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Lady Klit.

Chapitre 7

Le bras de fer.

Inceste
À présent que toute la famille est réunie nous pouvons prendre tranquillement l’apéritif, en tout cas en ce qui me concerne car certains n’ont pas attendu ce moment, et il est décidé que nous allons nous rendre sur la terrasse. Ce qui n’a rien de surprenant étant donné que c’est une de nos habitudes, de le boire là où cuisine la personne qui s’occupe de notre repas,de manière à ce qu’elle ne se retrouve pas isolée.Aujourd’hui il s’agit de Lucas, puisqu’il va faire griller la viande sur le barbecue. 
 Sauf que pour la toute première fois de ma vie je dois aller complètement nue dehors, ce qui me fait éprouver un bref instant de panique, mais tout se passe bien car je me contente de suivre le mouvement, et je ne tarde pas à me sentir encouragée par la seule présence de mes proches. De toute manière notre villa est assez isolée, et ceux qui se retrouvent sur son terrain sont à l’abri des regards extérieurs, grâce à une haie vive d’environ deux mètres de haut qui en fait intégralement le tour. Sauf bien entendu pour ce qui est du portail, et du portillon que permet d’y entrer à pied.  Je m’amuse autant que les autres quand mon frère aîné se fait chambrer à cause du tablier qu’il a revêtu, dans le but de se protéger des projections de graisse, et qui s’il remplit parfaitement son rôle n’a rien de sexy. Louis se lamente sur le fait que la piscine est encore vide, mais notre Papy lui explique sur un ton professoral que si l’air est étonnamment chaud pour un début de mois d’avril, cela risque de ne pas durer et que par conséquent il est encore trop tôt pour la remplir. 
 Bref, malgré tout ce que M’man m’a raconté depuis mon arrivée, j’appartiens en définitive à une famille de nudistes ordinaire, et si c’est nouveau pour moi je m’y habitue progressivement. Ce qui me permet d’être relativement à l’aise, car même si est faite de temps en temps une allusion au sexe ainsi qu’aux poils qui ont été bannis, c’est systématiquement présenté sous une forme humoristique qui fait rire tout le monde. Moi y compris ce qui contribue à continuer de me détendre, car nous nous comportons exactement comme si nous étions habillés.Et je dois préciser que l’alcool même si je fais attention de ne pas en abuser, m’aide également à me sentir de moins en moins gênée.
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 Au bout d’un petit moment mes deux belle-sœurs dressent la table, tâche dont je suis dispensée car c’est aujourd’hui pour moi un jour particulier. Je constate que malgré la hauteur de leurs talons très fins elles se déplacent avec aisance, mais également de la sensualité car leurs démarches s’en retrouvent légèrement chaloupées, ce qui en plus de leurs appâts complètement dévoilés accentue leur féminité. M’man qui n’a pas manqué de remarquer mes regards envieux, m’explique :
 ― Il ne te faudra pas très longtemps, pour arriver à te dandiner de la même manière qu’elles. Quelques jours seulement avant de passer de trois à six centimètres de haut, et à peine une quinzaine pour monter à neuf. C’est la raison pour laquelle, certaines de tes chaussures ne sont pas neuves. Car comme celles qui les ont mises avant toi, tu ne vas pas les porter très longtemps. ― Sauf que demain, je retourne dans mon pensionnat. ― Sauf que tu vas y retourner avec un nouveau statut, étant donné qu’à présent tu es majeure. Et que tu pourras en emmener au moins une paire de chaque, dans le but de t’entraîner. 
 Bien entendu elle a raison, puisque celles que comme mes compagnes de dortoir j’appelais avant les grandes, et dont je fais à présent partie, bénéficient d’un assouplissement considérable au niveau des règles. Pour commencer il y a internet qui va être débridé, j’aurai également le droit de sortir après les cours tout en étant obligée de rentrer au plus tard à 22 heures. Et s’il me prend l’envie de me déplacer sur des échasses, comme d’autres l’ont fait avant moi en se pavanant devant les petites, cela me sera également permis. Sans parler de tout le reste...
 J’ai conscience que cela va créer un fossé entre certaines de mes amies et moi, étant donné que je suis du début de l’année, mais pour les meilleures d’entre elles il se comblera quand elles auront à leur tour 18 ans. Tout comme je l’espère ce sera le cas, avec celles qui sont nées avant et sont pourtant toujours dans la même classe. Car unedes choses qui ne vont pas changer, ce sera les cours que je vais suivre jusqu’à la fin du mois de juin. 
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 Par conséquent cette précision maternelle m’a rendue toute ma sérénité, et elle ne s’atténue pas lorsque nous passons ensuite à table toujours au même endroit, ce qui est également plus pratique pour Lucas qui n’a pas tout à fait terminé de cuire le plat de résistance de notre repas. D’autant plus que tout le monde est prévenant envers ma petite personne, principalement parce que c’est pour moi un jour très particulier, car non seulement il symbolise mon entrée dans le monde des adultes, mais également dans celui des nudistes qui pratiquent l’inceste sans se soucier du qu’en dira-t’on. 
 Bien entendu ce qui se passe dans la famille doit y rester, d’ailleurs mes parents sont tous assez discrets en ce qui me concerne, et je suis prête à parier que M’man leur a donné des consignes allant dans ce sens, de manière à ce que je m’habitue progressivement à tout ce qui est nouveau pour moi. C’est pourtant au moment du fromage que survient le premier incident, quand tout à coup Louis s’exclame :
 ― Ça y est, j’ai la gaule !
 Je me mets à rougir parce j’ai compris qu’il vient d’être pris d’une érection, même si je ne peux pas le constater à cause de la table, et toutes les femmes présentes échangent des regards tout en évitant soigneusement le mien. Malgré ma gêne j’en suis amusée, parce que j’ai compris qu’elles sont en train de se consulter muettement, afin de savoir laquelle d’entre elles va se dévouer pour rendre service à mon plus jeune frère. Il ne faut pas bien longtemps avant qu’Emma se mette debout, et lui dise :
 ― Viens avec moi, mon Lapin, je vais te faire passer cette vilaine crampe.
 Tandis qu’il se lève lui aussi je constate que son membre bandé atteint les belles proportions de celui de notre père, en tout cas d’après mes souvenirs vidéo, et il la suit docilement à l’intérieur alors que bien qu’ils aient le même âge elle n’est pas sa copine mais celle de Léo, ce que tout le monde a l’air de trouver normal. 
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 Une fois qu’ils ont disparu, M’man me précise :
 ― Ils se sont isolés par égards pour toi, et elle va le sucer dans une des pièces de la maison.Mais quand tu te seras complètement habituée à notre mode de vie, ces envies seront satisfaites sur place. 
 Je ne lui demande pas comment elle est sûre que Louis va avoir droit à une fellation, et pas plus, mais je me contente de rougir à nouveau ce qui amuse certains mais en attendrit d’autres. Lucas qui doit considérer que je suis tout de même prête à entendre certaines choses, fait part de ses doutes en s’adressant directement à notre mère :
 ―Je te l’ai dit, qu’il n’est pas encore assez aguerri pour devenir acteur.  ― Sauf que c’est moi la casteuse en plus de la productrice, et pas toi.  ― Sauf que toi, justement, il te connaît à présent par cœur. Mais vu comment il a réagi en voyant notre petite sœur pour la première fois à poil, avec une pro avec qui il n’aura jamais eu de relation avant,s’il résiste cinq minutes avant de lâcher la purée, ce sera un exploit.
 Cette fois je suis carrément écarlate car je suis directement mise en cause, ce qui ne m’empêche pas de me renseigner :
 ― Mais il n’y en a qu’une seule, qui peut faire les castings ?
 C’est Lucas qui me semble plus impliqué dans la société de production que je le pensais, ce qui en même temps me paraît logique étant donné qu’il est l’aîné des enfants de Lady Klit, qui me répond :
 ― J’ai proposé que Louna qui est en quelque sorte notre star, lui fasse faire un essai. Mais M’man refuse, non seulement parce qu’elle s’accroche à son statut, mais en plus elle a peur que notre frère se ridiculise.  ― Mais il pourrait avoir lieu dans un endroit discret, cet essai.Comme ça si il se plante, personne ne l’apprendra et son honneur sera sauf. Car je suppose que vous pouvez compter sur la discrétion de cette Louna, et qu’elle ne va pas aller le crier sur tous les toits.   ― Lui il le saura, et M’man a surtout peur qu’il soit blessé dans son ego. Au point qu’elle envisage de recommencer à tourner en face to face avec lui, jusqu’à qu’il soit devenu assez endurant. Sauf que l’inceste c’est interdit par la loi, alors on risque gros si ça venait à se savoir qu’ils sont mère et fils.
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 Apparemment les rôles sont inversés, car notre M’man qui a toujours fait preuve d’assurance devant nous semble en conflit avec ses doutes, étant donné qu’elle n’arrive pas à dissocier son rôle de maman qui veut protéger un de ses enfants, et celui de productrice de films pornographiques. Je n’ai pas besoin de me forcer beaucoup pour arriver à me mettre à sa place, et je propose bravement et sereinement, ce qui m’étonne moi-même :
 ― Et si c’était moi, qui lui faisais passer ce test ? Puisque vous êtes convaincus, qu’il s’est mis à bander en me voyant à poil. 
 C’est toujours mon frère aîné qui me répond, tandis que les autres nous écoutent en ayant des réactions diverses, qui vont de l’amusement à la stupéfaction en passant par le scepticisme :
 ― Et ça changerait quoi, au final ? S’il n’a pas les qualités nécessaires pour devenir acteur, quelle que soit sa partenaire le résultat sera le même.  ― Ce qui va changer, déjà, c’est qu’avec moi il ne va pas baiser mais faire l’amour. Ensuite, eh bien comme je ne prétends pas faire de miracles, ça lui fera toujours une partenaire de plus à son actif, et donc ça augmentera son expérience. Ce qui ne pourra pas lui faire de mal, puisque d’après toi c’est justement ce qui lui manque. 
 Un silence se fait, que ma Mamie finit par rompre en lâchant :
 ― Elle a de qui tenir, cette petite. 
 Et Manon surenchérit :
 ― Oui, c’est la digne fille de Lady Klit. Il ne nous reste plus, qu’à lui trouver un nom d’actrice.  ― Ça c’est déjà fait, puisque M’man a choisi Miss Klit. Mais n’allez pas non plus vous mettre dans la tête, que je vais tourner dans des films.Car la seule chose qui me motive en ce moment, c’est d’aider mon frère. 
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 Je m’empourpre une énième fois en réalisant ce que j’ai proposé dans le feu de la conversation, cependant je suis fermement décidée à passer à l’action. J’arrive même à sourire, quand mon grand-père se lamente en s’adressant à moi :
 ― Moi qui étais persuadé par par égards pour mon grand âge, je serais le premier à pouvoir t’honorer de ma présence, je suis énormément déçu ma pitchounette. 
 Je lui réponds, avec une assurance que je suis pourtant loin d’éprouver :
 ― L’un n’empêche pas l’autre, Papy. Mais il y a quand même une chose que j’ai oublié de préciser, et c’est que pour l’instant j’ai l’intention de rester vierge. Alors tu pourras m’honorer de ta présence autant que tu voudras, à condition de passer par la porte de derrière. 
 Il a aussitôt retrouvé sa bonne humeur, et réplique sans attendre en se frottant les mains :
 ― Ça ne me pose aucun problème, ma Toute Belle.Car c’est ta Maman qui m’a initié à cette pratique, et j’ai ensuite converti ta Mamie car j’adore ça. On y va tout de suite, ou maintenant ?
 Mais sa fille dont il a été question, tempère son enthousiasme :
 ― Minute papillon, car je te rappelle qu’on s’est réunis pour son anniversaire. Alors avant que tu puisses satisfaire tes envies libidineuses, on va manger le dessert et ensuite elle ouvrira ses cadeaux. 
 Si j’ai remarqué que les membres de ma famille sont tous arrivés les uns après les autres les mains vides, je n’y ai attaché aucune importance tant j’étais en même temps heureuse de les revoir, et troublée par notre nudité qui était toute nouvelle pour moi. Mais à présent qu’il en est question je suis excitée à l’idée que je vais recevoir des présents, convaincue qu’ils ont tous profité du fait que j’étais au loin, pour les amener ici au fur et à mesure qu’ils ont été achetés, et que ma M’man a dû les planquer dans une cachette. 
 Cependant je fais taire mon impatience soudaine, et nous terminons de manger le fromage tandis que Manon et Louis reviennent s’asseoir avec nous en affichant un air neutre, comme si à défaut d’inceste vu qu’ils ne sont pas du même sang, ils ne venaient pas de commettre un adultère. 
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 Sur la grosse forêt-noire qui est mon dessert préféré il n’y a pas dix-huit bougies mais juste deux, une plantée sur le 1 et l’autre sur le 8 en pâte d’amande, qui indiquent mon âge. Je les souffle sans coup férir, je les retire, puis j’attaque à couper des parts. Tâche qui m’incombe même si c’est une chose que je n’aime pas faire, car j’ai toujours peur d’en léser un en lui donnant un morceau plus petit que ceux des autres. 
 Si c’est le cas personne ne fait de remarque car ils savent tous que je suis sensible à ce sujet, ils évitent également la chanson bateau car je déteste ça, et nous mangeons le gâteau tout en buvant une coupe de champagne, que Lucas nous a servi. Car même si je n’y avais jamais prêté attention auparavant, il prend très au sérieux son rôle de fils aîné et par conséquent d’homme de la maison, bien qu’il n’habite plus ici depuis maintenant deux ans. 
 Ensuite les membres de ma famille se lèvent tous les uns après les autres, pour revenir quelques instants plus tard en tenant des paquet-cadeaux à la main. C’est pour moi l’instant critique car malgré toutes les émotions que j’ai pu ressentir depuis mon arrivée, et qui étaient largement justifiées étant donné que j’en ai appris de belles, aucune ne m’a émue autant que celle qui vient de me saisir à la gorge, et je suis à deux doigts de fondre en larmes. 
 Ma M’man qui me connaît par cœur et alors que je me suis levée aussi en reculant ma chaise, vient se placer derrière moi pour m’enlacer en passant un bras autour de mon ventre, et elle me murmure doucement à l’oreille sur un ton cajoleur :
 ― Entre nous tous, ce n’est que de l’amour et du bonheur, ma Petite Caille. 
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 Puis elle prend à contre-courant les émotions que j’éprouve et qui sont sur le point de me submerger, étant donné qu’elle vient poser son autre main celle qui n’est pas plaquée contre ma hanche, sur ma vulve qu’elle caresse quelques instants avant de prendre mon prépuce délicatement entre ses doigts, afin de décalotter mon petit gland. Tandis qu’un ange qui porte des cornes et une queue fourchue passe, et qu’elle commence à me masturber sans aucune hâte devant tout le monde, elle ajoute en étant toujours aussi câline :
 ― Même à présent que tu es devenue Miss Klit, ça va rester de l’amour et du bonheur, que nous allons partager en famille. 
 Sur le coup je n’ai plus aucune envie de pleurer, un frisson parcourt ma colonne vertébrale à l’idée que je suis en train de faire ma première exhibition sexuelle, car même si ce n’est pas moi qui l’ai provoquée je n’ai pas envie de dire que je la subis, étant donné que je n’en éprouve aucune honte et que même j’adore ça. Pour m’assurer que tout est dans l’ordre des choses, tandis que ma maman continue à me branler lentement le clitoris, je lève les yeux que j’avais baissés, dans le but d’affronter le regard des autres personnes présentes. 
 Si certains ont le sourire aux lèvres d’autres sont au contraire très sérieux, pourtant il n’y a aucune désapprobation dans leur attitude, mais peut-être une légère tension liée au fait qu’ils n’ont aucune certitude au sujet de la réaction que je pourrais avoir, une fois l’effet de surprise passé. 
 Car je devine qu’ils étaient au courant au sujet de ce coup de théâtre, et que mes frères probablement après avoir été dépucelés par notre mère, ont eu droit à la même masturbation publique. Ce qui bien entendu a eu lieu en l’absence de Manon en ce qui concerne Lucas, et d’Emma pour ce qui a été de Léo, étant donné qu’à 18 ans ils étaient tous les deux célibataires. Il s’agit donc d’une initiation destinée à nous faire entrer les uns après les autres et de plein pied, dans le monde très particulier de la jouissance ressentie sans aucun tabou ni aucune retenue.
 Et mon pied je suis effectivement en train de le prendre vu que toute pudeur m’a quittée, je lâche un gémissement qu’inconsciemment je retenais comme j’aurais retenu ma respiration, et des soupirs de soulagement lui font écho car tous ont compris qu’il a exprimé mon entière acceptation.
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 M’man continue sans se presser de faire aller et venir la peau de mon capuchon sur mon petit bourgeon de chair, tandis que j’émets à présent des geignements plus sobres mais qui sont la manifestation d’un plaisir bien réel, et que libérée de toute entrave je n’ai plus envie de cacher. Pendant que j’emprunte le chemin de la jouissance je fais plusieurs fois le tour de la table avec mes yeux, afin de savoir comment les autres réagissent. 
 Plus aucun n’est sérieux, l’amusement domine, et pas seulement étant donné que le sexe de Papy tout comme celui Léo se sont dressés, car ce à quoi ils sont en train d’assister leur plaît, et même énormément. Je gage que si celui de Louis n’a pas fait pareil, c’est uniquement parce que notre belle-sœur Emma l’a fait dégorger il y a peu. Seul Lucas est resté insensible au spectacle que nous lui offrons notre M’man et moi, et alors que je reste fixée sur lui il me lance un regard de défi qui veut dire : Tu n’y arriveras pas, ma belle, et auquel je réponds par un sourire chargé d’ironie, qui signifie : C’est ce qu’on va voir
 Notre petit bras de fer mental n’a dû échapper à personne, mais je risque de le perdre étant donné que faire déjà bander deux hommes en même temps, a largement augmenté mon excitation qui n’était pourtant pas des moindres, vu que le traitement qui m’est administré est plus que jouissif. Pourtant M’man prend son temps, faisant coulisser très lentement ma peau sur mon bâtonnet de chair qui est à présent dur comme un morceau de résine, et tout en continuant à regarder mon frère aîné j’exprime mon plaisir avec des gémissements, qui sont devenus en même temps plus prononcés et plus aigus.  
 Mais tout à coup dans les yeux de Lucas je vois le doute s’insinuer, il les baisse comme s’il n’arrivait pas à croire à ce qu’il ressent, et il a ensuite un air pitoyable comme s’il venait d’être trahi par son meilleur ami. Je fais comme lui pour constater que son sexe est en train de prendre du volume, et au moment où il atteint sa taille maximale après s’être dressé, je pousse un petit cri qui est en même temps orgasmique et triomphal. Je savoure pleinement ma jouissance exhibitionniste, et lorsque je me suis repue et que je suis devenue toute molle contre elle, M’man me chuchote à l’oreille :
 ― Je suis très fière de toi, ma Petite Cochonne. Car malgré son arrogance typiquement masculine, tu viens de prouver à ce grand dadais que tu es capable de le mener par le bout de la queue. Et vu son entraînement, je suis convaincue que ce sera encore plus facile avec les autres.
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