Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 128 J'aime
  • 2 Commentaires

Lady Carolyn

Chapitre 2

L'arrivée à Bath... Et la plongée dans le plaisir

Lesbienne
Résumé : Angleterre 1817. Carolyn fille d’un noble ruiné a pu, face au chantage sexuel de son oncle et à la proposition perverse du mari d’une amie, s’enfuir et épouser le Marquis de Castlewan à la réputation comment dire, douteuse….
Le marquis observait son épouse, les yeux grands ouverts et presque émerveillés découvrir son nouveau domaine. La longue et épaisse haie d’épineux entourant tout le domaine ou presque, les petites maisons proprettes de ses fermiers et les étables soignées. Elle vit aussi les hommes et femmes les saluer joyeusement en agitant leurs chapeaux ou leurs bonnets et il espéra avoir bien jugé le caractère de son épouse. Il ne fut pas déçu quand, en fine observatrice elle lui fit compliment non seulement de la bonne tenue de la propriété mais surtout de sa bonté.— Ma bonté ?— Allons Will, nous savons tous deux que presque tous ces hommes sont d’anciens soldats blessés ou mutilés à qui vous avez donné une nouvelle chance. A Londres et ailleurs, ils peuplent les rues, mendiants rejetés par tous , quand aux femmes je gage qu’il doit y avoir parmi elles nombre de lavandières des armées ou des pauvres filles rejetées. Et dire qu’on vous traite de monstre ! Elle l’embrassa passionnément, jouant de sa langue et mettant encore une fois en pratique les sensuelles leçons apprises. La demeure, d’une jolie teinte ocre clair se dévoila enfin au détour du chemin. D’emblée Carolyn fut conquise et réalisa rapidement qu’il s’agissait d’une adaptation à peine modernisée d’une domus romaine. — Oh Will, j’ignore si vous êtes un monstre mais je suis désormais certaine que vous êtes un original, toute la domesticité est vêtue de toges, la décoration est une ode à l’antiquité, c’est si beau.— Merci ma chère.Il fut interrompu par un homme âgé avec qui il échangea quelques mots avant de se retourner vers elle.— Carolyn , j’ai des choses, mais Anna va te conduire aux bains et s’occuper de toi, tu seras ainsi reposée quand j’aurais fini. Il parla un instant avec la jeune femme aux cheveux blonds tressés en une longue natte qui était arrivée et qui guida Carolyn vers la partie bains. Tout en marchant, derrière elle, Carolyn, nota que sa courte toge, ne cachait pas grand-chose de son corps pulpeux et dénudait même totalement son dos ; elle retint un cri en voyant les cicatrices de zébrures de fouet sur la peau blanche. — Voilà milady,La pièce entièrement décorée de mosaïques représentant des femmes dénudées dansantes était de dimension généreuse, et un grand bassin carré en occupait le centre. Carolyn se dévêtit,abandonnant avec plaisir ses vêtements, derniers vestiges de ce passé qu’elle voulait oublier. Elle descendit ensuite dans le bassin et fu surprise que l’eau soit chaude— Nous sommes à Bath Milady, et nous utilisons des sources d’eau chaude.Elle s’immergea totalement ; savourant sa liberté et la chaleur de l’eau. S’étonnant que la servante reste à la regarder. Celle-ci lui expliqua qu’elle avait reçu l’ordre de s’occuper d’elle et allait donc la masser.— Me masser ?— Vous êtes toute tendue après ses jours de chevauchées, je vais dénouer vos muscles, vous verrez vous irez bien mieux ensuite.Carolyn sortit du bain, débarrassée de la poussière et s’allongea sur le ventre sur une table déjà recouverte d’une longue serviette. Elle ressentit un sentiment trouble comme Anna la regardait sans se cacher et puis vit que celle-ci s’enduisait les mains d’huile de coco tout en lui expliquant avoir appris les techniques d’une amie asiatique. En à peine quelques instants sous les mains expertes de la jeune femme qui parcouraient son dos, ses épaules et sa nuque Carolyn sentit son corps endolori se détendre. Les yeux clos, elle savourait la douceur de ce «massage»comme l’appelait la domestique. Celle-ci parcourut ensuite ses jambes et dénoua muscle après muscle, Carolyn se sentait fondre et ne pouvait s’empêcher de penser aux baisers de son époux en écoutant le babillage d’Anna qui la complimentait sur ses formes. Les derniers jours n’avaient été qu’excitation et elle sentait son corps brûler d’un feu intérieur depuis, un feu qu’elle voulait assouvir tant tout cela lui plaisait. Les mains passèrent et repassèrent sur ses cuisses, le bas de son dos et Carolyn se sentait toujours plus détendue et mit un moment à réaliser que les mains s’étaient fixées sur ses fesses, les caressant lentement et faisant naître un sentiment étrange en elle, presque comme le résultat des baisers de son époux. Anna alterna ensuite entre ses fesses et le haut de ses cuisses et Carolyn ne pu empêcher son corps de réagit en écartant un peu les cuisses, elle n’avait jamais expérimentée une telle douceur et savourait ce plaisir délicat. Anna lui demanda ensuite de se retourner et elle hésita un peu n’étant pas recouverte avant de céder devant Anna tant c’était doux. La tête soutenue par un petit oreiller, elle voyait tout et cela rajoutait encore au climat de plaisir. La jeune femme lui massa les cuisses, les épaules, tournant autour de ses seins et la aussi la complimentant.— Milady est très belle, votre peau est très douce, monsieur a bien de la chance.Carolyn sentait les pointes de ses seins durcir et une certaine humidité entre ses cuisses. Elle savait confusément qu’elle aurait du faire cesser cela mais les préjugés de classe étaient si ancrés en elle qu elle n’en fit rien, sans parler de la chaleur du lieu, de l’ambiance, de ces images de nymphe tourbillonnantes autour d’elle. Les doigts presque magiques de l’accorte domestique qui passaient désormais autour de ses seins, ou parfois dessus ? Elle ne savait plus car ils étaient si agréables…Elle ouvrit les yeux et vit que la toge qui couvrait Anna était de plus en plus lâche, lui permettant de voir non seulement ses seins lourds et libres de tout tissu mais aussi le triangle sombre de sa féminité. Carolyn se sentait de plus en plus troublée et, quand Anna lui saisit les tétons pour les tirer légèrement vers le haut elle ne put que gémir. Ce devait être la fatigue des douze jours passés à chevaucher, dormir peu, courir , oui ce devait être ça... Ce n’était plus elle qui tendait ses seins vers les caresses si habiles de la chambrière, plus elle qui gémissait alanguie comme une odalisque. Et puis, les doigts si doux quittèrent ses tétons durs et demandeurs pour glisser plus bas vers son ventre plat, effleurant sa toison,  folâtrant dans sa douce fourrure, c’était si délicieux qu’elle n’entendit presque pas Anna lui indiquer qu’ils seraient proprement taillés afin de la rendre encore plus belle pour son époux, qu’elle devait se détendre pour son mari.  Carolyn ouvrit les jambes et se laissa porter par le courant de sensualité, une langueur coupable s’était emparée d’’elle se disant juste que c’était pour plaire à son amour, car oui elle ne pouvait le nier, elle était folle amoureuse de son ténébreux époux. Sa perverse tourmenteuse glissa un doigt dans la fente de son sexe, le trouvant humide et brûlant. Oh comme c’était différent de ce qu’elle se faisait parfois seule au fond de son lit loin du monde si dur. Les gestes d’Anna étaient si bons, si excitants, et pourtant, elle sentait confusément qu’en y rajoutant l’amour de Will ce serait encore bien plus fort. En attendant, elle savourait ses doigts inquisiteurs qui jouaient avec le petit bouton caché qu’elle adorait toucher en secret. Anna qui, tout en parcourant ses lèvres intimes de sa main, caressait un sein de son autre main en la regardant avec un sourire complice. Carolyn arc-boutait son corps, tout son instinct cherchant une pénétration plus profonde qu’Anna esquiva en lui rappelant que ce devait être le privilège de son époux le soir même. En pensant à ce plaisir futur, elle se sentait encore plus brûlante, encore plus impatiente. Ce fut donc presque naturellement qu’elle attira Anna vers elle pour échanger un baiser, après tout c’était un peu pour savoir si sa nouvelle technique était bonne. Et elle l’était à en juger le gémissement que poussait la servante. Leurs deux langues dansaient un furieux ballet presque plus sauvage que ces longs baisers avec son époux qui la laissaient si pantelantes. Anna se redressa néanmoins avant de lui dire :— Il ne faudrait pas que vous me fassiez perdre la tête MiladyCarolyn vit que les beaux seins de la jeune femme étaient gonflés, les tétons comme deux petites framboises dures et elle se sentit fière d’elle. Anna laissa descendre sa tête et lui taquina un sein de la pointe de sa langue avant de saisir le téton entre ses lèvres et de l’aspirer  presque goulûment pour son plus grand plaisir. Elle devait sentir l’effet de ce geste et la tension exacerbée car elle passait d’un sein à l’autre juste au moment où Carolyn se sentait au bord d’un précipice. Sa peau la brûlait, la démangeait, tout son corps se soulevait, répondant aux affolantes caresses délivrées avec maestria par la servante. Prise d’une envie subite, elle leva la main et caressa les cheveux de la domestique, lui pressant la tête sur les seins. Anna releva les yeux et lui sourit, visiblement au bord de perdre son contrôle sur elle-même. Soudain, elle cessa de la masturber mais Carolyn n’eut même pas le temps de ronchonner qu’elle vit entre elles, entre leurs bouches, les doigts d’Anna, gluants de sucs. Elle avança la bouche comme un miroir de l’autre et, ensembles, elles sucèrent les doigts mouillés.  Oubliés tous les interdits, oubliés toutes les recommandations, ce n’était rien par rapport à tout ce plaisir. Quand Anna recula la tête, un fil de salive reliait leurs deux bouches et cette vision bouleversa la jeune femme, c’était si bon que cela ne pouvait être mal. La domestique caressa a nouveau le petit bouton d’amour, l’entrecuisse inondé de la jeune femme dans des clapotis qui étaient tout saufs sales, non c’était bizarrement excitant.  Carolyn eut un instant de lucidité en se voyant comme plongée dans la fange mais toute idée de rébellion disparut face au plaisir qu’elle sentait monter en elle. Entre téton délicatement étiré et pincé, entre succion des doigts qu’elles dégustaient ensembles, avant que l’autre ne la caresse à nouveau, tout tournait autour d’elle, en elle.Quand Anna se remit à la caresser après le troisième échange autour des doigts humides, elle sentit la vague devenir irrépréssible et le dernier appui sur son clitoris l’envoya au septième ciel dans un cri libérateur.
Ce fut la voix de son époux qui la tira de l’espèce de bulle dans laquelle elle se trouvait. La voix de Will qui parlait à la domestique et la réponse de celle-ci la fit frissonner d’un plaisir trouble. — Elle a bien joui Mylord, elle est faite pour l’amour et tout à fait prête pour vous et tous vos jeux...
Diffuse en direct !
Regarder son live