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le Kidnapping de Carla

Chapitre 1

Travesti / Trans
Depuis mon plus jeune âge, je rêve de me faire enlever, non pas par un prince sur son cheval blanc, mais plutôt par un vieux pervers qui ferait de moi sa prisonnière, son jouet, sa petite pute docile.
Je venais d’avoir 18 ANS, ENFIN MAJEUR ! Je redoublais ma première dans un lycée assez côté dans ma ville, et je me travestissais déjà depuis quelques années, j’étais assez connue sur certains tchats où je passais mes soirées, à discuter et fantasmer avec plusieurs hommes, je me montrais aussi en cam, où je m’amusais à m’exhiber devant ces gars, voir tous ces gars bander pour moi me procurait un plaisir assez fort, bien sûr, je finissais par aller me branler sous ma couette et m’endormir dans le résultat de mon plaisir, mais à un moment, les branlettes, ça va, on veut plus, et j’en voulais bien plus.
J’ai toujours aimé le bondage, voir ces jeunes femmes ligotées et bâillonnées à la merci de leurs geôliers m’excitait particulièrement, je ne compte plus les films que je me suis faite où je me faisais attraper par un homme et qu’il m’attachait, etc. Avant d’abuser de moi, et j’avais enfin décidé de passer à l’action...
Un soir, alors que je discutais sur le Net, je fis la connaissance d’un homme, Fred, la cinquantaine passée, à la recherche d’une "fille" comme moi, soumise, obéissante, avide d’apprendre et surtout jeune, il faut dire qu’avoir 18 ans et être travestie, on éveille la curiosité de beaucoup de mâles, et il entrait parfaitement dans ce que je cherchais, un bon vieux pervers, bien vicelard, prêt à réaliser mon fantasme, notre discussion a duré très longtemps, et je lui donnais mon numéro de téléphone, et après deux semaines de textos bien chauds, il me donna rendez-vous sur un parking d’un centre commercial pour "faire connaissance" un vendredi soir à 23H.
Le soir venu, je me préparais chez moi, ma mère travaillant de nuit comme infirmière, et ma sœur partie de la maison depuis plus d’un an, j’avais tout le plaisir de pouvoir me balader et me préparer en liberté, sans avoir à me cacher, comme je devais faire le trajet en scooter jusqu’au parking, je me décidais à ne pas être non plus trop visible en portant une robe sobre, noire, des collants chairs, des bottines noires et une veste rouge, avec ma perruque brune, sous mon casque je passerai pour une demoiselle qui rentre chez elle ou qui sort, mais on ne pourrait pas me reconnaître ni penser que je suis travestie, je laisse un mot à destination de ma mère pour lui dire que je suis sortie et que je ne rentrerai que tard le lendemain. J’embarque un vieux sac de ma sœur pour mon portefeuille, téléphone et clés de maison et je pars.
Le trajet ne fut pas très long, 10 minutes, mais quelle liberté ! Le vent sur les jambes, sentir ma petite robe se soulever, l’air frais sur mes collants et mon tanga...
J’arrivais à 22H50, tremblante quand même, j’allumais une cigarette pour me détendre, l’endroit est désert, personne, pas un chat, juste le vent qui souffle et moi sur ce parking, j’en profite pour faire quelques photos avec mon portable, histoire d’immortaliser ce moment, puis 23H arrive, personne, 23H05, toujours personne, 23H15 enfin arrive une voiture, noire longue, une berline, une Renault, elle entre sur le parking et se dirige vers moi, ralentit et la vitre s’ouvre :
— Carla ? Dit le chauffeur.— Oui ! Dis-je de manière affirmée pour calmer mon stress.— Tu es splendide, monte ! Me dit l’homme à l’intérieur en ouvrant sa portière passagère.
Je monte, et là silence, il me regardait, plutôt me dévorait des yeux, ne sachant pas quoi faire, je souris bêtement et il démarre
— Je connais un endroit plus discret si t’es OK, on se pose là bas tranquillement tous les deux.— Oui si vous voulez, enfin, pas trop loin svp.— T’inquiète, me dit-il.
On roule, on roule, le silence dans la voiture est pesant, puis il s’engage sur un petit chemin en terre, et s’arrête quelques centaines de mètres plus loin

— Ici, on sera bien.— Si vous le dites.— Alors, comme ça on aime être une petite salope ? Tu as déjà rencontré ? Tu veux être kidnappée c’est ça ? — Oui, depuis petite, j’aime l’idée d’être kidnappée et prisonnière d’un ou plusieurs mecs et qu’ils abusent de moi.— Bien bien, quelqu’un t’attend ce soir ?— Personne, j’ai prévenu chez moi que je ne rentrais que tard demain.— OK, sors de la voiture salope !
Sur ces mots, il ouvrit la porte passagère et me fit sortir en me poussant, il sortit aussi, et fit le tour de la voiture, je me trouvais nez à nez avec lui enfin, nez à nez, il devait bien faire 20 centimètres de plus que moi et bien 30 ou 40 kilos de plus, c’était une belle armoire, comparée à mon petit mètre soixante-huit et mes cinquante-huit kilos, je fais office de poids plume, il me regarde et je sens le désir en lui, je tente de parler :
— Fred...— Ta gueule, déjà pour toi salope, c’est Maître, et maintenant et ce, jusqu’à demain soir, tu es à moi, tu m’allumes depuis 2 semaines, tu es à moi pour 24H sale pute ! — Mais...
Je prends une grande gifle dans la tête et je vois les étoiles,
— Je vais te donner une leçon, viens là !
Il m’attrape par le bras et me tire vers l’arrière de la voiture, au niveau du coffre qu’il ouvre en me maintenant fort contre lui, il en sort un rouleau de scotch et me tourne dos à lui, il maintient mes poignets dans mon dos et commence à me ligoter, toujours dans les vapes à cause de la gifle, je ne réagis pas, quand je commence à reprendre conscience, je suis allongée dans le coffre les chevilles également liées, bâillonnées, privé de la vue et la voiture roule, je commence à me débattre pour tester mes liens, impossible pour moi de bouger, je ne sais pas depuis combien de temps on roule ni où l’on va, mais une chose est sûre, cette situation m’excite...
Je ne sais combien de temps plus tard, j’entends comme un bruit de portail qu’on ouvre, une légère pente, la voiture s’arrête et le moteur est coupé, il sort de sa voiture et je l’entends se rapprocher, le coffre s’ouvre, ses mains me hissent en dehors du coffre et me mettent droite, je n’arrive pas à rester en équilibre avec les chevilles ligotées croisées et il me tient pour éviter la chute, il me tire sur une très courte distance et me jette sur un matelas en plastique avant d’ajouter :
— Ma petite salope, tu es chez moi, tu es à moi jusqu’à demain soir, je vais manger un truc et je reviens m’occuper de toi...
La suite à venir.
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