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Lady Klit.

Chapitre 16

Leçons de conduite, première partie.

Inceste
Une fois à la maison et tandis que maman prépare le repas de midi, je me renseigne auprès d’elle :
― Est-ce que je vais quand-même voir Lucas et Manon pendant ces deux jours, et bien entendu aussi Louis ?
 Elle me demande, amusée :
 ― Est-ce que leur grosses queues te manquent, ma Petite Cochonne ? ― Tu sais M’man, pour ceux qui ne vivent pas de ça le sexe n’est pas le centre de leur univers. Je suis seulement en train de te parler, de mes frères.  ― Excuse-moi. Je voulais juste te taquiner un peu, car tu ne te gênes pas à l’occasion. Et pour répondre à ta question, ils vont tous venir ce soir et nous mangerons des lasagne, car c’est trop tôt dans la saison pour faire un barbecue. Ce midi ce n’était tout simplement pas possible, car en plus de la grande scène la Maman Baiseuse en tourne une qui est additionnelle, dans laquelle elle cuisine.  ― Pour de bon, elle cuisine nue devant les caméras, et après ils mangent ce qu’elle a préparé ? ― C’est exactement ça. Enfin pour ce qui est de le manger ensuite, c’est eux que ça regarde. Mais toujours est-il que comme tu l’as fait remarquer, pour nous c’est un business. Alors profiter qu’on déplace le matériel pour faire une ou deux petites scènes, ça réduit les coûts et par conséquent augmente les bénéfices.  ― Les bénéfices de la productrice, tu veux dire ?
 J’ai alors droit à un petit sourire amusé, ce qui ne l’empêche pas de me répondre très sérieusement :
 ― Pas seulement, car tous mes employés s’ils ont au départ une rémunération fixe qui leur assure un salaire, ont également droit à un pourcentage si le film est un succès. Bien entendu, ma part de la galette est beaucoup plus grosse que la leur. Ce qui est normal parce que non seulement j’avance les fonds, mais en plus si on se plante, c’est moi qui éponge le déficit.  ― Et ça vous arrive souvent, de vous planter ? ― C’est très rare, et la plupart du temps nous ne faisons qu’un petit bonus. Mais nous nous en sortons bien, car non seulement nous privilégions la qualité, mais en plus ce système d’intéressement instauré par ton père, fait que non seulement les acteurs donnent le meilleur d’eux-mêmes, et qu’en plus ils nous sont fidèles. Si bien que quand on en dégote un bon, on arrive à le garder.
χ χ

 Pendant qu’ensuite nous mangeons, je me renseigne sur un autre sujet qui est également important à mes yeux :
 ― Et sinon, ça a collé avec Laurent ? Vous allez vous revoir ? ― Hé hé, on dirait que ce gros nounours t’a plu, ma Petite Caille. 
 ― Oui, je l’ai trouvé très sympa, mais aussi beau ce qui ne gâche rien. Et ne vas surtout pas t’imaginer, que j’ai envie de coucher avec lui. Car si ce n’est pas non plus un interdit vu que c’est dans nos normes familiales, ce qui m’intéresse surtout c’est que tu sois heureuse, et avec une épaule solide sur laquelle te reposer en cas de coup dur. Car mes frères mis à part Léo, même s’ils sont des hommes au lit en dehors manquent un peu de maturité. 
 J’ai droit à sourire chargé de tendresse de sa part et il me semble même voir ses yeux briller d’émotions contenues, pourtant son ton est léger quand elle me dit :
 ― Oui, nous allons nous revoir et je l’avais même invité ce soir, mais il a autre chose de prévu avec ses enfants. Il a eu le temps de te parler d’eux ? ― Oui. Il m’a d’abord parlé de son fils par rapport aux céréales, et de sa fille dans la foulée. Elle travaille aussi pour toi ? ― Effectivement. Ce qui ne leur pose aucun problème, même s’ils ne peuvent pas tourner ensemble. Car il faut que tu saches, qu’ils ont un peu la même philosophie de la vie que nous.  ― Tu veux dire, qu’ils font aussi l’amour entre eux ?! ― Exactement. Sauf que ça n’est pas venu de lui, en tout cas pas directement. Un jour il a trouvé le frère et la sœur dans le même lit, ce qui lui a fichu un coup mais comme il pensait être mal placé pour leur faire la morale, il les a laissés faire la bête à deux dos ensemble. Ensuite il s’est dit que ça n’avait été qu’une passade, car ils se sont trouvés respectivement une copine et un copain du sexe opposé. Sauf que Léa suite à un chagrin d’amour, est venue se glisser dans celui de son père de lit, dans le but de se faire consoler. Mais ça a dérapé, là encore il a laissé faire et a même été épaté par les aptitudes de sa fille. Ce qui tu en conviendras, n’est pas banal pour un type qui tourne dans des films de boules. 
 Elle me laisse digérer ces informations, puis elle continue :
 ― Mais ensuite il s’est trouvé mal alors il est venu m’en parler, en tant qu’ami, et je lui expliqué que je couchais régulièrement avec mon père. Après cet aveu de ma part c’est mieux allé pour lui, car savoir qu’il n’était pas le seul à faire l’amour avec un de ses enfants, l’a aidé à accepter la chose. 
χ χ

 Je demande, curieuse d’en apprendre plus :
 ― Donc, après ça ils ont continué ? ― Bien entendu. Mais de manière occasionnelle si j’ai bien compris, car il ne me raconte pas non plus toute sa vie. Ce que je sais par contre, c’est qu’ensuite elle lui a annoncé qu’elle voulait devenir actrice comme lui, et il l’a en quelque sorte formée. Car si elle était déjà très douée, il lui restait encore quelques petites ficelles du métier à apprendre. 
 Après une courte pause, elle ajoute :
 ― C’est d’ailleurs ce qui m’a donné l’idée de donner le même genre d’éducation à tes frères, quand ils sont chacun leur tour devenus majeurs. Car s’il t’a dit son âge, tu dois savoir que Léa a un an de plus que Lucas. Et ensuite, ça m’a semblé logique de continuer avec toi. Car si l’inceste n’était plus pour moi un tabou depuis longtemps, je n’avais pas au départ envisagé d’aller si loin dans le partage. Et je précise que je l’ai fait sans arrière pensée professionnelle, car ce ne sont pas les aspirants qui manquent. 
 Je suis un peu bluffée par ces révélations vu que j’étais convaincue que nous étions des gens à part, un peu comme des bêtes de foire, mais à présent je me demande combien de familles se mélangent entre elles, en cachette des autres. De plus, je n’avais pas non pensé que le but de notre maman était de nous donner une éducation sexuelle dans la pratique, avec des bases solides, mais qu’il s’agissait juste d’un échange d’amour sans aucun tabou. Je suis tirée de mes pensées, quand elle me demande :
 ― Mais dis-moi, j’aurais plutôt pensé que tu serais intéressée par son garçon, qui s’appelle Corentin. Maintenant si tu préfères les filles, il faut que tu saches que ça ne me pose aucun problème.  ― On a déjà parlé de ça, M’man. Pour l’instant la seule femme avec qui j’ai fait l’amour, c’est toi. Et si j’étais vraiment attirées par les filles, je ne t’aurais pas attendue pour savoir que j’aime ça. Maintenant, si ce garçon comme tu l’appelles bien qu’il ait 25 ans est à moitié aussi beau que son père, tu me le présentes quand tu veux. À défaut de tomber amoureuse, on pourra toujours rapprocher un peu plus nos deux familles. 
 Cette remarque la fait sourire, puis elle précise :
 ― Je dirais qu’il est aussi beau, mais dans un genre différent de celui de son père. Car ils se ressemblent beaucoup, et ce que lui enlève le manque de maturité est compensé par sa jeunesse. De toute façon tu te feras ta propre idée à son sujet, car bien entendu vous allez vous rencontrer.  ― Donc, c’est sérieux entre Laurent et toi ? ― Lui et moi on est amis de longue date, et on s’est toujours bien entendus. On avait également déjà baisé ensemble dans un cadre moins privé, et la nuit dernière il m’a au contraire fait tendrement l’amour. Ce qui n’a pas manqué de me rappeler ton père, et m’a procuré encore plus de bien. Car comme tu dois t’en douter il m’a faite jouir comme une dingue, au point que j’ai eu peur de te réveiller. Ce qui n’a pas été le cas, sinon tu m’aurais fait part d’une de tes petites remarques, qui sont souvent amusantes mais parfois aussi agaçantes, à cause de leur perspicacité. En ce qui le concerne je pense que je vais le garder un peu, et qui sait, peut-être qu’il sera ma béquille pour mes vieux jours. 
χ χ

 Je suis contente pour ma maman, car je pense que plus que n’importe quelle autre personne elle mérite d’être heureuse, et trouver l’homme idéal ou en tout cas un qui se rapproche de la perfection, ça doit être encore moins évident quand on pratique son métier. Cependant s’il n’y a pas que le sexe dans la vie, je suis tout de même étonnée quand elle me demande tandis que nous buvons le café :
 ― Ça te dirait, que je te donne un cours de conduite cette après-midi, ma Petite Caille ? 
 Je lui réponds, légèrement sur la défensive :
 ― Tu sais M’man, des cours j’en prends déjà plusieurs par semaine.  ― Évidemment que je le sais, et je me suis même renseignée auprès de ton moniteur, qui m’a affirmé que tu te débrouilles très bien.  ― Parce qu’en plus, tu m’espionnes ?!  ― Eh bien, c’est moi qui le paie ce permis. Et comme tu ne m’en as jamais parlé, je me suis dit qu’il y avait peut-être un problème, alors j’ai voulu en avoir le cœur net.  ― Mais quel genre de problèmes, tu aurais voulu qu’il y ait ? Si j’avais cabossé la voiture, ils t’auraient très certainement contactée. Et je me voyais mal t’appeler, pour te dire en pleurnichant : M’man, aujourd’hui j’ai raté mon créneau
 Nous avons discuté tranquillement, et je ne suis pas fâchée qu’elle ait voulu s’informer dans mon dos parce que sur le fond elle a raison, même si elle aurait pu me questionner directement. Ce qui me chiffonne par contre, c’est son besoin de se rendre compte par elle-même où j’en suis, comme si elle ne me faisait pas confiance. C’est la raison pour laquelle, je lui demande :
 ― Et dans quel but, tu veux me donner un cours ?  ― Eh bien, comme je sais que tu n’as eu affaire qu’à un seul moniteur, je me suis dis que si tu conduisais avec une autre personne avant de te retrouver assise à côté de l’examinateur, ça te mettrait en confiance. Mais c’était de toute évidence une mauvaise idée, alors oublie-la. 
χ χ

 Je comprends alors que ma maman a juste voulu m’aider, et que je lui ai fait de la peine en résistant à sa proposition, c’est pourquoi je m’empresse de répliquer :
 ― Non, elle est super ton idée. Sauf que si on se fait chopper, tu risques d’avoir des problèmes. Car pour la conduite accompagnée, je pense qu’il faut faire une demande. En plus, je suis habituée à une voiture plus petite que ton gros 4X4.  ― En ce qui concerne ma voiture, tu vas pouvoir te rendre compte qu’elle se conduit très facilement. La seule difficulté serait pour toi de faire un créneau, mais il n’est pas question que nous allions en ville. Ce qui répond à la première objection que tu as posée, car je ne suis pas fadade au point de prendre ce genre de risques. Je vais conduire jusqu’à ce qu’on se retrouve sur une petite route bien tranquille, et après je te passerai le volant. Il faut également que tu te dises, que je n’ai pas non plus l’intention de te faire passer ton permis à l’avance, mais qu’on va juste faire une petite balade entre copines. 
 Présenté de cette manière ce n’est carrément pas pareil, et je souris avant de lui faire remarquer :
 ― Tu aurais commencé comme ça, je n’aurais pas réagi de la même manière M’man.  ― J’avais même pensé te faire la surprise, te proposer d’aller nous promener, puis te dire tout à coup : Maintenant, c’est toi qui prends le volant. Mais j’y ai renoncé, de peur que tu te choppes un coup de stress.  ― Bon c’est super. Mais il ne faut pas qu’on traîne, car je te rappelle que ce soir, tu as prévu de nous faire manger tes fameuses lasagne. ― Oh, pour ça tu n’as pas à t’inquiéter ma Petite Caille, car elles sont déjà prêtes. Je m’en suis occupée ce matin pendant que tu étais chez Cédric, et il ne me restera plus qu’à les enfourner. Mais on va tout de même y aller maintenant, et surtout mets des chaussures adaptées pas des talons aiguille. Car ça tu ne pourras le faire que quand tu auras de l’expérience, et encore, la plupart des femmes ont la sagesse de se déchausser pour conduire pieds nus. 
χ χ

 Il ne nous faut pas bien longtemps pour nous retrouver dans l’entrée, et je suis épatée de constater que M’man tout comme moi a mis une petite robe à bretelles, qui s’arrête au milieu de ses cuisses. Alors que je savais même pas, qu’elle avait ce genre de vêtements dans sa penderie. Cependant elle cache ses tatouages qui sont assez hauts, et la mienne mon pansement que je n’ai pas encore retiré. De plus nous avons toutes les deux enfilé des sandales à talons plats, et nos tenues identiques mis à part au niveau des couleurs, doivent encore augmenter notre ressemblance.   
 Nous voilà donc parties en direction de Gardanne en prenant une route secondaire, et nous laissons cette ville derrière nous pour continuer vers une série de monts qui se trouvent toujours au sud-est, empruntant une voie encore plus petite. Nous finissons par nous retrouver sur ce qui n’est guère plus qu’un chemin goudronné, passant entre deux de ces petites montagnes, et M’man qui s’est arrêtée pour descendre de sa voiture, m’explique alors que je l’ai suivie :
 ― À droite c’est le Taoumé, et à gauche c’est le Plan de l’Aigle. C’est lui le plus haut car je crois me rappeler qu’il pointe à 729 mètres, alors que le Garlaban qui a donné son nom au massif, n’arrive qu’à 714 mètres.  ― En même temps, ça ne fait que 15 mètres de différence. ― Oui, et à l’époque où il a été décidé que ça serait comme ça, il n’y avait probablement pas encore d’altimètres.
 Ces noms me rappellent quelque-chose, et quand je lui en parle maman sourit avant de me répondre :
 ― Ils sont cités dans les livres de Marcel Pagnol, en particulier dans La gloire de mon Père et Le château de ma Mère. De plus, comme il était autant cinéaste qu’écrivain, certains de ses films ont été tournés ici. Comme par exemple Manon des Sources, et contrairement à ce que beaucoup pensent, les romans dont sont tirés cette histoire ont été écrits après.  ― Alors ici, c’était son pays ? ― Il l’a fait sien, mais il est né à Aubagne et a grandi à Marseille.  
χ χ

 Après cette leçon de culture générale, maman me tend la clef de sa voiture tout en me demandant :
 ― Tu te sens prête, ma Petite Caille ?
 Je hausse les épaules fataliste, puis je réponds :
 ― Le seul moyen de le savoir, c’est d’essayer. 
 Ça me fait tout drôle de me retrouver derrière le volant de son bolide, pas parce que j’ai retroussé mon jupon pour poser mes fesses nues sur le siège en cuir, car c’est à présent devenu une habitude, mais tout simplement pour la raison je suis plus haute par rapport au plancher des vaches, que dans la petite Peugeot de mon moniteur d’auto-école. Ce qui rend mon champ de vision différent. Ma copilote qui s’est assise côté passager et qui a parfaitement compris mon dépaysement, m’explique :
 ― Ça te fera le même effet à chaque fois que tu changeras de véhicule, et si ça t’arrive souvent tu finiras par ne plus y faire attention. Maintenant, le volant, les pédales et le levier de vitesse sont toujours à la même place. Même si en ce qui concerne ces dernières, la marche arrière peut changer de position selon la marque. 
 J’acquiesce pour lui faire comprendre que ce n’est pas un inconvénient insurmontable, d’autant plus que comme nous n’avons que deux centimètres de différence au niveau de la taille, je n’ai pas besoin de bouger mon siège. Mais je prend tout de même le temps de vérifier les rétroviseurs qui eux aussi sont réglés à ma convenance, ensuite je pousse un soupir pour évacuer le fond de stress qui reste en moi, je mets le contact et nous voilà parties. 
 Plus nous avançons et plus je prends de l’assurance et même du plaisir, ce dernier n’étant pas gâché par la propriétaire de la voiture qui ne me fait pas de remarque, mais se contente de regarder le paysage comme si elle avait entièrement confiance en moi. Contrairement à elle je suis concentrée sur ce qu’il y a devant nous, en particulier la route, et comme elle s’en est rendue compte elle finit par me dire : 
 ― Tu ne t’es pas laissée distraire par ce qu’il y a autour, et je t’en félicite. Alors si tu en as envie, tu peux t’arrêter pour admirer la vue.  
χ χ

 C’est ce que je ne tarde pas à faire et quand nous sommes à nouveau sorties de la voiture, maman m’explique en me désignant les nouveaux monts qui sont apparus pendant notre avancée, et qui avant étaient cachés par les autres :
 ― Sur la gauche c’est le Garlaban, à droite c’est les Barres Saint Esprit, et ensuite il y a Tête Ronde puis Tête Rouge
 Je hoche la mienne, de tête, pour acquiescer à chaque fois qu’elle me donne un nom même s’il est probable que dès ce soir j’en aurai oublié la moitié, ensuite elle ajoute :
 ― Cette route mène au village de La Treille, et ce ne serait pas une bonne idée que tu conduise jusque là-bas. Bien qu’il y ait peu de chances qu’on y trouve des gendarmes. Alors soit on fait demi-tour, soit je te propose un nouveau challenge. ― Genre ? ― Genre prendre un petit chemin qui se trouve un peu plus loin sur la droite, ce qui ne te fera pas un bien grand changement même si ça va grimper. Mais la différence sera, que tu vas conduire à poil. 
 Il me faut quelques secondes pour réaliser qu’il s’agit d’une proposition sérieuse et pas de paroles en l’air, ce qui me fait m’exclamer :
 ― Pour de bon ?!? Tu veux que je conduise toute nue ?!?!?
 J’ai droit à un petit sourire, puis à une réponse :
 ― Absolument, mais bien entendu ce n’est pas une obligation.  ― Mais dans quel but ?! ― En plus du fait que tu vas trouver ça super fun une fois le moment de gêne passé, ce sera un petit plus pour quand tu passeras ton permis.  ― Je ne te suis pas trop, là.  ― Le principe est pourtant simple. Si tu conduis sans aucun vêtement, ceux que tu auras sur toi le jour de ton examen te serviront de protection. Comme si tu portais une armure, te rendant invincible.
χ χ

 Je réfléchis quelques instants sur le bien-fondé de cette logique, ensuite je tente une objection :
 ― Et si des gens nous voient, car je suppose que tu vas aussi te mettre à poil, ils ne vont pas nous accuser d’attentat à la pudeur ? ― On a croisé combien de voitures, jusqu’à présent ? ― Tu le sais aussi bien que moi, puisque je me suis arrêtée à chaque fois pour les laisser passer car la route n’était pas assez large.  ― Bien entendu, et il n’y en a eu que deux sur environ dix kilomètres. Par conséquent, en prenant un chemin encore plus petit les chances seront de combien ? ― Entre zéro et un. ― Mais beaucoup plus proche de zéro que de un.  ― Ce qui fait toujours plus que zéro.  ― Effectivement. Mais si nous partons du principe qu’il y a autant de chances que nous croisions un ou plusieurs hommes dans le même véhicule, que des femmes, que les premiers n’iront certainement pas s’en plaindre et que les secondes ne le feront probablement pas non plus, le risque que la maréchaussée vienne frapper à notre porte pour nous demander des comptes, devient pratiquement nul. Quant à ta pudeur ils ne verront que tes beaux nichons, puisque le bas de ton corps leur sera caché par la carrosserie. Par conséquent, tu ne seras pas plus exposée que seins nus sur une plage.   
 Ses arguments sont sensés, c’est la raison pour laquelle je me contente de hausser un sourcil qui se veut ironique en la regardant, et comprenant que j’attends qu’elle donne l’exemple elle retire sa petite robe alors que nous sommes toujours dehors en pleine nature. Ensuite quand elle ne porte plus que ses sandales à talons plat, elle se sert de son index droit comme d’un crochet avant de faire passer son vêtement dans son dos, puis elle patiente jusqu’à ce que je me décide à en faire autant. Il ne me faut pas bien longtemps même si je rougis car je ne suis pas aussi à l’aise qu’elle, loin de là, et avant de remonter dans la voiture j’ouvre la porte arrière qui se trouve côté conducteur, pour poser ma tunique sur la banquette. Cette dernière se retrouvant rapidement recouverte, par celle de ma maman. 
χ χ χ

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