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Kimiko, jeune en quête d'elle-même

Chapitre 14

Annoncer la nouvelle à Max

Erotique
Il est presque 22h quand je rentre enfin à l’appartement de Max. Il est assis sur le canapé, devant une série, un vieux bol en plastique de nouille instantanée à sa ses pieds. Il tourne la tête dans ma direction et me souris, content que je sois rentrée qu’il est. Je ne me sens pas très bien à l’idée de lui mentir plus longtemps sur ce que je suis partie faire, surtout maintenant que tout se concrétise enfin pour moi.
— Écoute Max... Est-ce qu’on peut parler ? J’ai quelque chose à te dire. — Oui pas de soucis.
Il éteint la télévision avant de pousser ses affaires qui sont sur le canapé pour me permettre de m’asseoir dessus à côté de lui. Je m’avance et prends la place qu’il offre à ses côtés.
— En fait, j’ai trouvé une piste pour en apprendre plus sur le passé de mes parents, de ma famille et de toute cette histoire. — Oh. C’est super ça. Pourquoi tu fais la tête du coup ? — C’est que... je suis allée dans le Shinjuku et j’ai trouvé une dame qui tient un club osé. — Quoi ? Qu’est-ce que tu me racontes là ? Dit-il comme s’il se doute de la suite. — Elle connaît mes parents, elle m’a donné leurs noms. Elle m’a proposé de travailler pour elle comme serveur dans le bar et en échange je vais aussi avoir des informations au fil des semaines. — Hum. — En fait, c’est aussi pour toi que j’ai accepté, car c’est un bon salaire, c’est mieux que celui d’une simple serveuse de bar. Donc en plus de mes études ça va être parfait. Si... si tu es toujours partant pour être mon colocataire on pourrait déménager le mois prochain pour prendre plus grand, on aurait chacun notre chambre.
Il n’ouvre pas les lèvres et se contente de se lever pour aller à la cuisine. Il semble prendre quelque chose dans le réfrigérateur et lorsqu’il revient, je vois qu’il s’agit d’une bouteille de vin. Ce n’est pas si évident que ça, à trouver en plus, il s’agit d’un vin blanc français. Il le pose sur la table avec un grand sourire avant de s’en retourner en cuisine pour prendre deux verres et de quoi ouvrir la bouteille.
— Si tu es sur la bonne voie, alors c’est génial Kimi ! Faut fêter ça ! — Mais... Mais... Mais... cette bouteille comment tu l’avais mis en réserve pour ça ? — Ahah, j’aimerai bien dire que oui, mais en fait je voulais te le dire tout à l’heure, mais tu partais. En fait, j’ai eu une promotion et je passe à plein temps au lycée où je suis ! — Oh mais c’est génial ça ! Fallait faire sauter le champagne Max ! — Oui, mais pour ça faut-il encore en trouver ici !
Nous nous mettons à rire comme des étudiants, ce que nous sommes encore dans le fond. Je suis contente que Max ne supporte pas mal ma situation. Lui qui était si réfractaire et protecteur avec moi quand je lui ai parlé de possiblement aller à Shinjuku pour trouver des réponses, ou en tout cas me mettant sérieusement en garde sur l’endroit. Il a raison en tout cas, ce quartier le soir se transforme totalement et beaucoup de personnes n’inspirent pas confiance.
— Je commence mon travail de serveuse demain soir. Donc je rentrerai tard, ne m’attends pas pour dîner. — Oui je me doute que tu vas sans doute finir tard. Ne te mets pas trop en danger. Tu veux que je vienne te chercher pour être plus sûr ? — Heu... tu ferais ça ? — Ouai pas de soucis. Tu sais à quelle heure tu finis ? — Je finis à 23h. — Ok, bah je t’attendrai devant le club, tu m’envoies l’adresse par sms que je puisse la rentrée sur navigateur ? — Oui je t’enverrai ça.
Nous continuons de boire jusqu’à finir la bouteille de vin à nous deux tout en parlant de tout et de rien encore et encore sans vraiment que cela n’ait de sens. L’ambiance est tellement à la fête que Max va jusqu’à chercher un pack de bière et nous buvons encore. J’ai la tête qui tourne un peu, mais je me sens bien, malgré le coton dans lequel j’ai l’impression d’être. C’est alors que Max se tourne vers moi, avec le sourire de l’homme joyeux.
— Au fait, t’as un uniforme de travail dans ce club ? — Oui bien évidemment. — Tu me le montres ? — Ok !
Je vais dans mon sac pour sortir l’uniforme qu’on m’a remis avant que je ne parte. Je le déballe et le montre à Max.
— Woah, c’est osé quand même !
Pour vous expliquer, la tenue est en effet plutôt osée. Il s’agit d’une robe, sur le principe d’une tenue de serveuse ou de soubrette sombre, tombant à mi-cuisse, noire, mais surtout très fine et assez transparente laissant apparaître les sous-vêtements. De ce qu’on m’a expliqué avant que je ne parte, il y a également de nombreuses soirées à thème et les tenues des serveuses doivent changer en fonction.
— Tu veux voir ce que ça donne sur moi ?  -Oh... Heu ouai avec plaisir !
Pourquoi est-ce que j’ai dit ça ? Oh mince, la gêne, je ne sais plus ce que je dis ! C’est sans doute l’effet de l’alcool. Mais il a répondu trop vite ! Je me dirige vers la salle de bain et je sors toute la tenue de son emballage ainsi que la lingerie qui va avec. Je m’effeuille tout en me demandant si je suis bien en train de faire ce que je fais. La lingerie est en dentelle rouge, plutôt sombre, Bordeau je dirais, elle se marie parfaitement avec le sombre et lorsque je vois ce que cela donne dans le miroir j’apprécie de me voir. Je reviens dans le salon un peu honteux en lui demandant de fermer les yeux et de ne les ouvrir que lorsque je lui dirai. Je me penche pour prendre une bière et je la vide cul-sec pour que l’alcool renvoie à nouveau mes inhibitions ailleurs.
— Tu peux regarder...
Je le vois ouvrir les yeux et il me regarde de haut en bas, de bas en haut. Je lis de l’intérêt dans son regard et j’apprécie qu’il me regarde ainsi.
— Tu aimes ? Dis-je avec malice.
Je commence à tourner sur moi-même comme si j’étais une vraie mannequin posant pour lui et le plaisir de ses yeux. Heu je dois dire que je... je ne m’attendais pas à ça... tu es sublime. Je vois qu’il porte la main à son entrejambe et tire le tissu comme font les hommes parfois de manière peu élégante. Est-ce qu’il se sent subitement à l’étroit dans son pantalon ? Cette pensée me renvoie à l’image de son mât dressé que j’ai déjà vu il y a longtemps. Je me sens soudainement chaude et fiévreuse à l’idée que son membre croît pour moi. Mes dessous commencent doucement à s’humidifier. Mais la gêne revient en même temps et je ne tiens plus du tout.
— Bon il se fait plutôt tard, je crois que je vais aller dormir ! — Oui... oui tu as raison Kimi ! On devrait aller dormir maintenant ! Bonne nuit ! — Bonne nuit !
Je m’engouffre sans me faire attendre dans la chambre que j’ai encore. Je retire mes vêtements, mais je ne me mets pas en pyjama tout de suite, je reste nue. Je sors les nouveaux jouets que j’ai acquis avec Kairi. Je me sens beaucoup trop excitée pour dormir tout de suite. J’éteins la lumière pour feindre l’endormissement. Je vois encore la lumière filtrer à travers le dessous de la porte pendant quelques instants avant qu’elle ne s’éteigne aussi. Je sors le petit vibromasseur de son étui pour le porter sur mon clitoris et le mettre en action. À peine se met-il à son office que je me sens déjà défaillir. Max a pris une habitude, c’est de mettre un peu de musique pour couvrir quand il se masturbe dans le salon ou la chambre. Enfin c’est ce que je crois en tout cas. Ce n’est peut-être pas le cas à chaque fois, mais ce soir en tout cas, alors que je commence à faire entrer un doigt dans mon vagin, toujours au supplice avec le vibromasseur, la musique se coupe soudainement et je peux entendre à travers la cloison ses soupirs. Il se masturbe ! J’espère qu’il le fait en pensant à moi dans ma tenue, que c’est moi qui le motive à se faire du bien... La seule pensée qu’il puisse se faire du bien en pensant à moi et peut être m’entendre gémir de là où il est me stimule d’autant plus et je sens une violente tension se former en moi avant de se décharger d’un coup en un bel orgasme. Additionné à l’alcool, cet extase ne manque pas de me faire dormir rapidement et je sombre dans l’inconscience...
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