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Lady Carolyn

Chapitre 5

Un coquine au petit matin...

Lesbienne
Résumé : Carolyn a réussi à échapper aux plans machiavéliques de son oncle et, désormais mariée au Marquis de Castlewan, elle découvre petit à petit les plaisirs de l’amour et de la luxure.

Carolyn reposait alanguie après ce nouvel orgasme et regardait son époux ; fière d’avoir réussie à se donner du plaisir devant lui, fière d’avoir atteint l’orgasme avec lui, fière d’avoir excitée la petite chambrière. Comme c’était bon, comme c’était excitant de vivre libre, loin des conventions, loin des véritables turpitudes hypocrites de la société. Ce qu’elle faisait ici avec Will, n’était pas le mal, comme le décrivait les prêtres et les moralisateurs ; non, c’était une ode au plaisir, une ode à l’amour tout simplement.
Une fois un peu remis, ils profitèrent à nouveau du bain chaud et il lui donna quelques détails de plus sur la maisonnée, lui expliquant qu’ici régnait la notion de plaisir et qu’elle était libre de ses envies puis, brisée par la fatigue et le trop plein d’émotions, elle alla se coucher. Elle osa dormir nue, l’ingénieuse méthode romaine appliquée par Will à la demeure lui garantissant qu’elle n’aurait pas froid. Tard dans la soirée, elle sentit vaguement Will revenir après avoir fini de régler les papiers et documents nécessaires à la bonne marche du domaine et se coucher contre elle. Elle se pelotonna contre sa chaleur et se rendormit immédiatement. Au petit matin, elle l’entendit s’agiter, puis parler avant de lui murmurer qu’il devait partir mais qu’elle ne devait pas l’attendre pour emprunter les chemins du plaisir.Elle ne savait plus si elle avait rêvée ou non, mais quand les rideaux écartées par la chambrière laissèrent passer le grand soleil et qu’elle se réveilla vraiment, elle se sentait en meilleure forme que jamais. Pendant qu‘elle procédait à ses ablutions, celle-ci, une petite brunette mince, aux cheveux courts comme un garçon et à l’air délurée qui se présenta comme Lara lui expliqua que Monsieur le Marquis avait du voir d’urgence un métayer blessé mais qu’elle était totalement à son service.La façon dont la jeune femme qui devait avoir peu ou prou le même âge que Carolyn, prononça ces mots était lourde de sens. Carolyn se surprit à l’observer plus attentivement ou plutôt, différemment… Arborant la même toge presque transparente que les autres domestiques, Lara était très joliment faite, des seins en pomme, une taille fine comme elle, un triangle de fourrure sombre en haut des cuisses minces…. Carolyn se surprit à vraiment apprécier la vision, ressentant comme un coup de coeur pour cette jeune femme qui lui ressemblait physiquement. Elle s’assit sur le rebord du lit, vêtue d’un petit peignoir de soir léger — Savez vous aussi masser Lara ?— Non, madame, c’est la spécialité d’Anna, je ne suis là que depuis quelques mois. — Et comment vous êtes vous retrouvée ici ?— Je servais comme aide de cuisine chez Lord et Lady Dickhead, et la sœur de Madame m’a choisie comme sa domestique personnelle. Elle m’a initiée au culte de Lesbos et, quand nous avons été presque surprises, elle m’a accusée de l’avoir agressée sexuellement et on m’a immédiatement chassée de la maison. Monsieur le Marquis m’a recueillie alors que battue et affamée j’étais tombée devant son cheval. Il m’a faite soigner et je suis venue vivre ici parce que je n’avais plus de famille et que personne ne voulait plus épouser une femme perdue qui ne pouvait plus avoir d’enfant. Ici on apprend à lire, écrire, coudre, soigner, faire ce qu’on aime. Certaines ont même trouvé un époux aimant et bien plus juste que les autres hommes parmi les anciens soldats que Monsieur fait vivre ici. — Et mon arrivée gène t’elle des projets ?— Oh, non Milady, nous savions toutes qu’aucune de nous ne pourrait épouser Monsieur, même pour lui le scandale aurait fait réagir le roi, nous sommes heureuses pour lui et puis vous êtes tellement belle.  — Ah je comprends qu’Anna a parlée. Et la vie ici vous plaît-elle ?— Oh madame, c’est le paradis et je crois que j’ai trouvée ma voie, j’ai même commencée à apprendre les soins aux chevaux avec le vieux palefrenier.— Il n’y a donc que de vieux employés ici ?— Dans la demeure oui. Et eux et leurs femmes nous apprennent ce qu’ils savent. Des hommes plus jeunes dans la maison ce serait des soucis vous vous en doutez.— C’est mon époux qui , enfin qui…— Euh— Parlez sans crainte Lara.— Oui, c’est monsieur qui enfin vous voyez ce que je veux dire, madame— Je vois que mon époux a adopté d’autres coutumes que les romaines..— Pardon madame ?Ça veut dire que tout est fini pour nous ?— Pas d’inquiétude Lara, monsieur et moi avons juste à parler.
Carolyn imaginait déjà la discussion mais était assez intelligente et oui, disons émoustillée par certaines idées. D’ailleurs elle avait justement une certaine idée…— Dites moi Lara, ce que faisait cette Lady vous répugnait t’il ?— Euh mmm ...— Allons !— Euh non, madame,je, j’aimais beaucoup même si avec Monsieur c’est formidable Lâcha t’elle dans un cri du coeur sans se rendre compte de ses paroles.Elle songea à Will et à son petit harem personnel, à son discours sur le plaisir et les envies et résolut de lui montrer qu’elle avait du répondant.— Venez donc ici, Lara, si vous êtes d’accord, j’aimerais encore m’entraîner pour Monsieur— Vous entraîner à uoi madame ?— Aux baisers,voudriez vous m’aider Lara ?
La petite coquine, comme l’avait escomptée Carolyn, ne se fit pas prier et vint se lover contre elle.Carolyn, bien plus grande, se pencha vers la jeune femme qui la regardait, l’air déjà chaviré en tendant sa bouche. Elles joignirent leurs lèvres dans un baiser lent et elle se rendit compte que l’air déluré de Lara n’était pas du qu’à son imagination. La petite coquine avait une langue agile et rapide et, à ses caresses répondirent celles de la domestique.La toge et le peignoir tombèrent rapidement au sol et elles se reculèrent un peu pour mieux se regarder. Lara était effectivement bâtie comme elle, des seins presque similaires, une peau douce, des hanches plut fines et des fesses musclées. Aucune n’était pulpeuse comme l’exigeait la mode féminine. Les yeux des deux coquines reflétaient les mêmes petites étoiles brillantes, présages de prédispositions certaines pour les jeux de l’amour…La toison sombre de Lara était impeccable et, à la question de sa maîtresse, elle répondit que c ‘était aussi Anna qui s’occupait de ce genre de soins, car ayant apprise de délicates techniques orientales dan sson « autre vie ». 
Assises l’une en face de l’autre, elles se regardèrent un long moment avant de reprendre leur baiser tout en caressant chacune les seins de l’autre. Les mains de Lara virevoltaient sur son corps, tiraillant délicieusement les pointes de ses seins et Carolyn n’était de loin pas en reste. Elle ressentait une véritable envie pour la jeune femme, son corps l’ayant émue bien plus que celui d’Anna ou de Lydia, comme s’il y avait une résonance particulière. Elles s’allongèrent l’une contre l’autre, une cuisse entre les jambes de l’autre ; transmettant à leurs intimités déjà moites, leurs sensations, leurs tensions. Comme c’était bon, songea Carolyn, pas mieux qu’avec Will, mais tout simplement différent. Les mains de Lara se posèrent sur ses fesses et la caressèrent sans crainte et elle répondit de la même façon, s’émerveillant de la rondeur et de la fermeté du petit postérieur de Lara. Carolyn voulu soudain se montrer, s’exhiber et, faisant à nouveau s’asseoir sa complice, se retrouva donc face à elle et lui montra comment elle jouait avec sa poitrine et comment elle glissait deux doigts dans son intimité, sa chatte comme disait Will. Comme elle eusse aimée qu’il la voie se lâcher ainsi. Lara la regardait faire, fascinée se passant la langue entre les lèvres puis imitant tous ces gestes, faisant monter la température entre elles. Puis Lara plongea ses doigts en elle avant de les porter sa bouche et de les sucer en la regardant. Carolyn l’imita savourant le goût subtil de son propre miel avant d’oser un geste totalement inconcevable seulement quelques jours plus tôt. Elle se caressa, plongea deux doigts en elle mais alla les présenter devant la bouche de Lara. Celle-ci n’eut aucune hésitation et les happa avec rapidité avant de les sucer avec une expression de félicité.Carolyn se sentit presque défaillir et quand la jeune domestique lui fit la même présentation perverse, elle dégusta son miel avec un plaisir non dissimulé.Comme c’était bon, comme elle se sentait trempée et brûlante au plus profond d esa féminité. Mais Lara plus expérimentée qu’elle la fit insensiblement s’allonger sur le dos avant de se mettre tête bêche sur elle et d’immédiatement lui lécher son abricot.Carolyn, sentait le poids de Lara sur elle, ses seins sur son ventre, mais c’était une charge agréable et sentir sa bouche et sa langue parcourir son intimité et déguster ses sucs. Devant elle, l’intimité brillante de sucs de Lara semblait n’attendre que sa langue, elle eut une seconde d’hésitation puis résolut d’appliquer les conseils de son aimé et se lança bouche en avant. C’était contre nature, contre tout mais c’était surtout délicieux. Le goût riche et complexe du plaisir de l’autre, les frémissements incroyables qu’elle ressentait sous sa bouche et qu’elle renvoyait à Lara qui lui prodiguait les mêmes plaisirs...Elle sentit des émotions nouvelles en elle, prit son temps, rajoutant ses doigts pour caresser les fesses et le chaton en même temps. Lara gémissait et la chaleur de son abricot toujours plus humide était bien la preuve qu’elle était plutôt douée dans ses actions. Elle se sentit remplie de confiance, remplie d’énergie et de puissance. Remplie d’amour pour Will qui lui avait fait la même chose, mais pourtant différemment.Elle nota que Lara ne présentait aucune pilosité autour de son intimité ni même entre ses fesses, puisqu’elle voyait l’intimité la plus secrète de sa complice de jeux. Il n’y avait là rien de sale, ni de monstrueux, juste des sensations étranges et toujours plus fortes. Une pensée la traversa il faudrait qu’elle demande à Anna de s’occuper d’elle ce qui plairait sans doute aucun à Will.
Elle avait la certitude que ce qui se passait lui aurait plu. Oui, il aurait sans doute aimé voir son épouse se consacrer au plaisir ; ne le lui avait il pas proposé, presque ordonné ? Elle songea que son esprit s’égarait, qu’elle n’arrivait plus à penser, elle sentait son cœur battre de plus en plus fort et oui, ressentait les battements du coeur de Lara contre elle, se sentait en harmonie avec elle, se sentait comme partir très loin , comme emportée dans un tourbillon encore bien plus fort que les jeux de son enfance quand avec d’autres enfants ils roulaient à flanc de coteaux.La tête lui tournait, les caresses de Lara, sa langue, ses gémissements comme elle léchait plus fort le petit bouton de chair qui semblait appele rsa bouche.
Et puis, soudain,elle se sentit happée ailleurs et tout son corps se crispa, elle gémit sans retenue et le cri de Lara lui revint comme un écho de son propre plaisir.Mais ce qui fut le plus fort, le plus puissant ce furent les mots qu’elle entendit ensuite — Comme vous êtes belles...
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