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Lady Carolyn

Chapitre 4

Les plaisirs se poursuivent

Erotique
Résumé : Carolyn, désormais marquise de Castlewan a connu sa première nuit d’amour avec son époux Will ; le ténébreux marquis,Il lui fait maintenant découvrir d’autres passions, d’autres jeux…

Carolyn reposait, alanguie et nue après cette découverte de l’amour. S’étant donnée corps et âme à son époux et estimant que tous les dires, les morales n’étaient que le fruit d’esprit étroits et hypocrites, elle resta dans sa tenue d’Eve. Tous ces gens qui péroraient dans les salons, toute cette bassesse autour d’elle ! Dire que c’était auprès d’un homme tout juste toléré par la« bonne société » en raison de son argent qu’elle avait trouvé douceur et soutien ! Elle eut aussi une pensée pour Lady Golgoth, la vieille douairière qui, seule l’avait aidée alors qu’elle ne la connaissait presque pas et que sa proche «amie»aurait voulu la donner en pâture à son vieil époux libidineux, enfin elle ne voulait plus penser à tout cela.— A quoi pensez vous ma mie,— Aux derniers moments de mon ancienne vie,— Tu regrettes ?— Oh mon si doux amour qui s‘inquiète, non, je suis heureuse avec toi, je ne veux plus me souvenir de ce passé obscur.— Tant mieux, ici c’est le règne de la clarté, de la détente. Tu vas découvrir que mon vrai moi est ici et non pas dans la représentation que je donne les rares fois où je dois paraître en société.— Comment cela ?
Will lui expliqua alors que jusqu’à Waterloo il avait toujours suivi aveuglément les consignes, les ordres, les idées de sa caste, se conformant à tout ce qu’on attendait de lui. Pourtant le véritable gaspillage de vies au cours des campagnes précédant cette dernière bataille, le courage des simples soldats, la bêtise et la lâcheté de certains de ses pairs avaient été comme des graines de réflexion dans son esprit. Quand il avait été blessé dans une offensive suicidaire sans queue ni tête et qu’il n’avait du la vie sauve qu’aux simples paysans, il avait profité de sa longue convalescence pour réfléchir. Voir les pauvres devenus plus pauvres, comprendre que si on avait laissé Napoléon mener ses projets sans lui déclarer toujours la guerre, l’Europe eut pu vivre en paix, profitant d’une économie riche, de lois plus justes. Voir ses soldats parfois mutilés rejetés, mendier pour survivre après avoir tant donné. Rétabli il était revenu en Angleterre et, s’aidant de ses lectures ; Platon notamment, avait essayé de mettre en place une cité idéale. Recueillant d’anciens soldats blessés, leur redonnant leur chance, octroyant à chacun une petite maison et une part des bénéfices, son domaine était vite devenu l’un des plus rentables. Il avait ensuite décidé d’appliquer les plaisirs romains de Bath à son domaine et enfin, recueillant nombre de filles perdues certaines épousant d’anciens soldats et d’autres servant dans la villa.-Je comprends mieux tes talents d’amant— Cela te choque ?— Non, j’en ai aussi profité avec ta servante, je ne peux à la fois rejeter les mensonges de notre société et être hypocrite en niant le plaisir que j’ai ressentie avec elle.-Alors suis moiWill entraîna Carolyn vers la salle de bain et, une fois dans l’eau sonna une domestique.Cette fois ce fut une petite blonde à l’air déluré qui arriva. Comme les autres elle était uniquement vêtue d’une toge large et si fine qu’elle en était presque transparente. Ses seins lourds contrastaient avec sa petite taille et la finesse de son corps. Elle fit tomber sa toge, dévoilant une intimité presque sans pilosité hormis quelques poils blonds et sur un signe du Marquis lui tendit un lourd morceau de savon avant de s’asseoir sur la margelle.Son époux lui murmura au creux de l’oreille que Lydia aimait énormément regarder et aider aux plaisirs provoquant un frisson de bon aloi chez Carolyn qui découvrit ainsi les fantasmes de voyeurisme de certaines personnes. Avec le savon il passa sur tout le corps de son épouse, puis la fit sortir et Lydia prenant une espèce d’arrosoir se chargea de la rincer en faisant couler de l’eau toujours chaude sur elle. Carolyn eut une idée dont elle se dit qu’elle plairait à son époux et quand elle fut rincée, attira à elle la jeune servante pour l’embrasser. C’était délicieux de sentir ce corps chaud bouger contre elle et elle fut très fière d’avoir osée pour la plus grande joie non seulement de la jeune blonde mais surtout de Will qui la félicita de son initiative. Encouragée, elle demanda à la soubrette de l’aider et, à deux entrèrent dans l’eau pour savonner le marquis ce qui évidemment était propice a de sensuels attouchements. Ensuite Lydia rinça le marquis et celui-ci a son tour échangea un baiser avec la servante. Carolyn se sentit non pas jalouse mais plutôt émoustillée ce qu’elle lui confia dans un murmure et son marquis d’époux l’embrassa en la remerciant de son courage.— J’ai de nouveau envie de faire l’amour, est ce normal ?— Oh mon épouse, j’en suis ravi et oui, une vraie femme n’a pas à rougir de ses envies qui sont bien normalesIls revinrent tous deux vers la chambre et d’un commun accord laissèrent Lydia les regarder. Carolyn caressait tout le corps musclé de son époux, examinant les cicatrices laissées par les combats et les couvrant de baisers effaçant sans le savoir les craintes informulées du marquis qui avait eu peur de la voir choquée voire dégoûtée. — Ce sont les marques de ton passé qui ont forgé notre avenir, pourquoi devrais-je être choquée, je suis surtout fière que tu aies changé pour le meilleur Lui répondit t’elle quand il s’en ouvrit à elle
Elle poursuivit ses caresses et osa empoigner son vit tendu, le caressant de ses doigts, de la pointe de ses ongles, le faisant tressauter pour son, leur plus grand plaisir.— C’est énorme et ça réagit tellement sous mes doigts— Oh, cela peut encore gonfler.. Carolyn ne comprit pas tout de suite, puis se souvient des plaisirs que lui avait donné Will avec sa bouche eut alors une idée. Surtout Lydia placée derrière Will lui mima un geste avec sa main. Alors elle osa, oui, elle osa se pencher et déposer un baiser sur le haut du sexe érigé faisant instantanément tressaillir Will— Ais je mal fait ?— Bien au contraire mon aimée, mon gland est sensible et ce que tu viens de faire me rends fouElle l’embrassa et armée d’un courage et d’un désir nouveau fit courir sa langue sur le gros gland rougeâtre. Quel plaisir de le sentir vibrer, de le sentir réagir surtout que tout cela générait une puissante envie en elle, une chaleur qui la faisait vibrer. Elle voyait du coin de l’œil la soubrette se caresser et comprenait le plaisir de regarder … et de se montrer.Will avait ses mains crispées sur ses épaules et semblait l’attirer vers elle comme s’il voulait encore autre chose. Encore une fois ce fut Lydia qui d’un geste très explicite le lui fit comprendre. Carolyn, toujours plus enhardie osa alors emboucher le sexe tendu. Quand elle sentir cet énorme vit entrer dans sa bouche elle comprit instantanément qu’elle adorerait toujours cela. Voir Will les yeux exorbités, le corps crispé, c’était désormais elle qui se sentait puissante comme jamais. Oublié tous les tristes aventures des derniers mois, ce n’était rien face à ce sentiment de puissance. C’était elle, Carolyn qui faisait vibrer son époux et aussi la servante qui avait le même regard chaviré. Comme c’était plaisant ! Elle se jura de toujours profiter de tels délicieux instants. Faire coulisser le sexe dans sa bouche, saliver dessus, le parcourir de sa langue à la façon des baisers échangés entre eux, serrer plus ou moins fort les lèvres sur la longue colonne de chair, en ressentir les pulsations, elle sentait son intimité embrasée. Soudain Will lui demanda de stopper, mais fit taire ses craintes d’avoir mal fait en l’embrassant et en s’allongeant sur le dos, puis il la guida afin qu’elle se retrouve sur lui mais tête-bêche. L’espace d’une seconde, elle ne comprit pas la manœuvre puis voyant le sexe tendu devant elle et sentant le souffle lourd de son époux comprit et se remit à l’ouvrage, ou plutôt à son plaisir. Sucer son vit, le déguster plutôt tant c’était excitant tout en sentant la langue de son amour parcourir son intimité brûlante était un plaisir fou. Elle eut soudain un afflux d’émotion, une peur que ce ne soit qu’un rêve mais une caresse des mains puissantes de Will sur son dos la calma. Cet homme que le tout Londres décrivait comme sombre, insensible et rejetant ce qui était la grande vie avait bien au contraire trouvé ici le bonheur et la simplicité. Surtout il était d’une douceur et d’une sensibilité qui lui avait tout de suite fait comprendre les peurs de sa jeune épouse. Son simple geste était si chargé de tendresse que Carolyn sentit toute la puissance de leur amour. Instinctivement, elle essaya d’enfoncer plus profondément le puissant sexe dans sa bouche et, au vu de l’accélération des coups de langue de son mari, comprit que cela lui plaisait énormément. Durant quelques longs instants, ils se donnèrent du plaisir avec leurs langues et, même si Carolyn se savait un peu malhabile, elle comprit que cela même et conjugué à son entrain l’excitait énormément. Elle comprit aussi que loin de lui répugner, tout son miel qui coulait dans sa bouche le rendait fou, que c’était un véritable aphrodisiaque pour lui. Elle sentait des soubresauts de plaisir en elle et ces sensations naissantes la rendaient folle. Aussi fut-elle un peu surprise quand il se dégagea et la tira vers lui. Ils échangèrent un baiser et elle sentit le goût de son essence sur la langue de Will, ce qui lui rappela le goût de ce fruit exotique goûté il y a bien longtemps.Will la fit ensuite se relever un peu tout en tenant son sexe érigé et cette fois elle comprit ses projets. Elle se plaça au dessus de lui et, lentement s’empala sur son sexe tendu. Comme c’était bon, comme c’était enivrant de lentement prendre son sexe en elle. Sa chaleur, sa moiteur, elle sentait son humidité accueillir sans difficulté son sexe si imposant juste comme il l’avait prédit.Ce qu’il ne lui avait pas dit c’était les plaisir que cela lui procurait de monter et descendre sur lui. Et ce regard, cet amour qu’elle voyait entre eux…Il lui sourit et vint caresser ses seins avec ses mains un peu calleuses, c’était divin mais bien moins que quand il pinça légèrement ses tétons. Elle le regarda faire, un peu étonnée de ce que ses petits seins aient des tétons si gros, si tendus par le plaisir. Totalement empalée sur lui, elle savourait les légers mouvements de son bassin , ces petits mouvements, conjugués à son regard et ses doigts en pince sur ses tétons la rendaient folle. Il lâche soudain un sein pour lui attraper sa main droite et la diriger vers son intimité avant de recommencer sa délicieuse torture. Se pouvait t’il qu’il veuille la voir se toucher ? Se pouvait-il qu’il veuille qu’elle aie encore davantage de plaisir. Son regard complice la rassura et elle fit aller son doigt dans sa moiteur,cherchant le petit centre de son plaisir.— Voilà mon amour ,caresse toi, tu est si belle ainsi.Elle accéléra ses mouvements, commençant à perdre pied, ivre de sensations. Elle entendit le cri de jouissance de Lydia loin derrière elle, signe que oui, elle était belle, ils étaient beaux dans le plaisir. Leurs regards attachés l’un à l’autre elle sentit la vague déferler en elle. Will aussi le sentait qui donnait de furieux coups de reins, oh ce n’était pas douloureux mais terriblement bon.  Il se redressa et vint l’embrasser sans cesser ses habiles caresses et elle cria alors son plaisir, Il lui sembla que Will aussi criait et c’était comme se sentir feu d’artifice, oui comme ces lumières qui explosaient dans le ciel lors des festivités, simplement c’était elle qui était dans l’azur.
Elle ne sut pas comment, ni à quel moment elle redescendit de ce nuage si haut, juste qu’elle reposait dans les bras de son marquis à savourer la quiétude, le bonheur. Lydia était partie, les laissant seuls dans ces moments de tendresse si particuliers. Et puis elle le questionna :— C’était merveilleux.. Est ce que cela sera toujours ainsi ?— Non.— Non ?— Non, car en vérité ce sera chaque fois plus beau, plus fort …..
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