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Kimiko, jeune en quête d'elle-même

Chapitre 11

Des achats nécessaires...

Erotique
Une semaine s’est écoulée depuis que j’ai rencontré madame Yüna pour la première fois et je viens de déposer le formulaire. J’ai déposé ce qui était pour moi un véritable dossier d’interrogatoire auto-effectué hier. Il n’est pas étonnant de ne pas avoir encore eu de réponse. J’ai mis un peu de temps à tout remplir, car ce n’est vraiment pas facile et j’ai beaucoup hésité en me demandant quelle pourrait bien être la suite des événements une fois ce formulaire entre les mains de cette grande dame...
Aujourd’hui, je retrouve Kairi dans une galerie marchande de Shinjuku pour des achats un peu spéciaux. J’ai continué depuis tout ce temps à me connecter sur ce site rempli de pervers adorateurs de culottes et me suis fait pas mal d’argent. A force de voir un gode si singulier qui est caché dans l’armoire de la salle de bain et conjugué au fait de devoir remplir un formulaire très osé, je décide de sauter le pas et de m’acheter quelques jouets pour mes moments de solitude.
— Salut Kairi ! Merci d’être venue ! Dis-je en la voyant approcher. — Salut Kimiko ! C’est normal voyons, faut bien s’entraider. Comment vas-tu ? — Je vais plutôt bien pour tout te dire, même si je suis plutôt nerveuse à l’idée d’aller acheter ce genre de chose comme ça. — Ne t’en fais vraiment pas, ça va aller. En fait à Shinjuki, c’est vraiment facile et encore plus ici tu sais. Il y a pas mal d’accès plutôt discrets à la galerie marchande et personne ne te jugera à l’intérieur.
Pour tout vous dire, c’est assez particulier en réalité le fonctionnement de ce genre d’endroits. Au Japon, l’apparence compte énormément. Par exemple, bien que ce ne soit vraiment illégal, il n’est pas du tout toléré de s’embrasser en public dans la rue. Bien entendu, vous ne recevez pas d’amende. Mais les regards des passants sont vraiment très insistants et vous faites mauvais genre. Bien sûr aujourd’hui, il y a certaines tolérances, d’autant que les jeunes le font parfois, mais ça reste assez mal vu. Vous vous imaginez bien que s’ils sont aussi protocolaires pour un simple baiser en public, ce serait très mal vu de savoir le contenu de vos courses en vous voyant sortir d’un magasin vendant des articles sexuels. Du coup, ils ont trouvé une autre façon de faire en cachant ce genre de magasins, comme celui où nous nous rendons. Il est au cœur d’un complexe assez grand, mais il n’y a aucun accès extérieur.
En fait, on y accède par le biais d’autres magasins tout autour et en allant dans l’arrière-boutique de ces derniers. Comme ça on ne peut pas savoir si vous ressortez avec vos courses ou des produits plus exotiques.
Nous entrons dans une petite épicerie et nous achetons deux canettes de soda et des sandwichs pour plus tard, ce qui nous gratifie d’un grand sac opaque du magasin. Nous nous dirigeons ensuite vers un petit rideau après nous être assuré que personne d’autre que le vendeur ne pouvait nous voir. Je suis vraiment très gênée, mais la présence de Kairi atténue cet état.
Lorsque nous émergeons d’un couloir sombre, nous arrivons dans un lieu plongé dans une lumière légèrement rose et des rayons vastes se trouvent devant nous. Il y a vraiment de tout, mais surtout, je rougis comme une petite ingénue de bas étage. Je n’arrive pas à rester sérieuse et je passe mon temps à glousser nerveusement à chaque nouveau rayon que nous empruntons.
— Hey hey, détends-toi un peu Kimi, ça va aller hein. — Oui... Oui oui... tu as raison, mais c’est que je ne suis vraiment pas à l’aise. — Et bien, tu te concentres sur moi et sur ce que tu vois. Regarde celui-là tiens ! Il te le faut.
Elle me tend d’une étagère une petite boîte. C’est un petit vibromasseur, vraiment tout petit, à se demander s’il faisait de l’effet.
— Ça tu le gardes dans son sac, c’est parfait pour le voyage ! Me dit Kairi.
En passant devant, dans un autre rayon, je ne peux pas retenir ma surprise.
— Oh ! Celui c’est le même que chez Max ! — De quoi ?
C’est en effet exactement le même gode à ventouse si réaliste qui se trouve dans l’armoire de mon ami chez qui je vis depuis déjà un moment.
— Il a ça chez lui ? Eh bah dis donc ! C’est un petit coquin celui-là, je ne pensais pas qu’il était ce genre d’homme ! — Qu’est-ce que tu veux dire ? Dis-je sans vraiment trop comprendre là où elle voulait en venir. — Bah tu sais, il doit aimer le plaisir anal quoi. Qu’elle me répond l’air de rien. — Quoi ! Tu veux dire que ce n’est pas... que c’est pour lui ?
Soudain, c’est clair pour moi. Le son de claquement que j’ai entendu alors qu’il était à la douche, le fait qu’il avait bien dit qu’il ne voyait pas vraiment de fille en ce moment. Je ne l’avais pas cru à cause du fait que le jouet bougeait régulièrement, mais c’est évidemment maintenant. Il l’utilise lui-même. Je me sens soudainement vraiment bête de ne pas avoir compris ça plus tôt.
Kairi ne répond même pas tant elle est occupée à pouffer de rire à mes dépens. Je la comprends en même temps. Il s’agit là d’une évidence que je n’ai pas su voir. Elle me donne une petite tape sur le front du bout du doigt avant de porter sa main vers un modèle à ventouse de plus petit calibre.
— Tu devrais commencer par étape. Celui-là sera parfait pour commencer.
Je prends celui qu’elle me tend qui est d’une taille plus modeste, mais qui en effet sera plus adapté à ma morphologie. Alors que je pense avoir la base, Kairi me pousse à poursuivre et nous continuons à tourner. Elle s’arrête devant un petit présentoir à article faisant sensation, les “top ventes”. C’est là que nous achetons encore plusieurs articles en fait. Des pinces pour tétons, un petit rosebud avec un “diamant”, du lubrifiant et enfin un petit coffret de débutant.
— Tu sais quoi Kimi ? On devrait te prendre aussi des dessous un peu sexy ! Viens !
Elle m’attrape par la main pour me tirer et nous courons vers des rayons de vêtements, ou plutôt de costumes devrais-je dire. Il y avait de tout. C’est un peu comme le paradis du cosplay, mais version coquine dans cette section. C’est là que je la vois, cette tenue...
Pour vous dire une chose sur moi, c’est qu’il y a un personnage de manga que j’adore, Rory Mercury, un personnage issu de GATE un manga dont j’attends la suite en animé avec la plus grande impatience. Le fait est que c’est une loly goth vraiment très classe, très belle et qui enflamme totalement les passions des fanfictions que j’aime lire en me faisant du bien. Kairi me voit totalement en train de faire un blocage sur cette tenue, mais elle me pousse à regarder ailleurs. C’est ainsi que nous faisons le tour sans vraiment trouver de chose pour le moment à me faire acheter. En plus de ça, je n’ai pas non plus gagné tant d’argent et il me faut en mettre de côté pour aider Max à payer le loyer. Je décide de partir payer et Kairi me laisse faire pour elle-même faire quelques emplettes pour elle. Nous nous retrouvons un peu plus tard à l’entrée du couloir de sortie et faisons route vers le métro.
Lorsque nous arrivons à la station à laquelle je dois descendre, je lui propose de manger nos sandwichs ensemble dans le parc non loin de là où je vis et ensuite de se poser chez moi. Elle accepte avec joie et c’est ce que nous faisons.
Arrivée à l’appartement, nous croisons Max qui s’en va. Il nous informe que des collègues à lui et camarades étudiants ont décidé de se retrouver dans l’après-midi pour ensuite aller faire la fête le soir. En même temps, c’est le week-end. On s’installe dans le salon et Kairi sort de son sac un paquet qu’elle tend.
— Tiens c’est pour toi ! Je sais que c’est bientôt ton anniversaire et j’ai vu que tu la regardais.
Lorsque je regarde, je vois qu’il s’agit tout simplement de la tenue de Rory. Je suis sur un petit nuage et je ne peux pas m’empêcher de sauter au cou de mon amie. Je décide d’aller tout de suite dans la chambre et de me changer pour l’essayer. Je me retrouve nue en un instant ou presque et je commence par les longs bas noirs qui remontent jusqu’à mi-cuisse. J’enfile une culotte de dentelle noire brodée de rouge en découvrant bien là une version plus coquine alors que je remarque qu’il y a une ouverture faite pour avoir accès à mon sexe. Vient le tour du porte-jarretelles que j’enfile avant d’attacher les liens aux bas. Il y a également des jarretières en dentelle noir et rouge que je positionne à la moitié de l’espace de mes cuisses nues. Puis la petite robe à froufrou de dentelle noire et aux bordures rouges avec corset intégré. Elle tombe à peine au niveau des jarretières.
Je ne me sens pas pour autant totalement à l’aise avec la tenue qui est très clairement très provocante, pour ne pas dire trop provocante. C’est là que Kairi me demande si tout va bien. Je reviens au salon, les mains jointes au-dessus du bas de la robe pour cacher ce qui se dissimule en dessous et je vois aux yeux de Kairi qu’elle me trouve tout à fait désirable. Elle s’approche de moi et pose ses mains sur mon corps qui réagit instantanément en tressaillant de plaisir. — Tu sais... on pourrait s’amuser une nouvelle fois toutes les deux si tu veux... Me susurre-t-elle à l’oreille.
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