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Kimiko, jeune en quête d'elle-même

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Je rentre tard ce soir et je suis un peu éméchée. Avec Kairi après le shopping, nous sommes allées manger dans un petit établissement qui ne paye pas de mine, mais qui est fort agréable. Nous avons beaucoup bu. C’était une certaine découverte pour moi de l’alcool et j’ai vite tourné. Kairi est venu jusqu’à l’immeuble de Max pour être sûr que je rentre sans encombre et que je ne me perde pas en chemin. Nous nous sommes quittés et sans vraiment trop savoir comment cela s’est fait, elle a déposé un baiser sur mes lèvres avant de partir. Autant dire que dans mon état, je ne me souviendrai sûrement de rien demain en me levant. Je peine à tourner la clé dans la serrure, mais j’ai fini par y arriver. J’entre dans le silence relatif pour une fille très alcoolisée, mais Max n’a pas l’air d’être réveillé par mon entrée. Je me dirige directement vers la salle de bain pour voir les dégâts, mais ça semble aller.
Je suis complètement saoule un vendredi soir et je me pose sur mon lit pour la semaine. J’ouvre mon ordinateur et je vois toutes les notifications du site de vente. Je décide d’accepter une offre et de répondre sur un coup de tête. Je reçois immédiatement une réponse, à croire que cet homme était vraiment derrière son ordinateur à attendre une réponse. Il me demande un échange d’adresse mail ou skype pour pouvoir échanger les modalités entre nous et plus facilement. Je crée un Skype en trois ou quatre clics avec l’adresse que j’ai utilisé pour le site et nous commençons une conversation. Cela semble l’étonner. À ma grande surprise, c’est un homme d’une cinquantaine d’années, plutôt dégarni et dans la pénombre.
— Je ne m’attendais pas à ce que vous acceptiez, me confie-t-il. — Je suis... il n’y a pas de quoi voyons... réponds-je. — Vous êtes très belle. Me dit-il. — Merci. Réponds-je manifestement ivre et tanguant légèrement. — Vous êtes vraiment aussi poilue que sur les photos ? — Oui tout à fait !
Sans une once d’inhibition, je me lève et retire mon pantalon, puis mon boxer avant de venir à nouveau devant l’ordinateur pour lui montrer cette forêt qui se trouve entre mes cuisses. Je prends sur le côté la culotte sale qu’il convoite avant de l’enfiler aussitôt. Elle est petite, en dentelle blanche, ce qui rend encore plus visibles les poils qui dépassent tout azimut de cette dernière. Je le vois porter sa main sous le cadre filmé par sa caméra, ce qui m’intrigue beaucoup sur le coup.
— Que faites-vous ? — Je me masturbe. Répond-il avec un peu de gêne vite dépassée.

Je pense étrangement à ma soirée avec Kairi, à ce baiser, mais surtout à ce regard qu’elle a eu sur ma toison, ce même regard qui dictait à l’homme devant moi de se toucher.
— Touchez-vous avec votre culotte. Gémit-il.
Sans comprendre pourquoi, j’obéis à sa demande. Je commence à laisser descendre ma main qui furète avec mes poils dépassant de la culotte avant de poursuivre leur course vers ma vulve. Je me touche doucement, délicatement au niveau du clitoris à travers le tissu fin de ma culotte pour le plaisir des yeux de cet inconnu. Je deviens très vite chaude et haletante, totalement excitée par la situation nouvelle dans laquelle je me trouve. Je vois qu’il bascule un peu sa caméra pour que je puisse voir sa main sur son sexe en train de le secouer frénétiquement. Il avait un petit pénis et je pouvais voir son ventre un peu développé et glabre. Je suis tout de même très excitée par lui, par son regard que j’entrevois parfois, le fait qu’il m’offre sa masturbation comme je lui offre la mienne. Je gémis et ma culotte s’imbibe lentement, devenant de plus en plus trempée.
— Pouvez-vous vous coucher et relever un peu les fesses en écartant vos cuisses ?
Je m’exécute sans dire un seul mot, continuant de gémir en me touchant. Je me laisse un peu glisser sur le dos tout en relevant les fesses et écartant bien les cuisses comme chez le gynécologue. Je ne le vois plus à moins de relever la tête et plier ma nuque, ce qui dans mon état est vraiment difficile. Je me sens encore plus vulnérable et observée.
— Tirez votre culotte ! dit-il avait entrain et excitation.
Je tire doucement ma culotte vers moi. Je sens le tissu imbibé glisser entre mes lèvres gonflées et ruisselantes comme si elles dévoraient ma lingerie et la faisaient disparaître derrière la chair et les poils. Le tissu tendu bloque mon clitoris dans une position très dévoilée et mes caresses sont d’autant plus puissantes. J’entends le bruit rauque que produit le souffle court et surexcité de l’homme qui me regarde, comme si ce que je lui montre était la plus désirable des images qu’il puisse regarder ce soir. Le simple fait de me sentir aussi désirée, ajouté à la surdose d’alcool pour la nuit, suffit à me faire prendre un pied toute seule comme je n’avais jamais éprouvé avant. Je ne me touche plus avec douceur et sensualité, mais avec fureur et envie. Je veux jouir comme je n’ai jamais joui avant. J’entends l’homme jouir devant le spectacle de cette chatte poilue, ruisselante en train de dévorer une culotte blanche, le tout agrémenté de mes gémissements nerveux.
Mon esprit connecte son éjaculation que je ne peux pas voir à ce moment où j’ai vu de façon approximative celle de Max dans le salon avant qu’il ne vienne se débarrasser de son mouchoir sur moi sans le savoir. Je repense à ce que j’ai fait après cela et mon excitation franchit la dernière étape. Je sens cette chaleur monter en moi et irradier comme un générateur incroyable avait de tout d’un coup céder et me libérer dans un long cri d’extase que j’étouffe à moitié à cause de mon état. Mon corps se crispe et se tend sans attendre, j’attrape les draps avec une main et me cramponne comme si un démon me possédait. Puis, je me calme à mesure que la chaleur se dissipe.
Je me redresse et je vois que l’homme en profite pour couper sa caméra. Il m’envoie un message pour convenir d’un échange au plus vite. Je lui réponds sans trop m’en rendre compte et je me laisse tomber en arrière au pays des rêves, bercée par les pulsations de mon cœur allant encore fort et devenant plus lentes.
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