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Kimiko, jeune en quête d'elle-même

Chapitre 20

Diner surprise

SM / Fétichisme
De retour à Tokyo je retrouve mon quotidien pour mon plus grand plaisir après le quasi drame que j’ai vécu à Nakanoto. Ce voyage m’a appris beaucoup de choses, mais assez peu concernant mon passé. Toutefois, il m’a donné du grain un moudre en ce qui concerne la patronne du club m’ayant si gentiment aidé pour le moment et envoyé droit dans un mur infranchissable pour l’heure. C’est clair que maintenant je l’ai dans le nez plus que jamais, mais en même temps il y a comme un lien maintenant entre nous deux. Elle a été reniée par sa famille de ce que j’ai appris et il se trouve qu’en ce qui me concerne mes grands-parents ont décidé de faire la même chose en me voyant d’une certaine façon.
Six semaines passent et je n’ai toujours pas plus d’informations sur Sanaé. Je travaille comme une dingue sur ma thèse ainsi qu’au club pour payer les factures, mais ça ne change rien car mon temps libre est limité et ne me permet pas de faire des recherches dignes de ce nom. Je ne sais toujours rien de plus sur elle, à croire que c’est une sorte de fantôme. Je ne la retrouve sur aucuns réseaux que ce soit sous son nom véritable ou son nom de “scène”. J’ai laissé en stand-by pour le moment mon envie d’aller plus loin avec Max et de toute façon ce dernier m’a rendu service dans ce sens car il est en déplacement avec les élèves de sa classe depuis deux semaines déjà et était débordé par les préparatifs de cette classe vertes les semaines avant.
Entre temps, j’ai appris que mon père a fait partie d’un club de football et que c’était un très bon joueur, au point d’avoir une bourse d’étude grâce à ça. J’ai également appris qu’il était un véritable fêtard et qu’il passait la fin de ses samedi soir à vomir ses consommations dans le caniveau avant de rentrer discrètement l’air de rien chez ses parents. Je sais que ma mère a fait partie d’une troupe de gymnastique rythmique et qu’elle venait déjà à chaque match de mon père du temps du lycée et après, ce qui me fait dire qu’ils s’aiment vraiment depuis longtemps et qu’ils sont une pure expression de l’amour véritable. C’est amusant car j’ai longtemps rêvé du prince charmant qui viendrait me trouver et dont je tomberai follement amoureuse au premier regard. Ce dernier prendrait ma virginité avant de lancer une longue vie de couple aimant. Maintenant, je trouve cette idée presque triste maintenant que j’ai gouté au sexe. Je pleins presque mes parents de n’avoir pas fait plus d’expériences que ça dans leur jeunesse alors que j’en connais pourtant si peu. Si Max est mon futur homme, il est clair pour moi que ce ne sera pas le seul que je connaîtrai car je tiens à ne pas être une vierge innocente lorsque nous le ferons pour la première fois lui et moi.
Ce soir, je suis de service au club, mais quand j’arrive je vois Sumire qui a un visage qui n’est pas comme d’habitude. Elle me sourit d’une étrange manière, à la fois embêté et contente. C’est très étrange comme sentiment en la voyant.
— Salut Kimiko-chan ! Dis, tu te souviens que tu me dois un gros service ?
— Heu... oui, t’as besoin de quoi ?
— D’un énorme service ! Pile ce que tu me dois.
— Okay, bah si je peux te le rendre pas de soucis.
— Tu peux. Il faut que tu me suives et je t’explique tout.
Nous nous rendons à un étage qui n’est réservé que pour les V.I.P aux envies souvent très spéciales et qui sont réservés aux filles ayant beaucoup d’expérience au sein du club. Je suis déjà venue par le passé, pour servir des boissons surtout. Sumire me montre une salle qui est pour l’instant vide avec un très grande table tournante au centre et je ne comprends pas vraiment ce qu’elle veut que je fasse pour lui rendre service ce soir.
— Ecoute, tu m’as dit que tu me rendrais n’importe quel service quand je t’ai couverte pour avoir tout ton weekend. Bah là c’est le moment de me le rendre. Je... j’ai été désignée pour une soirée un peu spéciale, mais je ne peux absolument pas le faire. Je ne supporte juste pas la nourriture et j’ai regardé ta fiche et tu as dit que tu t’en foutais.
— C’est à dire ?

— Les hommes qui vont venir ici ce soir viennent pour une dégustation sur femme.
— Heu attend tu veux dire que...
— Oui, précisément. On y va.
C’est un gros service, mais je lui dois bien ça. En plus, ça peut servir mes intérêts à long terme avec Yuna. Je me laisse guider par Sumire vers une salle de bain où je me déshabille intégralement selon ses indications. Je n’ai plus aucune gêne avec elle, ni avec aucune autre fille du club maintenant car dans les vestiaires il faut aller vite. Je passe ensuite à la douche, mais pour joindre l’utile à l’agréable, Sumire vient me frotter le dos avec beaucoup de douceur et d’application. Je dois bien avouer que je savoure ce moment, le contact délicat de ses doigts fins contre ma peau, douceur amplifiée avec le savon qui offre une intense sensation.
Sumire m’installe sur une table avant de commencer à épiler intégralement corps. Il n’y a pas grand-chose à faire et pendant toute la procédure je garde une position presque totalement immobile ce qui semble lui faire plaisir.
— Tu sais rester sans bouger, c’est franchement parfait j’étais sûre que t’étais le bon choix. Et tu m’en devais une après tout. Conclut-elle d’un clin d’œil.
Ses mains se posent sur mon pubis afin de retirer les poils qui s’y sont invités depuis la dernière fois où je me suis apprêtée pour une rencontre. Son contact me plaît beaucoup et très vite une chaleur envahie mon bas ventre avant que ne perle les premières gouttes de rosée sur ma toison. Elle le voit, puis me sourit avant de commencer à épiler cette partie avec beaucoup de délicatesse. Je ne sais pas trop ce qu’elle a pu penser, mais malgré la gêne, je pense à elle et au fait que sa silhouette me plaît beaucoup.
Sumire termine son office et c’est l’heure d’une nouvelle douche, mais contrairement à la première, le savon qu’elle utilise n’a pas d’odeur. Il ne sent absolument rien. Je comprends ce qui va se passer et je suis curieuse que cela commence vraiment. J’ai déjà entendu parler de cette pratique, le Nyotaimori comme on le nomme, ou présentation sur le corps d’une femme comme cela signifie. Le rinçage se fait avec une très froide et dure un temps qui me semble infini au point que je commence à redouter d’attraper la mort, mais c’est pour que mon corps devienne très froid lui aussi et garde au frais ce qui m’attend.
Quand nous revenons dans la pièce avec la table, Sumire m’invite à m’allonger sur cette dernière et à rester totalement immobile à partir de maintenant. Des cuisiniers du club font leur entrée et commencent à disposer des sushis, maki et sashimi sur mon corps. Une rosace de saumon cru est assemblée autour de mes tétons, chacun de ces morceaux est très frais au contact malgré la froideur de mon corps. Je pointe de plus bel même si l’état de mes tétons était déjà bien visible. Puis, tout autour sont ajoutés tout un tas d’aliments jusqu’à ce que chaque centimètre carré de ma peau soit couvert de la naissance de mon cou jusqu’au haut de mes cuisses. Ma vulve est également recouverte par des morceaux de poissons qui la dessinent à leur façon. Je peux voir toute la mise en place minutieuse grâce aux plafond recouvert de miroirs.
 Lorsque les hommes font leur entrée dans la pièce, je suis nerveuse, mais je reste immobile, sans quoi le contrat n’est pas respecté. Ils prennent place de part et d’autre de la table et se font servir en alcool par Sumire qui les accueille avec diligence et élégance. C’est un peu comme si je n’étais pas là en réalité car ils discutent de tout et de rien, des trucs d’affaire que je ne comprends pas et commencent à manger.
Certains sont très amateurs de saumon et rapidement l’un de mes tétons se retrouve entière accessible, moins d’une minute pour tout dire. Mais je comprends que bien loin de seulement parler et discuter ils sont là aussi pour assouvir un fantasme. L’un d’eux me pince le téton à l’aide de ses baguettes avant de se saisir d’une tranche de dorade et de la passer en douceur comme une pommade sur mon téton avant de la manger.
Quand mon nombril se retrouve disponible, comme une clairière dans une forêt de nourriture, ils versent du saké un peu chaud dans le creux de mon ventre et l’un d’eux dépose quelque chose. Je ne vois pas bien car il est penché sur moi. Une drôle de sensation me saisit soudain car c’est comme si quelque chose gigotait au niveau de mon nombril comme pour se cacher dedans. Je reste calme, je me concentre, mais ça chatouille avec beaucoup de douceur. Puis c’est là que je vois l’homme relever ce qu’il avait déposé et il s’agit d’un petit poulpe encore en vivant qu’il s’avale ensuite goulument.
Ce repas prends à mesure qu’il se déroule une tournure bien plus sensuelle dans leur façon de se saisir des mets à la leur disposition, leur façon de les faire glisser sur mon corps avec délicatesse avant de les déguster. L’un d’eux ouvre les hostilités en se saisissant avec force de mon clitoris, pincé entre deux baguettes, la douleur est soudaine et vigoureuse, mais je tiens et ne bronche pas d’un poil. Par contre, je mouille intensément et ça ne passe pas inaperçu puisqu’ils s’en servent de sauce en passant quelques tranches de poisson sur mes pétales luisants de cyprine. Je suis terriblement excitée, plus encore parce que je dois contenir intégralement cette excitation pour que la leur soit totale. C’est un cercle vicieux car plus ils m’excitent plus je dois me contenir et plus ils sont excités et tentent de me faire flancher. Je prends à plusieurs reprises de grandes respirations lentes pour me calmer et me contenir, mais c’est croiser le regard fier de Sumire qui me permet de tenir malgré les sévices de plus en plus intenses que je subis.
Vient le moment où ils finissent la totalité du plat qui était à leur disposition. C’est là que Sumire m’invite d’un signe de tête à me redresser. Je me place à ses côtés, toujours nu, puis je m’incline pour saluer ces hommes avant de quitter humblement la pièce et les laisser à leur soirée. Quand je sors avec Sumire, je crois une autre collègue qui vient prendre le relais pour la suite des festivités avec ces V.I.P. Quand j’arrive dans les vestiaires avec mon amie et collègue, je suis encore toute chose et je peine à rester sérieuse, si bien que ma main glisse tout naturellement sur mon sexe qui demande des caresses et de l’attention depuis une bonne heure.
— On dirait que ça t’a fait de l’effet Kimiko-chan.
J’en avais oublié sa présence un bref instant, mais je ne me démonte pas et ma main ne quitte pas son œuvre.
— Oh oui... je ne tiens plus c’est un truc de dingue ! Il faut que je me soulage avant de retourner faire mon service... 
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