Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 151 J'aime
  • 2 Commentaires

Le kayak en été

Chapitre 2

L'Angleterre

Hétéro
Cette très belle jeune femme, mannequin à ses heures qui plus est, me réveille souvent la nuit. Je sens presque ses douces fesses contre moi, malheureusement, ce ne sont que des pensées puisque ma douce est rentrée à Brighton pour ses études. Nous échangeons cependant très souvent et nos messages ne sont pas que platoniques si vous voyez ce que je veux dire.
Au bout d’un moment, l’occasion de la rejoindre se présente. Je prends quelques affaires dans un sac à dos, mon ticket d’Eurostar et pars in extremis la rejoindre quelques jours. Le trajet se passe très bien et, à mon arrivée, je la vois sur le quai.
Elle est radieuse et porte un blouson de cuir, une petite chemise blanche, une jupe très courte noire, des collants et un magnifique sourire. Rien que de la voir comme ça, j’ai envie de lui sauter dessus. Qu’est-ce que je raffole des jupes ! Elle le sait très bien et a totalement fait exprès. Son corps tout entier et son regard expriment la passion de notre dernière nuit.
— Comment vas-tu ? Le trajet s’est bien passé?— Oui absolument. Tu es magnifique, mais dis-moi: ce n’est pas très gentil de t’être habillée comme ça pour m’accueillir !— Tu n’aimes pas ?— Oh que si, mais ça me donne envie de te sauter dessus sans plus attendre !
Je la plaque contre un mur, l’empoigne par la taille d’une main pour la rapprocher de moi et lui caresse l’oreille et la nuque de l’autre, tout en l’embrassant sauvagement. Nous restons comme cela quelques instants à profiter de ce contact charnel.
— Attends un peu, profite du moment ! Surtout que j’ai mis cette jupe et une paire de bas rien que pour toi.— Ce sont des bas en plus de ça ? Tu me rends dingue, tu t’en rends compte ?— Petite jupe courte et bas pour Monsieur, rien que pour son plaisir ! dit-elle en faisant un tour sur elle-même.— Humm, j’ai hâte de te prendre. Peut-être même tout habillée !— Tu ne peux vraiment pas résister !
Je l’embrasse à nouveau et une de mes mains glisse furtivement le long de son corps pour caresser ses fesses sous sa jupe. Hummm. Quel délice de sentir le contact de ses fesses sur ma main ! Ses mains me caressent également et un frisson m’électrise instantanément.
— Mais ! Tu ne portes pas de culotte ?— Tu ne peux vraiment pas attendre dis donc, dit-elle avec son regard et son sourire de coquine. Pourquoi en aurais-je mis ? me dit-elle avec un regard coquin avant de m’embrasser voluptueusement.— Toi, tu vas rapidement passer à la casserole !— J’ai hâte beau brun, mais mon appart est à 15 min en bus ou 25 min à pieds. Que préfères-tu ?
— Vu le cadeau que tu me fais, je veux en profiter jusqu’au bout, allons-y à pied !
Elle se retourne alors et me prend par la main pour me conduire chez elle. Le trajet est long pour rejoindre sa colocation, mais elle m’aguiche dès qu’elle peut. Nous discutons de tout et de rien sur le trajet, cependant, son petit cul m’interpelle très régulièrement. Il ondule gracieusement sous sa jupe qui danse et expose de temps à autre un petit bout de peau. Sans parler de ses bas qui ne cessent de glisser et qu’elle remonte régulièrement tout en me regardant. Je dois être mort, je suis au paradis. Plus rien ni personne n’existe, hormis son sourire, son regard et sa jupe. Elle le sait et en joue comme jamais. Elle se délecte de me voir dans cet état d’excitation et soumis au moindre de ses mouvements. Mon sexe ne tient plus du tout dans mon boxer et elle l’a remarqué. Sa main effleure souvent cet endroit, tout comme mes fesses qu’elle affectionne tout particulièrement. Merci aux poches de jean !
Après finalement 35 minutes de marche et d’excitation mutuelle, je suis littéralement à bout, mais nous arrivons enfin. Personne n’est présent et heureusement parce que dès que la porte se referme, je la plaque contre un mur pour l’embrasser. Elle me rend bien évidemment mes baisers et mes caresses, mais ne tenant plus, je la retourne contre le mur et relève sa jupe.
Son magnifique petit cul se présente devant moi. De la cyprine coule également le long de ses cuisses et sur ses bas. Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir d’extase devant ce spectacle. Je commence par lécher son œillet en la faisant se cambrer. Elle adore ça et se cambre pour m’accueillir. Je sens ce dernier palpiter sous mes coups de langue. Je ne lui ai jamais demandé si elle aimait la sodomie, mais la journée ne fait que commencer ! La cuisine n’est pas loin et j’ai envie de faire chauffer le repas. Je la soulève tel un chevalier servant avant de la déposer sur la table de la cuisine. Comprenant ce qui arrive, elle écarte les cuisses avec un regard plus qu’explicite. Je ne me fais pas prier et plonge à corps perdu vers ce trésor tant attendu.
Je lui caresse les cuisses tout d’abord, ce qui la fait frémir, ses bas me menant directement vers son entrejambe, débordante de plaisir. Elle me regarde faire et sait que je vais y aller doucement. Je remonte doucement, mais sûrement vers ses grandes lèvres. Peu d’hommes, et même de femmes, savent que masser les grandes lèvres augmente considérablement l’excitation. La sensation s’apparente à un massage des testicules. A ce contact, Mademoiselle est surprise, lâchant un petit gémissement et me plaque instantanément la tête contre son minou. Je sens son souffle s’accélérer et ma bouche reprend le travail de mes doigts en allant toujours plus loin en elle. Qu’est-ce qu’elle mouille dit donc ! J’alterne longuement entre son vagin dégoulinant et son clitoris qui lui aussi va exploser. Une main en profite pour lui caresser ses seins et titiller ses tétons.
Ca y est, elle ne tient plus, elle gémit de plus en plus fort et me repousse. Elle descend alors de la table, me baisse mon pantalon et mon boxer laissant enfin mon sexe libre. Elle sort un préservatif de son soutien-gorge pour le poser sur mon appendice fièrement au garde à vous. Quelle coquine, elle avait tout prévu ! Elle se retourne donc, soulève sa jupe, s’allonge de face sur la table et écarte les jambes. Sans attendre mon reste et énervé comme un fauve en cage depuis le début, je la pénètre sans difficulté. Un râle commun retentit dans l’appartement avant que je ne commence à la pilonner. Qu’est-ce qu’elle est bonne cette cochonne !
— Tu aimes quand je te prends sans ménagement ma cochonne ?— Oui, prends-moi ! Défonce-moi, j’adore ça !— Ne t’inquiète pas ma salope, tu vas ramasser ! lui dis-je en la fessant.— Oh oui, plus fort !
Après quelques aller-retour, je ne me retiens plus et je me retire pour lui mettre quelques fessées. Je sais qu’elle en meurt d’envie. Ses cris et ses remerciements ne font d’ailleurs que confirmer mon action. De la cyprine coule toujours plus le long de ses jambes dans un concert magistral de plaisir. Une fois ses fesses toutes rouges, je la pénètre d’un coup sans prévenir et recommence à la baiser. Ce n’est plus faire l’amour à ce rythme-là, c’est du sexe pur et dur.
— Prends-moi ! Plus fort ! Défonce-moi mon salaud !— Tu aimes ça ma petite pute en chaleur !— Oh oui, encore ! Plus fort !
Son plaisir arrive rapidement et l’une de ses mains vient titiller son clitoris. Ses cris ne sont plus retenus et tout le quartier doit nous entendre. Au bout de quelques minutes, elle explose dans un ultime cri et s’étale toute transpirante et haletante sur la table. Son vagin se contracte par intermittence sous l’effet de l’orgasme et je ne tarde pas à venir. Sans dire mot, elle pose une main sur mes testicules qui la remplissent. La sensation de ce petit massage me fait l’effet d’une bombe, redoublant mes spasmes et mon éjaculation. Je retombe sur elle, transpirant et haletant également, profitant ainsi de ce plaisir partagé.

Fin

Pour le moment
Diffuse en direct !
Regarder son live