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Katrina, l’assistante de direction

Chapitre 2

Hétéro
Après notre première expérience « sexfriend au boulot », avec Katrina nous avions hâte de remettre ça. Nous nous sommes écrit toute la soirée et le rendez-vous était pris pour une nouvelle aventure dès le lendemain, vendredi. Nous nous retrouvions à l’heure convenue dans notre « cabine ». C’est vrai que l’endroit n’est pas des plus glamours mais nous étions tellement excités l’un l’autre qu’une fois nos lèvres collées nous ne pensions plus au décor glauque qui nous entourait mais juste à notre plaisir commun. Nous nous embrassions pendant plusieurs minutes, nos langues se tapaient, se collaient, se roulaient, elles ne voulaient plus se quitter. J’embrassais son cou puis sa poitrine, c’était si doux. J’étais assis sur le « siège de fortune », Katrina sur mes genoux, ses bras autour de mon cou et mes yeux pile à niveau pour contempler sa magnifique poitrine. Elle m’ôta mon tee-shirt, je fis de même avec son chemisier. Sa poitrine était habillée d’un soutien-gorge noir classique avec une ouverture sur le devant, entre ses deux gros seins, comme si on ouvrait une porte magique qui les libérait de leur prison pour qu’ils nous sautent à la figure.
Et biiiim les voilà, magnifiques devant moi, ne demandant qu’à être touchés, tripotés, léchés, mordillés, ses deux jolis tétons étaient pointés fort sur moi, comme pour me montrer à quel point elle était excitée ! Ma langue sur son sein gauche, une main sur le sein droit et l’autre main dans son string. Katrina est une belle quadra, elle en est restée à la mode du ticket de métro, je lui ai bien demandé lors de nos échanges de messages si une épilation intégrale était envisageable pour elle mais elle m’a répondu que non, qu’elle aurait l’impression de revenir en enfance, d’être «nue», et puis son mari se poserait des questions, pourquoi une épilation intégrale maintenant à son âge sans raison apparente ? Alors nous avons décidé d’en rester au ticket de métro et pour ma part c’est rasage intégral, pubis et bourses, toutes mes copines m’ont dit préférer ça, plus pratique pour la fellation aussi. Donc ma bouche continuait à jouer avec ses seins et ma main à découvrir son bouton puis rentrer dans sa fente.
Soudainement nous entendions quelqu’un rentrer dans les WC et entrer dans la cabine juste à côté de la nôtre. Nous nous regardions, avec ce regard qui voulait dire « chuuuut surtout ne fais pas de bruit » et à ce moment-là j’en profitais pour enfoncer mes doigts encore plus profondément en elle, je vis dans son regard une expression qui voulait dire «salaud tu m’as bien eu là». Je lui souriais et continuais de la torturer dans le silence, elle se mordait les lèvres et en redemandait. Inconsciemment le fait de nous savoir en «danger», que l’on pouvait se faire repérer nous excitait encore plus, et j’avoue qu’une partie de moi voulait qu’elle craque et qu’elle lâche un gémissement pour que notre « voisine » se demande ce qui se passe à côté. Mais finalement on entendit la chasse d’eau couler puis l’évier et la personne sortir des WC, et on se mit à rigoler doucement tous les deux. Puis Katrina commença à vouloir ouvrir mon pantalon, mais j’attrapai sa main et lui fis signe « non » de la tête, elle me regarda et je lui dis :
— Aujourd’hui c’est moi qui vais m’occuper de toi...
Elle me répondit :
— Non c’est bon je veux te faire plaisir
Je lui répondis :
— Non non aujourd’hui c’est moi ! Et puis ça me fait tout autant plaisir de faire ça...
Je l’attrapai par la main, l’assis à ma place et déboutonnai son pantalon. Je le fis glisser sur ses jolies jambes fines et bronzées, attrapai son string et fis de même avec. Puis embrassai ses cuisses et remontai jusqu’à son minou merveilleux. Dès les premiers coups de langue elle se cambrait et soupirait de plus en plus fort, je léchai son clito puis sa fente, je lui mordillai le bouton puis commençai à jouer avec mes doigts également. Ma langue jouait avec son clito et mes doigts glissaient le long de sa fente complètement trempée. J’insérais un doigt puis deux, elle était dans tous ses états, et puis elle sentait tellement bon j’avais rarement vu ça, comme si elle s’était parfumée de l’intérieur, c’était délicieux et envoûtant. Je ne pouvais plus m’arrêter, je la léchais, je la doigtais, c’était délicieux, je la sentais prendre du plaisir et j’étais heureux. Je dois avouer que j’aime autant donner du plaisir à une belle femme qu’en recevoir. Et Katrina m’avait avoué que les cunnis (bien fait) lui donnaient affreusement l’envie de faire l’amour (elle déteste le terme «baiser», trop vulgaire pour elle).
Katrina était en apparence une femme sage mais des années de frustration sexuelle ressortaient d’elle quand elle était vraiment excitée. Après plusieurs minutes de ce repas merveilleux elle m’attrapa par les cheveux et me tira (doucement) pour me faire remonter. Elle m’embrassa à pleine bouche et me dit que c’était divin mais que je devais arrêter le car sinon nous serions obligés d’aller plus loin mais ici ce n’était pas possible. Nous nous rhabillâmes, nous embrassâmes, et après une petite claque sur ses fesses elle partit. De retour chacun à notre poste nous échangions des mails, nous parlions de ce que l’on venait de faire et de nos prochaines envies mais tous les deux étions d’accord pour dire que ces 10-15 minutes que nous passions ensemble dans les toilettes des filles étaient (beaucoup) trop courtes et qu’il fallait qu’on trouve une autre solution, mais c’était la seule solution que nous avions trouvée pour que nos collègues ne se posent pas de questions sur une absence trop longue de notre part, et Katrina était vraiment bloquée avec sa vie de famille pour se libérer du temps hors travail.
Alors elle me proposa une autre solution, que le mercredi elle n’avait pas ses enfants à amener à l’école et que du coup elle pouvait venir plus tôt au boulot, vers 7h30, et du coup nous serions seuls et nous aurions au moins 30 minutes à nous avant que nos collègues arrivent. Ce n’était pas la solution idéale car nous serions toujours enfermés dans ces toilettes (très) étroites mais au moins nous aurions plus le temps pour se faire du bien, donc le prochain « rendez-vous » était pris pour mercredi prochain...
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