Ketty J’ai trouvé dans l’écriture de récits coquins un plaisir, une sensation de liberté. Je viens sur voissa aussi pour lire ce qu’écrivent d’autres amateurs. Belle découverte un matin que le récit de Ketty. J’adore ses mots, le rythme et le final qui surprend. Rempli par le plaisir reçu à cette lecture, je prends ma plume et lui laisse un commentaire. S’en suivent de délicieux échanges qui nous conduisent à mieux nous découvrir et finalement nous donner rendez-vous dans un petit bouchon lyonnais pour nous rencontrer en chair et en os. Je ne connais que des petits morceaux de Ketty, par jeu, par défi, avec sa pudeur, elle a posté un charmant match à débattre entre son joli derrière en string et dans un shorty de dentelle rouge.Un délicieux petit post aussi sur sa jolie poitrine enveloppée dans un soutien-gorge gris bleu, dans une position allongée qui fait croire à de délicieuses dunes.A travers quelques échanges, elle m’avoue porter essentiellement des jeans avec de petits hauts échancrés, l’hiver perché sur de hauts talons et des robes légères en été, souvent sans rien dessous.Malgré ma méfiance dans ce genre d’échange, marié, j’ai franchi le pas et j’ai dévoilé mon visage et une partie de mon corps à Ketty. En échange, elle m’a offert un délicieux puzzle, enfin les deux premières pièces de celui-ci, un œil vert affolant et une bouche au divin sourire que l’on voudrait embrasser longuement. Le jour J, j’arrive en métro à Saint-Jean. Je suis un peu perdu, il y a si longtemps que je ne suis pas venu faire les rues piétonnes. Ces petites rues ont toujours le même charme, et finalement, je trouve le petit bouchon où nous avons rendez-vous.Un petit tour d’horizon, il me semble que je sois le premier arrivé, pas de jolie femme en jean. Pourtant un beau sourire me séduit quand je me tourne vers le fond du petit restaurant, je crois reconnaître la belle bouche de Ketty, je suis trop loin pour voir ses yeux.Le serveur vient à ma rencontre, je lui dis que nous avons une table pour deux de réservée. Il me conduit vers la table où un divin sourire m’a éclairé. Sublime surprise, je reconnais, Ketty est encore plus jolie et charmante que je ne l’avais imaginée.Ketty se lève, nous échangeons une chaste bise, mais nos sourires en disent long déjà sur le plaisir que nous avons à nous découvrir. Nous sommes installés au fond du restaurant dans une petite alcôve très intime. Ketty est en robe, une robe portefeuille qui s’ouvre et dévoile ses jolies jambes gainées de gris fumé. Je sais que ce n’est pas son habitude hivernale d’être habillée de la sorte. J’y vois un signe de séduction, un au coup où l’on se plairait, je veux le faire craquer. Ketty est fascinante, non seulement elle est ravissante, mais elle a de l’humour, de la coquinerie. On se couvre de flatterie, tout en se moquant chacun notre tour de nos jeux de séductions. Le repas est délicieux et le Morgon est divin, mais le plus délicieux, c’est ce qui naît entre nous, un désir fou, irrésistible. Nos jambes se frôlent, assis l’un contre l’autre sur un banc moelleux en cuir. Nos mains se touchent sur la table.Nous avions décidé de prendre notre temps que cette première rencontre ne serait qu’une prise de contact. Mais le charme opère et c’est en même temps que nous nous volons ces mots : — Et si nous ne prenions pas de dessert pour nous découvrir en guise de dessert.
C’est ainsi que nous nous retrouvons collés l’un à l’autre, bouche bouche contre bouche sous la première porte cochère dans la rue conduisant au parking souterrain. Notre premier baiser est fougueux, nos corps ondulent, je sens la chaleur du ventre brûlant de Ketty, elle ne peut ignorer à quel point je la désire, mon jean ne peut dissimuler mon envie.Ketty se libère de ma bouche, me saisit la main et m’entraîne d’un pas rapide vers sa voiture. Je n’aurais jamais pu penser que l’on puisse marcher si vite avec de hauts talons. Il se dégage un charme, une élégance folle de cette femme, je me sens prêt à faire des folies. Nous voilà deux étages plus bas, Ketty ouvre sa voiture, pose son sac et se retourne. Je suis à nouveau contre elle. Je recule et Ketty se plaque à moi contre la voiture garée à côté de la sienne.La robe de mon amante s’ouvre quand elle prend appui sur le marche-pied de sa voiture, j’avance et me colle de côté, m’offrant accès au divin contact du nylon de ses bas. En effet, ce sont des bas puisque maintenant, je caresse la chair très douce, juste là, à cette lisière si troublante pour nous les hommes amateurs de lingerie sexy. Ketty se fait entreprenante et tout en baisant ma bouche, sa main épouse ma tige, me palpe, me tâte.Nos lèvres se quittent, j’atteins plus haut une douce chaleur sous un très doux tissu. Ketty qui ne porte pas de culotte l’été sous ses robes légères a mis une petite culotte en tulle noire. Elle connaît mes goûts pour la lingerie, elle l’a découvert dans mes récits coquins. Ketty est une séductrice dans toute sa splendeur, elle joue avec mes faiblesses, hummm... j’adore. Je la repousse à l’intérieur de sa voiture et je m’accroupis entre ses jambes gainées. Mes baisers courent sur le haut de ses cuisses, goûtent à la chaleur, à l’humidité de sa fleur. Une fleur que je découvre en écartant le tulle, dernier rempart de son antre. Me voilà qui butine avec délice cette corolle au nectar sucré, salé. J’entends un homme et une femme qui parlent dans le parking et se rapprochent de nous. Je me relève par peur que Ketty soit surprise dans une délicate position, mais oh surprise, la voilà qui s’empare de ma braguette, et avec dextérité, sort mon sexe et le happe. L’homme et la femme sont maintenant tout proche, le monsieur nous a repérés, il ne peut détacher son regard de nous. Les va-et-vient de sa tette ne laissent aucun doute sur l’activité buccale de ma belle. Il ralentit, sa femme s’aperçoit à son tour de notre manège. Tous deux marquent un temps d’arrêt. Ketty a dû les remarquer elle aussi, mais rien ne semble vouloir, pouvoir l’arrêter.Je me tourne vers nos spectateurs, la dame me sourit, le monsieur lui semble m’envier. La voilà qui le tire par la main et tous deux partent en courant.Ont-ils rejoint leur voiture pour eux aussi s’adonner aux plaisirs du sexe interdit, nous ne le saurons jamais. Je relève ma belle et la courbe sur le capot de sa voiture. Accoudée, reins cambrés, elle me regarde trousser sa robe, l’effet porte feuille est éblouissant. Le tulle noir laisse deviner la vallée qui sépare ses belles fesses.J’hésite, écarter le tissu ou le baisser sous ses belles rondeurs. Une fois de plus, je suis surpris, Ketty me crie : — Viens prends-moi, baise-moi, je suis trop excitée. C’est elle qui baisse sa culotte, se couche en avant sur le capot et m’ouvre le chemin de sa fleur.Quelques va-et-vient dans sa petite corolle trempée suffisent à l’emporter vers le plaisir. Je m’immobilise contre son divin derrière, un cul de rêve, comme celui deviné sur les photos postées par Ketty. Elle reprend doucement ses esprits, se relève et se libère de mon désir. Elle s’assoit dans sa voiture et m’attire vers elle. — A toi maintenant, donne-moi ta queue, donne-moi ton jus. C’est fou ce que cette belle femme me surprend. Evidemment, impossible de lui résister, d’ailleurs pourquoi le ferais je ? Habituellement j’essaie toujours de savoir si ma partenaire est réticente à recevoir mon plaisir en bouche, mais là, la demande est claire. Je prends appui sur le toit de sa voiture, Ketty très goulue a pris ma tige en main et la secoue en même temps qu’elle en aspire le bout. Une efficacité torride qui m’emporte à mon tour vers le nirvana.A mon tour de reprendre mes esprits, Ketty se relève, se réajuste et m’offre un baiser au goût salé. L’heure a tourné. — Nous n’aurions pas dû prendre d’entrée, me déclare Ketty, mais là, je dois reprendre le boulot. Ketty me propose de me déposer au métro. Une dernière surprise nous attend. Quand Ketty tend son ticket au gardien du parking, elle aperçoit une image figée sur un des écrans de surveillance. Celle où je jouis dans sa belle bouche.Nous quittons le parking en souriant, le gardien a sans doute pris son plaisir en se masturbant.Un flag... bien plus excitant que les pornos qui lui servent à passer le temps.
