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Kong Fu, le stage d'été

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire est basée sur des faits réels. J’ai changé les noms pour ne pas exposer la principale intervenante que nous appellerons ici, Cécile.
A ce moment, j’avais quarante-cinq ans et je venais de monter ma propre école d’arts martiaux. Plusieurs élèves m’avaient suivi, essentiellement pour des raisons de compatibilité d’horaires avec leur travail, mais aussi car j’avais décidé d’axer mon enseignement sur la self défense. Parmi eux il y avait Cécile, une jeune mère de famille de trente-cinq ans avec qui je m’entendais parfaitement. J’avais été son partenaire pour son passage de ceinture noire, et pendant les quatre années qui ont précédé, elle m’avait raconté sa vie et les difficultés de son couple. Malgré cela, il ne s’était jamais rien passé entre nous hormis des échanges de regards et des caresses furtives pendant la pratique de notre art.
Malgré deux grossesses, elle avait conservé une taille fine surplombée par une poitrine bien dressée, qui si elle n’était pas énorme, n’en était pas petite non plus. Des cheveux châtains, très légèrement colorés en blond et un visage fin lui donnait le charme certain d’un ange innocent. D’ailleurs pendant les techniques par deux, tous les garçons du club la voulaient comme partenaire. Malheureusement pour eux, pendant ses quatre premières années, j’avais développé avec elle une complicité telle qu’elle me privilégiait comme partenaire.
C’était donc l’été, et comme avec mon ancien maître, j’avais maintenu le traditionnel stage d’été. Il s’effectuait sur une semaine, d’un samedi à l’autre. N’ayant pas encore suffisamment de contact, j’avais été obligé de trouver un camping municipal dans les monts proches de chez nous. Le lieu était sympathique. Nous étions une dizaine de participants, six hommes et quatre filles. Nous campions sur le bord d’une rivière, sur la berge en face, une prairie nous était réservée pour la pratique, un passage à guet nous permettait de traverser. J’avais réservé un bungalow pour pouvoir faire la cuisine, tandis que le reste de l’équipe dormait sous tente.
Je m’en souviens parfaitement, les évènements que je vais vous narrer se sont passés pendant la journée du quatorze juillet. Il faisait chaud dès le matin, cette année-là. Nous avons commencé la journée par du qi gong avant de pratiquer l’épée chinoise. L’après-midi il faisait trop chaud pour travailler après le repas. Nous profitions donc de la piscine en attendant que les températures retombent.
Je me souviens parfaitement quand Cécile est arrivée sur le bord de la piscine ce jour-là... Elle avait mis un bikini bleu roi relativement petit qui révélait avec délice ses courbes, des fesses bien galbées, et des seins appétissants prêts à sortir. Je pense que je n’étais pas le seul à la regarder. A sa vue malgré l’eau fraîche de la piscine mon sexe avait gonflé dans mon maillot. Elle rentrait doucement dans l’eau. Je nageai vers elle. La fraîcheur de l’eau avait fait pointer ses tétons. Nous passions alors un bon moment à chahuter ensemble. Mes mains se faisaient baladeuses. Elle me souriait et jamais ne les écartait. J’ai pu ainsi profiter plusieurs fois de ses seins et de ses fesses que je découvrais ferme sous mes doigts. Mon sexe était toujours bien gonflé quand nous sortions de l’eau pour nous allonger côte à côte sur nos serviettes. Elle regarda mon bas-ventre et me sourit, coquine.
— C’est moi qui te fais cet effet ?— D’après toi ?— Merci, mon mari ne me touche plus, tu sais.
Elle se remit à me parler de ses problèmes de couple.
Vers dix-sept heures, nous avons repris la pratique. Je montrais toutes les techniques avec Cécile. Nous en profitions pour être très proches. Au repas du soir, Cécile était aux petits soins pour moi. Elle me servait et s’assurait que je ne manquais rien. A la fin du repas, un pratiquant proposa que nous sortions profiter du feu d’artifice et du bal qui suivait. Chacun s’habilla en conséquence. Un pantalon de randonnée et le t-shirt de l’école pour moi. Cécile m’époustoufla à nouveau par sa tenue. Elle avait un petit short qui lui moulait les fesses et un t-shirt trop petit qui laissait son nombril à l’air. Pas la peine d’être expert pour noter l’absence de soutien-gorge sous le tissu serré que les tétons pointus semblaient vouloir déchirer.
— Tu es toute jolie dis-moi ce soir.— Merci.
Nous nous installâmes sous un pont au bord de la rivière aux premières loges du spectacle pyrotechnique. La première explosion fit sursauter Cécile.
— T’inquiète pas je suis là.
Elle ne répondit pas, mais prit ma main avant de se coller contre moi. Je sentais sa chaleur contre moi, son parfum. Sa présence faisait monter en moi une forme d’ivresse. Moi qui n’avais jamais trompé ma femme, j’avais soudain envie d’adultère. Mon bras passa derrière son dos et je la collai contre moi. Elle posa sa tête sur mon épaule. Ma main se mit à faire des cercles dans son dos. J’étais sur un petit nuage. Le spectacle fini, je me levais en gardant sa main dans la mienne. Des pratiquants nous avaient vus, deux me firent un regard envieux tandis qu’une troisième me fit un sourire complice.
Nous avancions main dans la main vers le gymnase transformé en salle de bal pour l’occasion. Un groupe local animait la soirée mêlant reprise de tubes de l’été avec des compositions de leur cru. Je dansais face à Cécile, son corps bougeait en rythme avec la musique, le balancement de ses bras de sa tête. Ses seins libres dansaient avec elle. La soirée avançait, les plus anciens rentraient chez eux. Le groupe se mit à jouer un slow. Je m’approchais plus de Cécile et la pris contre moi. Mes bras la pressaient contre moi. Mon sexe bien dur contre son pubis. Mes mains descendent sur ses fesses. Elle avait les yeux fermés sa tête sur mon épaule. Je sentais sa poitrine contre la mienne. Mon esprit montait vers le septième ciel. Quand la musique s’arrêta, Cécile me regarda avec des yeux pétillants et posa ses lèvres contre les miennes. Rapidement nos langues se mêlèrent.
— Tu veux un verre.— Avec plaisir.
Nous quittions alors discrètement notre groupe et pour trouver un bar où nous avons commandé chacun une bière. Nous étions l’un contre l’autre, jambes et bras pressés. Nous parlions de tout, de nos vies, de notre enfance. Il était plus d’une heure du matin quand nous sommes rentrés au camping. Je l’invitais dans mon bungalow. Cécile me suivit. On arriva dans la chambre. D’abord, elle resta debout. Je m’approchai d’elle. Ma bouche contre la sienne. Mes mains glissèrent sous le t-shirt. Je me mis à jouer avec ses seins. Puis je remontai le t-shirt pour libérer sa jolie poitrine. Je baisai chacun des tétons parfaitement érigés et durs. Cécile commençait déjà à gémir sous l’effet de ma langue et de mes caresses. Cécile n’était pas passive et a commencé à descendre mon pantalon. Ses mains douces caressaient mon sexe tendu. Je la poussai tendrement sur le lit. Elle tomba à moitié allongée, jambes écartées. Je montai sur elle, le sexe dressé. Je le frottai entre ses seins.
Sentir mon sexe entre ses deux globes était une sensation exquise. Elle retira son t-shirt et prit mon sexe en bouche. C’était une véritable pro en comparaison de mon épouse. Je commençais à émettre des râles.
— Attends !
Elle se redressa et sortit un préservatif de la poche de son short. Elle le déroula sur ma verge tandis que je me contorsionnais pour retirer ce short et sa culotte de dentelle noire. Une fois nue, elle s’allongea sur le lit. Je montais sur elle. Son sexe était tout humide. Je rentrais en elle pour commencer des va-et-vient. Ses jambes se nouèrent autour de ma taille, ses ongles griffaient mes omoplates. Elle gémissait de plus en plus fort. Ses cris m’excitaient, moi qui n’avait connu que ma femme qui faisait l’amour dans un silence quasi religieux. Ses gémissements se transformèrent en cri. Mes coups de boutoir étaient de plus en plus forts. Elle se mit à onduler par spasmes sous moi au moment où je me déchargeais en elle. Mon corps retomba sur le sien. Nos sueurs se mélangèrent. Je restais un peu sur elle pour savourer l’instant avant de me retirer pour ôter le préservatif. Nous passâmes le reste de la nuit l’un contre l’autre à nous câliner.
Le lendemain, nous sortions ensemble du bungalow, mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai si vous le souhaitez.
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