Ce texte a été écrit au début des années 2000. Il relate une aventure qui m’est arrivée au printemps 1999 alors que jeune retraité actif, je faisais la tournée des fédérations départementales de l’association de retraités à laquelle je participe encore.
Lettre d’un libertin en voyage à sa complice de libertinage de l’époque...
"Ma tendre amie coquine !
Comme promis, je viens te raconter ma balade à Namur avec Katy, cette jeune femme de 35 ans, dont je t’ai parlé hier au téléphone.
En fait, je te rappelle que je l’ai rencontrée tout bêtement lundi dernier en fin de journée alors que nous faisions le plein de carburant de nos voitures à la frontière entre la France et le Luxembourg. Elle avait des difficultés pour ouvrir le réservoir et je l’ai aidée, tu ne connais, je ne sais pas laisser une femme en détresse !
De fil en aiguille, nous avons bavardé un peu et nous avons échangé nos numéros de téléphone : elle avait dit "on ne sait jamais..."J’aurais bien poursuivi notre discussion, mais je n’avais que trente minutes à peine pour honorer un rendez-vous à ne pas manquer avec un membre de l’association.
Le lendemain en soirée, elle m’a appelé à mon hôtel pour me remercier de ma gentillesse et m’a confirmé sa proposition de me faire découvrir la ville de Namur proprement dite, ville que je ne connaissais pas encore. Par contre, je connaissais assez bien toute la région des Ardennes belges jusqu’à Bruxelles où j’étais déjà allé plusieurs fois voir des cousins il y a très longtemps...
Nous avons pris rendez-vous pour le lendemain, mercredi après-midi sur le parking devant la gare de Namur où il était prévu de nous retrouver vers midi. Au lieu de sa voiture, elle est arrivée avec un camping-car en disant que ce serait plus pratique si nous voulons nous arrêter quelque part et nous isoler...
C’était son mari qui avait l’autre voiture. Je crois que c’était une invitation non déguisée à ce qui allait se passer plus tard. Laissant là nos véhicules respectifs, nous nous sommes tout d’abord dirigés vers un petit restaurant en bordure de la Sambre où nous avons déjeuné sur la terrasse donnant sur la rivière. Puis nous nous sommes baladés un peu à pied sur les quais de la ville. Reprenant le camping car, Katy nous a emmenés au parking de la citadelle qui domine le site.
Après une visite rapide, Katy m’a dit, en glissant son bras sous le mien :— J’ai envie de baiser, profitons du camping-car garé dans ce coin discret. Tu connais notre accord ! Quand une opportunité de baiser hors de notre couple coquin s’offre à nous, nous pouvons en profiter, sous réserve de nous raconter ensuite les diverses péripéties. C’est ce que je fais avec cette lettre !
Quelle aubaine ! A mon âge, veuf depuis longtemps je n’avais jamais eu de maîtresses autres que du même âge que moi, sauf bien sur dans les clubs comme celui où nous nous sommes rencontrés ! Là j’allais me faire une jeunette de 35 ans à peine alors que j’en ai 20 de plus...
Nous sommes arrivés rapidement au camping-car et à peine entrés dans une demi-pénombre propice, Katy m’a enlacé et commencé à m’embrasser langoureusement. Nos corps étaient pressés l’un contre l’autre, elle frottait son pubis contre le mien. Avec une main, je la pressais contre moi et je sentais les pointes de ses seins dressées alors que l’autre courait sur ses fesses pour mieux la plaquer contre moi.
Soudain Katy se mit à genoux devant moi, dégrafa mon pantalon et d’un seul mouvement le fit descendre en même que mon slip. Elle glissa mon sexe dans sa bouche en le tétant goulûment. Que c’était bon ! Une vraie pompeuse de bite. Lorsqu’elle me sentit à point elle se releva, couvrit mon sexe d’un préservatif (prudente et prévoyante la coquine).
Elle s’allongea sur le lit double qui était prêt, et, retroussant haut sa jupe elle me tendit les bras en m’invitant à la prendre "fort" car elle sentait que j’avais envie d’elle ! C’était vrai elle avait fait tout pour cela en flirtant outrageusement au restaurant... En plus elle ne portait même pas de string ! Elle m’offrait la vue de sa chatte toute lisse et entr’ouverte.
J’ai fait voler mes vêtements pendant qu’elle achevait de se dénuder, dévoilant ainsi ses seins appétissants, bien que modestes et, d’un mouvement rapide et profond, j’ai investi son sexe tout humide et chaud. Elle m’attendait vraiment la coquine. L’idée de se faire baiser ainsi l’avait déjà bien fait mouiller. En appui sur mes bras, je l’ai besognée avec force, faisant monter notre plaisir jusqu’au moment où notre jouissance commune a éclaté. Oulla ! La joute avait été rude. J’étais essoufflé et je me suis affalé sur le côté pour retrouver mes esprits.
Katy est venue s’allonger sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne, pour m’embrasser dans le cou, disant à mon oreille, qu’elle avait eu envie de faire l’amour avec moi dés qu’elle m’avait vu si gentil et prévenant. Elle a ajouté que je l’avais bien comblée et qu’elle avait bien joui ! Après quelque temps nous nous sommes rhabillés. Katy m’a promis de venir par chez nous pour recommencer et pourquoi pas faire une partie à trois avec toi (je n’y crois pas trop car Paris, c’est loin de la Belgique). Elle m’expliqua qu’elle a de gros besoins sexuels qu’elle assouvissait avec des partenaires plus âgés qu’elle. Libres ou pas, pour elle l’essentiel était de baiser sans attaches et sans contrainte.
Je retrouvai ma voiture sur le parking de la gare, chacun repartant de son côté. Ce sera peut-être une rencontre sans lendemain ou quelques bonnes parties de jambes en l’air à deux ou à trois en perspective si par hasard elle vient dans notre région ? Qui sait ?
Voilà le récit de mon escapade de cet après midi. Je rentre à mon hôtel. Il est 23 heures et je me languis de toi. J’ai hâte de finir mon périple dans le Grand Est pour te retrouver à la fin de la semaine... et qui sait, peut-être auras-tu une aventure à me raconter ?
