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Lady Klit.

Chapitre 17

Leçons de conduite, deuxième partie.

Inceste
Quand je me retrouve à nouveau derrière le volant, ce que j’éprouve est assez contradictoire. Car si je ressens une légère honte à l’idée d’avoir enfreint la règle qui est de ne pas me retrouver nue dans un endroit public, même si ce dernier est désert et qu’il n’y a par conséquent personne pour me voir, s’y mêle la joie provoquée par un sentiment de liberté comme ça m’était rarement arrivé avant. Ce mélange détonnant me rend fébrile, c’est pourquoi ma copilote qui s’est bien entendu retrouvée assise à côté de moi et qui a remarqué mon changement d’humeur, me dit : 
 ― Rien ne nous presse, alors prends le temps de te calmer. Et surtout, si nous croisons une autre voiture pas de panique. Tu devras juste t’arrêter pour la laisser passer, même si en théorie tu seras prioritaire puisque nous serons en montée et elle en descente, puis attendre d’être à nouveau sereine avant de repartir. 
 Cette théorie semble parfaite, c’est la raison pour laquelle dès que je me sens assez sûre de moi je tourne la clef de contact, et me voilà partie pour ma toute première ascension du Taoumé en mode nudiste. En même temps, je n’y étais jamais venue auparavant. Je ne tarde pas à regagner ma concentration qui est propre à tous les jeunes conducteurs, en tout cas ceux qui sont sérieux, et lorsqu’à mi-pente nous nous retrouvons face à un autre véhicule, je me gare avec précautions sur le bas côté.  Ce n’est que lorsque le type qui est seul à l’intérieur nous croise en roulant lentement et qu’il me regarde, visiblement ravi de notre rencontre, et va même jusqu’à lever le pouce pour me montrer son approbation, que je réalise que ce n’est pas parce que je lui ai cédé la priorité mais parce que la vue de mes seins lui plaît. Le fait qu’il ait l’occasion de mater également ceux de ma maman, ne devant pas gâcher son plaisir. Je suis cependant la seule à devenir écarlate, je me mets à trembler sous le coup de l’émotion, et celle qui m’a mise au monde me réconforte en me caressant doucement l’épaule :  ― Je suis très fière de toi, ma Petite Caille. Maintenant, il fallait que tu essaie pour savoir si ça te plaît. Car on ne peut prétendre ne pas aimer un plat, avant de l’avoir goûté. Il faut donc à présent que tu analyses ce que tu ressens, et si tu estimes que c’est trop dur tu dois enfiler ta robe. Car nous sommes venues ici pour passer un agréable moment, et rien d’autre. 
χ χ

 Je tourne la tête vers elle pour constater que son regard est chargé de tendresse, et je lui demande d’une voix que je trouve piteuse :
 ― Mais comment tu as su qu’on allait croiser quelqu’un, alors qu’à t’entendre parler la probabilité était quasiment nulle ? ― Tout simplement, parce que j’ai vu la carrosserie de cette voiture briller au soleil, quand nous étions encore en bas. ― Donc, c’était un test ? Pour savoir si j’ai des aptitudes à exhibitionnisme, et si je peux devenir une actrice de films de boules ? 
 Elle me répond, tandis qu’elle me cajole toujours :
 ― Quel genre de mère je serais, si je te poussais dans cette direction ? C’est une décision que tu devras prendre seule, et en connaissance de cause. En attendant, il est important que tu saches si tu aimes que les autres te regardent, même quand il n’est pas question de sexe. Car si c’est une des conditions sine qua non pour débuter dans ce métier, tu as également ce matin parlé de naturisme. Et te retrouver à poil en pleine nature même s’il n’y a personne autour, peut être pour toi une excellente préparation avant d’aller sur une plage.  ― Je t’ai dit, que je n’étais pas encore prête pour ça.  ― Je m’en souviens parfaitement, car même si je ne suis plus toute jeune je n’ai pas pour autant atteint l’âge de la sénilité. Mais si tu veux l’être un jour, prête, il te faut procéder par étapes. 
 Cette fois encore ma maman n’a pas tort, et puisque tandis que nous discutions tranquillement j’ai retrouvé toute ma sérénité, je desserre le frein à main et nous voilà reparties pour l’ascension du Taoumé, sans que j’éprouve le besoin de mettre un rempart à ma pudeur. 

χ χ

 Nous ne croisons aucun autre véhicule pendant la deuxième partie de la montée, ce qui en même temps me contente et me déçoit, car malgré mes craintes j’aurais aimé savoir comment je me serais comportée en y étant préparée mentalement. Une fois arrivées au sommet l’endroit est désert, je me gare sur un espace plat et dégagé pouvant servir de parking, et dès que la voiture s’est immobilisée ma passagère ouvre sa portière pour en descendre. Avant de me décider à en faire autant je l’observe quelques instants, épatée qu’elle se comporte comme si être nue en pleine nature était la chose la plus naturelle au monde. 
 Maman marche tranquillement en direction de ce qui doit être un belvédère, et tout en avançant elle lève les bras en les tendant vers les ciel les mains ouvertes, mais dans des directions opposées puisqu’ils forment un angle de plus de quatre-vingt-dix degrés. Avec ses tatouages et ne portant que ses sandales, elle me fait penser à une prêtresse des temps anciens en train de vénérer le Dieu Soleil, alors que son but est tout simplement d’offrir plus pleinement son corps aux caresses des rayons de l’astre du jour. 
 Quand je sors moi aussi une espèce d’euphorie s’empare de moi car je me sens libre, comme rendue à une vie sauvage, puisque même si la présence de la civilisation est évidente au bas de cette petite montagne, ici mis à part le véhicule qui nous a amenées rien n’est venu dénaturer la beauté du lieu. 
 M’man pendant ce temps s’est approchée du point de vue, et quand je l’ai rejointe elle me donne un nouveau cours de géographie, semblant connaître son sujet comme sa poche. Elle me renomme les petites montagnes qui forment un arc de cercle allant du Sud-ouest à l’Est, y ajoutant le Mont des Marseillais au loin. La ville qui lui a donné son nom se trouvant étrangement de l’autre côté par rapport à nous, et elle nous est masquée par d’autres élévations de terrain. Par contre on voit parfaitement le village de La Treille qui est bien plus proche, ainsi qu’une partie des villes d’Aubagne et d’Allauch dans des directions opposées. Pour terminer il y a au fond et au sud un petit bout d’espace bleu foncé séparé du ciel par l’horizon, et il s’agit de la Méditerranée. 
χ χ

 Je me sens de plus en plus à l’aise dans ma nudité au point de commencer moi aussi à la trouver normale, et lorsque je fais remarquer à maman : 
 ― Si on avait grimpé sur une autre montagne, on aurait mieux vu la mer.
 Elle me répond après avoir souri :
 ― Tu as entièrement raison. Celle de laquelle on la voit le mieux c’est Ruissatel, qui nous est caché par les Barres Saint Esprit. Sauf que si vouloir admirer la Grande Bleue dans une vaste étendue est une bonne idée, dis-toi que des tas d’autres personnes l’ont eue également, et que par conséquent là-bas nous aurions été obligées de rester habillées. On ne peut pas tout avoir, et il faut souvent faire des choix. 
 Je ne m’attendais absolument pas à recevoir un cours de morale dans l’endroit dans lequel nous nous trouvons, surtout alors que nous sommes complètement nues ce qui pourrait nous valoir une réprimande si on se faisait attraper, et je souris avant de demander :
 ― C’est pour ça, qu’ici il n’y a personne ? ― Pour ça et aussi par rapport au fait que nous sommes encore en Avril. Car si tu reviens dans deux mois, tu en trouveras du monde. 
 Je réplique, en rosissant légèrement :
 ― C’est bien dommage, car je commence à trouver ça fun d’être à poil en pleine nature. 
 C’est son tour de sourire, puis elle me répond :
 ― C’était justement le but recherché, que tu te sentes à l’aise. Il y en a même qui finissent par s’exhiber, mais cela va peut-être te surprendre par rapport à ce que tu as appris de moi, je trouve cela dérangeant.  ― C’est pourtant ce que vous faites, dans vos films.  ― C’est effectivement une forme d’exhibitionnisme, sauf qu’il s’adresse à des spectateurs avertis. Car ceux qui nous matent, trouvent ce qu’ils sont venus chercher. Par contre se mettre nu dans un lieu public, risquerait de choquer des personnes qui se trouveraient là par hasard.  ― Ça ne t’a pas trop dérangée, quand on était dans la voiture… ― Tu as encore raison, mais le type qu’on a croisé n’a pu voir que nos nichons, par conséquent ce n’était pas bien méchant. 
χ χ

 Je réfléchis quelques instants sur ce qui est la véritable leçon de conduite de la journée, car je ne doute pas un seul instant que le but de ma maman est de me faire comprendre ce qui est acceptable ou ne l’est pas, et que tenir compte des réactions de ceux qui ne partagent pas mon point de vue, est également important. Elle est en quelque sorte en train de poser des jalons, de manière à me guider dans la voie qu’elle m’a faite emprunter, même si je suis convaincue que si je décide de les franchir il n’y aura aucune critique de sa part, mais juste des conseils très certainement avisés. Car en définitive, à ses yeux c’est mon libre arbitre qui primera.
 M’man me laisse le temps de peser le pour et le contre, puis elle me dit :
 ― Maintenant, si tu trouves ça si fun d’être à poil en pleine nature, il y a d’autres alternatives au fait de lézarder sans maillot de bain sur une plage en plein cagnard. Car c’est une activité, qui ne convient pas à tous les naturistes.   ― Ah bon ? Et c’est quoi ces alternatives ? ― La première, c’est d’aller passer ses vacances dans un endroit où tout le monde vit nu. Il y a au départ eu des campings, qui ont été ouverts ou convertis à la fin des années 60. Puis le phénomène s’est amplifié, et des personnes plus entreprenantes que d’autres ont eu l’idée de construire des camps en dur, avec des bungalows, des appartements et même des maisons. ―Comme au Cap d’Agde ? ― C’est effectivement le plus connu. Sauf que ce site a été dénaturé par ceux qui en ont fait un lieu de débauche, car certains vont jusqu’à baiser en public, au grand désespoir de ceux qui étaient arrivés là les premiers, et ont créé l’endroit. Mais il y a des lieux plus familiaux, pour ne pas dire conventionnels, dans lesquels certains restent même toute l’année. Et si la plupart d’entre eux sont des retraités, d’autres ont eu la chance de trouver un emploi à proximité, ce qui leur permet de vivre en accord total avec leur mode de pensée. Pour finir il y a également les randonnues, et ce n’est pas la peine que je te fasse un dessin, puisque c’est la contraction de deux autres mots. ― Tu es sérieuse, là ?!? Il y a vraiment des gens qui se baladent sans vêtement, en pleine nature ?    ― Oui, c’est même devenu assez populaire depuis quelques années. Mais bien entendu il y a quelques précautions à prendre, toujours dans le but de ne pas choquer les autres. Mais Léo et Emma pourront t’en parler plus en détails, car c’est devenu pour eux quelque chose d’assez naturel, pour ne pas dire habituel. Moi par contre, si j’ai voulu essayer afin de ne pas mourir idiote, j’ai apprécié moyen de me faire griffer par les branches basses et les buissons. 
 Je suis scotchée d’apprendre que mon frère et ma belle-sœur se promènent nus sur des sentiers en forêt, et peut-être même dans des endroits plus dégagés, cependant je ne suis pas choquée et j’arrive même à sourire, en imaginant mon aîné sans vêtement mais avec son gros appareil photo autour du cou. Je suppose qu’ils ne m’ont pas parlé de ce hobby d’un genre particulier parce qu’il n’en ont pas encore eu le temps, ou alors parce qu’ils ont estimé que je n’étais pas encore prête à tout entendre, cependant je me promets d’approfondir le sujet quand j’en aurai l’occasion.
χ χ

 Mais je ne suis pas au bout de mes surprises, puisque maman s’éloigne de moi d’environ cinq mètres pour se mettre accroupie, avec sa main gauche elle écarte ses babines du bas tandis que leurs petites sœurs suivent le mouvement, et une fois que son trou à pipi est dégagé un flot de liquide ambré en jaillit tandis qu’elle pousse un soupir de soulagement. Comme si elle avait eu de la peine à se retenir d’uriner, alors qu’elle n’en a manifesté aucune envie jusqu’à présent.
 Je ne sais pas pour quelle raison étant donné que nous n’en sommes plus à ça près au niveau de l’intimité, mais toujours est-t’il que je deviens écarlate en la voyant faire. Et même si j’aimerais être ailleurs, je ne peux pas détourner mon regard de cette petite fontaine qui s’est mise soudainement à couler, la miction décrivant un arc de cercle avant d’aller s’écraser sur le sol caillouteux, en faisant des éclaboussures. Le plus sidérant pour moi, étant que ma maman qui ne se préoccupe pas de moi a l’air très satisfaite par ce qui est en train de se produire, et sur son beau visage je peux même voir une joie enfantine que la position qu’elle a adoptée ne dément pas, et qui semble la rajeunir d’une dizaine d’années.
 Remarquant finalement mon trouble alors que les dernières gouttes s’écoulent de son intimité, elle me dit sur un ton tranquille :
 ― Je suis assez surprise que tu réagisses de cette manière, ma Petite Caille. Car tes frères ont adoré me voir me soulager de cette manière devant eux, et Louis en a même redemandé. Mais ça vient peut-être du fait que contrairement à eux, tu es une fille.
 Je lui réponds, alors que j’ai repris de ma contenance et que je suis beaucoup moins rouge :
 ― Je sais, Louis me l’a dit quand j’ai pissé devant lui dans la salle de bain.  ― Alors pourquoi tu t’es sentie gênée, en me voyant faire ? ― Probablement parce que le contexte est différent. Lui venait juste de me sodomiser, c’est pourquoi j’ai trouvé ridicule de me retenir alors que j’en avais envie.
χ χ

 Maman me demande, après s’être relevée :
― Donc, si ça ne t’a pas dérangée de pisser devant ton frère, c’est de moi que vient le problème ? Parce que je suis ta mère ?― Je n’en sais rien. C’est peut-être à cause de ça, où de l’endroit dans lequel on se trouve. ― Alors dis-toi que c’est de mon con que tu es sortie il y a 18 ans, même si tu ne t’en souviens pas et que tu ne l’avais jamais vu jusqu’à très récemment. Et pour ce qui est de pisser ici, c’est beaucoup plus normal de le faire en pleine nature alors que les WC les plus proches sont à des kilomètres, que sur le gazon de sa maison pour amuser la galerie. Car dans le premier cas il s’agit de satisfaire un besoin naturel, et dans le deuxième d’une exhibition privée. ― Tu sais M’man, je n’ai pas été choquée mais juste surprise. Pour beaucoup de choses j’ai du retard, mais je suis tout de même prête à apprendre. Sauf qu’il y a des limites que je ne franchirai jamais, et d’autres qui devront attendre que je sois en mesure de le faire. 
Le sourire qu’elle me fait m’en dit long sur ce qu’elle en pense, et me dispense du discours réchauffé au sujet de ma maturité précoce. Ce qui ne l’empêche pas de me taquiner ensuite, en me posant une nouvelle question :
― Si tu ne fais pas comme moi, c’est parce que tu n’en a pas envie ou parce que tu ne te sens pas encore prête ?
 Alors que jusqu’à présent ma vessie m’avait laissée tranquille tout à coup elle me rappelle sa présence, et cette traîtrise de sa part m’embarrasse et m’amuse en même temps, ce qui ne me fait cette fois rosir que légèrement. Cela ne m’empêche pas, de répondre avec aplomb :
― C’est un défi ? 
χ χ

 J’ai droit à un nouveau sourire de sa part, puis elle réplique :
― Eh bien, si ça fait partie des choses que tu feras un jour et pas de celles que tu t’es interdites, autant en profiter que nous sommes seules pour ta première fois. ― Parce qu’après, je devrai pisser sans me soucier de qui se trouvera autour ? Pour faire des exhibitions privées, comme tu les appelles ?― Comme pour tout le reste, il n’y a aucune obligation. Des options te sont présentées, et c’est à toi de choisir lesquelles tu prends et lesquelles tu laisses. Si tu veux un exemple plein d’à propos, Manon aime arroser la pelouse en public, au grand plaisir de Louis qui comme tu le sais déjà adore voir ça. Inutile de préciser que ça agace votre frère Lucas, qui n’a malheureusement pour lui pas voix au chapitre. Par contre Emma bien qu’elle ne soit pas particulièrement pudique, préfère aller aux toilettes même s’il lui arrive de se soulager en pleine nature, quand elle n’a pas le choix. Et dans ces cas-là elle n’éprouve pas vraiment le besoin de se cacher, sauf si elle pense que ça risque de choquer certaines des personnes qui sont présentes. 
 Tandis que je l’écoute en silence, elle conclut :
― Moralité chacun doit faire comme il en a envie,mais en se souciant de la sensibilité des autres.
 Pendant que nous discutions mon envie à moi est devenue de plus en plus pressante, alors qu’elle ne se faisait pas ressentir avant que nous parlions de ça. Il ne me faut pas bien longtemps pour me décider, pour la bonne raison que je suis seule avec la personne qui m’a nettoyé les fesses quand je me vidais étant bébé, et qui par conséquent en a vu d’autres. C’est donc après avoir poussé un soupir et en rougissant légèrement, que je me mets moi aussi accroupie en écartant largement les cuisses. Consciente du fait qu’adopter cette position n’a pas pour but de m’exhiber plus pleinement, mais d’éviter un incident de parcours. 
χ χ

 Ensuite comme j’ai vu ma maman le faire, avec mes doigts j’éloigne mes grandes lèvres l’une de l’autre tandis que mes nymphes comme les siennes se séparent également, et une fois que mon petit trou est dégagé j’arrête de me retenir. Seulement ça ne se passe pas comme pour elle, car si je suis convaincue que son corps lui a obéi immédiatement et qu’un flot conséquent d’urine s’est mis à couler dès qu’elle l’a décidé, ma propre anatomie est réticente alors que mon cerveau lui est parfaitement au clair. 
 M’man qui loin de s’être détournée m’observe avec un petit sourire aux lèvres, comprenant que je ne le fais pas exprès commence à émettre des psss psss psss qui ne sont pas sans me rappeler le chant d’une cigale, alors qu’il est bien trop tôt dans la saison pour que les vraies se fassent entendre, et comme s’il s’agissait d’un appel des jets de liquide ambré se mettent à jaillir. Ce qui ne manque pas de m’étonner car ça se passe comme pour un homme en train d’éjaculer, alors qu’habituellement je fais pipi normalement. Mon éducatrice qui a remarqué ma surprise, m’explique :
 ― C’est normal au début. Car si à partir du moment-où tu t’es mise accroupie tu en avais consciemment accepté l’idée, ton subconscient lui fait un peu de résistance car il n’est pas encore habitué.  ― Puisque tu es si calée, tu peux m’expliquer la différence entre le subconscient et l’inconscient ? ― C’est exactement la même chose, sauf que inconscient est un terme plus ancien qui est passé de mode. 
 Tandis que nous discutons mon flot d’urine devient plus constant et une espèce d’euphorie s’empare de moi, comme si je venais de réaliser un exploit alors qu’en réalité je suis en train d’accomplir quelque chose d’assez naturel, même si se soulager devant une autre personne est tout de même assez particulier. 
 M’man constatant mon changement d’humeur, me dit amusée alors que je deviens écarlate :
 ― Malgré tes réticences au départ, tu aimes ça ma Petite Cochonne. Maintenant comme je te l’ai déjà dit, il t’appartient de décider à qui tu feras profiter de cette faveur. Car même s’il est certain que ton frère Louis va être demandeur, tu seras en droit de lui refuser ce plaisir. 
 Je ne réponds pas me contentant de réfléchir au sujet de cette nouvelle porte qui vient de s’ouvrir, comme j’ai terminé ma petite commission je me relève, et après être retournées près la voiture nous remettons nos courtes robes à bretelles pour rentrer chez nous. Bien entendu c’est moi qui conduis tant que nous ne risquons pas de nous faire attraper, et nous n’avons pas manqué de retrousser nos jupons pour poser directement nos fesses nues sur le cuir des sièges de la voiture. 
χ χ χ

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