C’est sur le chemin du retour, et alors que nous avons à nouveau posé nos fesses nues sur le cuir des sièges de la voiture de M’man, que je lui annonce : ― Tu sais, pour les piercings j’ai réfléchi, et je suis d’accord pour les faire demain. Elle sourit, avant de me demander : ― Et les tatouages ? ― Eh bien, comme tu m’as dit qu’il faut du temps pour les réaliser, ça me laissera celui d’y penser encore un peu. D’autant plus qu’un piercing ça s’enlève, et que les trous doivent se reboucher comme pour les oreilles. Alors qu’un tatoo, c’est au contraire définitif. J’ai droit à un deuxième sourire, puis elle m’approuve : ― Tes paroles sont très sages, ma Petite Caille, et je te félicite. Nous en restons-là à ce sujet, elle ne se renseigne pas afin de savoir comment s’est passée ma séance d’épilation, et ce n’est qu’une fois à la maison alors que nous nous remettons nues, ne gardant que nos sandales à talons aiguille aux pieds elle par habitude et moi pour m’entraîner à me déplacer avec, que M’man me fait remarquer : ― Tu vois, j’avais raison ma Petite Caille, tu es encore plus sexy avec la figue toute lisse. Puis s’amusant mais sans méchanceté de mon embarras car suite à cette affirmation je suis devenue de la même teinte qu’une pivoine, elle ajoute tout en frottant le capuchon de mon clitoris, ce qui fait pointer le bout du nez de ce dernier : ― Tes frères vont t’adorer, et ton Papy aussi. C’est avec le sourire aux lèvres qu’elle se rend ensuite dans la cuisine, me plantant-là comme un vieille paire de chaussettes. J’hésite quelques instants pour ce qui est de savoir de quelle manière je vais occuper mon temps, légèrement embarrassée car avec ma figue déblayée de tous ses poils je me sens encore plus nue que nue, puis bien que mon assistance ne m’ait pas été demandée, je vais retrouver ma maman pour la lui proposer. Elle m’accueille d’un sourire, et me dit : ― Lucas ne va pas tarder à arriver, car c’est toujours lui qui s’occupe d’allumer le barbecue et de cuire la viande. Mais en attendant, tu peux toujours m’aider à préparer les ingrédients pour la salade de pâtes, et ta Mamie va en apporter une niçoise.
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C’est donc ce que je fais m’habituant progressivement à mon sexe chauve, ainsi qu’à mon équilibre rendu précaire à cause des aiguilles qu’il y a sous mes talons, ce qui ne m’empêche pas de sursauter quand j’entends le carillon de l’entrée jouer sa mélodie. M’man me dit alors, le plus naturellement du monde : ― Tu devrais aller les accueillir, ma Petite Caille. Car c’est pour toi qu’ils sont venus. Elle feint de ne pas remarquer que je suis devenue écarlate et je lui obéis d’un pas mesuré, autant à cause de ma gêne que de mon manque de stabilité. C’est dans le hall qui est la pièce centrale de la maison, que je tombe sur Lucas et Manon. Car s’ils ont annoncé leur arrivée ils sont tout de même entrés, étant donné qu’ils ne sont pas de simples invités mais font partie de la famille, et mon frère ne semblant pas remarquer que je ne porte aucun vêtement, s’élance vers moi pour m’enlacer avant de s’exclamer : ― Bon anniversaire, Cosette ! Cosette c’est de cette manière qu’ils m’appellent, Léo, Louis et lui, ce qui est une plaisanterie par rapport au fait que notre maman s’appelle Fantine. Malgré mon émoi, j’ai tout de même remarqué puisqu’il n’a qu’une paire d’espadrilles aux pieds, et que son sexe circoncis vu que son gland est visible alors qu’il est au repos, tout comme le reste de son corps a été débarrassé de ses poils. Contrairement à moi également au niveau du pubis, et je suis heureuse qu’il ne se mette pas en érection sinon je ne saurais plus où me mettre. Le fait qu’il soit nu augmente sa ressemblance d’avec notre père, cependant il est plus svelte étant donné qu’il n’a que 21 ans, alors que notre géniteur sur la vidéo en avait 38. Néanmoins, du haut de son 1 mètre 80 et avec la même tignasse brune il émane de lui un charisme similaire, car c’est un très bel homme, ce que ne dément pas son regard qui n’est pourtant pas de la même couleur que celui de Papa qui était bleu, vu que Lucas a hérité tout comme moi des yeux vert-bouteille de notre Maman.
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Ensuite je me tourne vers Manon qui s’est elle aussi déshabillée, et qui bien que ne comptant pieds nus que 1 mètre 68 est presque aussi grande que son mari, étant donné qu’elle a gardé aux pieds ses sandales dont les talons aiguille font une dizaine de centimètres de haut. C’est d’ailleurs comme moi, la seule chose qu’elle porte. Je m’attarde à peine sur sa vulve joufflue, elle aussi épilée et partagée en son milieu par une fente sombre qui cache tout le reste, de laquelle ne dépasse qu’une petite boule de métal probablement en or rose, ni sur sa toison pubienne un peu plus foncée que sa crinière blonde comme les blés, cette dernière lui arrivant au milieu du dos. Je ne m’intéresse pas non plus à ses tatouages, ni à ses tétons percés au bout de ses seins plus menus que les miens, mais je plante mon regard dans le sien qui est d’un bleu aussi clair qu’un ciel d’été. Elle me sourit, elle vient appuyer son ventre rebondi contre le mien étant donné qu’elle est enceinte de sept mois, pour me prendre elle aussi dans ses bras et me dire plus calmement : ― Bon anniversaire, ma petite belle-sœur adorée, et bienvenue dans le monde des adultes. Lorsqu’elle se recule je caresse son ballon sans lui en demander la permission, et je lui demande : ― Elle va bien, ma petite nièce ? ― Oh oui, et elle swingue régulièrement pour me le montrer. Pas de doute, on va en faire une actrice de films de boules. Un ange passe quand elle réalise qu’elle a peut-être commis une bourde, car mis à part bien évidemment le nudisme elle ne sait pas de quoi je suis au courant, et étant donné que je comprends que la gêne a changé de camp, je m’empresse de la tranquilliser : ― T’inquiète, M’man m’a tout raconté. Enfin je crois, car s’il y en a parmi-vous qui aiment baiser avec des animaux, où ont besoin de se faire fouetter pour arriver à jouir, j’ai peut-être encore des choses à apprendre. Nous éclatons tous les trois de rire, ce qui finit de me décontracter car le naturel avec lequel ils se sont comportés jusqu’à présent avec moi m’a déjà grandement aidée, et mon frère me rassure même si ce n’était pas vraiment nécessaire : ― T’inquiète, Cosette. Mis à part que nous on a découvert qu’on aime faire l’amour devant des caméras, et que le tabou de l’inceste a été aboli pour le reste de la famille, on est tous parfaitement normaux.
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Alors que Lucas est parti s’occuper du barbecue et que Manon s’est sagement assise sur un des tabourets hauts du comptoir américain de la cuisine, afin de papoter avec nous, j’en profite pour observer d’une manière que j’espère discrète son corps. Ses tétons pointus sans aréole sont ornés de bijoux en métal, qui sont en fait de petites ailes flanquées de chaque côtés, comme s’ils voulaient s’envoler, et ils font plus penser à celles de petits démons qu’à des anges. Ce qui correspond assez bien à la voie qu’elle a choisi de suivre, puisque alors que je la considérais avant comme une personne assez sage pour ses 21 ans, elle a décidé tout comme son mari de devenir une actrice de films pornographiques. Sans que je sache encore, lequel a entraîné l’autre dans cette folle aventure. Ses tatouages sont en même temps similaires et différents de ceux de notre M’man, vu qu’il s’agit également de jarretières et d’un mini-corset, tout aussi criants de réalisme car également finement réalisés, et très probablement par le même artiste. Cependant ces jarretières sont d’un bleu-ciel identique à ses yeux, avec un motif en nid d’abeille qui donne une impression de relief, larges de deux centimètres mais avec en plus une dentelle blanche en haut et en bas faisant dans les cinq millimètres, et les nœud papillons ainsi que leurs lacets sont également blanc. Le corset est bien entendu assorti, avec le même motif, il fait cinq centimètres sur le devant pour trois derrière, et une rose unique semble avoir été imprimée sur le petit trapèze entre ses seins, qui est identique à celle auburn délavé qui lui a servi de modèle. L’ensemble est plus discret que la panoplie de M’man car il est moins foncé que sa peau dorée, contrairement à cette dernière chez qui c’est l’inverse avec sa carnation de rousse. Mais il est bien présent et avec son ventre rebondi au bout de sept mois de grossesse, ses seins à la base de taille moyenne devenus lourds parce qu’ils doivent être gorgés de lait, je trouve ma belle-sœur tout simplement magnifique.
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Je ne suis pas surprise, quand la mélodie du carillon de l’entrée se fait à nouveau entendre. Car je suis à présent plus sereine, grâce au fait que mon frère et sa femme se sont comportés avec un naturel désarmant, malgré notre nudité qui a l’air pour eux complètement normale, alors que pour ma part j’ai encore du mal a accepter la mienne face aux regards de nouvelles personnes. Surtout avec ma vulve parfaitement exposée, alors qu’avant aujourd’hui seule une gynécologue avait eu l’occasion de la voir, en tout cas depuis que je suis en âge de me laver toute seule. Je ne sais pas vraiment à quoi je m’attendais, toujours est-il que ma famille ne se comporte pas comme un troupeau d’animaux en rut, mais comme je suppose doivent le faire tous les nudistes de France, et même du monde entier. Par conséquent un seul regard de ma M’man suffit, pour me faire comprendre que c’est à moi d’aller accueillir ceux qui sont en train d’arriver, ce que je fais du haut de mes talons aiguille de trois centimètres, avec la très nette impression que même ma démarche est plus assurée. Je rencontre sans surprise toujours dans la hall ma Mamie et Mon Papy, qui sont eux aussi entrés tout en annonçant leur venue, et n’ont pas mis bien longtemps pour enlever leurs habits. Bien que je les aie peu connus jusqu’à présent je les adore, et je manque de m’étaler en me précipitant vers mon grand-père, à cause de mes échasses qui ne sont pourtant pas très longues. Dans ma précipitation j’ai tout de même pu constater que son sexe est de dimensions plus modestes que celui de Lucas, et que son gland n’est pas visible, ce qui implique qu’il n’a pas subi d’opération dans le but de devenir circoncis. Ses bourses sont pendantes et je suppose que c’est à cause du poids des années, car ses testicules n’ont pas l’air plus gros. Et elles sont chauves alors qu’il a une touffe grise sur le pubis qui s’accorde à sa chevelure elle encore bien présente, ainsi qu’à la toison qui recouvre son torse et dans une bien moindre mesure son ventre bedonnant. Car du haut de son 1 mètre 70, s’il ne peut pas être considéré comme étant gros il a tout de même pris de l’embonpoint en même temps que de l’âge, et ses muscles se sont ramollis. Malgré tout ces détails et bien qu’il soit nu, n’ayant comme mon frère qu’une paire d’espadrilles aux pieds, je trouve que pour ses 67 ans il a encore de la prestance, et peut même être considéré comme étant toujours un bel homme.
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J’enlace mon Papy chaleureusement tandis qu’il me souhaite un bon anniversaire, comme si nous étions habillés, et sans me formaliser du fait qu’il en profite pour me caresser les fesses, car je suis convaincue qu’il se comporte de cette manière par affection. Mais Mamie ne semble pas partager mon point de vue, puisqu’elle le sermonne : ― Voyons, Jacques, ce ne sont pas des manières à prendre, avec une toute jeune femme. Il se défend, tandis que nous nous séparons : ― Étant donné qu’elle est au courant de tout, Nadine, je ne vois pas où est le mal. Puis il me prend à témoin : ― Pas vrai, ma pitchounette ? Je réponds, en rougissant légèrement : ― Si, M’man m’a tout expliqué. Mais si ça ne me dérange pas que tu me pelotes, car je sais que tu ne pensais pas à mal, il faudra tout de même me laisser un peu de temps, pour m’habituer à tout le reste. Son sexe étant resté au repos je ne me sens pas vraiment troublée, et je me tourne vers ma grand-mère pour la prendre elle aussi dans mes bras mais avec moins de précipitation, surtout par rapport au fait qu’elle porte un saladier. Pour ce qui est de la teinte de ses poils ils sont parfaitement accordés à ceux de son mari, heureusement pour elle au niveau du corps elle n’en a que sur le pubis, étant donné que sa vulve est aussi lisse que la mienne et présente la même morphologie. Mis à part qu’elle est percée exactement comme celle de M’man, que son clitoris apparent bien qu’elle ne soit pas excitée est plus gros que le sien, et de ce fait quasiment deux fois plus que le mien. Au point, qu’il me fait penser à un petit gland masculin. Son ventre est bombé, plus que celui de sa fille mais beaucoup moins que celui de son mari, et ses seins qui sont énormes alors qu’elle n’ai été enceinte qu’une fois, pendent allègrement. Toutefois ils sont restés bien pleins et s’accordent au reste de son anatomie, et ses tétons cylindriques eux aussi identiques aux nôtres, sont percés horizontalement mais flanqués sobrement de chaque côté de simples petites boules en métal blanc, qui viennent s’appuyer contre. Malgré ses 60 ans, sa peau brunie par de fréquentes expositions au soleil sans maillot de bain n’est pas fripée mais bien tendue, et elle ne supporte aucun tatouage. En résumé et comme me l’a affirmé ma M’man, Mamie est une gilf qui pourrait en remontrer à des femmes bien plus jeunes, et après qu’elle m’a elle aussi souhaité un bon anniversaire, je récupère le saladier et nous allons retrouver les autres dans la cuisine.
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Lucas y est revenu, et laissant les braises se faire toutes seules il est en train de servir l’apéritif. Je regarde légèrement amusée mes parents se dire bonjour le plus naturellement du monde, comme s’ils étaient tous habillés, et je note au passage que mon grand-père ne se prive pas de caresser également les fesses de sa fille, ainsi que celles de la femme de son petit-fils. Marque d’affection qu’elles ont l’air de parfaitement accepter l’une comme l’autre, et qui me montre que je n’ai pas eu droit à un traitement de faveur, mais qu’il s’agit d’une de ses habitudes. J’ai à peine trempé mes lèvres dans mon verre de Chablis, que le carillon se fait à nouveau entendre. Cette fois je tourne les talons immédiatement, si bien que je prends de vitesse mon frère Louis que je trouve dans l’entrée. Il est seul puisque célibataire, en train de finir de se déshabiller, et lorsqu’il me voit il s’exclame : ― Bé dis donc, Cosette, t’es devenue super bandante ! Je note au passage que comme celui de Lucas son corps est intégralement lisse, et que son sexe est également circoncis mais me semble légèrement plus gros. Ces détails accentuant encore la ressemblance entre mes deux frères, puisqu’ils sont tous les deux bruns aux yeux verts, même si celui qui se trouve en face de moi a l’air encore juvénile étant donné qu’il n’a que 19 ans, autrement dit 1 de plus que moi. Ce qui nous rend assez proches, et c’est la raison pour laquelle je ne suis pas étonnée quand il me soulève du haut des son 1 mètre 87, pour me faire tourner tout en s’écriant laissant éclater sa joie : ― Bon anniversaire, ma petite-sœur adorée ! Oubliant que nous sommes nus tous les deux j’éclate de rire, car je suis également contente de le revoir, et une fois qu’il m’a reposée et après qu’il m’a fait la bise, nous allons rejoindre les autres.
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Cependant j’ai à peine le temps de boire une gorgée, que l’arrivée des derniers membres de ma famille est annoncée de la même manière que celles des autres. Toutefois je leur laisse celui de se déshabiller, et je les rencontre sans surprise dans la hall. Mon dernier frère, celui qui se trouve entre les deux autres au niveau de l’âge mais également de la taille, puisqu’il mesure 1 mètre 83, est tout comme eux brun aux yeux verts avec la peau mate. Car nous avons tous hérité de ce gène maternel. Mais contrairement à eux seules ses bourses sont chauves, et il a également une fine toison sur le torse mais pas encore sur le ventre, étant donné qu’il n’a que 20 ans. Quant à son sexe, bien qu’il ne soit pas circoncis il me semble avoir les mêmes dimensions que celui de notre aîné. Comme il est d’un naturel plus placide que les autres nous nous enlaçons calmement, il me souhaite un bon anniversaire, puis je me tourne vers Emma qui est le plus petit membre de notre famille, vu qu’elle ne mesure qu’1 mètre 55. Ce qui à présent ne se voit pas trop, étant donné que les talons aiguille de ses sandales sont aussi hauts que ceux des autres, et avec mes 3 ajoutés nous sommes de la même taille. Il s’agit d’une brunette à la peau mate, à la silhouette fine, et les tétons marron qui ornent ses petits seins sont flanqués eux aussi de chaque côté de petites ailes. Cependant elles ne sont pas identiques à celles de Manon car on pourrait au contraire les qualifier d’angéliques, mais dont le modèle aurait été un chérubin. Elles sont cependant faites du même métal, probablement encore de l’or rose. Un troisième piercing dépasse de sa vulve lisse, car elle n’a plus aucun poil à cet endroit son pubis en ayant lui aussi été intégralement débarrassé, et il s’agit d’une petite boule qui pourrait être la jumelle de celle de Manon. Ses nymphes contrairement à celles des autres femmes de la famille dépassent de ses grandes lèvres, mais étant donné qu’elles ne sont pas trop longues elle forment comme une petite crête, qui doit être bien plus douce au toucher que celle de n’importe quel animal. Étant donné la la partie externe de son sexe et d’une teinte identique à celle de ses tétons, je trouve que ça lui va très bien. Quant à ses tatouages il s’agit de deux phœnix entiers stylisés, d’une dizaine de centimètres de haut, identiques mais inversés étant donné qu’ils se font face, leurs tête à la hauteur de son nombril et semblant se défier du regard. Vu que leurs ailes déployés dans le dos leurs donnent une attitude conquérante, comme s’ils voulaient se voler dans les plumes. Ils sont d’un doré qui ressort parfaitement sur sa peau intégralement bronzée, et comme tous ceux que j’ai vus jusqu’à présent ils ont été magnifiquement dessinés, même si cette fois on ne peut pas parler de réalisme.
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Comme avec les autres avant elle nous nous enlaçons, elle me souhaite un bon anniversaire et nous allons rejoindre le reste de la famille, alors que je me demande comment mes deux belle-sœurs ont pu entrer aussi facilement dans cette danse partageuse, qui fait que chacun peut suivant son envie faire l’amour à une personne avec laquelle elle n’est pas en couple. Car ayant bien retenu la leçon donnée par ma M’man, j’ai compris qu’il ne s’agit pas uniquement de simples rapports sexuels mais d’un échange plus affectif parce que familial, et justement elles n’en sont que des membres par alliance. Bien entendu, à partir du moment-où j’ai accepté l’idée de l’inceste cela ne me dérange pas plus que ça, pourtant ça ne manque pas de m’épater, et je me demande combien de temps il me faudra pour que je trouve la chose complètement naturelle, pour ne pas dire banale.
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