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Lady Klit.

Chapitre 13

Union charnelle et fraternelle.

Inceste
Lorsque nous avons fini de boire l’apéritif Léo, Emma et moi nous mangeons, tout simplement dans leur cuisine qui a un coin repas, car étant donné que nous sommes encore début Avril il est encore trop tôt dans la saison pour le faire dehors le soir, bien que leur maison soit pourvue d’une belle terrasse ainsi que d’une piscine. 
 Comme il se doit pour une invitée je complimente mon frère au sujet de ses talents culinaires, ce qui ne me demande aucun effort au niveau de la politesse vu que je me régale. Je dois être en même temps convaincante et avoir l’air sincère, car je suis amusée de le voir ému suite à mes compliments. Tout en nous remplissant l’estomac nous discutons de choses et d’autres, nous arrosant également le gosier pour qu’il ne s’assèche pas, si bien que l’ambiance est de plus en plus conviviale.  C’est au moment du dessert qui est un tiramisu toujours préparé par notre maître-queux, que son amoureuse fait prendre à notre discussion une tournure nettement plus orientée, puisqu’elle me demande sans détour :
 ― Léo m’a dit que samedi dernier tu as pris sa bite en entier dans ta bouche, mais si j’ai bien compris juste pour savoir si tu en étais capable ?
 Je rougis légèrement, avant de répondre :
 ― Oui. Le matin M’man m’avait enfoncé un gode dans la gorge, pour que je sache ce que c’est avant de me retrouver face à un homme. Alors j’ai voulu essayer avec un gros sexe, pour voir la différence. Car je l’avais fait avant avec celui de Papy, mais au niveau des dimensions ce n’est quand même pas pareil.  ― C’est une chose qui m’est impossible même avec un qui est de taille modeste, et ce n’est pourtant pas faute d’y avoir mis de la bonne volonté. Alors comme j’ai envie que le mien d’homme soit comblé, même si ce n’est pas toujours par moi, j’aimerais si tu es d’accord que ce soir tu le suces pour de bon. 
 Je m’empourpre en peu plus, ce qui ne m’empêche pas de me renseigner :
 ― Et tu voudrais, que je le fasse devant toi ? ― Oui, enfin, si ça ne te pose pas de problème. Parce que sinon, vous aurez toujours la possibilité de vous isoler. 
χ χ

 La confusion que j’éprouve est avant tout causée par la nouveauté de la situation, étant donné qu’en matière d’inceste ou tout simplement de partage nous n’en sommes plus à ça près. Et je suis en même temps amusée et rassérénée de constater que mon frère partage mon trouble de manière visible, vu que son visage ne doit rien avoir à envier au mien au niveau de la teinte. Alors que sa copine qui est en même temps ma belle-sœur semble elle par contre tout à fait à son aise, comme si elle m’avait demandé de finir un plat à sa place, parce qu’il y a dedans quelque chose qui ne lui convient pas. 
 Emma ne semble même pas se rendre compte de notre émoi, c’est pourquoi je joue la carte de l’humour pour nous décontracter Léo et moi :
 ― T’inquiètes de rien, Frangin. C’est normal que tu sois gêné au début, mais tu vas assez vite t’y habituer. 

 Nous éclatons immédiatement de rire ce qui nous détend en tout cas en partie, puisque quand il se lève pour débarrasser les reliefs de notre repas, je constate amusée que le membre de mon frère s’est dressé. Il ne nous faut pas bien longtemps à trois pour tout ranger, après que m’a belle-sœur a mis le gland de son homme à l’air dans un geste que j’ai trouvé étrangement naturel. Et je profite de l’occasion tandis que nous nous activons, pour me renseigner auprès de lui :
 ― Tu es le seul de mes frères qui n’est pas circoncis, et comme nous ne sommes pas juifs, j’en déduis que Lucas et Louis se sont faits opérer par rapport à leur métier d’acteur ? Même si en ce qui concerne le second, ce n’est encore qu’une ambition. 
χ χ

 C’est Emma qui me répond, alors que j’ai posé la question à son homme :
 ― Quand on est allés visiter la société dans laquelle se trouvent plusieurs studios de tournage, déjà contrairement à ce qu’on nous avait affirmé, les gens ne se mettent pas systématiquement à poil en arrivant. Seuls ceux qui vont devant les caméras, le font. Ce qui en même temps est logique. 
 Il prend la parole, pour préciser :
 ― Ce qui ne prouve rien, car moi je pense qu’ils avaient reçu des consignes de la part de leur patronne, de manière à ce qu’on ne se sente ni effarouchés, ni obligés de nous déshabiller nous aussi. 
 Elle l’a écouté poliment avec un petit sourire aux lèvres, comme si elle faisait preuve d’indulgence envers un enfant qui raconte n’importe quoi, puis elle reprend :
 ― Toujours est-il qu’on a vu deux acteurs, bien évidemment nus, et comme c’est la fille avec qui ils étaient et qu’ils ont ensuite prise en double devant nous, qui les a mis en érection face aux objectifs des caméras, car il y en avait plusieurs dans le but de changer les angles de vues, on a pu constater que seul un des deux types était coupé. Donc ce n’est pas une obligation pour eux, mais probablement une mesure d’hygiène ou plus simplement une question d’esthétique.  ― Si tu trouves ça plus beau, pourquoi tu n’as pas demandé au tien d’en faire autant. Car même si les hommes sont plus douillets que les femmes, j’imagine que contrairement aux piercings, ils doivent avoir droit à une anesthésie locale. ― J’ai parlé d’esthétique, mais ça ne veut pas dire pour autant que je préférerais que le mien, de mec, se balade avec le champignon à l’air en permanence. En plus moi j’aime bien le décalotter, surtout devant une autre meuf. Tu vas peut-être me trouver ridicule, mais même si je suis partageuse ça me donne un sentiment de possessivité, car ça montre qu’il s’agit de mon nonosse à moi et à personne d’autre. 
χ χ

 Cette remarque me fait sourire, et je suis encore plus amusée quand je constate que Léo éprouve à nouveau un léger embarras, probablement dû au fait que je suis sa petite-sœur, étant donné que depuis deux ans il a sans aucun doute vécu assez de choses pour ne plus ressentir aucune gêne par rapport à l’acte sexuel, et à plus forte raison au fait de simplement en parler. D’autant plus qu’il m’a sodomisée, il y a moins d’une semaine. Cependant il ne me viendrait pas à l’idée de le taquiner au sujet de ce regain de pudeur, que je trouve touchant, et afin de faire avancer la situation je demande :
 ― Bon, on se la joue comment ?  ― Eh bien, loin de moi l’idée de me glisser dans la peau d’une metteuse en scène, mais ça serait top si tu te postais accroupie devant lui alors qu’il est resté debout. Sauf que ça ne va pas se passer ici, mais dans le salon. 
 Le fait qu’elle affirme ne pas vouloir nous diriger alors qu’elle a une idée bien précise au sujet de la manière dont les choses doivent se passer, me fait sourire à nouveau. Pourtant cette fois encore je ne fais pas de remarque, et puisque nous avons fini de ranger nous nous déplaçons. 
 La pièce dans laquelle nous nous rendons est entièrement dédiée à la détente, avec une télévision de belles dimensions fixée au mur, un canapé flanqué de deux fauteuils coordonnés lui faisant face, avec un table basse au milieu pourvue de petites portes, derrière lesquelles je devine qu’il doit y avoir des bouteilles ainsi que des verres. S’y trouve également une bibliothèque prenant tout un pan de mur, sur laquelle sont disposés des livres grand format ainsi que des romans de tailles diverses, certains en excellent état et d’autres semblant avoir été transmis de génération en génération. 
 Ce qui démontre qu’il ne s’agit pas comme souvent d’un tape à l’œil destiné à épater les invités, mais d’un véritable espace culturel. D’autant plus que le fait qu’ils soient rangés non pas par rapport à leurs dimensions dans un but esthétique, mais très probablement en fonction de l’ordre alphabétique, donne un air hétéroclite que je trouve sympathique. 
 Et sur la cloison d’en face, il y a comme toujours dans ce genre d’endroits une chaîne stéréo avec sur des étagères toute une collection de vinyles et de cd, dont certains là encore doivent être usés à force d’avoir été écoutés, et d’autres qui ont l’air tout droit sortis de leurs emballages d’origine. L’ensemble donne une impression de fouillis, alors que je suis prête à parier que tout est classé par interprète, et peut être également par genre musical. 
χ χ

 Il s’agit donc d’un endroit dans lequel on vit, probablement celui qui est le plus convivial dans ce foyer mis à part la cuisine, étant donné que même la chambre que j’ai visitée tout à l’heure bien qu’il doive s’en passer de belles, m’est apparue comme étant parfaitement ordonnée. Tout comme d’ailleurs les deux salles de bain, que j’ai trouvées d’une propreté impeccable.
 Mais dans l’instant présent, je m’approche avec un petit sourire aux lèvres de Léo qui me dépasse encore d’une quinzaine de centimètres, bien que je sois perchée sur des talons aiguille qui en mesurent six, alors qu’il est resté les bras ballants au milieu de la pièce comme indécis. Ou je devrais plutôt dire passif étant donné qu’il sait parfaitement ce qui va arriver, ce qu’il n’a eu aucun mal à accepter.
 Je commence par caresser ses épaules sur lesquelles je pose ensuite des petits baisers, tandis qu’Emma met un disque sur la platine et que Bob Marley ne tarde pas à entonner Is This Love. Ensuite je descends embrassant au passage les tétons de mon frère qui se sont dardés, ce que je trouve très sexy chez un homme, et je l’attrape par la taille afin de garder mon équilibre pendant que j’abaisse l’ensemble de mon corps, en pliant les jambes et en écartant les cuisses, afin de me retrouver accroupie comme cela m’a été suggéré. 
 Durant toute l’opération mon frère n’a pas bougé, mais malgré son calme apparent j’ai eu la satisfaction de le sentir vibrer sous mes doigts, de plus il est tendu comme une arbalète et pas d’appréhension mais de désir, ce que ne dément pas son membre toujours raide dont le gland me fait à présent loucher, puisqu’il s’est retrouvé à moins de dix centimètres de mes yeux. 
 Ce dernier à droit lui aussi à un bisou de ma part, puis ma bouche devient plus gourmande vu qu’après avoir trouvé mon équilibre ce qui m’a permis de prendre son sexe à pleine main, je commence à le lécher comme je le ferais avec une boule de glace. 
χ χ

 Tandis que ce bon vieux Bob a commencé à chanter Try me, ce qui est de circonstances, j’apprécie en même temps que la texture de cette chair spongieuse sa saveur que j’arrive à présent à définir comme étant typiquement masculine, même si je ne possède pas le vocabulaire nécessaire pour la décrire. 
 Bien entendu je n’oublie pas de passer ma langue sur la petite fente qui se trouve au sommet, j’y plante même la pointe de mon appendice buccal comme si je voulais l’enfoncer en elle en forçant le passage, ce qui provoque au bénéficiaire de mes attentions un petit hoquet. Cela ne m’inquiète qu’un bref instant vu que s’il se décide à bouger ce n’est pas pour me repousser, mais au contraire afin de caresser avec douceur mes cheveux défaits. 
 J’en déduis que comme me l’a affirmé notre maman il a apprécié ce contact, et pour aller vérifier autre chose je passe ensuite le bout de mon organe sur le frein de son prépuce, ce qui doit l’agacer mais d’une manière délicieuse, puisque j’ai droit à présent à un petit gémissement de sa part. 
 C’est alors, qu’un commentaire se fait entendre :
 ― C’est tellement tendre, que j’en serais presque jalouse.
 Je tourne la tête afin de regarder Emma qui a parlé doucement et avec une pointe d’amusement dans la voix, pour constater que si elle est restée debout à côté de la chaîne stéréo, elle est en train de se caresser la vulve tout en nous observant. Je lui fais remarquer :
 ― À ce stade-là c’est encore à ta portée, alors si tu veux te joindre à nous… ― C’est très gentil de ta part de me proposer de partager mon mec avec toi, mais je préfère vous mater. 
 Cette fois il y avait une pointe ironie dans le ton employé, tellement légitime qu’elle me fait rougir légèrement, mais je ne me démonte pas pour autant vu que c’est elle qui a voulu que les choses se passent ainsi, et je lui suggère une autre alternative :
 ― Alors on pourrait se mettre devant la télé, ce qui te permettrait de te poser sur le canapé où tu serais installée confortablement.  ― Ça par contre c’est une excellente idée, ma Petite Belle-sœur Favorite. 
χ χ

 Cette réponse me fait sourire à plus d’un titre, car non seulement bien qu’elle soit plus âgée que moi Emma mesure dix centimètres de moins, mais en plus comme je suis la seule fille de ma fratrie et que son unique frère doit avoir dans les 16 ans, je n’ai aucune concurrence à craindre dans l’immédiat pour ce qui est d’être sa préférée. Cependant je ne relève pas, en tout cas pas avec ma bouche étant donné que Léo m’aide galamment à me remettre debout, et nous allons nous placer là où je l’ai proposé. 
 En ce qui nous concerne ça ne change pas grand-chose mais la maîtresse de maison y gagne considérablement, puisqu’une fois assise elle écarte largement les cuisses si bien que ses grandes lèvres étant déjà humides de rosée, leurs petites sœurs restent collées à elles pour s’ouvrir et former un charmant tableau. 
 Car si avant elles me faisaient penser à une petite crête genre gallinacé, cela reste dans le domaine animal vu qu’après leur métamorphose j’ai l’impression de voir un papillon. Pas un de ceux aux ailes déployées qui enchantent parfois nos journées, mais un plus discret aux teintes bien moins vives qui ne sortirait que la nuit. Avec la fente sombre de l’entrée de son vagin représentant son corps, ses nymphes bien entendu ses ailes, et le capuchon de son clitoris sa tête. Les petites boules de métal collées de chaque côté, allant jusqu’à former des yeux brillants.
 Mon frère devant qui je me suis remise accroupie et que pourtant je néglige dans le but de me gaver de ce spectacle, me caresse la joue avec tendresse avant de me dire :
 ― Moi non plus je ne me lasse pas de la mater, au point que je n’ai pas pu m’empêcher de la prendre en photo.
 Je suis surprise de l’entendre dire ça car si je sais à présent qu’il a la possibilité de faire des photos de nus, les membres de notre famille pouvant lui servir de modèles, il nous a toujours affirmé que le faire avec des gens ne l’intéressait pas, et qu’il préférait de loin les paysages ainsi que les animaux sauvages, qu’il croise au cours de ses randonnées pédestres dont il est également friand. Il doit en ce moment penser à la même chose que moi, et c’est pourquoi quand je lève la tête pour le regarder il rougit légèrement, avant de ce justifier :
 ― Eh oui Cosette, il y a toujours une exception qui vient confirmer une règle.
χ χ

 Emma qui en a profité pour commencer à se caresser, choisit cet instant pour nous rappeler à l’ordre : 
 ― Eh les Pasteur, vous êtes sensés m’offrir un show, pas de discuter des marmottes qui mettent le papier alu autour du chocolat.
 Son intervention me fait sourire, estimant qu’elle a raison je ne relève pas, et je recommence à sucer son homme là où je m’étais arrêtée c’est à dire en m’occupant de son gland, alors que Monsieur Marley est en train de chanter Touch Me. Le membre que j’ai tenu fermement dans ma menotte pendant cette interruption est resté bien raide, si bien que je le sens palpiter d’impatience sous la pression de mes doigts, et ma langue après être passée tout autour de son champignon rose foncé, descend le long de sa tige dans le but de la palper sous toutes les coutures. 
 Lorsque ma bouche plonge jusqu’à ses bourses dans le but de gober un de ses testicules, si l’exercice est plus difficile qu’avec notre papy étant donné que la peau de mon frère est beaucoup plus tendue, et que la boule ovalisée avec laquelle je fais connaissance est plus grosse, cela n’a rien d’insurmontable car il me suffit d’écarter les mâchoires en conséquence. 
 J’ai fait bien attention avec mes dents, c’est pourquoi lorsque Léo pousse un petit gémissement je ne me pose pas la question de savoir ce qui l’a provoqué, et je caresse son olive quelques instants avec ma langue dans le but de la cajoler, avant de la recracher et de passer à sa jumelle afin qu’elle ne soit pas jalouse. Je réalise que j’adore faire ça, et le plaisir est de toute évidence partagé puisque celui à qui appartiennent ces fruits bien fermes, qu’il ne me viendrait pourtant pas à l’idée de croquer, geint doucement sous mes caresses buccales. 
 Ensuite je remonte pour téter son gland de la même manière pendant quelques instants, appréciant au passage le changement de texture vu que ce dernier se compresse sous ma langue un peu comme une éponge, puis je décide qu’après cette mise en bouche je vais passer au plat de résistance. 
χ χ

 Emma qui pourtant semblait avoir très envie d’assister à une gorge profonde faite par une pucelle, autant pour son propre plaisir que celui de son homme, n’a plus manifesté son impatience à partir du moment-où elle avait quelque chose à se mettre sous les yeux. Elle s’est en effet déchaussée pour finir en tailleur sur son canapé, sans se soucier du tissu qui le recouvre ayant pourtant l’air en même temps propre et en bon état, afin de continuer de se caresser. 
 Elle a commencé par frotter doucement sa vulve avec ses doigts, puis ces derniers une fois trempés de sa mouille sont devenus plus entreprenants, au point qu’elle n’a pas hésité à se les enfoncer dans le vagin, et ainsi se masturber sans aucune retenue comme si elle était seule en train de mater une vidéo. 
 Le plaisir qu’elle ressent est parfaitement visible, étant donné que ses tétons se sont dardés pour former deux petites pointes de chair brune. Son clitoris rose vif qui se détache parfaitement sur le reste de sa peau naturellement bronzée à cet endroit de son corps, bien que lui aussi riquiqui en comparaison du mien et qu’il ne soit pas directement sollicité, est sorti de sa petite grotte protectrice pour pointer le bout de son nez. Et si ce n’était pas suffisant, les manifestations sonores de ma belle-sœur bien qu’elles restent discrètes puisqu’elle se contente de geindre doucement, témoignent elles aussi que son état d’excitation est déjà avancé.
 Elle nous fixe comme si elle était stone, car même si je n’ai jamais vu de drogue de ma vie j’ai tout de même pu en constater ses effets à la télévision, que ce soit presque systématiquement simulé par des comédiens ne changeant pas grand-chose. Cependant je suis convaincue que son regard vague, ne l’empêche pas d’apprécier pleinement ce à quoi elle assiste.
χ χ

 Je n’ai pas fait ce constat au sujet de ma petite belle-sœur instantanément, mais en l’observant du coin de l’œil de temps en temps tandis que je m’occupais du sexe raide de mon frère, et après avoir pris toute la mesure du gland de ce dernier avec ma langue, je décide d’enfourner sa baguette en entier. Je n’ai aucune appréhension à ce sujet car je l’ai déjà fait une fois, et je suis même fière de constater que quand le bout de sa queue pénètre dans mon gosier, je n’éprouve qu’une nausée fugace et je salive à peine. 
 Forte de ce que je considère comme étant une victoire et alors que Bob entame Could You Be Loved, je pose mes mains sur les fesses nues de Léo tandis que les siennes restent sur le sommet de mon crâne, puis je me sers de la force de mes bras pour prendre de l’élan et l’avaler d’un coup. Je sens la tige glisser en moi tout en s’incurvant, et je ne m’arrête que quand mon nez vient s’enfoncer dans les poils de son pubis. 
 C’est alors que je me rends compte que j’ai oublié une chose pas vraiment vitale, mais qui d’après ma M’man a tout de même son importance, c’est pourquoi alors qu’il est toujours planté en moi je lève les yeux pour le regarder. Sur son beau visage qui naturellement exprime autant de virilité que de douceur, ce qui je pense est le mélange idéal chez un homme, s’est ajouté de par ses émotions de l’étonnement avec une pointe de fierté, car il est surpris que je sois arrivée si facilement à l’avaler malgré mon manque d’expérience. 
 Pour lui montrer que tout va pour le mieux je lui fais un clin d’œil, en réponse il m’ébouriffe les cheveux comme quand nous étions enfants et que je le taquinais, puis je déplace mes mains afin de les poser cette fois sur sa taille, et ainsi ressortir son membre comme il est entré tout en ayant un appui. 
χ χ

 Lorsque son gland se retrouve dans ma bouche je prends le temps de respirer calmement, puis grâce à l’assurance gagnée je vais plus rapidement, si bien que je fais deux allers et retour avant de reprendre mon souffle. La fois d’après j’effectue trois vas et viens dans la même foulée, accélérant encore la cadence de manière à respirer régulièrement, ensuite je continue augmentant progressivement le rythme, et par conséquent le nombre de pénétrations. 
 Bien entendu ces passages répétés m’ont faite saliver et deux filets de bave ont commencé à couler du coin de mes lèvres, mes yeux ont fini par s’embuer comme s’il voulaient eux aussi évacuer un trop plein de liquide, pourtant je n’ai pas besoin de forcer, car cette dague de chair coulisse en moi comme si elle avait trouvé un fourreau parfaitement adapté à ses dimensions. J’éprouve une grande fierté d’arriver à faire l’amour à mon frère avec ma bouche, d’autant plus que les petits geignements qu’il s’est mis à pousser font échos à ceux de sa compagne, qui se masturbe toujours en nous regardant.
 Cependant, malgré l’euphorie qui m’a prise je suis rappelée à l’ordre par les muscles de ma mâchoire qui commencent à tirer, et je me dis qu’il est temps que j’accélère le processus autrement qu’avec ma tête. J’hésite un bref instant à enfoncer mon index dans son anus, ce qui serait un bon moyen de tester la théorie de notre M’man à ce sujet, mais me disant qu’il s’agirait d’une manière un peu abrupte d’abréger notre union charnelle, j’opte pour la méthode plus traditionnelle qui m’a également été enseignée. C’est la raison pour laquelle tout en diminuant ma vitesse, je déglutis à chaque passage. 
 Je résultat ne se fait pas attendre et il m’est signalé au départ par un changement d’intonations dans les manifestations de plaisir de Léo, et je m’immobilise carrément son gland dans ma bouche, quand il s’exclame d’une voix plaintive comme s’il souffrait :
 ― Putain, je vais jouir !!
 Ce cri du cœur est partagé car c’est à ce moment qu’Emma comme s’il lui avait donné un signal, pousse un gémissement mélodieux pour nous indiquer qu’elle vient d’avoir un orgasme. Quant à moi j’accueille avec plaisir le sperme de mon frère sur ma langue, surtout en constatant que sa saveur est en même temps identique et différente de celle de notre papy, mais toujours avec la même consistance gluante qui ne me plaît qu’à moitié. Autre inconvénient mineur sa semence est plus abondante si bien que j’ai du mal à toute l’avaler, néanmoins j’y arrive ce qui est pour moi une nouvelle source de satisfaction, et une fois qu’il s’est vidé dans ma bouche je lèche le bout de sa queue pour y récolter la moindre trace de liquide, avant de le recracher complètement. 
 Pendant ce temps, Bob Marley s’est mis à chanter : Three Little Birds
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