Je suis Vincent, bel homme de 38 ans, en couple. Je tiens un restaurant et je tiens à être présent au cas où, je connais donc plutôt bien mon personnel, un jour mon directeur me propose de prendre des apprentis car il y a un certain nombre d’avantages, après discussion je le laisse traiter son affaire avec le lycée hôtelier le plus proche pour prendre deux apprentis, un en salle l’autre en cuisine. C’est à ce moment que je fais la connaissance de Kong Mi, une jeune femme de 17 ans d’origine cambodgienne, une beauté comme seule les asiatiques en ont, une peau mate qui a l’air d’être très douce, assez petite mais bien proportionnée avec surtout une paire de seins qui donnent l’impression d’être faux tellement ils sont gros, ce qui est rare pour son ethnie. Au bout de quelques jours je lui demande en plaisantant où elle a bien pu se faire poser des prothèses de cette taille à son âge, ce à quoi elle rétorque que ce sont des vrais et que si je ne la crois pas je n’ai qu’à aller dans mon bureau et elle me montrera :" Attention, lui dis-je, quand on me cherche on me trouve." Elle me sourit et part en direction de la porte, je la rattrape et nous entrons ensemble dans mon bureau. La porte à peine refermée elle se jette sur moi et m’embrasse à pleine bouche en me mordant la lèvre inférieure, en deux secondes c’est bestial, je la retourne et me concentre sur notre sujet de discussion, je lui attrape ses énormes mamelles à pleine mains, je les malaxe, j’ouvre sa chemise et arrache son soutien-gorge, j’ai deux seins qui débordent largement dans mes mains et je peux constater qu’ils sont tout ce qu’il y a de plus authentique. Elle continue à m’embrasser et frotte frénétiquement son cul sur ma queue qui durcit très rapidement. Je ne contrôle plus rien, je la jette brutalement sur une table, lève sa jupe, je sors ma queue bien dure, me contente d’écarter sa petite culotte et présente mon gland directement sur son anus :"Hoooooooo! Mais vous êtes un gros cochon monsieur, vous voulez m’enculer comme ça?" Je ne réponds pas et je pousse de toutes mes forces, de toute évidence elle à l’habitude car ma bite qui fait une taille respectable est comme absorbée par son petit trou, elle pousse tout de même un petit cri de douleur :"Oui vas y petite salope, crie, ça me fait bander plus dur." Elle pose ses mains sur ses fesses et les écartes le plus possible, je vois ma queue qui lui déboite la rondelle et ne résiste pas longtemps à la chaleur de son trou du cul qui reçoit une bonne dose de crème car ma femme me délaisse un peu ces derniers temps. Une fois l’excitation retombée je commence à penser et je me dis que j’ai bien déconné, une jeune femme à peine majeure, je trompe ma femme pour la première fois, mais ça ne dure que 10 secondes car Kong Mi est à genoux et refait durcir mon sexe avec sa bouche en peu de temps puis me branle avec ses seins qui me paraissent de plus en plus gros, je n’en reviens pas qu’elle soit aussi cochonne à son âge et excité comme jamais je ne tarde pas à repartir cette fois sur ses seins et son visage. Je calme un peu le jeu et lui demande de se rhabiller avant que le personnel se pose trop de questions, heureusement l’intermède a été relativement rapide, j’ai d’ailleurs le sentiment de ne pas avoir assuré. Mon orgueil me pousse à lui en parler et c’est alors qu’elle m’explique que ce qu’elle aime c’est avoir mal et se faire asperger de sperme, je n’en reviens pas. Elle m’embrasse encore sauvagement avant de sortir avec un regard de chienne lubrique, je me dis que j’ai fait une grosse boulette et j’essaye de réfléchir à une façon de sortir de cette histoire. Mais en même temps je pense à ses gros seins et à tout ce que je vais pouvoir lui faire pour assouvir mes instincts les plus bas, pour finir je me dis que je serais bien con de ne pas en profiter, j’ai deux petites voix qui me parlent et celle qui est le reflet de ma perversité l’emporte tout doucement. Comme pour me pousser encore plus dans le vice, Kong Mi vient se coller à moi et me glisse dans l’oreille en frottant ses monstrueux nibards sur mon torse :"J’ai trop aimé quand vous m’avez enculée, j’espère que vous le ferez tous les jours." Puis elle m’attrape le paquet et le serre bien en me regardant droit dans les yeux. je trouve le fait qu’elle me vouvoie et qu’elle continue à m’appeler monsieur terriblement excitant, je lui pince sournoisement un téton et elle soupire d’extase, mon sexe retrouve immédiatement sa vigueur mais on ne peut pas faire que ça, je lui murmure :"A partir de demain tu es ma salope, et je vais pas te ménager crois moi. Tu vas prendre très cher compris?" Elle se passe la langue sur les lèvres d’un air gourmand et je rêve instantanément à ce que je vais pouvoir lui faire, mais ceci est pour plus tard.
