaient la fierté de ma mère, plus rien. Ouf ! Tout à coup, je réalise vraiment l’ampleur du drame dont je suis la victime. Mes parents...
Ma sœur...Le travail...Que vais-je faire, c’est une honte...Madame avait toujours dit qu’elle protégerait de ma vie vanille. Je me suis mise à pleurer de plus belle. Je tremblais, reniflais et frissonnais. Lorsque j’ai été capable de reprendre le contrôle de mon corps, je suis sortie un peu de mon brouillard et j’ai vu Madame qui me regardait, souriante, de son fauteuil favori.
— Que tu es belle ma cocotte. Là, tu es vraiment une belle salope, un bel objet.
Elle s’est levée et s’est approchée de moi. Elle est montée sur un petit banc en face de moi, elle a relevé sa jupe et m’a offert sa vulve trempée. Au fond de moi, j’avais la rage, de la frustration, du désespoir, une quantité incroyable d’émotions qui me secouaient. Alors c’est avec tous ces sentiments, ces ressentiments que j’ai dévoré la vulve de Madame comme si cela était mon dernier repas. Madame se tenait avec ses deux mains appuyées sur mon crâne, elle a tellement joui qu’elle a failli tomber de son petit banc. Elle a retiré mon bâillon de fortune et m’a embrassé goulûment.
— Tu m’aimes Kary ?— Ouuuuiiiii... Maaaadaaaaammmmme. Snif !— Ne pleure pas petit chose, tu sais que je vais toujours bien prendre soin de toi... J’ai un cadeau pour toi.
Elle a disparu de mon champ de vision pour réapparaître quelques instants plus tard avec une perruque à la main. Sa couleur était d’un roux identique à mes cheveux et elle semblait être d’une grande qualité.
— Tu vois chérie, tout le monde n’y verra que du feu. Il y a seulement moi qui vais profiter de ton joli crâne. Et tu dois être heureuse, je t’ai laissé les sourcils.— Meeeerci Madame.
Après avoir déposé la perruque sur son trône, elle est venue, à l’aide d’une paire de ciseaux, me délivrer de ma fâcheuse position. Elle m’a ordonné de me placer debout, bien droite devant elle. Elle a installé mes nouveaux cheveux sur ma tête et l’a fait approcher d’un miroir pour contempler mon nouveau moi, qui au fait, ressemblait à l’ancienne comme deux gouttes d’eau. Cela m’a rassurée.
— Tu vois, je fais attention à toi, même si je m’amuse beaucoup, je ne voudrais surtout pas briser ou perdre mon jouet favori.— Je vous aime Madame.— Moi aussi, je t’aime ma petite chose.
Elle m’a retiré la perruque, elle a placé mes mains derrière mon dos et les a fixées à l’aide de menottes. J’ai eu droit à mon collier de chienne et la laisse. Puis nous avons pris le chemin de la maison.
— La perruque, c’est pour ton côté vanille seulement, ici, c’est ton crâne rasé que je veux.— Oui, Madame.
A l’avenir, lorsque tu viendras ici le soir, avant d’aller te coucher dans ta cage, tu enlèveras aussi tes cheveux.
— Oui Madame.
Arrivée à la maison, c’était l’heure du repas. Sylvie est venue me donner mes deux bols de nourriture après avoir servi Madame. J’étais rouge comme un homard de voir Sylvie me regarder avec étonnement suite à ma nouvelle transformation.
— Vous avez rasé votre chienne Madame ?— Je m’en suis occupé moi-même Sylvie, ça a été agréable, je dois dire.— Elle est quand même jolie sans aucun poil.— Tu as raison... Et cela la rend plus conforma avec son statut de petite chienne salope.
Durant le reste de la journée, je me suis fait à l’idée d’avoir ce nouveau look. J’ai obéi à Madame comme la bonne petite chienne que je suis...
Puis les vacances sont arrivées...
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