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Ladies Night

Chapitre 1

Erotique
Ce soir c’est "Ladies Night" comme dit V. Je déteste cette expression.A et moi avons passé le début de soirée à nous préparer dans sa chambre. Devant son grand miroir les tenues et les verres de Martini se succèdent. Elle tient à être irrésistible. Son célibat commence manifestement à lui peser.Après une bonne dizaine d’essayages, elle a opté pour un pantalon noir qui la met parfaitement en valeur ainsi qu’un haut bordeaux ouvert dans le dos et dont les lanières s’entrecroisent sur sa peau caramel. Impossible de mettre un soutient gorge. De toute manière avec sa petite poitrine ronde, elle peut parfaitement s’en passer. Elle se dandine devant moi en riant. Elle est heureuse, légère, parfaiteÀ mon tour. Elle insiste pour que j’essaie une de ses robes, un machin bleu. Je n’ai pas envie. Je reviens de la plage, il me faut une douche. Elle voit ma moue et va se maquiller sans insister.Enfin dans la salle de bain, enfin un peu de calme. Je me débarrasse machinalement de mon maillot et de mon paréo. Un courant d’air me fait frissonner tandis que j’ouvre le robinet. Ça fait un bien fou. Je ferme les yeux, croise les bras sur la paroi et y pose ma tête. Le Martini fait son œuvre. Je pourrais rester comme ça indéfiniment. J’adore sentir l’eau glisser dans mon dos bronzé avant de s’insinuer entre mes fesses. Je pense à J et à toutes ces fois où il m’a rejoint sous la douche pour me faire l’amour. Ce simple souvenir me fait me cambrer. Je glisserais bien une main entre mes cuisses mais je sais que je suis déjà en retard.J’ouvre les yeux, la nuit est déjà bien installée. Il faut que je m’active. Je me retourne pour attraper un flacon et sursaute à peine. Je ne suis plus seule.Le frère d’ A est à l’entrée de la douche, il m’observe tranquillement le sourire aux lèvres.Le revers de son jean est trempé. Il est torse nu, les bras croisés sur ses abdos. Il ne dit rien. Je l’observe à mon tour. Rapidement. Il a la peau caramel comme sa sœur, tannée par le soleil africain, les muscles parfaitement dessinés et les yeux qui brillent.Il fait un pas vers moi ; je constate l’ampleur de la bosse qui déforme sa braguette. Je lève rapidement les yeux et croise son regard. Il m’a vue faire. Il rit doucement, fait encore un pas et vient m’embrasser voluptueusement. Je tente de bafouiller une excuse pour me dérober. Il m’embrasse de nouveau pour me faire taire. Je n’ai même pas envie de résister. Je me laisse aller et dégrafe son pantalon. Je libère enfin sa queue. Elle tient ses promesses. Lisse, large et légèrement incurvée. Je la caresse délicatement tandis qu’il m’embrasse dans le cou et joue à faire rouler mes tétons sous ses doigts. Sans conviction je lui murmure que je n’ai pas le temps. Pour seule réponse il me fait me retourner. Je retrouve ma position initiale contre la paroi, je me cambre de nouveau, sous ses caresses cette fois. Il fait courir ses doigts entre mes omoplates, le creux de mes reins, mes fesses. Je sens la chaleur de sa peau au contact de la mienne. Il place une main sur mon ventre puis la fait glisser progressivement pour me caresser. Je suis déjà trempée, ses doigts glissent merveilleusement. Je sens sa queue dure et gonflée contre mes fesses. J’ai juste envie de la sentir en moi. Il l’a bien compris et tout en continuant à me caresser, je le sens pousser son gland à l’entrée. Il est brûlant.  Il me possède petit à petit, centimètre par centimètre. Il ne peut pas le savoir mais c’est mon supplice préféré. En quelques coups de reins il m’offre un superbe orgasme qui me coupe littéralement les jambes. Il jouit pratiquement en même temps que moi. Je sens ses longues saccades chaudes me remplir. Il frisonne et me serre fort. L’eau coule toujours. On reste comme ça un long moment. Plus rien n’existe.
A fait soudain irruption dans la salle de bain pour prendre je ne sais quoi. Heureusement, le mur de la douche à l’italienne préserve notre intimité.
— "Alors t’en es où ? " me demande t elle gaiement.J’ai bien envie de lui répondre "Demande à ton frère ! " mais vu l’air moqueur qu’il arbore, je m’efforce de paraître la plus naturelle possible pour lui répondre.
— "C’est bon j’ai fini".Je ferme le robinet, toujours lovée dans ses bras. Sans le moindre bruit je me retourne, l’embrasse fougueusement en lui pinçant les fesses et sort rejoindre A en le plantant là. Elle m’attend innocemment avec une serviette épaisse dans les bras. Elle voudrait que je l’aide à se coiffer. Elle a déjà tout installé. Tout en lissant ses mèches soyeuses, je pense avec malice à son frère, juste là, à côté de nous, encore nu contre la faïence de la douche. Je laisse échapper un petit rire cristallin en l’imaginant. A ne relève pas, elle est trop absorbée par son reflet dans le miroir. Mon petit rire inopiné n’est pourtant pas sans conséquence. Il a permis à son sperme de s’échapper. Lentement. Très lentement. Il commence à couler sur mes lèvres puis sur ma cuisse droite. Je ne peux pas m’empêcher de frissonner en souriant. J’aime cette sensation. Je laisse faire tout en continuant à la coiffer. Une dernière épingle. A est satisfaite du résultat ! Elle retourne dans sa chambre en chantant mes louanges. Je la rejoins. En marchant le sperme s’étale un peu sur mes cuisses, elles glissent l’une contre l’autre.
Il faut que je me prépare. - "Vite !" dit A me laissant seule. Je cherche rapidement mon sac. Je trouve un tanga en soie noire. Parfait. Je m’apprête à l’enfiler quand je remarque une petite goutte nacrée qui court à l’intérieur de ma cuisse. La tentation est trop forte. Je ne peux m’empêcher de goûter. D’un doigt je stoppe sa course et la porte à mes lèvres. C’est salé, musqué, un mélange de lui et moi. J’aurais dû le sucer...
Je dois me dépêcher. Je passe la première robe que je trouve. Noire, assez courte avec un décolleté discret et subtilement sexy. Je me maquille, prends mon sac, mes escarpins et rejoins A dans le salon. Elle est en pleine discussion avec son frère qui refuse de nous servir de chauffeur pour la soirée. De rage elle m’attrape par la main. Il me sourit. Elle m’entraine dehors. Il me fait un clin d’œil. Un taxi jaune et noir nous attend. Je la suis. En montant sur la banquette arrière, le vent passe sous ma robe. J’ai la sensation que mon petit bout de soie est déjà tout imprégné... Direction l’Ibis, une boîte branchée où le reste de la bande doit déjà nous attendre.
Dites moi si ça vous a plu et je vous raconterai la suite
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