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Katrina, l’assistante de direction

Chapitre 3

Hétéro
Arrivé mercredi matin je me gare sur le parking et avance vers les bureaux, je vois son bureau est déjà allumé et je l’aperçois. Je lui envoie un message en lui disant que je viens d’arriver, que je pose mes affaires et que l’on se rejoint, elle me répond OK. On se croise dans le couloir à l’intersection menant à notre « cachette », mais l’envie est trop forte, on s’embrasse à pleine bouche au milieu du couloir, même si les bureaux sont encore vides à cette heure-ci et la lumière encore éteinte on ne sait jamais ce qu’il peut arriver mais cela est encore plus excitant. Nous arrêtons rapidement et nous dirigeons vers notre sanctuaire de l’amour...
On se regarde et on s’embrasse pendant de longues minutes, chacun savoure ces retrouvailles. Puis je m’assois sur le « trône » et elle se met à califourchon sur moi, m’ôte mon polo et je lui retire son chemisier, puis elle passe ses mains autour de mon cou. Commence une longue séance de baisers pendant que mes mains parcourent son corps dans tous les sens, j’ai l’impression que le temps s’est arrêté, que tous mes soucis ont disparu, je suis sur un nuage de tendresse et de bonheur, je ne réalise toujours pas ce qui se passe avec cette femme tellement belle ! Je lui retire son soutien-gorge et commence à jouer, lécher, mordiller, ses magnifiques seins, pendant ce temps ses mains parcourent mon dos, mon torse, mes cheveux, et une main commence à caresser mon membre à travers mon pantalon, puis à l’intérieur par-dessus mon caleçon, puis dans mon caleçon. Elle ouvre ma ceinture et mon pantalon et déballe tout son contenu pendant que je m’occupe de sa poitrine et que ma main commence elle aussi à rejoindre son intimité.
Je bande déjà bien quand elle commence les va-et-vient et les bisous dans le cou, ce qui a le don de m’exciter à fond. Je prends un peu de recul et la laisse s’occuper de moi mais je garde une main dans son string, elle est toute trempée, pour son plus grand plaisir en même temps. Je lui glisse à l’oreille que j’ai envie d’elle, que je veux la prendre, là, tout de suite. Mais elle me dit que non, ce ne serait pas possible ici, qu’il faut que je sois encore un peu patient et qu’il faudra qu’on se contente de nos câlins et gâteries respectives pour le moment, mais qu’elle aussi en a très envie. La déception ou plutôt frustration de ne pas pouvoir aller plus loin avec cette déesse doit se voir sur mon visage et du coup elle décide de se mettre à genoux et de prendre mon sexe, dur comme du bois, en bouche, comme pour se faire pardonner de son refus, mais il n’y a rien à pardonner bien sûr je comprends bien son point de vue. Sa fellation est divine je pourrais rester là avec elle pendant des heures mais le temps passe déjà tellement vite, déjà 25 minutes que nous sommes enfermés et elle me dit que nous allons devoir retourner à nos bureaux respectifs avant que nos collègues arrivent et puissent avoir le moindre doute.
Je lui dis qu’elle ne peut pas me laisser dans cet état, et avec un petit sourire coquin elle me masturbe au-dessus des toilettes, je lui rends son sourire et lui dit que je préfère quand c’est avec sa bouche. Toujours avec un grand sourire elle me fait non avec sa tête et accélère le mouvement sentant bien que je ne vais plus tenir longtemps. Encore quelques va-et-vient et tous mes soldats finissent noyés dans la cuvette des WC... Elle me regarde avec son regard et son sourire toujours aussi malicieux et me dit « Voilà » puis me vole un baiser rapide. Nous nous rhabillons et elle me fait remarquer que mon polo est plein de mascara au niveau de mon épaule, merde, au fond de moi cela me fait rire mais je sais que certains collègues ne vont pas se gêner pour me le faire remarquer et me demander des explications. Je me dis que je vais inventer une histoire d’une fille rencontrée hier soir et que je n’ai pas eu l’occasion de me changer, mais cela va entraîner des questions et des taquineries de certains collègues mais bon mon « histoire » avec la belle Katrina vaut bien que je subisse ça pendant une journée pour ne pas éveiller les soupçons. Nous sortons discrètement de notre cachette et chacun son tour allons rejoindre notre bureau ou nous n’allons pas mettre longtemps avant d’échanger des mails, pour parler de tout et de rien, mais surtout de nos envies respectives. Et je dois vous avouer quelque chose qui m’a beaucoup fait rire intérieurement, et même à Katrina je n’en ai jamais parlé, mais le fait de savoir que quelques minutes après nos « coquineries » elle allait faire la bise à tous nos collègues, pour leur dire bonjour, alors qu’elle venait de me sucer pendant de longues minutes, cela me faisait sourire, quelle serait leur réaction si seulement ils le savaient ? ...
Plus tard dans la journée, après plusieurs échanges de mail, je lui propose qu’on aille manger ensemble un midi à l’extérieur de l’entreprise. Moi je reste manger sur place au réfectoire de la boîte où nous avons une heure de pause, alors que Katrina, elle, vu qu’elle habite juste à côté, varie. Des fois elle mange sur place mais le plus souvent elle rentre chez elle manger avec son mari. Ce qui est parfait pour mon plan car comme ça elle pourra dire à son mari qu’elle reste au boulot et les collègues penseront qu’elle est rentrée chez elle. Moi je dirais que j’ai des courses à faire et personne ne se doutera de rien. Pour cela je lui propose qu’on aille manger près du lac qui se trouve à 10 minutes du travail et où il y a des tables pour pique-niquer et comme ça on ne risque pas non plus de tomber sur d’autres collègues qui mangent aussi des fois à l’extérieur. Elle me dit que c’est une bonne idée et une fois par semaine nous allons manger à l’extérieur maintenant, chacun prend sa voiture pour ne pas éveiller les soupçons et on se retrouve là-bas.
Le premier repas fut spécial, assis l’un en face de l’autre, à se regarder dans les yeux en mangeant puis après je vais m’asseoir à côté d’elle on discute, puis je pose ma main sur sa cuisse et elle pose la sienne sur la mienne comme pour me dire de ne pas aller plus loin. Elle regarde partout autour de nous, il n’y a personne d’autre, mais je sens comme une peur en elle, elle ne veut pas qu’on soit « surpris » ensemble. Manger avec un collègue passe encore mais surtout pas plus. Je prends quand même les devants et continue de remonter ma main vers son minou. Elle porte une belle robe rayée blanche et bleue aujourd’hui, parfaite pour ce que l’on a à faire. Je caresse doucement sa cuisse pendant qu’elle continue de zyeuter partout autour discrètement, et elle garde sa main sur la mienne toujours, sans doute pour pouvoir la retirer rapidement si elle aperçoit quelqu’un. Je la caresse du coup du majeur à travers son petit string à dentelle que je sens et elle commence déjà à souffler plus fort.
Je me penche vers elle pour l’embrasser, elle hésite, je lui dis « un petit rapide stp », à peine deux secondes et elle arrête, elle rebaisse sa robe et me dit qu’on ferait mieux d’aller la voiture on sera plus tranquille...
Puis toutes les semaines le rituel était le même, repas rapide puis on va se mettre dans une des deux voitures dans un coin du parking, assez désert les midis de semaine, puis on passe aux choses « sérieuses », bisous, câlins, caresses, fellations, cunnilingus, masturbations, doigtage, léchage, tout y passe, tout enfin presque, toujours pas de pénétration... Katrina me dit qu’elle veut que ce soit parfait quand on le fera, et que du coup des toilettes ou une voiture ce n’est pas ce qu’elle veut pour notre « première fois ». Ceci est un point qui m’a toujours surpris chez elle, son côté mi-ange, femme très romantique, un peu fleur bleue, et son côté mi-démon, femme qui se lâche, un peu garce-chipie, qui sait ce qu’elle veut et fait toute pour l’obtenir. C’est peut-être ça qui me plaît vraiment en elle, le fait de pouvoir « baiser » dans tes toilettes mais en mettant du romantisme là-dedans. Elle me demande d’être patient et me dit que je ne serais pas déçu. J’avoue que je suis déjà ravi de ce qu’il y a entre nous mais plus le temps passe et plus j’ai envie d’aller plus loin... et ce moment et peut-être pas loin d’arriver.

Un mardi matin, alors que ça doit faire environ six semaines que tout a commencé, je reçois un SMS. Katrina est en vacances, elle me propose de venir manger chez elle samedi soir et me demande si je suis dispo et OK. Je lui réponds que bien sûr ce sera avec plaisir et elle m’explique que son mari part en week-end avec les enfants, et qu’elle lui a dit qu’elle ne voulait pas venir car elle avait besoin de repos et qu’un week-end toute seule elle aussi de son côté lui ferait beaucoup de bien (ce qui n’est pas faux). Son mari a accepté, n’ayant aucun doute sur la fidélité de sa femme, et donc le rendez-vous est pris pour samedi soir, qui ne devrait pas être de tout repos...
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