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Lady Klit.

Chapitre 8

Sodomie grand-paternelle.

Inceste
M’man me fait ensuite sucer ses doigts poisseux de ma mouille, bien évidemment devant les autres membres de notre famille qui sont tous restés debout, puis vient le moment d’ouvrir mes cadeaux. En toute logique je commence par le sien, qui est le plus petit en taille car il s’agit d’une simple enveloppe. Pourtant elle contient un présent d’une grande valeur, vu que j’en retire un bristol sur lequel il est écrit à la main : Bon pour une voiture neuve, dont nous choisirons le modèle ensemble.  Je suis très émue lorsque j’enlace ma maman, et encore plus quand elle m’embrasse sur la bouche sa langue s’insinuant à l’intérieur sans avoir besoin de forcer le passage, pour se mettre ensuite à tourner autour de la mienne qui ne tarde pas à entrer elle aussi dans la danse. C’est mon tout premier baiser d’adulte et je ne suis pas dérangée par le fait qu’il soit incestueux, étant donné que nous n’en sommes plus à ça près. Tandis que nos salives se mélangent elle caresse mes fesses, et une fois que nous nous sommes séparées elle me dit :
 ― Bien entendu, ce bon ne sera valable que quand tu auras eu ton permis. Mais comme tu as déjà ton code en poche et que tu as attaqué les leçons de conduite, ça ne devrait pas prendre très longtemps. 
 Je la remercie, et ne voulant pas faire attendre les autres je me tourne à nouveau vers la table, afin d’ouvrir le cadeau de mes grands-parents. Il est assez surprenant de leur part vu qu’après avoir déchiré le papier aux motifs criards, je découvre l’emballage d’un ordinateur portable. Il est inscrit sur sa boîte qu’il a un écran de 17 pouces, et par rapport à sa marque puisqu’il s’agit d’un msi, j’en déduis qu’il est polyvalent et peut convenir aussi bien à un gameur qu’effectuer du travail de bureau.  Je suis folle de joie car le petit 13 pouces que j’utilise actuellement est à l’agonie, après plusieurs années de service intensif, et je me précipite vers eux manquant de m’étaler à cause de mes talons aiguille, pour les enlacer à leur tour. Je ne suis pas vraiment surprise que Papy par qui je commence, et dont le sexe tout comme ceux de mes frères s’est remis à pendre, m’embrasse de la même manière que ma maman ni bien entendu qu’il me caresse lui aussi le popotin. Mais beaucoup plus quand ma Mamie, se comporte exactement de la même manière.
χ χ

 M’man qui a compris mon étonnement, m’explique quand je me suis séparée de ma grand-mère :
 ― Même si je suis convaincue que ce matin tout le monde a suivi mes consignes, et t’a fait la bise en arrivant, le patin est notre manière à nous de nous dire bonjour, ou de nous témoigner notre affection ma Petite Caille. Mais à la différence des russes nous nous pelotons également le cul, dans le but d’accentuer le contact physique. Et inutile de le préciser, cette façon de nous comporter ne sort pas du cadre familial, ou du cercle de nos intimes. 
 J’assimile cette information, je retourne en bout de table pour aller déballer les cadeaux de Lucas et Manon qui sont au nombre de trois, et à leurs formes je devine sans peine avant de les ouvrir ce qu’ils contiennent. Il s’agit d’une paire d’escarpins, de sandales et de mules. Si cette dernière à des talons d’une largeur plus grande mais d’une hauteur identique à celles que portent toutes le femmes de la famille autrement dit une dizaine de centimètres, mis à part moi qui suis une débutante, les deux autres en ont qui sont encore plus longs. Et toutes, ont étonnamment des semelles rouges. 
 Ma belle-sœur me précise :
 ― Ces stilettos font quatre pouces au lieu de trois, mais elles sont tout de même très confortables car il s’agit de Louboutin, une marque réputée qui a fait ses preuves. Sauf pour les mules car Lady Klit a mis son veto, de peur que tu te fasses mal avec. Mais peut-être que pour tes 19 ans, tu seras prête à en porter.
 J’ignore ce qu’il a coûté mais il s’agit d’un très beau présent, d’autant plus qu’il démontre qu’à leurs yeux je suis devenue une femme et qu’ils ne me considèrent plus comme étant une gamine. C’est pourquoi là encore je me précipite pour les enlacer, et cette fois c’est moi qui enfonce ma langue dans leurs bouches et qui caresse leurs fesses la première. Y compris celles de mon frère, que cet élan de tendresse ne semble ni surprendre ni déranger. 
χ χ

 Vient ensuite le tour des cadeaux de Léo et Emma, qui sont dans la continuité étant donné qu’il s’agit de lingerie. Trois nuisettes qui laissent peu de place à l’imagination, étant donné que si le tissu est bien présent il a la particularité d’être transparent, mais également deux body dont l’un laisse les seins nus, et l’autre est fait de mailles assez larges tout en étant ouvert à l’entrejambe.
 Mais le vêtement de nuit qui me plaît tout particulièrement même s’il est beaucoup plus simple, est une sorte de gilet qui doit s’arrêter en bas de mes fesses, sans bouton mais avec une unique double lanière sur le devant si bien qu’il peut être laissé ouvert ou fermé, ce qui au final ne fait pas une grande différence étant donné qu’il est composé d’un tissu arachnéen très doux au toucher, qui là encore ne fait pas une grande différence. Cerise sur le gâteau, il est d’une teinte assortie à mes yeux. 
 M’man qui a n’a pas manqué de remarquer mon intérêt, précise : 
 ― C’est de la soie, et si tu en as envie tu peux le mettre car il est à toi. En plus, il y a dans ton placard une paire de mules qui iront très bien avec. Mais il te faudra patienter un peu avant de les porter ensemble, car elles ont des talons qui font six centimètres. Ou deux pouces, comme dirait Éva Leferre.  ― C’est qui ça, Éva Leferre. 
 Elle sourit, avant de m’expliquer :
 ― Je ne te l’ai pas précisé quand on a discuté toutes les deux, mais c’est le nom d’actrice que s’est choisi Manon. 
 Cette dernière quand je me tourne vers elle a le sourire jusqu’aux oreilles, et elle me demande :
 ― Il en vaut bien un autre, pas vrai ?
 J’acquiesce lui rendant son sourire, puis je regarde Lucas pour dans le but de me renseigner un peu plus :
 ― Et toi ? ― Pal Toqué, en deux mots. 
 Cette fois j’éclate carrément de rire et mon hilarité ne semble pas le contrarier, car je devine que ce jeu de mots a été choisi pour démontrer que malgré le métier qu’il a décidé de faire, il ne se prend pas trop au sérieux. 
 Comme M’man me l’a suggéré j’enfile la nuisette très coquine, qui se révèle encore plus douce contre la peau de mes épaules et de mes fesses que sous celle de mes doigts. Cependant je la laisse ouverte, ce qui ne change pas grand-chose au niveau de l’exposition de mon corps.Et je me sens très coquine tandis que le fin tissu froufroute atour de moi, quand je vais embrasser Léo et Emma de la même manière que je l’ai fait avec les autres, et que nous nous caressons mutuellement les fesses.
χ χ

 Arrive le moment d’ouvrir les cadeaux de Louis, et je me prépare au pire étant donné qu’il a toujours été facétieux. Pourtant il ne s’agit pas de sextoys comme je m’y attendais à moitié, ce qui aurait été en accord avec son sens de l’humour d’un genre particulier un bon moyen de fêter mon entrée dans le monde des adultes, mais cette fois encore de lingerie. 
 Je déballe tout un assortiment de porte-jarretelles et de bas, certains assez sobres d’autres plus affriolants, et deux ensembles de sous-vêtements sont également présents. En ce qui concerne les hauts il ne s’agit pas vraiment de soutien-gorges mais plutôt de redresse-seins, qui laissent ces derniers découverts se contentant de leur faire un berceau sur leur moitié inférieure. 
 Quant aux bas, dont la présence est tout autant étrange étant donné les habitudes familiales, je dirais qu’ils habillent en même temps que le contraire. Car ils sont faits d’un fin maillage qui ne laisse aucune place à l’imagination et si le premier est un slip brésilien, le second a une coupe plus classique qui n’est pas sans me rappeler la culotte que notre M’man portait dans le film. 
 Ce cadeau bien qu’il soit probablement le moins coûteux me touche énormément, car non seulement je sais que mon plus jeune frère n’a pas une situation très stable étant donné qu’il enchaîne les petits boulots, et que par conséquent il est celui qui a le moins les moyens. Mais en plus, il me montre que lui aussi me considère à présent comme étant une femme à part entière. Il est malgré ses blagues dont j’ai été la victime plus souvent qu’à mon tour celui pour qui j’ai le plus d’affection, et afin de lui montrer que j’apprécie l’effort qu’il a consenti, je l’embrasse plus longuement et plus langoureusement que les autres. 
 C’est au point que non seulement son sexe ne tarde pas à se dresser, mais aussi que Lucas qui doit trouver le temps long finit par lâcher :
 ― Si vous faites des petits, vous m’en mettrez un de côté. 
 Une fois que nous nous sommes séparés, Louis lui demande :
 ― Tu es jaloux, parce que c’est moi qui vais dépuceler notre petite sœur, frangin ?
 Ils se font face comme deux coqs ce qui ne leur ressemble pas vraiment, et alors que M’man s’apprête à les recadrer car elle a l’air mécontente de leur comportement, je lui coupe l’herbe sous le pied :
 ― C’est mon anniversaire, et il marque mon entrée dans le monde des adultes. Par conséquent vous avez l’air malin, à vous chamailler comme des gamins alors que vous êtes plus vieux que moi. Comme quoi c’est pas faux, que les hommes deviennent murs plus tard que les femmes.
χ χ

 Ma petite tirade a amené plus d’un sourire, en particulier sur les visages de celles qui sont considérées comme appartenant au sexe faible, ce qui n’empêche pas mon troisième frère Léo de me faire un clin d’œil, pour me montrer qu’il est fier de mon intervention. Cela me fait plaisir venant de sa part, car il a toujours été le plus réfléchi de nous quatre. M’man quant à elle ne semble pas vexée que je lui aie piqué un peu de son autorité, puisqu’elle affiche un petit sourire qui montre qu’elle est satisfaite, alors que ses deux autres fils ont l’air penauds. 
 J’en profite, pour préciser à Louis :
 ― Je suis désolée, frangin, mais ma virginité j’ai l’intention de la préserver pour l’homme dont je serai vraiment amoureuse. Même s’il est possible que je fasse une erreur de jugement, et que je ne tombe pas sur lui du premier coup. 
 Puis j’ajoute rapidement, car son air dépité me fait de la peine :
 ― Mais si celle-là vous est fermée les deux autres portes sont ouvertes, et vous êtes les bienvenus. Sauf que pour ce qui sera de m’enculer en premier, Papy a fait prévaloir son droit d’aînesse. Afin de savoir qui sera le suivant, car je ne veux pas non plus faire de jaloux, et je vous trouve déjà bien assez agressifs comme ça, je vous propose de tirer au sort pour décider de l’ordre de passage. Car dans mon auberge, il y a de la place pour tout le monde.
 Cette deuxième annonce produit également son effet, plus explosif que le premier car il démontre que je suis entrée de plein pied dans leur monde, et je suis même étonnée d’avoir balancé le truc sans rougir. Mais il faut dire que l’entraînement de ma M’man ce matin a pas mal préparé le terrain, et arrondi les angles en ce qui me concerne. 
 Papy réagit le premier, et il me demande en se frottant les mains :
 ― Ce plan est parfait. On y va maintenant, ou tout de suite ?
 Mais c’est au tour de Mamie de tempérer son enthousiasme, et elle emploie la forme interrogative :
 ― Et si on buvait plutôt le café, avant ?
χ χ

 C’est bien entendu ce que nous faisons, et je suis moins fanfaronne lorsque le moment de passer à l’acte arrive. Ma mère qui a parfaitement compris que je ne suis plus aussi vaillante, me prend à part et me dit :
 ― Tu sais, si tu as changé d’avis et que tu ne te sens pas encore prête, personne ne t’en voudra car tu as toute ta vie devant toi. ― Si M’man, j’ai envie de le faire. C’est juste que… comme c’est nouveau pour moi, l’idée de me retrouver seule avec un homme même si c’est mon Papy, ça me fout un peu la trouille.  ― Tu veux que je reste avec toi ? ― Non, ça va aller, t’inquiètes.  ― Bon, dans ce cas vous le ferez dans ma piaule, comme ça tu auras un accès direct à ma salle de bain. Je passerai entre chacun d’entre eux pour voir comment tu te sens, et si je constate qu’il y le moindre problème, j’utiliserai mon droit de veto pour tout arrêter. ― Ok M’man. 
 Puis elle disparaît semblant avoir quelque chose d’urgent à faire, et quand je me rends dans sa chambre à peine deux minutes plus tard en compagnie de mon grand-père, sur le lit maternel sont posées une serviette éponge étendue qui va lui servir de protection, une autre encore pliée, une bombe de lubrifiant, et plus étonnant une paire de mules toutes neuves. Elles ont des talons qui ne sont pas aussi fins que des aiguilles mais de deux pouces de long, et comme annoncé un peu plus tôt, leur couleur est assortie au gilet que je porte toujours ainsi qu’à mes mirettes. 
 Papy sourit en voyant le matériel, et il me dit tandis que je change de chaussures :
 ― Ta mère a pensé à tout, on dirait. 
 Je souris également, puis je réponds :
 ― En même temps, avant d’en être la productrice, elle a tourné dans des films de boules.
χ χ

 Mon grand père n’est pas encore en pleine forme, c’est pourquoi sans hésiter je me mets accroupie devant lui en écartant les cuisses, plus pour ne pas abîmer mes belles chaussures que dans l’idée d’être encore plus cochonne, même si je constate que ça m’excite d’exhiber ma vulve de cette manière. Une fois que j’ai assuré mon équilibre car c’est la première fois que je me retrouve perchée aussi haut, j’attrape délicatement son sexe encore ballant avant de lever les yeux pour le regarder. 
 Il ne tarde pas à réagir sous mes doigts, et lentement son membre prend du volume pour finir par se dresser. Je réalise pleinement alors que sur la terrasse je n’avais pas vraiment fait attention, que ce membre est nettement plus petit que celui de mon Papa ou de ceux de mes frères, étant donné qu’il doit mesurer un peu plus d’une quinzaine de centimètres de long, ce qui ne me dérange absolument pas et n’a pas non plus l’air de lui poser de problème. 
 Même si nous ne sommes pas ici dans ce but et afin d’éviter de m’être baissée pour si peu, je vais suivre les consignes que j’ai reçues lors de mon entraînement matinal. Mais avant, je ne peux pas m’empêcher en pliant le cou et en posant mon autre main sur sa cuisse pour ne pas basculer, d’aller prendre en bouche un de ses testicules à travers ses bourses chauves et pendantes, afin de le caresser avec ma langue. Ce qui lui provoque un petit geignement qui ne m’inquiète pas car M’man m’a dit que les hommes adorent ça, et il en pousse un deuxième quand je fais pareil avec son jumeau.  
 Ensuite je relève la tête, et je lèche son gland sur toute sa surface. Je constate au passage qu’il a une saveur différente du gode, qui n’est pas due qu’au fait qu’il ne vient pas de ressortir de mon anus, mais également à celui qu’il n’est pas en latex mais fait de chair bien vivante. Je ne manque d’ailleurs pas d’apprécier également la différence de texture au niveau de l’ensemble de son sexe, qui n’est pas uniforme car plus douce voire molle à certains endroits, et beaucoup plus ferme à d’autres. Tandis que j’en prends la mesure la chaleur dans mon entrejambe augmente en intensité, à l’idée que je suis en train de faire ma première vraie fellation. 
 Je n’oublie pas de passer ma langue sur sa fente et d’aller chatouiller avec le frein de son prépuce, toujours en le fixant, et c’est presque à regrets que je décide que je vais me relever, car j’estime malgré la satisfaction que j’éprouve à m’en occuper que les choses doivent se passer comme prévu. Comprenant ce que j’ai en tête mon grand-père pose une main sur mon épaule afin de me retenir, et il me donne son avis :
 ―Tu suces tellement bien, que j’ai du mal à croire que tu ne l’as jamais fait avant. On voit vraiment que tu y prends plaisir, ce qui est la marque des grandes.Alors si tu préfères, tu peux me faire jouir de cette manière. 
χ χ

 Je rougis sous le compliment, j’hésite un bref instant sur la conduite à tenir, puis je lui réponds :
 ― Tu sais Papy, j’ai très envie de savoir quel goût a ton jus, mais on aura plein d’autres occasions. Par contre, celle de me faire enculer quatre fois de suite et par tous les hommes de ma famille pour mes 18 ans, elle est unique. 
 J’ai droit de sa part à regard étonnamment chargé de tendresse, qui ne le quitte pas tandis qu’il m’aide à me relever, puis je vais me placer comme je l’ai déjà fait à quatre pattes sur le lit et les fesses à l’aplomb du bord, en gardant les pieds à l’horizontale pour que mes fuck-me-shoes n’en glissent pas. Ce qui se passe ensuite est une répétition de ce que j’ai déjà vécu, étant donné que mon grand-père attrape la bombe de lubrifiant pour asperger mon anus, sauf qu’après il y enfonce en premier un de ses doigts pour s’assurer qu’il a gagné en élasticité. Ensuite il vient poser son gland contre, il m’attrape par la taille et il pousse lentement. 
 Le première différence que je constate est que son gland mou en comparaison du reste de son sexe, contrairement à celui du gode n’ouvre pas complètement ma rondelle mais se comprime pour s’insinuer entre elle. L’écartèlement vient ensuite avec la pénétration de la hampe qui est beaucoup plus dure, et si je le sens parfaitement, grâce à l’assouplissement artificiel de ma bague de chair je n’éprouve cette fois encore aucune douleur.
 Cependant ce n’est pas la seule variation, et la plus importante se passe dans ma tête. Puisque mon excitation s’accroît en pensant que je suis en train de me faire sodomiser par un vrai sexe, bien vivant, et que je le sens même palpiter grâce à ma sensibilité amplifiée au niveau de toutes mes zones érogènes. Mes tétons naturellement cylindriques sont en effet devenus encore plus durs, je suis en train de mouiller comme une folle alors que mon vagin n’est pas directement sollicité, et même mon clitoris à présent tout raide est sorti de sa petite grotte, comme s’il était curieux d’apprendre ce qui est en train de se passer. 
 C’est au point que j’aurais envie d’être caressée ou à défaut de me toucher à ces endroits, de manière à augmenter mon plaisir, c’est pourquoi alors que le bassin de mon mon grand-père est venu au contact de mon petit cul puisqu’il m’a enfilée bien à fond, je me redresse avant de me cambrer au maximum pour conserver mon équilibre. Mon partenaire incestueux qui a compris mon intention pose ses mains sur mes gros nichons afin de me retenir, et il en profite pour agacer mes mamelons qui ne demandaient que ça. 
χ χ

 Je pousse un geignement de plaisir, et se méprenant il me demande :
 ― Je t’ai fait mal, pitchounette ? ― Non Papy, au contraire. C’est pour pouvoir me toucher que j’ai changé de position, et c’est encore meilleur si c’est toi qui le fais.
 Tout heureux de mon acceptation il pétrit mes chairs tout en roulant leurs bourgeons sous ses doigts, tandis que je me mets en mouvements faisant aller et venir lentement ma rondelle le long de son pal. Il ne tarde pas à bouger lui aussi, et nous allons à la rencontre l’un de l’autre pour nous éloigner ensuite, en nous arrêtant avant que son gland ne ressorte pour repartir dans le sens contraire. Pendant ce temps, alors qu’une de mes mains est posée sagement sur la cuisse qui se trouve du même côté, de l’autre je me caresse la vulve et les effets conjugués me font émettre des petits geignements de jouissance, que je laisse s’exprimer librement. 
 Mon excitation est à son comble car non seulement le plaisir physique que je ressens est de plus en plus intense, mais dans ma tête j’ai je sentiment d’être devenue une grosse cochonne, qui se fait enculer pour ses 18 ans par un homme qui en a pas loin de 50 de plus qu’elle, tout en étant son grand-père. C’est au point que je m’immobilise alors qu’il est au plus profond de moi, prise d’un orgasme plus puissant que ceux que j’ai eus avant, ce qui me laisse pantelante entre ses bras vu qu’il m’a enlacée afin de me maintenir. 
 Ce n’est qu’un fois que j’ai repris mes esprits que je réalise que Papy ne m’a pas rejointe dans ce que les poètes appellent la Petite Mort, car étant donné que je sens parfaitement son membre toujours raide en moi, j’aurais dû en toute logique sentir également son sperme gicler. Je ne m’en désole pas me disant que tout n’est pas terminé, je me libère de son étreinte en repoussant ses bras avec mes mains, je me penche en avant pour me remettre à quatre pattes et me déplacer, dans le but de faire ressortir son sexe. 
χ χ

 Lorsque j’y suis arrivée je fais un demi-tour sur moi-même, que j’espère aussi félin que celui de M’man dans la vidéo, puis tandis que je sens mon troisième œil se refermer lentement, comme à regrets, je m’avance bravement vers la queue qui vient de me sodomiser en ouvrant la bouche. Je m’enfile en premier le gland que je tète quelques instants, en levant les yeux pour regarder celui à qui il appartient, puis je continue ma progression ne ressentant qu’une légère nausée. Probablement du fait que la baguette que je suis en train d’enfourner est plus petite que celle de ce matin, et je la sens étonnée se courber pour plonger dans mon gosier. 
 Papy que je fixe a l’air aux anges et je ne m’arrête que quand les poils gris de son pubis viennent chatouiller mon nez, pour repartir en arrière avec une lenteur calculée. Mais cette fois je déglutis avant que le bout de sa queue ne revienne dans ma bouche, et j’ai le plaisir d’entendre mon grand-père pousser un hoquet qui n’a très certainement pas été provoqué que par le surprise. Ce qui m’est confirmé, lorsqu’il me dit après avoir posé ses mains sur mes tempes :
 ― Je vais lâcher la purée, alors tiens-toi prête ma Petite. 
 Effectivement je sens la première salve arriver, d’instinct je l’avale appréciant au passage le goût de sa semence qui me plaît même si sa consistance gluante me déconcerte, une autre lui succède qui a l’air moins abondante et subit le même sort, ainsi qu’une troisième qui est encore moins copieuse, mais plus que la quatrième qui me fait comprendre qu’elle sera la dernière. 
 Je suis assez fière de n’en avoir pas perdu une seule goutte, et encore plus quand mon grand-père me fait remarquer :
 ― On ne fera peut-être pas de toi une actrice, mais en attendant tu vas rendre heureux les hommes qui auront la chance de te connaître dans l’intimité. Car si hier encore tu ignorais tout du sexe, ça se voit que tu aimes donner du plaisir et que tu as des dispositions pour ça.
 Je deviens écarlate en entendant cet énorme compliment, ce qui ne m’empêche pas de passer ma langue autour de son gland pour le nettoyer, et une fois qu’il s’est retiré il me demande :
 ― Tu as encore besoin de moi, ma Pitchounette ? ― Non Papy.  ― Dans ce cas je vais te laisser, car je te fiche mon billet que ta mère est en train de piaffer d’impatience, se demandant comment s’est passée ta première sodomie.
 Puis il sort de la chambre, après m’avoir tendrement caressé la joue afin de me remercier.
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