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Kimiko, jeune en quête d'elle-même

Chapitre 16

Satochi pour m'entraîner

Hétéro
Les jours passent mais ne se ressemblent pas ici au club de madame Yuna. J’ai commencé à prendre mes marques dans cet endroit qui me parait si étonnant. Il faut bien avouer qu’il y a beaucoup à voir et à apprendre sur ce lieu et qu’il est facile au début de se perdre. Je travaille principalement comme serveuse, mais de fait, je suis parfois amenée à me rendre dans les chambres pour certaines commandes des clients. Il s’agit très souvent d’alcool uniquement, mais certains qui décident de passer la nuit complète dans l’établissement prennent également un repas. Mais j’ai pu apprendre qu’il n’y avait pas que des chambres et un espace de club, il y a des pièces qui sont de véritables salles de conférences ainsi que des salles de bain.
Ma patronne m’a déjà versé un salaire ainsi qu’une information. La préfecture d’Ishikawa, c’est de la que vient ma mère d’après ce que m’a dit Dame Yuna. Elle n’a rien ajouté d’autre, ce qui ne m’aide pas beaucoup pour le moment, mais je ne désespère pas. J’ai commencé à me renseigner sur cette préfecture qui ne se trouve pas si loin que ça de Tokyo si on est prêt à faire pas mal de train. Toutefois, je crois bien qu’il faut que je fasse mieux pour obtenir de meilleures informations de la part de la maîtresse des lieux. Je n’ai peur de rien et s’il faut que je donne de ma personne je suis prête à le faire, je lui ai dit dès que l’on s’est rencontré.
Max et moi avons trouvé un appartement digne de ce nom. Après tout, si je reste pour le reste de mes études et jusqu’à trouver ce qui se cache derrière le passé de mes parents il faut bien investir un peu plus. Grâce à mon salaire qui vient s’ajouter à celui de mon ami, nous pouvions nous prendre quelque chose de plus intéressant, mais en réalité Kairi est venue s’ajouter à l’équation. Elle a décidé de changer d’air et finalement une collocation à trois nous a ouvert bien plus de portes que nous l’aurions cru à la base. Nous nous sommes donc installés à trois dans un bel appartement doté de trois chambres à coucher, une grande salle de bain et un grand salon juxtaposé à la cuisine. C’est une aubaine en termes de coût mensuel parce que nous sommes trois et nous pouvons nous permettre de garder chacun pas mal d’argent de côté ce qui est simplement parfait. Il y a deux chambres qui sont l’une à côté de l’autre et si au départ Max était parti pour nous les laisser, j’ai insisté pour que Kairi prenne celle à l’opposée. Je dois avouer que c’est bien pour ce que vous pensez, j’ai terriblement envie de pouvoir entendre Max se branler. Je ne suis pas encore passée à l’action avec lui, mais j’ai très envie de me lancer. Toutefois, je ne veux pas être gauche avec lui et il faut pour ça que je m’entraîne un peu. Heureusement je sais déjà comment faire.
Avec le travail que je fais maintenant pour Dame Yuna au club, je suis moins innocente qu’avant et je sais mieux voir quand on me regarde avec envie. À l’université, il y a un gars qui suit les mêmes cours que moi et qui me regarde tout le temps. L’autre jour, je l’ai surpris avec une bosse dans le pantalon qui n’était plus là après un passage de sa part aux toilettes. Aujourd’hui, j’ai décidé de me mettre à côté de lui et au début du cour je lui souris tendrement, de façon presque effacée et honteuse. J’ai choisi avec soin mon soutien-gorge du jour, je l’ai pris noir pour qu’il ressorte avec la chemise blanche que je porte. Evidemment, je porte également une veste par-dessus pour pouvoir me promener en ville et venir jusqu’à l’université sans attirer tous les regards. Ce n’est qu’une fois assise et bien installée que je décide de retirer ma veste pour que mon voisin puisse alors voir ma lingerie par transparence. Après quoi je l’effleure doucement du bout des doigts ce qui ne manque pas de le faire bander, je le vois grâce au tissu tendu de son pantalon. Il ne tarde pas à s’excuser et à se lever pour quitter l’amphithéâtre. Je sais qu’il va aux toilettes et dans une autre vie, en étant plus comme Sumire je serais sûrement aller le rejoindre, mais je n’en fais rien. Je préfère y aller à mon rythme et j’attends qu’il soit de retour à sa place pour lui proposer d’aller prendre un café après les cours, ce qu’il accepte.
Autour du café que nous prenons, je lui parle un peu de moi, du fait que je suis là depuis quelques mois et à quel point c’est différent de la France ici. Il est assez intéressé et nous parlons longuement des deux pays, de comment nous vivons nos études etc. Je viens doucement sur le terrain du sexe en lui expliquant qu’en France il y a beaucoup moins de retenue qu’ici et il se montre assez intéressé par l’idée d’en savoir un peu plus, mais je vois qu’il n’est pas à l’aise sur ce coin de table dans un bar alors je lui demande si à tout hasard il ne préfère pas qu’on continue de parler chez lui, ce qu’il accepte à nouveau avec le sourire.
Satochi, car c’est son nom, vit dans un tout petit appartement d’étudiant sur le campus de l’université. C’est une sorte de neuf mètres carrés avec son lit dans un coin, une porte donnant visiblement sur un petit placard, une table basse et des coussins et un petit espace cuisine très modeste. Je ne vois même pas de douche ou de toilette et il m’explique que c’est collectif ici. Je vois à quel point il n’était pas prêt à recevoir une fille ici car il y a un magasin coquin qui traine sur son lit. Je ne me démonte pas et je l’attrape avant lui pour le feuilleter.
— Sasaki-san ! Ne regarde pas ça voyons, je suis désolé d’avoir laissé ça traîner. Me dit-il tout agiter et rouge de honte.
Pourtant ce n’est pas grave, c’est même assez intéressant. Moi je regarde plutôt des vidéos, mais c’est un bon magasin. Et je sais que t’es allé te masturber aux toilettes pendant le cour.
— Hein ? Heu...— Je te plais ?
Alors que je n’attends pas sa réponse, je commence à retirer les boutons de ma chemise pour lui dévoiler ma lingerie de façon plus directe. Mon cœur commence à battre la chamade et je vois qu’il est assez gêné mais aussi très excité par ce qu’il voit. Je ne dois pas me dégonfler si je veux progresser et c’est la mèche la plus facile à allumer pour me faire la main. Je pose ma chemise sur un dossier de chaise, par-dessus ma veste, puis je déboutonne ma jupe pour la faire tomber et lui faire rejoindre ensuite la chemise. Il est un peu sous le choc alors j’essaye de me remémorer les vidéos que j’ai pu voir ou même les filles du club en train de travailler. Je ne lui laisse pas le temps de se reprendre et je dégrafe mon carcan de tissu libérant mes petits seins. Je m’avance et lui empoigne une main pour la lui faire poser sur mon corps.
Au début ses caresses sont maladroites, mais il prend de l’assurance et arrive à m’arracher quelques gémissements assez vite en pinçant mes tétons très sensibles. Je déboucle sa ceinture avant de déboutonner son pantalon et lui faire tomber sur les chevilles. Ce dernier est vite rejoint par son caleçon que j’arrache presque de sa position. Son sexe n’est pas totalement bandé encore, mais ce n’est que mieux car je suis là surtout pour m’entraîner et voir si je peux arriver à exciter un homme. J’allonge Satochi sur son lit et me positionne entre ses jambes. J’attrape d’une main son membre viril pour le caresser doucement et je vois que c’est comme une décharge pour lui. J’approche ma bouche et je commence d’abord par lécher doucement son gland qui se gonfle à chaque coup de langue un peu plus. L’excitation me gagne véritablement et je gémis rien qu’à faire ce que je fais ce qui me pousse à gober sa queue et entamer des va et viens avec ma bouche.
Malheureusement, mon amant, sans doute à cause de l’aspect inattendue de sa fin de journée et son envie de moi, ne met pas longtemps avant de me dire qu’il va jouir et de lâcher toute sa semence. Dans le feu de l’action qui montait en moi je veux lui dire de se retenir, mais c’est trop tard. Son foutre jaillit comme l’eau d’un geyser. Quelques gouttes atterrissent sur mon menton mais cela coule majoritairement le long de sa tige et sur mes doigts qui l’empoignent encore.
Satoshi se laisse doucement glisser dans le sommeil, ce qui ne m’aide pas vraiment, mais je compte bien mettre les choses au clair avec lui dès son réveil... 
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