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Labourage dans le bureau du proprio hétéro du gym (01)

Chapitre 1

Gay
Depuis des années, je me rends au gym cinq fois par semaine et la plupart du temps, j’y vais tard le soir. Au gym que je fréquente, il y a plusieurs gays et c’est reconnu à Montréal et c’est pourquoi on y retrouve beaucoup de mecs qu’on dit curieux ; curieux car ils ont des fantasmes gays tout en étant hétéro. En m’y rendant tard le soir, il y a moins de monde et souvent, dans les douches, je me retrouve avec un mec qui me lorgne juste assez pour que je comprenne ses intentions. Vous dire combien de baises j’ai eues dans ces douches m’est impossible. Mais mon histoire d’aujourd’hui ne concerne nullement ces douches.             Mardi passé, je me rends donc au gym vers vingt heures. Comme j’ai une réunion super importante au bureau le lendemain matin, je ne veux pas me coucher trop tard car, d’habitude, je m’y rends vers vingt-trois heures. Vêtu de mon short moulant (il faut ce qu’il faut et je ne porte jamais de sous-vêtement) et de mon t-shirt que je retire toujours après quelques minutes, je me poste sur le banc de musculation, les jambes bien écartées. Étant quelque peu exhibitionniste, j’aime bien lorsque des mecs se promènent devant moi en regardant mon entrecuisse. Chaque fois, ça m’excite, leur offrant une vue de mon sexe en pleine expansion. Donc, j’exécute les mouvements sur la machine lorsque j’entends le patron du gym me saluer. Je m’arrête et le regarde ; je me demande bien pourquoi il me parle alors que jamais ce mec ne vient dans les salles, restant toujours dans son bureau. Je le salue à mon tour. — Serait-il possible de venir me voir dans mon bureau quand tu auras terminé ? Me demande-t-il avec son air sérieux, me regardant avec ses yeux noisette. Je dois avouer que c’est un bel homme; mi-trentaine, les cheveux rasés et bien entendu musclé. Je lui réponds par l’affirmative, me questionnant sur ses objectifs. Je termine donc ma ronde d’exercices et sans attendre, je le rejoins. Je frappe à la porte et entre. Il est assis derrière son bureau, pianotant sur le clavier de son ordinateur. — Assis-toi Etienne. Tu veux boire quelque chose? Je réponds par la négative, surpris qu’il connaisse même mon prénom. Tu dois te demander ce que je te veux. - Je dois avouer que je suis intrigué. Je ne savais même pas que tu me connaissais. - Ah ça, tout le monde te connaît ici, dit-il en riant. Plusieurs me parlent de toi ; certains sont choqués par ton habillement et les autres sont plutôt excités. - Tu as eu des plaintes me concernant ou quoi? Je ne savais pas qu’il y avait un code vestimentaire. - Non, ne t’inquiète pas. Ceux et celles qui ne sont pas contents n’ont qu’à regarder ailleurs qu’entre tes cuisses. C’est Luc qui m’a parlé de toi. Luc… Pourquoi Luc a-t-il parlé de moi à ce mec? Ça ne peut être par réprimande car je ne compte plus les fois où il m’a enculé dans les douches et il ne semble jamais s’en plaindre.  — Je ne passerai pas par quatre chemins Etienne. Tout le monde ici sait que je suis marié, père de trois enfants mais je dois t’avouer que j’ai un fantasme depuis quelque temps et Luc m’a dit que tu pourrais sûrement m’aider.— Un fantasme ? En quoi puis-je t’aider si tu es hétéro ?— Eh bien voilà, dit-il en se levant pour s’approcher de moi, son jeans ouvert ; je peux facilement voir le début de sa queue déjà dure car lui non plus ne porte pas de sous-vêtement. J’ai le goût d’enculer un mec et je sais que tu en raffoles. Je soupire, ne sachant quoi dire. Je ne sais pas si je dois prendre ça comme une insulte. Me prend-il pour une lope, quoi que…  Je dois avouer que j’en suis une et plusieurs le savent. Je m’assume mais là, je ne sais pas trop comment le prendre. Mais de le voir là, devant moi, le jeans ouvert, prêt à m’enfoncer sa queue dans le cul… comment puis-je dire non? Ça serait ma bonne action de la journée. Luc m’a dit que tu aimais bien cela, poursuit-il en se rapprochant encore si près que je peux le toucher facilement mais non, je garde mes mains sur mes cuisses. A moins que je ne te plaise pas. Là n’est pas la question. Bien au contraire, il m’excite au max et mon short moulant le démontre bien. Je ne peux plus cacher que l’idée de me faire fourrer par un hétéro me plait bien. — Tu veux faire ça où? - Ici, tout de suite, me répond-il en sortant sa queue de son jeans qu’il colle contre mes lèvres que j’écarte pour engloutir son sexe. Tout de suite, il se met à gémir. Mon dieu, tu suces ça une queue toi.
Sans doute est-ce la première fois qu’il se fait sucer par un mec. Je m’arrête, ne voulant pas le faire venir tout de suite. Je me lève, me débarrasse de mon short et lui tourne le dos pour lui offrir mon postérieur. Appuyé contre le dossier, je pose le pied gauche sur la chaise, me cambrant le bassin de sorte à écarter les fesses. Tout de suite, je sens son gland glisser sur ma rosette et il exécute une pression et en deux temps trois mouvements, sa queue s’enfourne au complet dans mon trouffignon. Je me mets à balancer du bassin, m’apercevant bien qu’il est mal à l’aise et qu’il n’ose pas trop se laisser aller. Je sens sa queue bien dure aller et venir et je l’entends respirer de plus en plus fort. — Tu aimes ça?  - Je capote. C’est mieux qu’un vagin, répond-il en accélérant ses mouvements, prenant conscience qu’il a le contrôle de mon cul.  - Claque mes fesses… Et vlan, il y va de main forte, répétant et répétant en me frappant toujours plus fort.  — Insulte-moi, lui dis-je, certain que ce mec est du genre à aimer se sentir supérieur. Il désire vivre son fantasme, il le vivra au max. - Tu aimes ma queue ma chienne. Tu aimes la sentir dans ton cul. On voit bien que tu es habitué de te faire fourrer espèce de salope, gémit-il en donnant de grands coups de bassin tout en poursuivant ses claques. Prends-ça et encore et encore, lance-t-il en libérant son foutre tout en criant des injures qui l’excitent au max. Il respire tellement fort que je me demande s’il va résister. Il donne encore quelques coups et sort sa queue. Je décide donc de lui donner le complément. Je m’agenouille et lui lèche sa queue gluante, l’enfonçant dans ma gorge. Je la nettoie au complet, ne laissant aucune goutte et je me relève pour enfiler mon short.  — Et puis, ça valait le coup? Luc avait-il raison de te parler de moi? - C’était l’extase totale mec, répond-il avec un large sourire. C’était meilleur que je me l’imaginais.  - Et tu aimerais passer à plus un autre jour? Il fronce les sourcils, ne sachant trop où je veux en venir. Je te propose quelque chose. J’ai un chalet dans les Laurentides où nous pourrions passer un weekend complet. Je te montrerais le bien fondé d’être gay. - Je ne suis pas gay, riposte-t-il tout de go.  - Je sais, lui dis-je en riant. Par là, je voulais parler de faire plus que de m’enculer. Nous aurions tout le weekend pour baiser à fond. - Tu veux dire faire l’amour avec toi? T’embrasser, te sucer… - Tu ferais ce que tu veux. Je serais à ta disposition pour vivre tous tes fantasmes qui concernent les mecs.  Il me tourne le dos et retrouve son fauteuil derrière son bureau. — Tu serais vraiment à ma disposition? Dit-il avec un petit sourire en coin. C’est à bien y penser. - Alors penses-y et tu me le diras. Bonne fin de soirée, dis-je en ouvrant la porte pour quitter les lieux. Le lendemain soir, lorsque je retourne au gym, il vient aussitôt me voir pour m’avouer qu’il accepte ma proposition, en insistant sur le fait que je serai à sa disposition. Je lui explique que je ne suis ni coprophile, ni zoophile mais qu’en dehors de cela, ses fantasmes seraient les miens. Reste maintenant à savoir quel weekend nous nous rendrons à mon chalet.
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