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Lady Klit.

Chapitre 2

L'histoire de Fantine.

Inceste
Déçue je ne le suis pas, d’autant plus que je trouve ma M’man que je vois pour la première fois nue encore plus belle qu’avant, même si je ne suis pas particulièrement attirée par les femmes. Car les ajouts faits à son corps au départ superbe ne l’enlaidissent pas, mais au contraire le mette en valeur pour la rendre encore plus magnifique.   Quant au fait qu’elle vient de m’avouer aimer le sexe, eh bien elle a beau être celle qui m’a mise au monde elle n’en reste pas moins justement une femme, à l’aube de sa maturité, et elle doit par conséquent comme les autres avoir des besoins et des envies. Je n’arrive cependant pas à comprendre qu’elle se soit évertuée à nous le cacher à mes frères et moi, car je pense que nous aurions trouvé tout à fait normal qu’elle continue à avoir une vie après la mort de notre père. C’est la raison pour laquelle je lui demande tout en me déshabillant à mon tour, ce qui me prend bien plus de temps qu’à elle étant donné que je ne porte pas qu’un seul vêtement :
 ― C’est donc ça, ton terrible secret ? Tu aimes faire l’amour, et tu voulais qu’on l’ignore jusqu’à ce qu’on soit devenus adultes.
 Je la sens plus que je la vois sourire étant donné que je lui tourne le dos, et lorsque je lui fais à nouveau face aussi nue qu’elle mais avec des chaussures beaucoup moins sexy, étant donné que je porte toujours mes tennis ainsi que des chaussettes basses, elle me caresse doucement la joue avant de me dire :
 ― Mon secret, je ne vais pas te l’avouer dans l’entrée de notre maison. Par conséquent on va aller dans la cuisine, dans laquelle on boira l’apéritif pendant que je nous préparerai un casse-croûte. En attendant, je suis heureuse de constater que tu es aussi belle que moi à ton âge, car si je savais déjà que tu me ressembles au niveau du visage, tu as les mêmes gros nichons arrogants qui plaisent tant aux hommes, et le beau petit cul qui leur fait perdre la tête.
 Suite à ces affirmations je deviens écarlate, mais elle ne semble pas le remarquer et ajoute en me tournant le dos pour quitter la pièce :
 ― Il va juste falloir faire quelque chose, au sujet des horribles poils qui dissimulent ton abricot. Mais je m’en doutais, et c’est pourquoi je t’ai pris rendez-vous chez mon esthéticienne, chez qui tu iras demain-matin.
χ χ

 Après être restée quelques instants immobile, me demandant si je n’ai pas rêvé ce que ma maman vient de me dire, je vais la retrouver dans la cuisine où elle est en train de déboucher une bouteille de vin blanc. En grande partie revenue de mes émotions, je lui demande après m’être assise sur un des tabourets hauts du comptoir américain, et tandis qu’elle s’active exactement comme si elle était habillée :
 ― Tu es sérieuse, là ? Tu veux vraiment, que je me fasse épiler la figue ?
 Elle me répond après m’avoir tendu un verre de Chablis, et pris place à côté de moi un autre verre à la main : 
 ― Bien entendu, ma Petite Caille, car c’est autant une question de confort que d’esthétique. 
 Pas vraiment convaincue, je lui fais remarquer :

 ― Bon, tu aimes avoir des relations sexuelles et vivre à poil. Mais franchement, ça ne justifiait pas de nous éloigner de toi, ni de Mamie et de Papy. ― Je te rappelle que je ne vous ai pas faits partir à cause de ça, mais à cause de mon activité.  ― Qui a un rapport avec le sexe ? ― Exactement. ― Tu veux dire qu’il s’agit de prostitution ? Tu fais de l’escorte ? ― Non, car ça c’est interdit. Ce que je fais c’est en même temps légal et pire, puisque je dirige une société qui produit des films pornographiques. Des films de boules comme vous dites les jeunes, et qu’avant ça j’étais hardeuse, autrement-dit actrice de films pornos.
 Alors que je reste la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés, je constate que pour la première fois ma maman a rougi devant moi en me faisant cet aveu. De plus elle a l’air légèrement inquiète, comme si elle avait peur de la manière dont je vais réagir, ce qui n’est pas vraiment étonnant. Je reste quelques instants silencieuse tandis qu’elle me fixe intensément comme si elle craignait que je disparaisse, puis je finis par lâcher :
 ― Effectivement, si j’avais appris ça dans la cour de récré quand j’avais 10 ans, je crois que ça m’aurait vraiment foutu les boules, et ce n’est pas un jeu de mots. Mais maintenant...
χ χ

 M’man continue de me regarder puis elle éclate d’un rire qui sonne faux à mes oreilles, mais devient plus franc quand je me joins à elle. Je la sens soulagée, et en même temps heureuse que j’accepte ce qu’elle est. Mais bon, elle reste celle qui m’a mise au monde, et à présent que je comprends pourquoi nous avons mes frères et moi été élevés de cette manière, je ne l’en aime que davantage. Car j’ai conscience qu’elle a fait d’énormes sacrifices, surtout sur le plan affectif, dans le but de nous protéger. 
 Une fois que notre hilarité qui a éliminé toute tension en nous s’est calmée, je lui demande :
 ― Mamie et Papy, ils sont au courant ? ― Bien entendu. Car si je n’avais pas osé le leur avouer, avec ton père nous serions partis fonder notre entreprise dans une autre région, afin de les épargner. Lui a d’ailleurs très bien pris la chose, et il est même devenu un des mes plus grands fans. Quant à elle, il lui a fallu un peu de temps pour digérer la pilule que je lui ai faite avaler, mais elle a fini par y arriver. Ils assument tous les deux ce que je suis, et il leur arrive même d’en plaisanter avec leurs amis. Mais si tu le veux bien, je vais te raconter l’histoire depuis le début. Enfin, si ça t’intéresse… ― Évidemment, que j’ai envie de savoir. ― Alors voilà. Tout a commencé quand je suis devenue étudiante, en 1999. J’aurais pu comme d’autres aller trimer dans un fast-food, car mes parents n’avaient pas les moyens de tout payer, mais j’ai décidé de choisir une autre voie. Une façon plus rapide de gagner de l’argent, qui me permettrait de ne pas négliger mes cours parce que j’étais crevée, à force d’être exploitée. C’est pourquoi je me suis gentiment renseignée, dans le but de faire des photos de charme. Autrement dit pour poser dénudée. Car je me savais bien faite vu que j’attirais les regards des hommes, de tous les âges et pas que des jeunes, alors je me suis dit que je pouvais leur en donner plus sans pour autant me mouiller. Enfin, façon de parler. Ça te choque, ma Petite Caille ?
χ χ

 Je réponds sans hésiter :
 ― Pas vraiment. Car même si je n’ai jamais eu accès à la pornographie, internet dans mon pensionnat étant bridé, je ne suis pas non plus complètement ignorante. Je sais que ce genre de choses existe, et qu’il y en a même qui s’exposent en amateurs, que ce soit par bêtise ou pour le plaisir de s’exhiber. Alors gagner de l’argent avec ça, pourquoi pas ? ― Je suis heureuse que tu le prennes de cette manière, comme tes frères avant toi. Donc, par la copine d’une copine, j’ai fait la connaissance d’un photographe spécialisé dans ce genre de séances. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans un studio, je veux dire un appartement, en compagnie d’un type que je n’avais jamais vu avant, et je suis immédiatement tombée sous son charme. Car même s’il avait une vingtaine d’années de plus que moi, se dégageait de lui un magnétisme et une assurance qui en faisaient un tombeur. Et tu l’as peut-être deviné, il s’agissait de celui qui allait devenir ton père, et cela va de soi de tes frères avant toi. Il a réussi à me détendre en me faisant rire, si bien que je me suis effeuillée devant lui sans aucun complexe.  ― Ça veut dira quoi effeuiller, M’man.  ― C’est quand on enlève ses vêtements un par un, ce que j’ai fait lentement comme s’il s’agissait d’un strip-tease, et en gardant la pose quand il me le demandait,afin de pouvoir me mitrailler avec son appareil.Comme tu dois t’en douter, à 18 ans je n’avais encore ni tatouage ni piercing. Mais contrairement à toi je me rasais régulièrement la vulve ainsi que le tour de la touffe, et ce jour-là je l’étais de frais. Lorsque j’ai été complètement nue, ne gardant que la paire de mules à talons que je portais pour l’occasion, il m’a proposé sur un ton mi-blagueur mi-sérieux : Je pourrais me déshabiller aussi, comme ça on serait à égalité
 Elle marque une courte pause, avant de reprendre :
 ― Cette proposition m’a beaucoup étonnée mais je l’ai acceptée en hochant la tête, et je suis devenue écarlate en me rendant compte que non seulement il avait une solide érection, ce que je n’avais pas remarqué car son pantalon était assez ample, mais qu’en plus son sexe faisait plus de vingt centimètres de long. Il en mesurait en réalité vingt-trois, mais ses dimensions exactes je ne les ai apprises que plus tard. J’ai aussi constaté qu’il ne portait pas de sous-vêtement, ce qui est devenu par la suite également une de mes habitudes, et quant il a vu que j’étais gênée par son membre qui pourtant me faisait honneur, il m’a demandé avec humour : Eh bien quoi, tu ne savais pas que tu es magnifique, et que tu ferais bander même un Saint ? 
χ χ

 Je pose moi aussi une question en rougissant légèrement, étant donné qu’il est question de mes parents dans une situation à caractère sexuel, et que cela me dérange sans vraiment me choquer :
 ― Et vous avez continué la séance ? ― Oui, car malgré mon trouble initial il a su me remettre en confiance. Et pour être tout à fait franche, j’étais toujours troublée mais d’une autre manière, puisqu’à présent ce que je ressentais c’était de l’excitation. Si bien que ma figue était luisante de mouille, quand j’ai écarté les cuisses face à son appareil-photo, allongée sur le lit qui se trouvait là. Cela n’a pas paru le déranger, et il m’a au contraire précisé : C’est excellent que tu prennes plaisir à poser, car cela va augmenter celui de ceux qui vont ensuite te mater en se paluchant. C’est à ce moment-là, que j’ai vraiment réalisé que j’étais en train de faire de la pornographie. Car effectivement, des hommes allaient voir mes photos et se masturber dessus.  ― Mais tu n’as pas arrêté pour autant. ― Non. J’ai eu un bref instant d’hésitation, mais en pensant au fait que j’allais devenir un objet de désir sexuel, ça m’a excitée encore plus que jouer les chattes en chaleurs devant ton père. C’est pourquoi je me suis mise ensuite à quatre pattes sur le plume, comme si je voulais me faire prendre en levrette, dévoilant cette fois mon anus à l’objectif, et en me cambrant assez pour avoir l’air d’être demandeuse. Après une nouvelle salve de clichés, ton père m’a dit : On en a assez pour une première fois, et ne doutes pas un instant que quand j’aurai soumis les photos qu’on va maintenant choisir tous les deux, tu auras d’autres demandes. Car tu es superbe, et tu vas énormément plaire
 M’man marque une nouvelle pause, puis elle poursuit :
 ― Tandis que je m’étais retournée pour m’asseoir sur le lit, ne sachant pas trop quelle attitude adopter à présent que le séance était terminée, il a ajouté très sérieusement : C’est maintenant que la plupart des photographes, annoncent à leurs modèles que baiser avec eux est une tradition. D’après ce qu’on m’a affirmé, neuf fois sur dix ça marche. Mais je ne mange pas de ce pain-là, même si comme tu as pu le remarquer tu me plais énormément. Moi je préfère rester pro, alors si je te plais aussi on se reverra dans un cadre privé. Mais avant, il faut que tu saches que je suis acteur de films pornos, ce qui implique que toi et moi, on ne pourra jamais avoir une relation exclusive.
χ χ

 Man prend le temps de remplir à nouveau nos verres, que nous avons sirotés pendant qu’elle me racontait son histoire, puis elle me demande :
 ― Tu veux connaître le suite, où le fait qu’il soit question de tes parents te dérange ?
 Légèrement grisée par l’alcool car j’ai rarement eu l’occasion d’en boire, je lui réponds sans hésiter :
 ― C’est vrai que le fait qu’il soit question de vous, ce n’est pas banal. Mais ce n’est pas plus dérangeant, que d’apprendre que vous avez fait des films de boules. ― Je suis heureuse que tu le prennes de cette façon. Car comme pour tes frères avant toi, moi la boule je l’ai eue au ventre. Vu que je ne savais pas quelle serait ta réaction, en apprenant ce que je suis. Mais il faut croire, que l’amour est plus fort que tout. 
 Puis elle ajoute, après m’avoir caressé la joue avec tendresse :
 ― Alors je vais continuer à te raconter l’histoire de ma rencontre avec ton père, et ce qui en a découlé puisque ça t’intéresse, ma petite coquine. François a sorti deux peignoirs d’un placard, nous en avons enfilé chacun un, puis il a allumé l’ordinateur qui se trouvait là, et comme il me l’avait dit nous avons sélectionné ensemble les photos. Il m’a d’abord avoué qu’il n’avait pas suivi de formation pour la photographie, qu’au départ il était ébéniste, et que ce n’était qu’une fois reconverti dans le hard, qu’il avait eu l’idée d’avoir cette activité pour mettre du beurre dans ses épinards. Sa grande décontraction et son charme naturel l’aidant à mettre à l’aise ses modèles, qui pour la plupart étaient des amatrices, et toutes des débutantes. Car les autres dont c’était le métier, préféraient faire appel à des pros.  ― Mais il y a une chose que je ne comprends pas. S’il n’avait pas l’intention de te faire l’amour, pourquoi il s’est mis nu lui aussi, surtout alors que son sexe était en érection ? 
χ χ

 M’man sourit, avant de m’expliquer :
 ― Je lui ai aussi posé la question car moi aussi ça me travaillait, et il m’a répondu qu’il avait l’habitude de le proposer à ses modèles, parce qu’il avait constaté que contrairement à ce qu’on pourrait penser, ça les mettait à l’aise. Il y en a même comme moi que ça excitait de le voir à poil, étant donné qu’il était un très bel homme, et cela donnait un rendu très attractif sur les clichés. Car le fait de constater que les femmes avaient les tétons érigés, le clitoris gonflé et mouillaient en prenant la pose, plaisait énormément à ceux qui les mataient par la suite. Puis il a ajouté ce qui m’a faite rougir, que grâce à son expérience dans le hard il arrivait toujours à rester maître de ses émotions, et que j’étais la seule qui avais réussi à le faire bander. 
 Ces précisions ayant été données, elle poursuit :
 ― Donc ton père n’était pas photographe, il mitraillait les femmes avec son appareil, et ensuite ils choisissaient ensemble les clichés. C’est donc ce que nous avons fait, ce qui n’a pas été facile car non seulement il avait l’œil, mais en plus même si je ne m’en étais pas vraiment rendue compte, il y en avait pas loin de cinq-cent alors qu’il ne nous en fallait qu’une centaine. Car contrairement à ce que m’avait laissé penser sa modestie, il y avait peu de déchets. Nous avons donc décidé de faire deux séries, la première se terminant quand j’étais encore debout les cuisses serrées, et la deuxième quand je me suis retrouvée sur le lit montrant ma figue trempée de mouille, ainsi que ma rondelle. ― Mais tu étais dans quel état d’esprit, en te voyant nue sur l’écran de l’ordi et en sachant que d’autres allaient ensuite te mater.  ― Étrangement, j’étais sereine. Mon seul moment de doute, a été quand je me suis dit qu’il fallait que j’annonce la chose le plus vite possible à mes parents, de peur qu’ils l’apprennent d’une autre manière. Mais il faut que tu saches que chez ton Papy et ta Mamie, la nudité n’a jamais été un tabou sauf quand ils reçoivent, où que tes frères et toi étiez présent.  ― Et ils ont réagi comment ?
χ χ

 J’ai droit à un nouveau sourire, avant sa réponse :
 ― Comme je te l’ai déjà laissé entendre, plutôt bien. Papa a annoncé d’emblée qu’il était fier de moi, ce qui peut paraître étrange mais nous avons toujours été très proches, et il a parfaitement compris mes motivations. Quant à Maman, elle a d’abord pincé les lèvres puis a fini par lâcher, que si ça me permettait de me consacrer plus entièrement à mes études, plutôt que de m’échiner en faisant des petits boulots mal payés, ce n’était pas une si mauvaise chose. Ce qui était mon point de vue de départ, et ce qui m’avait motivée pour me décider à poser nue.  ― Et quand tu as commencé à faire des films ? ― Papa entre-temps était devenu un de mes fans, et il montrait même mes photos à certains de ses amis. Alors quand je leur ai annoncé que j’allais devenir actrice, il a souri puis m’a dit que c’était une suite logique. Maman a lâché un : J’étais sûre que ça allait dégénérer, les dents serrées. Elle m’a fait la gueule pendant deux bons mois avant de décolérer, mais ensuite elle a fini par accepter la chose. Car comme je te l’ai déjà dit, l’amour est plus fort que tout.
 Elle ajoute, après un bref arrêt :
 ― Je dois quand même te préciser que cette fois, contrairement aux photos, je ne les ai pas mis devant le fait accompli. Je les ai prévenus avant, ils avaient fait la connaissance de François avec qui j’avais commencé à sortir, et le charisme de ton père, a beaucoup aidé à décoincer ta grand-mère.  ― Donc vous vous aimiez, Papa et toi, mais ça ne vous empêchait pas de faire l’amour avec d’autres personnes, devant des caméras ? ― Déjà, il faut que tu arrives à faire la distinction entre l’amour et la baise. L’amour, je ne le faisais qu’avec lui, parce qu’il était le seul pour qui j’avais des sentiments. Et la baise c’était avec les autres, avec qui je partais uniquement à la recherche du plaisir. Ensuite, en tant qu’actrice, je n’ai fait que des face to face. Ce qui veut dire que dans les films je n’ai tourné qu’avec ton père, même si en dehors du ça et en me laissant guider par lui, j’étais devenue une libertine accomplie. Il faut par conséquent que tu saches qu’entre autres j’ai participé à des partouzes, et que ça m’arrive encore. Même si nous trouvons plus élégant, de les appeler des Parties Fines.   
χ χ

 Je sais bien entendu ce qu’est une partouze, dans laquelle plein d’hommes et de femmes se mélangent, et savoir que ma M’man a fait ce genre de trucs ne me dérange pas vraiment. D’autant plus que cela relève du domaine privé, alors qu’en devenant actrice de boules elle a obtenu le statut de personne publique. Même si c’est dans une bien moindre mesure par rapport à une qui fait du cinéma traditionnel, et que peu de gens iront se vanter d’avoir vu ses films. Mais je mets tout ça pour l’instant entre parenthèses, et je reviens au sujet qui m’intéresse le plus qui est mon père :
 ― Et ça a commencé comment, avec Papa ?
 Un sourire de plus se dessine sur ses belles lèvres, puis elle me répond :
 ― Plus tôt qu’il ne l’avait prévu, vu qu’une fois que nous avons eu fini de sélectionner les photos qui allaient être publiées, et que nous nous sommes retrouvés debout l’un en face de l’autre, j’ai glissé une main sous son peignoir pour constater qu’il était toujours en train de bander, et je lui ai dit en rougissant : ― L’absence d’exclusivité en ce qui concerne ton corps, j’apprendrai à vivre avec, et je te remercie d’avoir été franc avec moi. Mais en attendant de savoir si nous aurons une relation plus suivie, j’aimerais beaucoup que tu me fasses bénéficier au pieu, de ton expérience de hardeur. J’ai ensuite été surprise, car si je m’attendais à une baise sauvage il m’a fait tendrement l’amour, dans la position du missionnaire. Comme si nous étions un couple ordinaire. Mais je n’ai rien regretté, car même si je n’étais plus vierge, je n’avais jamais eu autant de plaisir auparavant. 
 M’man marque une nouvelle pause très courte, ensuite elle conclue :
 ― De plus, le fait qu’il me traite comme une femme et non pas comme une de ses partenaires de boulot, a fini de me conquérir. Car j’étais devenue amoureuse de lui au premier regard, et il aurait pu être éboueur où tueur à gages, que ça n’y aurait rien changé.  
χ χ χ

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