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je me lache au réveillon

Chapitre 1

Erotique
Nous étions à Noël en Sardaigne, en vacances une semaine chez un patient fortuné chez que mon mari avait ponté.Il possédait une villa superbe de huit chambres, âgé de 53 ans, il était assez bien de sa personne et son épouse 10 ans plus jeune était top.Piscine chauffée, ciel bleu, mer azure, bateau avec équipage, le rêve.Il avait invité plusieurs couples, tout du beau monde.J’étais en manque, mon époux n’étant pas porté sur le sexe vu son âge 62 ans et moi 45.La vue de ces hommes physiquement musclés, qui me mataient à chaque occasion faisait monter en moi l’envie de sexe.Le réveillon me donna l’occasion d’assouvir les besoins si longtemps contenus.J’avais emporté dans mes bagages une robe superbe de chez Dior, dos nu interdisant tout soutien, assez indiscrète,échancrée jusqu’au haut des cuisses.Un vrai appel au viol, chaque mouvement exposant involontairement dirons nous une partie de mon anatomie.Dormant sur place, les apéritifs se succédaient à un rythme effréné, nous étions vite tous en forme, les femmes ne faisaient plus attention à leur tenues indiscrètes, livrant à qui le voulait leurs charmes.A chaque mouvement pour prendre mon verre, ma robe se décollait et le voisin avait une vue directe sur mes seins, assise dans le fauteuil, ma robe dévoilait mes cuisses gainées de bas fumés très fins, très très haut.Mon voisin Charles ne se privait pas de me dévorer des yeux, 50 ans, belle gueule, assez charmeur dont l’épouse était assez prude, distante, habillée chic et stricte.Il me complimentait sur mon habillement depuis le début du séjour et ne ratait aucune occasion de me mater depuis le début du séjour.J’étais déjà sur un nuage, mon mari lui, buveur invétéré n’avait déjà plus d’yeux vers moi.J’aimais les regards des mâles sur moi, j’aime me montrer, j’aime donner envie de moi aux époux, j’aime leur sollicitude à mon égard.Bien foutue, assez bronzée, une poitrine moyenne bien accrochée, un petit cul bien arrondi moulé par le tissu fluide de mes vêtements, j’arrive facilement à les attirés dans mes filets.Ce soir, ils voudraient tous, j’en suis sûr profiter de mon corps parce que je suis consentante et fais tout pour les exciter.Les hommes aiment les femmes qui se montrent sensibles à leurs envies cachées et répondent à leurs approches discrètes.Je suis excitée et mon mari ne répond pas à mes besoins, je suis en chasse ce soir d’un homme.L’envie de faire bander un homme comme jamais sa femme n’a pu le faire, le sentir me pénétrer, le sentir éjaculer en moi avec une force inouïe me fait déjà mouiller.Charles est la victime idéale.Je lui montre discrètement tout de moi, il est aux aguets, je le regarde et je l’ écoute suavement, il mord à l’hameçon, c’est une question de temps, je le sens prêt à tout faire pour me posséder.Au repas, Charles est en face de moi tandis que nos moitiés respectives sont au bout de la table.Je m’arrange pour souvent mêler mes pieds aux siens, en m’excusant avec un sourire qui en dit long, puis tous les deux, on se prend au jeu et nous échangeons sous la table des contacts qui deviennent de plus en plus osés.J’ai ôte une chaussure, je n’insinue entre ses jambes, je remonte mon orteil jusqu’à la fourche de son pantalon, il se laisse faire, je sens son émoi naître. La partie est lancée, je m’amuse, je le fait bander discrètement, il fait semblant de rien. Il aime, la dureté de son sexe l’avoue, il ne reste pas inactif, il ouvre sa braguette et du doigt de pied je devine sa tige libre que je peux écraser et écraser encore, il jubile, il est très gros.Ce petit jeu d’adolescent à vite raison de lui, mon pied massant sa tige, il éjacule. C’est jouissif pour moi à l’extrême. Je suis excitée, c’est à son tour de s’occuper de moi, j’ai faim.Nous sommes au salon, nous attendons le dessert, Charles toujours à mes cotés. Mon mari est quasi KO. Je me retire dans pour me refaire une beauté.Charles m’ a suivi, il s’engouffre en même temps que moi dans le chambre, il m’embrasse en pleine bouche, nos langues, nos salives se mélangent, il a mes seins en pleine main, il me jette sur le lit, relève le bas de ma robe, descend mon collant et mon slip à la hâte et il me prend en levrette comme j’aime avec violence, il est en moi, il est gros, il lime, il me stimule bien, je sens le plaisir m’envahir, il me pourfend comme un âne, je le sens grossir, je fantasme, je vais jouir, je le lui dit, il augmente la cadence, il éjacule en moi, je hurle mon plaisir.Il faut faire vite, je remonte slip et collant, je me remaquille un peu et pleine de jus je redescends pour le dessert suivie de Charles.A table, je jubile, j’aime regarder l’épouse de Charles sachant que je viens de profiter pleinement du jus de son mari qui me mouille tout mon fond de culotte.J’aime être mouillée de sperme volé.
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