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Lady Klit.

Chapitre 9

Une fratrie bien soudée.

Inceste
Effectivement ma mère entre dans la chambre à peine quelques instants plus tard, alors que je suis toujours à quatre pattes sur son lit, et son maintien un peu rigide qui me montre qu’elle n’était pas tout à fait rassurée change aussitôt qu’elle me voit. À présent beaucoup plus détendue, elle me demande en s’avançant vers moi :
 ― Ça c’est bien passé, ma Petite Caille ? ― Oui, Papy était content. 
 Elle sourit, avant de parler à nouveau :
 ― Je n’en doute pas un seul instant, vue la mine réjouie qu’il avait en sortant d’ici. Mais ce qui m’intéresse, c’est de savoir comment toi, tu vas ? ― Bien, et j’ai joui comme un dingue. 
 Alors qu’elle s’est arrêtée son bassin tout près de ma tête, ce qui me fait loucher sur ses bijoux intimes du bas qui n’ont jamais été aussi près, elle se penche en avant et je sens ses tétons eux aussi percés effleurer mon dos, tandis que ses doigts palpent mon anus. Elle a l’air satisfaite de son examen quand elle se redresse avec souplesse, et une expression sereine quand elle se recule avant de me préciser :
 ― Tu sais, c’est toi qui diriges le jeu. Alors si après t’être faite enculer une première fois tu veux arrêter, tes frères patienteront jusqu’à ce que l’envie te reprenne.  ― Oui, mais ils seront déçus.  ― Probablement, mais ils comprendront.  ― Et moi je serai déçue aussi. Car j’ai très envie de me faire enfiler par tous les hommes de ma famille, pour mes 18 ans. 
 J’ai droit à un nouveau sourire, avant qu’elle me dise :
 ― Merci de me confirmer que j’avais raison, ma Petite Cochonne. Car même si nous ne ferons probablement pas de toi une actrice de films de boules, tu vas tout de même devenir une baiseuse de compétition.  ― Pour l’instant et jusqu’à nouvel ordre, je vais rester une amoureuse de compète, M’man. Car je ne suis pas encore prête à élargir mes horizons, alors ça restera dans la famille. ― Pour ça aussi c’est à toi de décider, ma Petite Caille.  Je souris à mon tour, puis je demande :
 ― C’est qui le prochain ? ― Le sort a désigné Léo, et j’en suis heureuse. Car quitte à ce que tu prennes un gros calibre dans le cul, j’aime autant que ce soit le sien car il est le plus attentionné de tes frères. Mais tu n’as pas envie de passer avant par la salle de bain ?
 Je me doute que quand on reçoit du sperme dans les boyaux, on a ensuite envie de l’expulser car il n’y est pas à sa place. Mais ce n’est pas mon cas actuellement, c’est pourquoi je réponds :
 ― Non, car Papy a giclé dans ma bouche, et je te signale au passage que j’aime le sperme. 
 Si elle m’a affirmé être heureuse il y a à peine une minute, je peux à présent constater sur son beau visage que c’est vraiment le cas, ce qui ne l’empêche pas de répliquer assez sobrement :
  ― Je n’en attendais pas moins de toi, Miss Klit, vu que tu es ma fille.  
χ χ

 Man quitte ensuite la chambre comme elle y est entrée, en se déplaçant gracieusement sur ses talons aiguille de trois pouces de haut, et mon frère Léo ne tarde pas à y pénétrer à son tour. Son sexe est déjà en érection et j’essaie de cacher ma déception, car j’aurais bien aimé le faire se dresser comme j’en ai eu l’occasion avec notre grand-père, mais je ne dois pas arriver à dissimuler mon dépit puisqu’il me dit sur un ton d’excuse :
 ― Mamie s’est mise en tête de nous chauffer et tu la connais, il est très difficile de la faire changer d’avis. 
 Je lui réponds, tout en me retournant pour lui présenter mon arrière train :
 ― C’est pas grave, je te sucerai la prochaine fois.  ― Mais toi, tu ne préfères pas qu’on y mette les formes ? ― Genre ? Tu veux qu’on se bécote comme des amoureux avant ? T’inquiètes, je sais déjà que tu m’aimes. Alors un coup de lube sur le petit trou, et en route pour le septième ciel. 
 Je ne peux pas voir sa réaction étant donné que mon seul œil qui lui fait face c’est le troisième, celui qui est aveugle, mais il ne lui faut pas bien longtemps pour attraper la bombe et me l’asperger, puis il pose son gland contre tout en m’attrapant par la taille, et il pousse lentement. Je suis beaucoup moins excitée que la première fois car il n’y a plus l’attrait de la nouveauté, toutefois j’apprécie la différence de taille entre sa queue et celle de notre grand-père, vu que même si je n’éprouve aucune douleur je sens ma rondelle s’étirer encore plus. 
 Tandis que je me mets moi aussi en mouvement mes gros seins commencent à se balancer, ce qui me plaît, et nous accélérons progressivement la cadence tout en gardant une allure modérée. 
χ χ

 Peu à peu le plaisir monte en moi et en Léo également puisque je l’entends geindre doucement, ce qui n’est pas très viril de sa part mais a le mérite de me montrer qu’il aime lui aussi ce que nous sommes en train de faire. Je ne suis d’ailleurs pas en reste étant donné que mes manifestations de volupté font écho aux siennes, car si je suis moins stimulée cela ne veut pas dire pour autant que je reste de glace, mais tout simplement qu’il me faudra plus de temps pour atteindre la jouissance.
 Du temps nous en avons et même toute la vie devant nous, ce qui ne nous empêche pas d’apprécier notre premier acte incestueux ensemble. J’aime en plus de la tendresse qu’il me porte depuis toujours sentir son gros sexe coulisser en moi, car j’en suis en peu de temps arrivée à me dire qu’il s’agit d’un aboutissement, et que se donner du plaisir entre personnes qui s’aiment est quelque chose de normal. Que cela ne peut que consolider nos liens et qu’en nous soudant physiquement l’un à l’autre, cela va renforcer l’attachement qui nous unissait déjà. 
 Je suis en train de penser à tout ça tandis que nous dansons d’une manière assez spéciale, mais j’arrête afin de me concentrer sur mes sensations qui sont beaucoup plus physiques, quand je réalise que le moment de l’explosion finale est en train d’approcher. Lorsque j’atteins l’orgasme mes spasmes doivent stimuler Léo, vu que je sens pour la toute première fois du liquide chaud gicler dans mon ventre, et au gémissement clair et libérateur que je pousse sous l’intensité du plaisir se mêle de la joie. Car je suis heureuse que nous ayons joui en même temps, ce qui sublime notre échange.
 Nous restons quelques instants immobiles puis mon frère se recule pour faire ressortir son membre encore raide, et sans réfléchir je fais demi-tour sur moi même en restant à quatre pattes, dans un mouvement qui me semble plus fluide grâce à la pratique et qui doit par conséquent être plus gracieux. 
χ χ

 Lorsque j’ouvre la bouche en grand Léo hausse un sourcil, et il me demande :
 ― C’est vraiment ce que tu veux, Cosette ? ― Oui. Je vous ai dit que la porte menant à mon vagin est fermée, mais que les deux autres sont ouvertes. Alors je veux que tu me l’enfonces lentement et bien à fond, juste une fois, pour voir si le fait qu’elle est plus grosse que celle de Papy, me pose un problème. 
 Il m’obéit après avoir esquissé un sourire qui me montre qu’il est amusé et pas contrarié, puis tandis que j’enfourne son gland je sens ma rondelle se refermer sans aucune hâte, après qu’elle soit restée ouverte plus longtemps que les premières fois. Comme si elle avait attendu un dernier client qui n’est jamais venu, avant de se décider à fermer boutique. 
 Quand le membre fraternel s’enfonce dans mon gosier alors que son goût ne m’a absolument pas dérangée, je constate que non seulement je salive moins qu’avec le gode, mais qu’en plus si j’ai les yeux embués je ne pleure pas. Ce qui me donne satisfaction, puisque cette accoutumance laisse supposer qu’avec un peu d’entraînement, j’arriverai à faire des gorges profondes aussi facilement que ma maman. 
 Lorsque mon nez est venu s’enfoncer dans les poils de son pubis Léo se retire à la même vitesse, c’est à dire sans se presser et afin de me ménager, puis quand ma bouche est vide je lui dis :
 ― Merci, c’était un vrai régal. 
 Cette fois il sourit franchement, avant de me répondre tout en caressant ma joue avec tendresse :
 ― Alors il faudra qu’on recommence, petite sœur, d’autant plus qu’Emma contrairement à Manon n’y arrive pas, à les prendre en entier de cette façon.  ― Et Mamie, elle y arrive ?
 Il éclate de rire, avant de pouvoir me renseigner :
 ― Oh oui, c’est même la première chose qu’elle ma faite, quelques heures à peine après que M’man m’a dépucelé. J’étais rouge comme un gratte-cul, car j’ai eu droit à ma première gorge profonde devant tous les autres membres de la famille. Enfin ceux qui sont plus vieux que moi, mais ça tu l’avais compris. 
χ χ

 Ensuite Léo me quitte et ma maman quand elle revient dans sa chambre ne m’y trouve pas, étant donné que je suis assise sur la cuvette des WC dans la salle de bain attenante. Elle sourit en me voyant en train de pousser pour expulser la semence fraternelle, puis elle m’explique :
 ― Le mieux pour faire ça, sauf si tu as envie de lâcher également un boulet, c’est de te mettre directement sur le bidet. Comme ça avec le jet ascendant, tu pourras dans la foulée te nettoyer le trou de balle. 
 Ensuite elle me demande :
 ― Sinon, ça c’est bien passé ? ― Oh oui, car si j’ai dû sucer Papy après avoir joui, car il n’y était pas encore parvenu, avec Léo ça nous est arrivé en même temps. Et ça m’a donné du plaisir aussi dans ma tête, et pas que dans mon cul. ― Il arrive parfois que les personnes âgées mettent plus de temps à venir, mais c’est déjà bien qu’elles le puissent encore. ― C’est possible, sauf que moi l’impression que j’ai eue, c’est que j’étais tellement excitée que c’était moi qui avais de l’avance. Avec Léo ça s’est passé différemment, car comme c’était la deuxième fois et en peu de temps, j’étais plus calme. 
 Puis j’ajoute, tout en allant cette fois m’installer sur le bidet et tandis que ma maman me montre comment l’utiliser, car habituellement quand je veux me laver les fesses je vais sous la douche :
 ― Et après il me l’a enfoncée dans la gorge, et j’ai moins bavé qu’avec le gode et pas pleuré. Car à ça aussi, je m’y habitue.
 Elle me répond très sérieusement : 
 ― Eh bien je suis fière de toi, car tu es en train de devenir une véritable petite cochonne. ― Oui, il paraît que j’ai de qui tenir. 
 M’man éclate d’un rire joyeux, avant de demander :
 ― Tu veux que je t’envoie le prochain, ou tu préfères arrêter ? ― Non, je continue, et j’ai bien l’intention d’aller jusqu’au bout. Sinon, le dernier risque de se sentir mis de côté.
χ χ

 Le suivant c’est mon frère Lucas, l’acteur de films de boules, et je ne suis cette fois pas étonnée de le voir entrer dans la chambre avec le membre dressé, puisque je me doute qu’il a lui aussi été chauffé par notre Mamie. Ce qui ne semble pas le perturber, et il ne l’est pas non plus quand je lui dis :
 ― Je viens de ma faire enculer deux fois de suite, et la dernière queue celle de Léo, est aussi grosse que la tienne. Alors maintenant que c’est ton tour, j’aimerais que tu me le fasses sans lubrifiant.  ― Celui qu’on t’a déjà mis a une efficacité qui a une durée limitée, surtout si tu t’es lavé le cul entre-temps. Alors tu risques d’avoir mal et après M’man va m’en vouloir, elle risque même de me faire la gueule.  ― Tu as encore peur d’elle, à 21 ans passés ? ― Je te rappelle, que c’est aussi ma patronne.  ― Sauf que là, tu n’es pas au boulot. Et comme moi aussi je suis majeure, c’est à moi de décider de quelle manière j’ai envie de me faire prendre, pas à elle.  ― Si c’est ce que tu veux, je vais le faire. Mais après, il ne faudra pas venir te plaindre. ― T’inquiètes, je suis une grande fille à présent. De toutes façons, je n’ai jamais été douillette. 
 Les choses ayant été mises au point je vais me remettre à quatre pattes sur le lit, les fesses toujours à l’aplomb du bord, Lucas vient sans attendre se placer debout derrière moi, il pose son gland contre mon anus et il pousse comme les autres avant lui, en allant doucement. Son gland se compressant passe sans problème, mais quand sa hampe pénètre à son tour et qu’elle écartèle ma rondelle, je ressens cette fois une petite douleur mais qui reste supportable. En frère attentionné, il me demande :
 ― Ça va, Cosette ? ― Oui, ça pince un peu mais c’est gérable. Et si tu veux mon avis, je vais déguster bien plus quand je vais me faire percer. 
χ χ

 Tandis que son membre s’enfonce de plus en plus profondément, il continue de se renseigner :
 ― Parce que tu as l’intention de le faire ?  ― Oui, je me suis décidée, mais pour les tatouages je réfléchis encore. Je suis étonnée que M’man ne vous en ait pas parlé, car elle avait l’air très contente quand je lui ai annoncé la nouvelle.  ― Peut-être qu’elle voulait justement, nous faire la surprise.  ― Désolée de te l’avoir gâchée, alors.  ― T’inquiètes, je m’en remettrai. 
 Pendant que nous discutions son bassin est venu se coller contre mes fesses, il arrête de bouger, et il me demande à nouveau :
 ― Ça va toujours ? ― Oui. Vu que ta queue n’est pas conique, c’est pas pire qu’avant. 
 Effectivement si la douleur est restée continue elle n’a pas gagné en intensité, et il me pose une autre question :
 ― Alors ça te dirait, qu’on se la joue un peu rough play ?
 Bien entendu j’ai appris l’anglais et je suis même assez bonne, c’est pourquoi je sais qu’un rough boy c’est une une brute, donc en toute logique un rough play ça doit être un jeu brutal. Je lui réponds, pour le taquiner :
 ― Et tu n’as pas peur, qu’après M’man t’en veuille ? ― Comme tu l’as fait remarquer je ne suis pas au boulot, et on est tous les deux majeurs. Par conséquent si tu es d’accord, je ne vois pas ce qu’elle pourrait trouver à y redire.  ― Sauf que pour moi c’est tout nouveau, alors je ne sais pas si je vais aimer ça.  ― T’inquiètes, pour initier une actrice à ce genre de pratiques, on y va progressivement. Et si elle n’arrive pas à gérer comme tu dis, on arrête aussitôt. Car l’important que ce soit entre pros ou dans une cadre privé, c’est que tout le monde passe un bon moment. 
χ χ

 Je réfléchis quelques instants, puis je donne mon feu vert :
 ― Ok, mais si je crie stop, on reprendra la méthode traditionnelle.  ― Ça va de soi, Petite Sœur Adorée. 
 Lucas revient lentement en arrière s’arrêtant avant que son gland ne ressorte de moi, pour donner ensuite un mouvement de reins bien plus brusque vers l’avant, qui me provoque un gémissement car la douleur que je ressens est devenue plus vive. Une fois que nous sommes à nouveau soudés l’un contre l’autre, il me demande :
 ― Tu en veux plus, Cosette ? ― Oui, je gère toujours. 
 Il fait ainsi plusieurs allers et retours bougeant aussi vite dans un sens que dans l’autre, ce qui me fait geindre à nouveau, puis étant donné que je ne demande pas grâce il accélère encore le mouvement. Je constate alors que si j’ai de plus en plus mal je commence également à ressentir du plaisir, et je trouve ce mélange très étonnant car je ne savais pas que c’était possible. Mes gémissements ont gagné en intensité mais se sont également rapprochés les uns des autres, si bien que je râle presque en continu, et que j’ai du mal à lui répondre lorsqu’il me questionne à nouveau, entre deux halètements étant donné que sous l’effort produit il s’est essoufflé :
 ― T’aimes ça, hein ma salope ? ― Oh oui… j’adore… me faire… défoncer par… ta grosse queue…
 Je ne peux pas vraiment parler de brutalité, même si c’est de cette manière que ce que nous sommes en train de faire est défini, vu que la douleur étant restée constante car mon corps s’habitue à ce qu’il subit bien que ce soit de plus en plus rude, mon plaisir a pour sa part gagné en puissance. Ce qui fait qu’ils sont maintenant à égalité, et les petits cris que je pousse deviennent de plus en plus sonores. 
 Cependant nous nous arrêtons immédiatement de faire l’amour, car à présent moi aussi je refuse d’appeler ça de la baise, lorsque la porte de la chambre qui est dans notre dos s’ouvre brusquement. 
χ χ

 Je n’ai pas besoin de tourner la tête pour savoir qui vient de nous interrompre, étant donné que j’entends la voix de notre mère demander, avec un mélange de crainte et de colère dans ses intonations :
  ― Mais il se passe quoi, ici ?!?
 Alors que Lucas doit être dans ses petits souliers, même si il porte des espadrilles, je réponds sur un ton haché car je n’ai pas été en reste, si bien que je suis moi aussi haletante :
 ― Il se passe... qu’il y a un frère et sa sœur... en train de se donner du plaisir. C’est bien ce que tu voulais… non ? ― Oui, mais pas de cette manière ! ― À présent... on est adultes tous les deux… et on n’est pas... sur un de tes tournages. Alors ce n’est pas à toi... de décider. 
 Puis j’ajoute à l’intention de mon frère qui est resté muet, mais toujours bien raide et planté en moi :
Estoy caliente como brasas...hermano... Alors tu recommences à me défoncer le cul... où je dois demander à Louis... de venir prendre ta place ?
 Cette petite pique agit sur lui comme un coup de fouet, et il me semble même au tressaillement de sa queue qu’il a sursauté à l’idée que je puisse l’échanger contre son cadet, qu’il prend de haut. C’est pourquoi sans plus se soucier de la présence de notre maman, il recommence ses assauts. Quant à moi, le fait d’avoir une spectatrice même désapprobatrice me stimule encore plus, d’autant que je n’ai pas menti quand j’ai dit à Lucas en espagnol que je suis chaude comme la braise, car je n’ai pas eu le temps de me refroidir.
 Celle qui nous a mis au monde mais également dans cette situation, si elle ne nous sermonne plus reste sur place sans doute pour s’assurer que tout va bien se passer. Car je l’entends aller refermer la porte plus doucement qu’elle l’a ouverte,et je la vois ensuite venir s’installer sur le sofa qui se trouve sur le côté du lit. Elle nous regarde faire l’amour d’un air songeur, mais alors que ses cuisses sont largement ouvertes et ses genoux plus haut que ce dernières en raison des talons aiguille qu’elle a aux pieds, il me semble que sa vulve est luisante. Ce qui voudrait dire si je ne me trompe pas, que ce à quoi elle assiste ne lui déplaît pas totalement. 
 Pour bien lui montrer que j’apprécie moi aussi ce qui m’arrive, mais également le fait de me donner en spectacle, je lâche de temps en temps des phrases du style : Oh oui, c’est trop bon, ou des exclamations plus sobres telles que : Encore, Continues, entre deux gémissements. Même si j’exagère elles sont tout de même l’expression de ce que je ressens, étant donné que nous ne tardons pas Lucas et moi à être emportés par l’orgasme, le mien tellement puissant que je sens à peine son sperme gicler en moi, et qu’il me laisse pantelante toujours à quatre pattes sur le lit. 
χ χ

 Lorsque mon frère s’est retiré de moi il sort sans tarder de la pièce, et je suis prête à parier même si je n’ai pas fait attention qu’il a obéi à sa maman et patronne, qui a dû le congédier d’un geste voire d’un simple regard. Une fois qu’il est parti cette dernière se remet debout, elle vient vers moi et elle me dit tout en palpant ma rondelle qui est restée ouverte, mais aussi légèrement douloureuse à présent que je plaisir s’en est allé :
 ―Heureusement qu’il ne t’as pas déchirée, parce que sinon… ― Sinon quoi, j’aurais été défigurée ?
 Ma comparaison imagée l’amuse, pourtant elle répond très sérieusement :
 ― Figure-toi que le mot n’est pas si mal employé que ça, car si tu changes d’avis et que tu deviens actrice, l’esthétique de ton œillet sera important pour ton image. En attendant je vais te mettre de la pommade, car tu dois souffrir, et ce sera terminé pour aujourd’hui.
 Je réplique aussitôt :
 ― Non, car il reste Louis, qui doit attendre aussi impatiemment que mes autres frères l’ont fait avant lui, de pouvoir enculer sa petite sœur. ― Eh bien il se rattrapera la prochaine fois, car après t’être faite défoncer comme tu le dis si bien, tu n’es plus en état. ― Ça ne va pas se passer comme ça. C’est déjà bien assez que Lucas le traite comme un enfant et que tu le laisses faire sans le recadrer, alors je ne veux pas qu’en plus il se sente mis de côté. De toute façon ce n’est pas à toi de décider, car je te rappelle que je suis à présent adulte et pas ton employée.  ― Mais… ― Il n’y a pas de mais qui tienne, M’man. Tu ne peux pas contrôler ma vie, et encore moins ma sexualité. ― Bon… dans ce cas… je vais quand même te badigeonner le trou du cul, quand tu te seras vidée. 
 Conciliante je décide de la laisser me materner un peu, je vais cette fois directement sur le bidet, et après qu’elle m’a pommadée avec délicatesse, alors que je me suis penchée en avant en posant mes coudes sur le lavabo, elle repart. 
χ χ

 Louis ne tarde pas à arriver dans la chambre, lui aussi le sexe dressé, et il commence par me dire :
 ― M’man m’a prévenu qu’il faut que je sois très doux avec toi, ce qui n’a pas été le cas de tout le monde, vu que je hardeur t’a faite couiner comme un goret à l’abattoir. 
 Il y a une légère rancœur dans le ton de sa voix, comme s’il avait l’impression qu’on le tient pour responsable de ce qu’un autre à fait, et je lui demande dans le but de me renseigner :
 ― C’est quoi au juste, le problème entre Lucas et toi. ― Il me traite comme un gamin, parce qu’il a deux ans de plus que moi. Mais si tu veux mon avis, il est jaloux car je suis le seul qui a une queue aussi grosse que celle de P’pa. 
 Je me rends alors compte que si je veux un avis objectif, il faudra que je me fie à la version de l’histoire de Léo qui est en dehors de cette querelle, et sera par conséquent le plus objectif. Mais pour cela il me faudra attendre un peu, et j’annonce à celui de mes frères qui est présent :
 ― Déjà, il faut que tu saches que Lucas ne m’a fait que ce que je lui ai demandé, et pas plus. Ensuite, comme je viens de me faire enculer trois fois de suite à quatre pattes, avec toi ça va se passer autrement.  ― Genre ? ― Eh bien tu vas t’allonger sur le lit, et c’est moi qui vais te baiser en te grimpant dessus. Car comme effectivement tu as une queue plus longue que celles des autres, perdre quelques centimètres ne devrait pas nous poser de problème. 
 Je le sens en même temps content d’est traité d’une manière différente que ceux qui l’ont précédé, et déçu car il va devoir se contenter d’un rôle passif. Cependant il n’émet aucune objection, et il fait comme je lui ai demandé en calant sa tête avec les oreillers afin d’être confortablement installé. Et je souris, en voyant que quand il a terminé il glisse ses mains sous sa nuque, comme s’il était décidé à se laisser dorloter. 
χ χ

 Lorsqu’il est en place je grimpe moi aussi sur le plume pour finir à genoux au dessus de lui tout en lui faisant face, et il m’aide en guidant son sexe jusqu’à mon anus. Quand son gland est posé contre je m’abaisse et il pénètre sans difficulté, ma rondelle ayant gardé une certaine élasticité et étant même restée légèrement ouverte, mais vient le tour de sa hampe de s’enfoncer elle aussi et je ressens une souffrance assez conséquente. 
 Car à celle qui était déjà présente mais à laquelle je m’étais habituée, s’ajoute une autre due au fait que ma bague est écartelée comme elle ne l’a jamais été auparavant. Si bien que je me demande si elle n’a pas atteint son point de rupture, et que comme notre M’man me l’a dit elle ne risque pas d’être déchirée pour de bon. 
 Louis qui s’en est rendu compte car je n’ai pas pu retenir une grimace de douleur, me demande :
 ― Tu préférerais pas qu’on mette de la lube, Cosette ?
 Je lui réponds bravement :
 ― T’inquiète, je gère. Et si comme Lucas c’est ce qui t’inquiète, M’man aussi je vais la gérer. 
 Il réplique, après avoir esquissé un sourire :
 ― Qu’il a la trouille d’elle, je n’en doute pas un seul instant. Pas plus du fait que tu vas réussir à la gérer, car tu as un caractère aussi fort que le sien. ― En même temps, avec trois frères tous plus vieux que moi, il a bien fallu que je me le forge, le caractère.
 Suite à cette affirmation il sourit plus franchement, pendant que nous parlions son sexe s’est enfoncé d’une dizaine de centimètres de plus, et constatant que cela ne me fait pas souffrir d’avantage, j’en conclue que je ne me suis pas vantée et que je vais réussir à supporter l’épreuve. Tandis que je descends encore j’ajuste ma position, et une fois que je suis complètement empalée puisque mes fesses sont venues au contact de son bassin, je le prends à témoin :
 ― Tu vois, ce n’était pas si difficile que ça.  ― M’man dit que tu vas devenir une grande baiseuse, et je la crois sur parole. Car tu es en même temps motivée et enthousiaste. 
χ χ

 Je rougis suite à ce qui ne peut être qu’un compliment, et tandis que je me soulève lentement en forçant sur mes cuisses, ce qui me fait geindre, puis que je commence à redescendre avant que son gland ne ressorte, je lui demande :
 ― Tu n’as pas envie, de peloter mes nichons ? ― Bien sûr que si, mais je ne savais pas comment tu allais réagir. 
 Ressortant ses mains de sous sa nuque mon frère les pose sur mes seins, qu’il caresse doucement, avant de me dire :
 ― Ils sont superbes, comme ceux de M’man sur les photos et les vidéos.  ― Ils sont encore très bien, les siens, et j’espère que j’aurai les mêmes à son âge.  ― C’est certain, vu que vous êtes faites pareil.
 Bien entendu pendant ce temps je lui fais l’amour et alors que ma rondelle s’adapte à son calibre le plaisir arrive, ce qui a pour conséquence que mes gémissements ne sont plus provoqués que par la douleur, et je me tais dans le but de me concentrer sur ce que je ressens. 
 Louis n’a pas l’air si malheureux que ça de devoir se contenter de me tripoter, et lorsqu’il s’enhardit à pincer légèrement mes tétons je l’encourage d’un sourire, pour que non seulement il continue mais les presse un peu plus. Ce qu’il ne manque pas de faire et des petits couinements s’ajoutent à mes geignements, tandis que l’accélère progressivement la cadence. 
 Puis je décide de changer légèrement de position et je me penche en avant, ce qui oblige Louis à retirer ses mains de mes seins et il se console en allant les poser sur mes fesses, qu’il se met à caresser et à pétrir en même temps. Cependant il ne perd pas au change puisque mes tétons durcis dans mes mouvements viennent caresser son torse, et je prends également le temps de faire de petites pauses, pendant lesquelles je me contente de me trémousser, afin de pouvoir l’embrasser amoureusement en faisant tourner ma langue autour de la sienne. Ce que bien entendu je n’ai fait avec aucun de ceux qui l’ont précédé, pour la principale raison que je leur tournais le dos.  
 Alors que j’avais peur suite à l’affirmation de notre aîné que mon plus jeune frère ne tienne pas la distance, ce qui n’aurait pas été en ce qui me concerne un drame mais aurait pu le blesser dans sa fierté, nous jouissons en même temps et je m’affale ensuite sur lui, avant de murmurer à son oreille :
 ― Hum, c’était encore meilleur qu’avec les autres.  ― Tu dis ça pour me flatter ? ― Non, car je ne vois pas en quoi ça pourrait te faire du bien, de te donner une fausse idée de toi-même. 
 Je lui ai dit la vérité, et il semble tout simplement heureux tandis qu’il caresse mon dos et mes fesses, avec bien plus de douceur qu’avant. 
χ χ χ

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