Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 75 J'aime
  • 6 Commentaires

King

Chapitre 3

Une initiatrice lascive

Zoophilie
Une initiatrice lascive


-         Toi Tarzan, moi Emmanuelle. Toi Tarzan, moi Emmanuelle…
Chaque répétition est ponctuée d’un doigt qui s’enfonce entre mes côtes. Visiblement l’humaine considère que notre repos est terminé. J’essaie de la repousser mais elle s’accroche à pleines mains à ma fourrure, le visage enfoui dans mes poils drus, se frottant lascivement contre moi.Quand elle me voit réveillé elle éclate d’un rire léger et se redresse appuyée contre mon torse. Elle se frappe la poitrine avec insistance.
-         Emmanuelle. Emmanuelle.
J’émets un grognement pour lui signifier que j’ai compris. Cette manie que vous avez les humains de donner un nom à tout le monde, comme si l’odeur ne suffisait pas à identifier quelqu’un ! Vous sentez tellement mauvais, peut-être cherchez-vous à faire oublier votre odeur par ces noms que vous vous donnez ?Quant à ce Tarzan, probablement un singe décérébré que vous admirez. L’humaine, Emmanuelle, n’est pas la seule de bonne humeur ce matin. Une atmosphère joyeuse règne sur le campement de la harde. Les guenons sont détendues, deux d’entre elles sont allongées dans les grandes herbes et se reniflent doucement, deux autres, assises, s’épouillent délicatement, leurs jambes fermement entremêlées. Dans la chaleur matinale me proviennent leurs gloussements discrets.Lorsqu’elles nous voient réveillés, elles me jettent un œil d’un air qui semble moqueur et j’ai l’impression qu’elles écartent ostensiblement les jambes quand Emmanuelle oriente son regard dans leur direction. Emmanuelle ne leur prête pas attention, ses mains se promènent dans ma fourrure, à la découverte de mon corps puissant. Elle se colle d’avantage et monte sur mon torse en rampant, sa tête toujours enfouie dans ma fourrure comme si elle voulait découvrir chaque parcelle de mon anatomie, celle du mâle dominant d’une troupe de gorilles.Sa bouche s’approche de ma poitrine, je sens son souffle qui soulève mes poils drus. Elle gobe un téton, l’avale, le mordille, provoquant un tremblement qui descend jusqu’à mon bas ventre. Je ressens comme un manque sur le téton délaissé par sa bouche, une main s’approche et deux doigts le saisissent, le triture, le pince de plus en plus violemment. Malgré moi, comme un souffle, un grognement s’échappe de ma poitrine, semblable à ceux que j’ai entendus cette nuit poussés par mes guenons.Toujours collée à moi elle bascule d’un mouvement souple et par une dernière ondulation son corps se trouve inversé par rapport au mien, ses lèvres posées sur mon sexe. Lentement elle fait descendre ses jambes de chaque côté de mon torse, même complètement écartelée ses pieds n’arrivent pas à toucher le sol. Dans cette posture elle découvre avec impudeur son sexe encore humide de ses activités nocturnes, et surtout j’ai sous les yeux son petit trou.Je le distingue clairement entre ses fesses écartées, sans les poils qui entourent habituellement celui de mes guenons. Son odeur forte remonte jusqu’à mes narines et me bloque le cerveau. Sans ménagement je la tire par les hanches et colle ma truffe contre sa croupe. Le parfum de son trou m’enivre, instinctivement, pour le gouter, ma langue s’avance dans le sillon dessiné par ses fesses et s’étale largement sur l’œillet.L’humaine a une réaction immédiate au contact de ma lange sur son anus. Elle se cambre d’un coup et soupir
-         Oh oui
C’est étrange sa réaction, je ne suis pas sur le bon trou. Elle doit se tromper, on dirait qu’elle y prend du plaisir. J’y retourne et insiste d’avantage, ma langue s’enfonce doucement dans son trou serré.
-         Oh oui, prends moi par là. Fais de moi ta guenon.
Ma langue force d’un coup son anneau odorant, arrachant un gémissement strident à l’humaine qui m’encourage.
-         Vas –y, continue, fouille profond, ta langue est trop dure
Je ne comprends pas ce qu’elle dit mais cela ressemble à des appels à copuler. Je n’y tiens plus, de mes deux mains qui entourent sans problème sa taille je la soulève d’une seule secousse. Immobile sur le dos, je la fait glisser sur ma langue. Son corps porté par mes bras puissants exécute une farandole de va et vient autour de ma langue dardée.Les bras et les jambes sont balancés dans le vide, ses mamelles pendantes secouées dans tous les sens. Seules mes mains et ma langue sont en contact avec son corps qui coulisse autour de mon appendice buccal.Ses fesses heurtent ma truffe à un rythme effréné, rapidement ses cris deviennent incontrôlés, hystériques lorsque ma langue tourne dans son trou maintenant béant. Je sens son sexe qui coule sur mon menton, dans les poils de ma poitrine.Un dernier hurlement et un flot, semblable à celui que mes autres guenons ont déversé sur son visage hier soir, m’inonde, créant une flaque sur la terre de la clairière. Je la dépose alanguie pour lui laisser le temps de reprendre son souffle. Mon sexe est dressé sous son visage mais je n’ai qu’une envie, la retourner et la monter violemment. En dépit de sa faible corpulence, je suis certain qu’elle peut subir une saillie aussi puissante que celles qu’endurent mes femelles. Je la redresse, la positionne à quatre pattes le derrière dressé et commence à positionner mon pieu entre ses cuisses.C’est le moment qu’elle choisit pour se tortiller et m’attraper un doigt. Amusé je la laisse faire. Si elle s’imagine qu’elle va se libérer en me le tordant : avec ce seul doigt je pourrais lui casser le bras.Mais elle ne cherche pas à se libérer, toujours accrochée à mon doigt elle bascule sur le dos et lascive écarte largement les jambes.Je sais ce qu’elle attend, j’ai déjà vu des humains copuler ainsi. Elle est vicieuse, coincée sur l’herbe je pourrai la fourrer sans qu’elle recule sous la force de mes assauts.Les jambes toujours écartées elle tire mon doigt vers son sexe encore dégoulinant. Même avec le jus encore présent, mon doigt a des difficultés à rentrer, trop gros pour sa caverne d’humaine. Je pousse fortement. Ma nouvelle guenon fait un rond avec sa bouche tandis que ses yeux s’écarquillent.Ses deux mains sur mon poignet bloquent ma progression un court moment, je n’entends plus le bruit de la jungle autour de nous, seule la chaleur nous assaille, la femelle dégouline de sueur, la tension de la saillie est de nouveau là.Elle me libère, mon doigt s’enfonce plus loin. Quand elle m’arrête à nouveau, je le retire puis le renfonce lentement. Elle ne dit rien, ses dents mordent ses lèvres, son regard m’encourage. Je reprends les mouvements au rythme de sa respiration qui s’accélère doucement.Tout à coup, je sens une pression sur ma nuque. Une de ses jambes vient de se crocheter autour de mon cou. Elle tire ma tête vers son sexe. De ses mains elle écarte les lèvres qui abritent sa grotte et découvre un bouton rouge écarlate, luisant, palpitant. Sa vision est comme un appel. Après son anneau serré, ma langue est à nouveau attirée par l’odeur de sexe de cette femme.Je pose d’abord ma bouche sur cette merveille qui semble avoir une vie autonome, puis je sors ma langue pour goûter. Le soupir que j’entends les contractions autour de mon doigt m’indiquent que je viens d’apprendre une nouvelle façon de procurer du plaisir à une guenon en chaleur. Je laisse la guenon humaine partir à nouveau dans sa jouissance. Ma langue, mon doigt, mes lèvres ne sont plus qu’un unique instrument de sensualité pour la femelle. Le parfum de son orgasme me fait oublier ses feulements, le monde se rétrécit à mes lèvres sur son bouton merveilleux et aux contractions de son corps serré autour de mon doigt.  Mon sexe est toujours dressé, malgré l’épuisement donné par cette copulation torride, j’ai encore envie de la femelle, mon sexe ne l’a toujours pas pénétrée. Je dégage sa jambe et redresse la tête afin de la retourner face contre terre, croupe levée et la prendre sans attendre. Une série de grognements dans mon dos attire mon attention. Je me retourne intrigué, c’est seulement là que je remarque les autres guenons. Elles ont visiblement suivi avec attention la séance. J’ai un moment de panique quand elles m’entourent. Ont-elles peu apprécié les deux sessions érotiques subies par leur nouvelle amie, sont-elles tout simplement jalouses ? La colère d’une troupe de gorilles femelles peut être dévastatrice même pour un mâle comme moi. Une des guenons amène l’humaine dans une des couches où nous mettons les bébés trop jeunes pour nous suivre seuls dans les arbres. Elle l’étend et la couvre de branchages et de feuilles, lui intime par gestes l’ordre de ne plus bouger, ce temps n’est plus celui de l’humaine.La gorille revient en roulant des hanches et des épaules vers notre groupe, les guenons se mettent en cercle autour de moi et s’installent sur le dos. Je m’approche avec méfiance de l’une d’entre elles, quel piège me tendent-elles ?Je suis surpris par les deux flèches noires qui jaillissent du cercle et m’entourent le cou. Déjà je suis plaqué par ses deux cuisses contre le bassin de la plus jeune des femelles. Je n’ai pas le temps de me redresser, les autres femelles m’immobilisent les jambes au sol, les bras dans le dos, la tête entre ses jambes.Je bande mes muscles dans l’attente de l’attaque des femelles.Rien ne vient. Je rouvre les yeux, elles me regardent, attentives. Je remarque seulement alors que ma gueule est posée sur le sexe de la jeune guenon. Les autres m’encouragent du regard, de petits mouvements du menton. Elles semblent inquiètes, nerveuses, attendant de moi, leur mâle, un acte décisif.Les garces ! Je fais semblant de ne pas comprendre, j’essaie sans trop y mettre de violence de me libérer, amusé. Je les laisse mariner encore un peu. Puis du regard j’accroche une à une leur prunelle et enfin, en prenant mon temps je sors ma langue et la pose sur la source qui coule entre les cuisses largement offertes.Un murmure parcourt le groupe, un frisson dresse les poils sur l’échine des voyeuses. Le cercle se resserre, celle qui tient un de mes bras rapproche ma main du sexe dégoulinant de la guenon. Je déplie mon poing et j’enfonce en forçant à peine deux doigts entre les cuisses offertes. Le chuintement des va et vient accompagne le bruit fait par ma langue sur ses lèvres ouvertes.Je n’ai encore jamais vu une de mes guenons se projeter ainsi en avant lors d’une de nos saillies, même aux meilleurs moments de ses chaleurs.Comme l’humaine l’instant auparavant, elle semble perdre la maîtrise d’elle-même, son visage est tordu par d’étranges grimaces, ses bras frappent indifféremment soit le sol, soit mon dos ou s’accrochent à mon crâne pour pousser ma langue comme pour l’enfoncer avec mes doigts dans son antre brûlant.Son bassin poussé violemment par ses hanches, vient faire ventouse avec ma bouche et un jet puissant gicle autour de ma main collée contre son sexe. L’odeur forte de la femelle en fin de rut envahit l’espace.La gorille se détend, ses cuisses lâchent mon cou. Le calme revient dans la clairière. Tous semblent hébétés par la lutte qui vient d’avoir lieu. Mon pieu est douloureux tellement il est tendu, des gouttes perlent à son extrémité prêtes à lubrifier une femelle. Je cherche des yeux l’humaine, elle va goûter à la saillie d’un gorille adulte.  Las, de chaque côté je sens la présence de deux guenons. Leurs mains sur mes épaules font pression pour que je m’agenouille face à une troisième. Celle-ci le regard brillant a déjà écarté les cuisses. Ma bouche s’approche de son bouton brillant, mon doigt se pose à l’orée de son trou dégoulinant. Je la travaille comme la précédente, plus violemment cette fois, mon désir inassouvi me rend agressif. La satisfaction de la guenon est décuplée par la force que je mets à notre acte.Après la deuxième guenon, je ne cherche pas à abandonner le cercle, je me jette sur la troisième. Sur mon menton se mêlent la jouissance des précédentes guenons et ma propre bave. Ces guenons qui m’ont repoussées si souvent car elles n’avaient pas leurs chaleurs, me réclament désormais sans vergogne les unes après les autres. Je les satisfais toutes sous les cris et grognements de la harde. Plusieurs fois, jusqu’au bout de ce jeu érotique auquel nous a initié l’humaine. Enfin, épuisées, les guenons me laissent quitter le groupe. Le sexe turgescent je me dirige vers l’humaine, elle nous a sans doute appris de nouvelles formes de plaisir mais je vais lui rappeler que le coït des bêtes sauvages par sa puissance vaut tous les jeux inventés par les humains.
Diffuse en direct !
Regarder son live